đłđđł Ce guide technique prĂ©conise des itinĂ©raires de gestion adaptĂ©s aux diffĂ©rents types de haies de nos rĂ©gions. Ces bonnes pratiques permettent de prĂ©server leur multifonctionnalitĂ© et dâoptimiser le stockage carboneâŠ
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Cedric
onto Lait de Normandie... et d'ailleurs |
đłđđł Ce guide technique prĂ©conise des itinĂ©raires de gestion adaptĂ©s aux diffĂ©rents types de haies de nos rĂ©gions. Ces bonnes pratiques permettent de prĂ©server leur multifonctionnalitĂ© et dâoptimiser le stockage carboneâŠ
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A ce jour, on compte plus de đđđđ variĂ©tĂ©s de fromages français, rĂ©pertoriĂ©s par le CNIEL. Un nombre consĂ©quent qui illustre la diversitĂ© des territoires, mais aussi des Ă©levages et des traditions agricolesâŠ
Cedric's insight:
En France, on recense đđ produits laitiers bĂ©nĂ©ficiant d'une Indication GĂ©ographique : đđ d'une Appellation d'Origine ProtĂ©gĂ©e (AOP) et đđ d'une Indication GĂ©ographique ProtĂ©gĂ©e (IGP)âŠ
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Le tribunal judiciaire de Brest jugeait ce jeudi un litige dâordre financier entre les deux coopĂ©ratives bretonnes Even et Eureden, portant sur le respect du droit de ristourne. Le jugement a Ă©tĂ© mis en dĂ©libĂ©ré⊠Le diffĂ©rend nâest pas nouveau. Depuis la crĂ©ation, en 2009, de la coopĂ©rative LaĂŻta par Even, Terrena et Coopagri Bretagne, devenue Eureden aprĂšs la fusion avec Triskalia, la question de la rĂ©munĂ©ration divise les deux principales coopĂ©ratives de lâOuest bretonâŠ
Cedric's insight:
voir aussi APLBA : Des producteurs bretons menacent de ne plus livrer leur lait Ă LaĂŻta
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« La consommation de produits laitiers a plutĂŽt bien rĂ©sistĂ© Ă lâinflation ». Pour autant, certaines habitudes ont changĂ©, et câest le cas de maniĂšre frappante pour le choix dâune MDD. Le Cniel note des Ă©volutions et des arbitrages, particuliĂšrement en faveur des marques de distributeurs. DĂ©cryptage⊠« Avant, on avait un Ă©quilibre entre les marques de distributeurs et les marques nationales. Mais les MDD ont gagnĂ© 3 points de parts de marchĂ© en un an et mĂȘme 4 Ă 5 points sur 2 ans. Il nây avait jamais eu de mouvement aussi majeur vers les MDD ». Une surprise de lâampleur de ce mouvement : en 2023, 53,3% des produits laitiers frais achetĂ©s par les mĂ©nages dans la GMS Ă©taient sous MDD... « LâĂ©cart sâexplique par la force de la marque. Ainsi en beurre on a des marques nationales fortes, tandis quâen crĂšme câest moins le cas. Pour le lait UHT, il est difficile pour les marques de trouver un argument diffĂ©renciant alors que lâintĂ©gralitĂ© du rayon est en origine France ». En fromage, c'est la part croissantes des fromages ingrĂ©dients (rĂąpĂ©s, mozzarella, feta...) qui profite aux MDD⊠« GrĂące Ă ce report vers la MDD, il nây a pas eu de dĂ©consommation des produits laitiers, pas de perte de volume, mais une perte en valeur par cette descente en gamme. Cette tendance accentue le poids de la distribution dans le rapport de force au sein de la filiĂšre »âŠ
Cedric's insight:
Les nouvelles habitudes de consommation vont-elles durer ? « Je nâen suis pas convaincu. Les Français sont moins consommateurs de MDD que les EuropĂ©ens en moyenne, ils apprĂ©cient leurs marques nationales. AprĂšs la crise de 2008/2009, le poids des MDD avait baissĂ©, les marques nationales peuvent reprendre la main ». Il faudra peut-ĂȘtre attendre encore quelques mois, car les Français restent frappĂ©s par lâinflation Ă deux chiffres de cette pĂ©riode compliquĂ©eâŠ
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Le groupe laitier fribourgeois en difficultĂ© a essuyĂ© une nouvelle perte nette de 20,3 millions de francs au terme de l'exercice 2023, contre 21,5 millions un an plus tĂŽt. Mais il estime disposer de suffisamment de fonds propres pour continuer Ă investir dans le futur⊠«La perte est bien entendu encore trop importante, mais elle est 40% moins Ă©levĂ©e que celle de lâan dernier si lâon tient compte du revenu extraordinaire de 11,8 millions provenant principalement de la vente du site de Steffisburg en 2022». Le chiffre dâaffaires a atteint 525,2 millions de francs, en hausse de 12,3 millions. La marge brute a progressĂ© de 8% Ă 147,9 millions et le rĂ©sultat d'exploitation (EBITDA) a Ă©tĂ© multipliĂ© par quatre et demi Ă 8,7 millions.
