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En créant Savoie lactée, en 2015 à Albertville, l’Union des producteurs de beaufort a fait le choix de valoriser un sous-produit de sa fabrication, le petit-lait. Et d’assurer son indépendance. Bénéfice collatéral, elle s’est armée face à l’inflation des prix du carburant et de l’énergie et à l’instabilité géopolitique dans le monde.
Cet article vise à donner un aperçu de l’influence de différents gels, dont les hydrocolloïdes et l’oléogel, sur les changements techno-fonctionnels des aliments laitiers.
Les hydrocolloïdes sont largement ajoutés aux produits laitiers en tant que stabilisants, émulsifiants et gélifiants pour améliorer leur texture ou leurs propriétés sensorielles afin de répondre aux besoins des consommateurs. Quant à l’oléogel, récemment mis au point, même s’il est moins discuté dans le domaine des produits laitiers, cet article énumère ses applications dans différents produits laitiers.
La margarine n’a pas tiré parti de la hausse des prix du beurre, l’ultra-frais végétal n’est plus en forte croissance et les alternatives au fromage et à la crème ne décollent pas.
Lapinlahti, l’un des plus grands sites de Valio, reçoit environ 415 millions de litres de lait par an. L'usine, qui emploie environ 285 personnes, produit des fromages affinés pour un usage quotidien et gastronomique, approvisionnant le marché intérieur et exportant vers l'Europe centrale et les États-Unis…
L'investissement comprend l'agrandissement des installations existantes et le remplacement des équipements obsolètes. Les opérations et équipements d’emballage seront également mis à jour. De plus, l'investissement comprend une nouvelle sous-station électrique et un système d'alimentation de secours.
Via Cedric
Christophe Travignet et Steeve Louraichi, propriétaires de la Ferme des Étroits dans le hameau de Bonnenuit sur la route du Galibier, ont retrouvé, après de nombreuses recherches, la recette du fromage du village de Valloire, oubliée depuis plus de 70 ans.
Naturalia fait de la transparence sur ses marges un argument de communication. Jusqu’au 4 juin, le distributeur bénéficie d’une campagne d’affichage dans le métro parisien, avec une série de visuels expliquant la décomposition du prix de produits MDD du quotidien.
Claire Doutriaux nous propose aujourd’hui une petite leçon de savoir-vivre : comment coupe-t-on le fromage ?
autrice : Claire Doutriaux réalisateurs : Claire Doutriaux, Claude Delafosse avec : Jacques Falgous
A ce jour, on compte plus de 𝟏𝟐𝟎𝟎 variétés de fromages français, répertoriés par le CNIEL. Un nombre conséquent qui illustre la diversité des territoires, mais aussi des élevages et des traditions agricoles…
Via Cedric
La journée mondiale du lait fête ses 10 ans ! Voilà maintenant 10 ans que les laiteries ouvrent leurs portes pour faire découvrir le parcours du lait au grand public.
L’organisation professionnelle Syndilait, regroupant la majorité des fabricants de lait liquide, annonce le 10e anniversaire de la journée mondiale du lait en France. Les consommateurs pourront donc visiter les laiteries participantes du 1er au 28 juin prochains.
Le GAEC La Chapelle fait partie des 40 producteurs fermiers de reblochon au Grand-Bornand. Emilie Duperril et son mari fabriquent 35 tonnes de ce fromage
Les contrôles dans les AOP laitières : une garantie en 3 actes
Reprenons les bases ! Toutes les AOP laitières répondent à un cahier des charges très exigeant…
Avec l’inflation, la consommation de fromages baisse, y compris dans la région, pourtant riche en appellations. Pour maintenir leur activité à un bon niveau, les filières misent sur la qualité de leurs productions. Une démarche qui fait sens au sein de la petite AOP Bleu du Vercors-Sassenage, présidée par Alexis Fanjas, éleveur isérois de vaches laitières.
Le Saint-Marcellin est en IGP depuis dix ans. Pour le Comité du Saint-Marcellin et du Saint-Félicien, l’objectif est avant tout de structurer une filière encore jeune. Le projet d’étendre l’IGP au Saint-Félicien va d’ailleurs dans ce sens.
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Dans un contexte incertain pour la filière du lait bio, le collectif des producteurs de Biolait passe à l’action. Rendez-vous est donné en juin sur les marchés locaux partout en France pour sensibiliser les consommateurs autour du mouvement « Il lait là ».
