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Le système alimentaire est aujourd’hui bien verrouillé. Contrôlé par quelques acteurs, mastodontes de l’industrie agro-alimentaire ou de l’industrie des semences et produits phytosanitaires, fédérations de gros agriculteurs, la voix des petits producteurs et des consommateurs a du mal à se faire entendre.
Après de multiples scandales, vache folle, viande de cheval dans les lasagnes, crise du lait, la défiance de la population vis à vis du monde agricole grandit. Les mangeurs en quête de transparence se dirigent de plus en plus vers le bio et les circuits courts, qui jouent la carte du lien direct et de la confiance.
Les “marginaux” commencent à s’organiser, inventent des alternatives pour contourner la mainmise de ces grands groupes en quête de profits.
Face à ce constat et ces dynamiques à l’oeuvre, comment le système alimentaire pourrait évoluer dans les années à venir ?
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À l’occasion de la COP22, le Maroc défend une « initiative » pour permettre à l’agriculture africaine de faire face au changement climatique. Louable a priori, cette intention agrège en fait les intérêts de groupes agro-industriels et ceux de l’industrie marocaine du phosphate, pour un résultat incompatible avec la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
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Aide à la lecture : sur 100 € de dépenses alimentaires nationales, 61 € constituent les valeurs ajoutées, c’est-à-dire une rémunération brute du travail et du capital, dont 8 € dans l’agriculture française et 53 € dans les autres branches, principalement le commerce et les services.
Avec l’allègement des interventions de la politique agricole commune et le poids croissant des pays émergents sur les marchés mondiaux, les prix agricoles sont devenus plus volatils. Cette situation nouvelle a ravivé les questions sur les écarts entre prix agricoles et prix alimentaires. C’est dans ce contexte et pour éclairer ces débats que la loi de modernisation de l’agriculture de 2010 a créé l’OFPM.
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Les Fromageries Bel continuent à faire le dos rond dans un marché compliqué, en particulier en Europe. Le groupe a stabilisé ses revenus sur neuf mois et compte sur la prochaine acquisition de MOM pour se diversifier. Bel a dégagé 2,18 milliards d'euros de chiffre d'affaires après neuf mois d'activité en 2016, un niveau quasiment identique à celui de l'année précédente, après une légère contraction des ventes (-0,2% à 731 ME) au troisième trimestre.
Si les zones Moyen-Orient / Afrique et Asie / Amériques progressent, l'Europe reste en berne à cause de la guerre des prix acharnée. Les volumes y sont légèrement haussiers mais cela a nécessité des efforts promotionnels accrus. Le propriétaire de La Vache Qui Rit explique être toujours confronté à des conditions de marché difficiles...
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Lobbying, corruption, transparence des entreprises et rémunération des grands patrons : le Parlement a adopté définitivement le projet de loi.
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Dans l'agro-alimentaire bien sûr, mais aussi dans d'autres secteurs comme l'industrie ou la santé, certains acteurs s'associent au sein de leur filière pour définir et mettre en œuvre des objectifs communs de qualité. Une démarche qui connaît un succès grandissant.
« les leviers de la confiance doivent désormais être au centre de la réflexion stratégique des marques car, dans un contexte de défiance massive, ils sont bel et bien créateurs de valeur ». Les filières qualité jouent assurément ce rôle de leviers de confiance.
La qualité au cœur du modèle de consommation de demain :
Toutes les études vont dans le même sens : la qualité des produits et des services, et plus largement la consommation responsable, sont de plus en plus déterminantes dans les actes d'achats. C'est ce que confirme encore la dernière étude de l'observatoire de la consommation responsable, qui souligne que ce marché poursuit sa hausse. Il n'est pas étonnant que les filières qualité connaissent dans ce contexte un succès croissant, simplement parce qu'elles offrent de vraies garanties en la matière.
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55 % des coopératives mettent en place des partenariats internationaux face aux défis de la mondialisation. C’est la conclusion d’une étude conduite par le cabinet PwC sur un échantillon de près de 150 partenariats noués par les 100 plus grandes coopératives agricoles et agroalimentaires au monde.
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Oxfam Solidarité et SOS Faim ont mené une étude sur la présence des entreprises laitières européennes en Afrique de l’Ouest, leurs ambitions et leur impact sur la production locale. Actuellement, l’Europe produit trop de lait par rapport à la demande et ses excédents ont fortement augmenté depuis 2015, suite à l’abandon des quotas de production. Cette situation pousse les grandes firmes européennes à conquérir d’autres marchés et l’Afrique de l’Ouest représente une belle opportunité pour ces entreprises.