Cedric's insight:
L'ancien conseiller d'Etat a prĂ©cisĂ© avoir «pleinement confiance» dans lâobjectif de retrouver des rĂ©sultats positifs en 2026 au plus tard. L'exercice 2023 a Ă©tĂ© une annĂ©e de «mĂ©tamorphose». Cremo est le deuxiĂšme plus grand transformateur de lait en Suisse.
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Lâintroduction des « clauses miroirs » pose un certain nombre de difficultĂ©s qui conduisent Ă apprĂ©hender cette mesure davantage comme une dĂ©claration dâintention que comme un moyen suffisamment contraignant pour inciter les pays cocontractants Ă sâaligner sur les normes europĂ©ennes⊠CĂŽtĂ© europĂ©en, outre lâabsence pour le moment de convergence totale entre les vingt-sept Ătats membres sur cet impĂ©ratif commercial, la problĂ©matique des contrĂŽles est clairement posĂ©e. ContrĂŽles dans les pays exportateurs, en amont de lâacte mĂȘme de la production ? Ou bien contrĂŽles Ă lâarrivĂ©e des marchandises sur le territoire de lâUE ? Et par qui seront-ils effectuĂ©s (autoritĂ©s sanitaires, douanesâŠ) ? Dans le registre de la concurrence sur les marchĂ©s mondiaux, appliquer des « clauses miroirs » pourrait ĂȘtre considĂ©rĂ© par le ou les pays ciblĂ©s comme un protectionnisme dĂ©guisĂ©, passible dâun dĂ©pĂŽt de plainte auprĂšs de lâOMC, pour distorsion de concurrence⊠Complexes Ă mettre en Ćuvre, ne suscitant guĂšre de convergence dans lâUE pour les concrĂ©tiser et les infliger Ă des Ătats souverains avec lesquels Bruxelles nĂ©gocie, les « clauses miroirs » illustrent Ă elles seules lâĂ©tat de conflictualitĂ© qui caractĂ©rise le commerce international⊠Leur application nâexclut pas que les Ătats souverains adoptent des mesures de rĂ©torsion (rĂ©tablissement de droits de douane, embargos, rupture de lâaccord de libre-Ă©change par exemple), lesquelles porteraient en contrepartie sur des secteurs agricoles qui, en France, composent lâexcĂ©dent agroalimentaire : produits viticoles et fromages, par exemple. De fait, lâagriculture est rĂ©guliĂšrement la cible de telles actions de rĂ©torsion⊠Par ailleurs, lâadoption de « clauses miroirs » envers des nations exportatrices laisse manifestement en suspens la question des rĂšgles concurrentielles intra-communautaires qui sont loin dâĂȘtre harmonisĂ©es. Dans leur colĂšre rĂ©cente, les agriculteurs ont aussi mis en exergue les prĂ©judices engendrĂ©s par lâintensitĂ© concurrentielle exercĂ©e par des Ătats membres, comme lâEspagne en fruits et en lĂ©gumes ou la Pologne dans le domaine de lâaviculture. Quâen sera-t-il de lâavenir et du processus de concrĂ©tisation de ces « clauses miroirs » ?