Les traitements thermiques traditionnels dans l’industrie laitière sont connus pour leur forte consommation d’eau et d’énergie, et des solutions plus économiques et plus respectueuses de l’environnement sont recherchées. La technologie infrarouge (IR) offre des avantages en termes d’efficacité énergétique et de durabilité environnementale ; cependant, son efficacité dans le traitement du lait, en particulier dans l’inactivation des agents pathogènes, reste relativement inexplorée.
La demande des consommateurs pour un mode de vie sain continue de stimuler le marché de la nutrition spécialisée, alors que des entreprises laitières telles que Danone consolident leur présence dans ce domaine…
Via Cedric
Les résultats 2023 des exploitations laitières du réseau Inosys sont globalement en baisse, sauf dans les montagnes de l'Est. La hausse des produits n'a pas couvert celle des charges dans les exploitations avec des grandes cultures
Tout avait bien commencé. Tandis que Lactalis faisait des pieds et des mains pour contourner les OP et signer des contrats individuels, Savencia semblait encourager la création des OP. Et le 24 novembre 2015, 2 500 producteurs de lait répartis dans 12 OP créent Sunlait, la première des associations d’OP, avec un taux d’adhésion de 95%, représentant 1,2 milliards de litres de lait soit 5% de la production française.
« Contrairement à ce que l’on peut observer dans de très grands groupes laitiers, Sunlait est reconnu par Savencia avec de réelles avancées acquises dans le passé. Le climat est constructif. Nous nous retrouvons tous les trimestres dans le cadre de réelles négociations pour parler contractualisation, prix, qualité, volume (...) ».
Le Cnaol demande au gouvernement d’investir dans la promotion des fromages AOP pour ne pas perdre du terrain face à l’Italie qui n’hésite pas à lancer des campagnes massives...
L’Italie a annoncé un financement de 25 millions d’euros pour la promotion des indications géographiques de la péninsule. « Si nous ne faisons rien, nous allons disparaître derrière la communication massive des Italiens. Les fonds européens, qui nous ont bien aidés jusqu’ici, sont de plus en plus difficiles à obtenir »…
Via Cedric
• Les industriels doivent négocier avec les OP et non directement avec les producteurs…
• Beaucoup d'OP n'ont pas encore de contrats avec les industriels
• Le prix du lait ne couvre pas forcément les coûts de production
Via Cedric
Si certains irréductibles Gaulois sont tombés dans une marmite de potion magique, nul doute que dans cette région d’Émilie Romagne, d’autres doivent avoir chuté dans ces cuves de lait tant ils en sont fiers… Ce doit être le cas de Antonio Martini, président de la laiterie Ambrosi, à Traversetolese, « caseificio »(1) qui transforme quotidiennement environ 38 t de lait. Ce dernier insiste : « Ici pas de jours fériés, l’entreprise transforme chaque jour, et cela depuis 42 ans, ce précieux lait de la région de Parme ».
L’Interprofession du Vacherin fribourgeois (IPVF) a dû faire face l'an dernier à l’instabilité du marché suisse et étranger. Pour diversifier l'offre, de nouveaux produits seront proposés aux consommateurs, avec notamment de la raclette au Vacherin fribourgeois AOP.
Le reblochon est un fromage considéré comme gras et crémeux. Très associés aux produits comme la tartiflette, les Français ne l’achètent pas beaucoup en dehors de la saison d’hiver. Une campagne de communication a été mise en place pour tenter de faire changer cela.
Entremont, la célèbre entreprise française de produits laitiers, prend des mesures significatives pour réduire son empreinte environnementale en lançant un tout nouveau sachet entièrement recyclable pour son Emmental Bio râpé. Cette initiative s’inscrit dans le cadre de son engagement en faveur de l’environnement et de sa volonté de contribuer à une consommation plus responsable.
L’Abondance, fromage emblématique de Haute-Savoie, est l’un de ceux qui ont le plus progressé en dix ans. Pour autant, l’enjeu, pour la filière, n’est pas d’augmenter la cadence mais plutôt de maintenir la qualité à un niveau très élevé. Émilie Jacquot et Joël Vindret, respectivement présidente et directeur du Syndicat interprofessionnel du fromage Abondance (Sifa), s’en expliquent.
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