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La société laitière Oberweis Dairy, en activité depuis plus d'un siècle et spécialisée dans la livraison de lait, tout en exploitant également près de 40 magasins de crème glacée et de produits laitiers, a dévoilé son intention de fermer son usine, ce qui pourrait entraîner le licenciement de 127 travailleurs…
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Il était une fois, une ferme reconnue pour son savoir-faire et le prestige de ses produits laitiers. Cette ferme, c’est celle des Peupliers, située à Flipou. Au fil des années, cette dernière a su prospérer et se renouveler au fil du temps. Aujourd’hui dirigée par les frères Chedru, la réussite de l’entreprise repose, notamment, sur ses 200 vaches qui produisent le yaourt « So Good » dont tout le monde raffole. Engagée dans l’innovation et la préservation des savoir-faire, l’exploitation porte une vision tournée vers l’humain…
À la Ferme des Peupliers on gère l’intégralité de la chaîne de production, du champ à la cuillère. Un process complet réalisé par une équipe de 65 collaborateurs permanents qui exercent différents métiers : culture, élevage, transformation, logistique et fonctions supports comme l’administratif, le commercial ou la communication…
« Nous avons la chance en Lyons Andelle d’avoir un territoire dynamique et de valoriser au maximum l’économie circulaire et les circuits courts. Aujourd’hui sur l’intégralité de nos projets d’investissement, nous essayons de travailler avec des entreprises locales. »…
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L’aventure de Danone s’est achevée en Russie. De leur côté, Lactalis et Savencia tiennent bon, même si les deux entreprises aiguisent les appétits en Russie… Danone avait reçu, début 2023, une demi-douzaine d’offres émanant de sociétés locales, dont les géants Rusagro ou EkoNiva-APK. Alors que le groupe français et son conseil, la banque d’affaires Rothschild & Co, espéraient céder cette activité représentant 5% de son chiffre d’affaires contre un chèque de 500 millions d’euros, c’est finalement la société laitière russe Vamin Tatarstan, appartenant à un proche du dictateur tchétchène Ramzan Kadyrov, qui a raflé la mise pour 177 millions… Toujours dans l’agroalimentaire, les activités russes de Savencia et Lactalis sont actuellement ardemment courtisées par plusieurs sociétés russes. Lactalis, présent dans le pays depuis 2003 avec quatre sites de production à Ekaterinbourg, Efremov, Belgorod et Istra, a notamment été approché par l’homme d’affaires russe Sergey Bachin, à la tête d’Agranta Group, spécialisé dans l’agriculture. « Lactalis comme Savencia intéressent du monde en Russie, poursuit la même source. Mais à l’heure actuelle, ces deux entreprises ne sont pas vendeuses. »
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Ne l’appelez plus Adepale mais Pact’Alim ! L’Adepale, l’association portant la voix des PME et ETI de l’agroalimentaire, a officiellement dévoilé son nouveau nom, Pact’Alim…
« Pact’Alim, ce n’est pas qu’un changement de nom, c’est une ambition pour un réarmement des PME et ETI de la filière alimentaire ». Le nom de Pact’Alim symbolise le pacte que nous faisons à la fois avec l’aval, l’amont agricole, les consommateurs et le gouvernement…
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La société laitière portugaise Lactogal, connue pour ses marques telles que Mimosa, Primor et Agros, a annoncé l'acquisition de Queijos Santiago…
Lactogal a réalisé un chiffre d'affaires de 825 millions d'euros l'année dernière, tandis que Queijos Santiago a clôturé 2023 avec un chiffre d'affaires de 63 millions d'euros…
Il s'agit de la deuxième acquisition du secteur au Portugal en l'espace d'une semaine. Plus tôt cette semaine, la multinationale française Lactalis, propriétaire de Parmalat Portugal, a annoncé l'achat du groupe Sequeira & Sequeira, propriétaire du producteur de fromage Lacticínios do Paiva…
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Dans sa publication « De l’herbe au verre : l’avenir des entreprises laitières sur la voie du zéro net », le groupe financier européen ING a déclaré qu’un nombre croissant de grandes entreprises laitières envisagent d’atteindre le « zéro émission nette » à l’avenir et que les mesures prises dans les exploitations agricoles jouent un rôle crucial pour atteindre les objectifs, mais qu’elles augmentent souvent les coûts pour les agriculteurs…
Si les transformateurs laitiers veulent devenir « net zéro » en 2050, ils doivent regarder au-delà de leurs propres opérations. Environ 95 % des émissions de GES des produits laitiers se produisent soit en amont, soit en aval de leur chaîne de valeur…
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• Hausse des coûts de production & inflation
• Les industriels ont tenté de préserver leur rentabilité
• Recul des investissements en 2022 et impact financier favorable
En 2023, les entreprises ont pu profiter d’un effet de rattrapage avec une revalorisation des prix validée en début d’année et qui s’est appliquée progressivement à partir du 1er semestre…
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Walmart ouvrira en 2026 sa troisième usine de transformation du lait détenue et exploitée à Robinson, au Texas…
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Müller a déclaré que les installations de Heilbronn et Schefflenz, dans la région du Bade-Wurtemberg, ne sont « pas viables en raison de perspectives économiques négatives » et seront fermées avant la fin de l'été 2026. Environ 400 salariés seront concernés par les fermetures.