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Selon Agreste, le prix Ă teneurs rĂ©elles du lait conventionnel recule de 4,9% (463âŹ) sur un an et celui du lait bio de 1,0% (502âŹ). La plupart des fabrications de produits laitiers sont orientĂ©es Ă la baisse Ă lâexception des laits conditionnĂ©s et des poudres de lactosĂ©rum et de babeurreâŠ
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En progression de 2,6% sur un an, les exploitations certifiĂ©es HVE reprĂ©sentent 9,2% des exploitations agricoles françaises et couvrent 2,3 millions dâhectares, soit 8,7% de la surface agricole utile. Le nombre dâexploitations certifiĂ©es a progressĂ© de 2,6% en un an⊠La part des exploitations viticoles demeure majoritaire (60,9%) mais elle rĂ©gresse (-1,4âŻpoint), notamment au profit de lâĂ©levage, qui reprĂ©sente dĂ©sormais 22,3% des exploitations HVE (+2âŻpoints). Dans ce secteur, les bovins viande reprĂ©sentent 55,7% des exploitations certifiĂ©es, devant les bovins lait (22,4%) et les ovins (11,2%). Suivent les grandes cultures (8,2%), lâarboriculture (4,7%) et le maraichage (3,1%)
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Les analystes du marchĂ© laitier sont parvenus Ă un consensus sur leurs prĂ©visions concernant le prix du lait Ă la ferme en 2025, apportant de l'optimisme aux producteurs laitiers avec des prĂ©visions supĂ©rieures Ă 8 dollarsâŠ
Ils prévoient une fourchette de prix comprise entre 8,35 $ et 8,50 $. Fonterra devrait publier ses prévisions initiales le 30 mai, estimées entre 7,30 et 8,50 dollars, avec un point médian à 7,90 dollars, fixant le barÚme de prix anticipé à partir du 1er juin. L'événement GDT du 7 mai a fixé le prix du lait « au comptant » à la ferme à 9,25 $, contre 8,42 $...
Les prix Ă terme du lait SGX-NZX pour les saisons 2025 et 2026 se sont lĂ©gĂšrement ajustĂ©s, passant de 8,60 dollars en janvier Ă 8,25 dollars et 8 dollars respectivementâŠ
Tous les analystes compareront leurs prĂ©visions aux prĂ©visions complĂštes de Fonterra le 30 mai, apportant ainsi davantage de clartĂ© pour la saison laitiĂšre 2025âŠ
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La hausse de tarif demandĂ©e par les industriels sâest Ă©levĂ©e en moyenne Ă +4,5%, avec une dispersion entre familles de produits (de +3% Ă +5,7%)âŠ
Le rĂ©sultat moyen des nĂ©gociations est, en revanche, plus difficile Ă Ă©tablir car il est proche de zĂ©ro alors que certaines familles de produits sont en lĂ©gĂšre baisse (entre -0,5% et -1%) quand dâautres sont en lĂ©gĂšre hausse (entre +0,5% et +1%), de lĂ©gĂšres hausses pour les produits laitiersâŠ
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Tourteau achetĂ© ou tourteau gras fermierâ: des Ă©leveurs aveyronnais ont tranchĂ© en faveur de lâautonomie protĂ©ique de leur troupeau. La Cuma leur propose un service de trituration des graines olĂ©agineuses. Elle brosse le portrait de cette pratique peu rĂ©pandueâŠ
27 tonnes de tourteaux et 17.000 litres dâhuile produits en 2023 : «âŻCe matĂ©riel effectue une premiĂšre pression Ă froid des graines de colza et de tournesol.» Le rendement est Ă©valuĂ© Ă 60% de tourteau et 40% dâhuile. «âŻNotre presse traite en moyenne 90âŻkg de graines Ă lâheure, ce qui reprĂ©sente une production de 54âŻkg de tourteau et 36âŻl dâhuile par heureâŻÂ». Le taux dâhumiditĂ© des graines ne doit pas dĂ©passer 8% et le taux dâimpuretĂ© 3%. De ce fait, la Cuma a Ă©galement investi dans un trieur. Ce service est facturĂ© 16âŻeuros de lâheureâŠ