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Avec des activités dans 150 pays, Nestlé est un leader mondial du secteur de l’alimentation et des boissons. La propriété intellectuelle fait partie de l’ADN de la société depuis que son fondateur, Henri Nestlé, a commencé à produire sa préparation novatrice de “farine lactée” pour les nourrissons, à base de lait de vache, de farine de blé et de sucre, en 1867. Aujourd’hui, la société est propriétaire de plus de 2000 marques, dont 30 génèrent plus d’un milliard de francs suisses de chiffre d’affaires annuel.
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2016 va battre un record avec 97 entreprises européennes qui pourraient être prises pour cibles. L'Italie et le Royaume-Uni pourraient devenir les pays les plus attractifs du Vieux Continent.
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Le secteur de l’agro-alimentaire est interpellé par 40 sociétés d’assurances, qui réclament moins de protéines animales dans notre alimentation. Enjeux : la santé, l’environnement… et aussi le business.
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Les autorités chinoises veulent développer la production de lait pour accompagner le développement du marché. Avec son centre de formation de Shuangcheng (Heilongjiang), Nestlé participe à la modernisation du secteur.
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Mondelēz, Kraft, Coca-Cola, Nestlé, PepsiCo, P & G, Johnson & Johnson, Mars, Danone, General Mills, Kellogg and Unilever own just about everything
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Parce que la nourriture est un secteur très particulier, l'offre aujourd'hui mérite qu'on l'observe d'un peu plus près.
La compétition se joue sur plusieurs niveaux, entre les acteurs locaux et multinationaux, ainsi qu'entre géants.
Quelles sont les stratégies développées pour que certaines marques sortent du maelström concurrentiel ? Les géants développent des stratégies très actives…
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«Le problème de la France, c'est qu'on veut deux modèles : celui des grandes exploitations pour rivaliser avec les entreprises étrangères et celui du modèle familial», remarque Emmanuel Vasseneix.
Ce dernier qui soutient, dans un même temps, que la distribution a «besoin de différenciation» dans un contexte marqué par une forte concurrence des plateformes de distribution numérique incarnées par la plus célèbre d'entre elles : le géant américain Amazon. Un chiffre inquiétant, cité lors d’échanges, interpelle. Près de 67 % des produits alimentaires seraient issus de 16 multinationales seulement. Cette concentration de l'offre empêche d'entrevoir pour l'heure l'équilibre tant revendiqué à la fois vis à vis des consommateurs et de ceux en amont de la chaîne.
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L’agroalimentaire est un secteur particulier. Dominé par quelques géants mondiaux, il n’en reste pas moins quasi-universel : tous les pays sans exception disposent d’une gamme industrielle plus ou moins étendue.
La compétition se joue ainsi à plusieurs niveaux, entre acteurs locaux et multinationales, tout autant qu’entre géants. Elle se complique encore par la concurrence entre marques distributeurs et marques originales.
Les géants élaborent donc des stratégies très actives pour maintenir ou développer leurs parts de marché. La tentation est grande, dans ce contexte, de délaisser le maelstrom compétitif de l’offre généraliste pour chercher à se différencier, en développant des modèles d’affaires innovants. Trois stratégies récentes en témoignent…
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Le groupe alimentaire japonais Ajinomoto a annoncé, mardi 8 novembre, l’acquisition d’une participation de 33% dans la compagnie africaine Promasidor pour 532 millions de dollars, rapporte Reuters. L’opération valorise Promosidor à 1,6 milliard de dollars environ. Promasidor fabrique principalement des produits alimentaires laitiers et boissons en poudre, des céréales, et des assaisonnements, un marché dont Ajinomoto prévoit la croissance dans les années à venir. Les produits de Promasidor sont distribués en Afrique, en particulier en Algérie, avec des marques comme le Berbère, Twisco ou Loya, ainsi qu’au Nigéria, au Ghana, en République démocratique du Congo et en Angola.
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Une initiative de FranceAgrimer et de Philippe Chalmin visait à convaincre les journalistes que la formation des prix agricoles ne pouvait que résulter de la loi de l’offre et de la demande dans le cadre de la mondialisation des échanges de produits alimentaires qui ne représentent pourtant qu’un peu plus de 10% de la consommation mondiale.