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La start-up spĂ©cialisĂ©e dans les alternatives au fromage poursuit son dĂ©veloppement. AprĂšs sâĂȘtre imposĂ©e dans les principales enseignes du circuit bio spĂ©cialisĂ©, lâentreprise fondĂ©e en 2019 par Nour Akbaraly sâattaque au circuit de la grande distribution avec la marque French KissâŠ
La jeune pousse propose deux gammes de produits â alternatives au fromage de plateau et tartinables- Ă la liste dâingrĂ©dients ultra courte. On y retrouve de la noix de cajou bio dĂ©cortiquĂ©e, de la protĂ©ine de soja, de lâeau, du sel et des fermentsâŠ
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Fonterra s'engage Ă renforcer sa position en tant que fournisseur leader mondial d'ingrĂ©dients laitiers innovants et de grande valeur, ce qui permettra d'accroĂźtre la valeur Ă long terme pour les agriculteurs actionnaires.âŠ
Dans ce cadre, la coopérative a annoncé qu'elle étudiait des options de cession totale ou partielle pour tout ou partie de ses activités mondiales de consommation, ainsi que pour ses activités intégrées Fonterra Oceania et Fonterra Sri Lanka. « Une cession de ces actifs contribuerait à créer une coopérative plus simple et plus performante, en nous concentrant sur nos principales activités d'ingrédients et de services alimentaires et en faisant ce que nous faisons le mieux. »...
L'une de ses plus grandes forces est la production d'ingrĂ©dients innovants de classe mondiale que les clients peuvent proposer aux consommateurs. « Nous pensons que nous pouvons accroĂźtre davantage la valeur de la coopĂ©rative en nous concentrant sur notre rĂŽle de fournisseur de nutrition laitiĂšre B2B. »âŠ
« Nous avons lâintention de fournir en temps utile une nouvelle mise Ă jour sur notre stratĂ©gie rĂ©visĂ©e Ă long terme. Cela inclura plus de dĂ©tails sur nos projets visant Ă accroĂźtre la valeur Ă long terme de Fonterra et les mesures grĂące auxquelles nous suivrons nos progrĂšs. »âŠ
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Dans son rapport sur les perspectives agricoles de la Chine (2024-2033), PĂ©kin estime que la production laitiĂšre devrait poursuivre sa tendance Ă la hausse en Chine pour atteindre 58 Mt en 2033, avec un taux de croissance annuel moyen de 4,1%...
La hausse des revenus des urbains comme des ruraux bĂ©nĂ©ficierait Ă la filiĂšre. La consommation pourrait connaĂźtre un taux de croissance annuel moyen de 3,3% et atteindre 79,2 Mt en 2033. Toutefois, la Chine devrait continuer de sâapprovisionner sur le marchĂ© extĂ©rieur. Les importations sont estimĂ©es Ă 21,43 Mt en 2033, avec un taux de croissance annuel moyen de 1,2%.
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Depuis la seconde moitiĂ© du XXá” siĂšcle, le vieillissement dĂ©mographique a effacĂ© le modĂšle de ferme familiale, au profit dâexploitations plus grandes, plus spĂ©cialisĂ©es.
Les inĂ©galitĂ©s de revenus se creusent et le monde agricole se polarise. DĂ©cryptageâŠ
â Depuis 1982, lâemploi agricole a Ă©tĂ© divisĂ© par 3 : il reprĂ©sentait 7,5% de lâemploi total en 1982, câĂ©tait 2,7% en 2022. Les agriculteurs exploitants sont moins nombreux encore : ils reprĂ©sentaient 1,6% des personnes en emploi en 2022.
â 1/4 des chefs dâexploitation ont plus de 60 ans. Et, dâici Ă 2030, la moitiĂ© aura lâĂąge de la retraite. Parmi les plus de 55 ans, les 2/3 disent ne pas avoir de successeurs dĂ©signĂ©s.
â Entre 2000 et 2016, le nombre des exploitations Ă main-dâĆuvre uniquement familiale a diminuĂ© de 40%. Les agriculteurs sont contraints dâaller chercher de la main-dâĆuvre salariĂ©e.
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Dans son rapport WASDE (World Agricultural Supply and Demand Estimates) de mai, lâUSDA a augmentĂ© ses prĂ©visions de production laitiĂšre pour 2024, citant une augmentation du nombre de vaches laitiĂšres et une croissance plus rapide de la production par vacheâŠ
L'estimation actuelle de la production laitiĂšre pour 2024 est de 227,3 milliards de livres, soit une augmentation de 1 milliard de livres par rapport au mois prĂ©cĂ©dent et 900 millions de livres de plus que le total de 2023 de 226,4 milliards de livres. L'USDA a Ă©galement mis Ă jour ses prĂ©visions de production laitiĂšre pour 2025, projetant un total de 229,3 milliards de livres, soit une augmentation de 0,9% si elle est rĂ©alisĂ©e, en raison de prĂ©visions plus Ă©levĂ©es de lait par vache et d'un troupeau en expansionâŠ
Les exportations commerciales devraient augmenter Ă la fois pour les matiĂšres grasses et les solides Ă©crĂ©mĂ©s, tandis que les importations dans ces catĂ©gories devraient diminuer Ă mesure que la consommation intĂ©rieure augmente. Les prĂ©visions de prix du beurre pour 2024 ont lĂ©gĂšrement augmentĂ© de 1 cent Ă 2,935 dollars la livre, et les prix du fromage ont connu une augmentation notable Ă 1,695 dollars la livre, en hausse de 7,5 centsâŠ
Avec la hausse des prix du fromage, la prĂ©vision du prix du lait de classe III a Ă©tĂ© relevĂ©e Ă 16,75 $ le quintal, soit une augmentation de 55 cents par rapport Ă la prĂ©vision du mois dernier. Ă lâinverse, les prix de la classe IV ont chutĂ© de 15 cents Ă 20,25 $ le cwt, bien que cela reste supĂ©rieur au prix de la classe IV de 2023 de 19,12 $.
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Le cheptel laitier nĂ©o-zĂ©landais A2 devient rapidement dominant. Keith Woodford rĂ©vĂšle une transition assez remarquable oĂč le lait de casĂ©ine bĂȘta A2 des veaux nĂ©s en 2024 dĂ©passera 85%. Il appelle Ă un examen complet de l'industrie sur la maniĂšre dont la Nouvelle-ZĂ©lande peut bĂ©nĂ©ficier de l'avantage unique que cela confĂšre Ă son secteur laitierâŠ
Des donnĂ©es non publiĂ©es provenant de la principale coopĂ©rative d'amĂ©lioration des troupeaux de Nouvelle-ZĂ©lande, LIC, indiquent qu'une fois que les veaux laitiers nĂ©s en 2023 rejoindront le troupeau laitier en 2025, ces veaux de 2 ans produiront de la casĂ©ine bĂȘta qui est environ 84% A2. En revanche, seulement 16% de leur bĂȘta-casĂ©ine sera A1. Il s'agit d'une diffĂ©rence remarquable par rapport au dĂ©but et au milieu des annĂ©es 1990, lorsque la proportion de casĂ©ine bĂȘta A2 dans le lait nĂ©o-zĂ©landais Ă©tait rapportĂ©e Ă environ 50%...