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Hochdorf rachète un de ses principaux clients, ce qui lui permet de livrer directement les consommateurs. Comme le colosse veveysan Nestlé ou la multinationale argovienne Hero, Hochdorf entre à son tour dans la cour des grands producteurs suisses de lait en poudre pour bébés.
Le groupe lucernois (550 millions de francs de chiffre d’affaires, 625 employés), spécialisé dans les produits à base de lait et de céréales, a confirmé hier la prise de contrôle d’un de ses plus importants clients dans le lait en poudre pour nourrissons: la société Pharmalys Laboratories SA (70 millions de francs de chiffre d’affaires, 500 employés dans 42 pays). Pharmalys vend ses produits sous les marques Primalac et Swisslac.
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Les industries agro-alimentaires françaises ont généré 170 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2015, mais sont soumises à l'intensification de la concurrence mondiale, en particulier d'Amérique latine.
1 - Petites entreprises, géants mondiaux
Avec plus de 16.000 entreprises, dont 98% de TPE-PME et quelques champions mondiaux comme Lactalis et Danone, l'agroalimentaire français emploie plus de 440.926 personnes.
Et alors que les emplois industriels fondent comme neige au soleil en France, le secteur agroalimentaire avait créé fin 2015 plus de 4.300 emplois.
2 - Maillage territorial Les régions qui concentrent le plus d'entreprises agro-alimentaires sont la Bretagne (près de 1.500 entreprises et de 60.000 salariés), les Pays de la Loire (plus de 1.000 entreprises et 45.000 salariés), l'Auvergne-Rhône-Alpes (2.500 entreprises, 40.300 salariés) et les Hauts de France (1.150 entreprises et 40.250 salariés), selon des chiffres de l'Insee de 2014.
Mais les industries agro-alimentaires sont représentées sur tout le territoire national. Elles emploient 38.701 salariés dans le Grand Est, 38.434 en Nouvelle Aquitaine, 27.037 en Occitanie, 25.488 en Normandie, 17.966 en Bourgogne-Franche-Comté, 13.538 en PACA, 13.016 en Centre Val-de-Loire, 957 en Corse, 21.636 en Ile-de-France et près de 10.000 dans les départements d'outre-mer.
3 - Mondialisation: talon d'Achille
Ce secteur est un des piliers des exportations françaises, avec le troisième solde positif de la balance commerciale derrière l'aéronautique et la cosmétique/chimie, mais la part de la France sur le marché mondial de l'alimentation a plutôt tendance à s'éroder. La France exporte pour plus de 44 milliards d'euros de produits alimentaires. En 2015, le solde commercial de l'agroalimentaire français était même excédentaire de 8,1 milliards d'euros alors que la balance commerciale française, tous secteurs confondus, restait déficitaire de plus 48 milliards d'euros.
L'agroalimentaire français est en deuxième position en Europe après l'Allemagne, et devant l'Italie, en termes de chiffre d'affaires, mais en Allemagne 8 entreprises sur 10 font de l'export, contre seulement 2 sur 10 en France.
Les produits les plus exportés sont les vins, l'épicerie, et les produits laitiers.
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Cargill a inauguré une nouvelle usine d'aliments pour crore Rs 88 [US$ 13 M] à Bathinda dans le Punjab. L'usine fournira des aliments nutritifs et sains aux producteurs laitiers au Punjab, Haryana, Uttar Pradesh et du Rajasthan. Elle produira 10.000 tonnes de nourriture par mois et nourrira 75.000 vaches par jour. Cette nouvelle usine est un témoignage de l'engagement de Cargill pour soutenir la croissance et le développement de l'industrie laitière en plein essor et de sa communauté agricole en Inde.
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Les fabrications d’aliments ont reculé de 5,3 % sur les huit premiers mois de l’année. Si cette tendance se confirme, 2016 s’achèverait sur une production d’environ 20 millions de tonnes, soit près de 1 million de tonnes de moins qu’en 2015.
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"Pourquoi aimez-vous le travail des enfants ?" La filiale Allemande de Nestlé a voulu jouer la carte de la transparence pour redorer son image....
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Glanbia détient maintenant 12-13% du marché de la nutrition sportive mondiale, qui est estimé à 10 milliards €. Le bénéfice avant impôts de la division de la nutrition sportive de Glanbia augmenté de 35% à 81,7 millions €, tandis que le bénéfice de sa division des ingrédients traditionnels a baissé de 4% à 58 millions €. Glanbia a réitéré ses prévisions de croissance du bénéfice par action entre 8 et 10% pour l’année.
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