Ce statut Ă©levĂ© en casĂ©ine bĂȘta A2 et faible en casĂ©ine bĂȘta A1, qui se reflĂšte dĂ©sormais dans la prochaine gĂ©nĂ©ration de vaches laitiĂšres nĂ©o-zĂ©landaises, est unique dans les principaux pays exportateurs de produits laitiers. Cependant, les bovins indigĂšnes d'Asie et d'Afrique sont tous A2, sauf lĂ oĂč ils ont Ă©tĂ© croisĂ©s avec des bovins de type europĂ©enâŠ
L'Ă©norme augmentation de la casĂ©ine bĂȘta A2 de Nouvelle-ZĂ©lande s'est produite en l'absence de toute politique industrielle formelle, en partie grĂące Ă une sĂ©lection dĂ©libĂ©rĂ©e par les agriculteurs et en partie par une politique des entreprises de sĂ©lectionâŠ
En 2018, il semblait clair quâa2Milk et Fonterra allaient conquĂ©rir le monde ensemble. Six ans plus tard, les choses ne se sont pas passĂ©es ainsi, mĂȘme si Fonterra vend du lait A2 ici en Nouvelle-ZĂ©lande sous la marque a2Milk. Alors, pourquoi les produits laitiers nĂ©o-zĂ©landais ont-ils encore besoin dâune politique stratĂ©gique A2 ?
Le 15 avril dernier, SĂ©oul Dairy, l'entreprise laitiĂšre dominante sur le marchĂ© sud-corĂ©en, a annoncĂ© son intention de devenir 100% A2 d'ici 2030. Son raisonnement est que 60% des Sud-CorĂ©ens sont censĂ©s ĂȘtre intolĂ©rants au lactose, mais on sait maintenant que la vĂ©ritable intolĂ©rance de beaucoup de ces personnes est due Ă la casĂ©ine A1. Le Japon dispose Ă©galement dâune association laitiĂšre A2. Vinamilk, la plus grande entreprise laitiĂšre du Vietnam, produit Ă©galement du lait A2. Une quantitĂ© considĂ©rable de prĂ©parations pour nourrissons consommĂ©es dans les pays asiatiques est dĂ©sormais de classe A2âŠ
La Nouvelle-ZĂ©lande pourrait dĂ©sormais atteindre 100% A2 dâici 8 ans environ, mais uniquement avec une politique explicite. The a2 Milk Company continue de tirer de trĂšs bons rĂ©sultats grĂące au lait A2. Elle fait dĂ©sormais partie des 10 plus grandes entreprises sur le NZX. Cependant, ni Synlait ni ses agriculteurs A2 nâen ont tirĂ© une fortune durable. Il y a lĂ une leçon. Tout dĂ©pend de qui rĂ©alise des profits tout au long de la chaĂźne de valeurâŠ
Ă lâheure actuelle, ce sont les agriculteurs de Synlait qui produisent le lait, câest Synlait qui transforme le lait et câest Synlait qui dĂ©tient lâaccrĂ©ditation dâusine trĂšs prĂ©cieuse pour fournir en Chine des prĂ©parations pour nourrissons a2 Platinum de marque chinoise. Pourtant, c'est a2Milk, en tant que distributeur, qui en tire tout l'argent en le transmettant aux distributeurs chinoisâŠ
Sans entrer dans les dĂ©tails ici, le message principal est que les Ă©leveurs de toutes races pourraient se convertir en troupeaux purs A2 en une seule gĂ©nĂ©ration de vaches, mais uniquement par des politiques de sĂ©lection explicitesâŠ
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La FĂ©dĂ©ration nationale de lâindustrie laitiĂšre estime que la filiĂšre est suffisamment encadrĂ©e dâun point de vue lĂ©gislatif et rĂ©clame plus de libertĂ©s contractuelles en vue dâEgalim 4âŠ
« La construction en marche avant du prix du lait est respectĂ©e », avance la Fnil.« La Cour des comptes nâa pas identifiĂ© de dysfonctionnement majeur de la filiĂšre laitiĂšre. 80% des Ă©leveurs sont engagĂ©s dans un dialogue structurĂ© avec leur laiterie via une organisation de producteurs (OP) ou une coopĂ©rative ». Pour le prĂ©sident de la Fnil, la construction du prix du lait se fait bien « en marche avant, en prenant en compte les coĂ»ts de production ». Pour la Fnil, la loi Egalim 2 apporte de la stabilitĂ© aux Ă©leveurs. « La construction de contrats-cadres donne de la visibilitĂ© Ă nos livreurs », appuie François-Xavier HuartâŠ
« La matiĂšre premiĂšre agricole est sanctuarisĂ©e. Les tensions qui se sont cristallisĂ©es lâhiver dernier entre OP et laiteries provient des opĂ©rateurs nâont pas le mĂȘme mix-produit (sic). En France, on a du mal Ă accepter des modestes Ă©carts de prix entre laiteries ». Pour le reprĂ©sentant de la Fnil, la difficultĂ© est de crĂ©er de la valeur sur le maillon industriel. La Fnil rappelle que le taux de marge nette des laiteries privĂ©es est « trĂšs faible, de lâordre de 1% », mĂȘme si le chiffre dâaffaires est de « 20 milliards dâeuros en moyenne »âŠ
Alors quâEgalim 4 se prĂ©pare, les industriels laitiers privĂ©s plaident en faveur dâun « renforcement des droits des contrats et de la libertĂ© contractuelle ». ConcrĂštement, lâidĂ©e dâune Ă©conomie administrĂ©e nâest pas vue dâun bon Ćil. « Nous souhaitons que le choix des indicateurs utilisĂ©s pour calculer la formule de prix reste libre. Il nây aurait rien de pire que dâimposer des indicateurs aux parties du contrat »âŠ
Les industriels laitiers plaident aussi en faveur dâun « accompagnement des acteurs Ă©conomiques, en particulier les organisations de producteurs, dans lâappropriation des indicateurs et la discussion prĂ©alable Ă la conclusion dâun contrat ». Le but ? « Discuter dâĂ©gal Ă Ă©gal. Il y a de jeunes OP, cela peut ĂȘtre compliquĂ© pour elles dâintĂ©grer lâensemble des subtilitĂ©s et des problĂ©matiques dâune rĂ©glementation »âŠ
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Yili a revendiquĂ© la place de leader mondial des produits laitiers dans son dernier communiquĂ© de presse. Une CompĂ©tition SerrĂ©e : En termes de chiffre dâaffaires, Lactalis reste le leader incontestĂ© avec 29,5 milliards dâeuros en 2023 contre 16,1 milliards dâeuros pour YiliâŠ
Cependant, la croissance rapide de Yili et son expansion internationale montrent que le groupe chinois nâest pas loin derriĂšre. Les deux entreprises dominent lâindustrie laitiĂšre mondiale grĂące Ă des stratĂ©gies solides, des innovations continues et un engagement envers la durabilitĂ©âŠ
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La coopĂ©rative, dĂ©tenue par des milliers de producteurs laitiers europĂ©ens, dont environ 2 000 au Royaume-Uni, exploite 9 sites de production Ă travers le pays. Arla Foods investit dans le but de stimuler l'industrie manufacturiĂšre britannique et l'avenir des produits laitiers britanniquesâŠ
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Des perturbations dans certains Ă©levages situĂ©s Ă proximitĂ© dâĂ©quipements de production et de transport Ă©lectriques sont signalĂ©es depuis les annĂ©es 1990 par les Ă©leveursâŠ
Le rapport du CGAAER souligne que les seuils de perception des courants Ă©lectriques des animaux sont trĂšs diffĂ©rents dâune espĂšce Ă lâautre. Celui des bovins est jusquâĂ 10.000 fois moindre que celui des volailles et 5 Ă 10 fois plus faible que celui de lâĂȘtre humainâŠ
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Lactalis Canada, leader canadien des produits laitiers derriĂšre des marques emblĂ©matiques comme Cracker Barrel, Black Diamond, Balderson, Astro et Lactantia, lance une gamme de boissons Ă base d'avoine, d'amandes et de noisettes, non sucrĂ©es et riches en protĂ©ines, sous « certification sans OGM et sans gluten, sans colorants, conservateurs ou arĂŽmes artificiels »âŠ