L'accord initial selon lequel Müller rachète une partie des actifs allemands de FrieslandCampina, y compris les installations et la plupart de ses produits destinés au marché allemand, a été annoncé en 2022.
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Un tribunal espagnol a confirmé que les plus grands acteurs de l’industrie laitière avaient formé un « cartel du lait » en s’entendant pour fixer les prix du lait acheté aux agriculteurs pendant plus d’une décennie. Les compensations financières aux agriculteurs lésés pourraient atteindre des centaines de millions d’euros…
Neuf entreprises laitières et 2 associations ont formé un cartel pour fixer les prix et réduire la concurrence en s’échangeant des informations pendant 13 ans, entre 2000 et 2013. La chambre administrative des contentieux a confirmé les amendes qui s’élèvent à 28 millions d’euros pour 5 entreprises et a ordonné le recalcul de 4 autres amendes en raison de la prescription de certains faits…
Les juges ont confirmé les amendes de 11,6 millions à Lactalis Iberia, 8,5 millions à Calidad Pascual, 6,8 millions à Nestlé, 930 000 à Schreiber Foods Espagne et 53 000 à Central Lechera Galicia. Les amendes infligées à Puleva, leader du marché laitier espagnol, qui s’élèvent à 10,2 millions, à Comercial Alimentaria Peñasanta (21,8 millions) et à Danone (20,2 millions) doivent être recalculées, car les infractions commises avant 2006 étaient prescrites…
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En quarante ans d’existence, la Ferme Collet a bien changé. La famille a arrêté l’élevage et quitté Lentigny pour se consacrer à la production et la commercialisation de yaourts et faisselles à Renaison. Si l’entreprise emploie aujourd’hui 130 personnes, elle n’a pas oublié ses racines, affirment ses dirigeants…
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Une interview d’Olivier Mevel sur Atlantico, extraits
La restauration progresse tandis que la grande distribution décroît en volume…
L'assortiment alimentaire dans la grande distribution représente environ 80% des produits en magasin. Sur ces 80%, 60% proviennent de PME-PMI et petites coopératives françaises pour 40% de produits issus des multinationales. Et ce sont les produits issus des multinationales qui font l’image prix du distributeur, c’est elle qui construit la part de marché du distributeur…
Le distributeur vend ces produits au prix facturé par les industriels + 10%. Ce n’est pas une grosse marge, qui concerne environ 1500 produits sur les 30 000 que l’on retrouve en moyenne dans ces magasins. C’est là sa façon de garantir son image prix. Ce qui le contraint en revanche à se rattraper ailleurs. Ce rattrapage se fait évidemment sur les 60% des produits restants, issus des 18 000 PME-PMI de l’agroalimentaire français. Là, les marges sont beaucoup plus élevées…
La matière première, dans les chaînes alimentaires, ne représente plus qu’une part assez faible (et en déclin) de la valeur finale du produit. Le reste vient rémunérer le service. Sur un panier de 100 euros on en a environ 33 qui reviennent à la grande distribution. Seulement 6 reviennent à l’agriculture…
Qui des embouteilleurs ou des distributeurs ont profité de l’augmentation des prix ? Pour le savoir, il suffit de regarder l’évolution des prix des produits MDD ainsi que des prix des produits de marques. Certains produits MDD sont quasiment aux prix des produits de marques et il apparaît du coup que les industriels ont été raisonnables. Pas le distributeur…
Lactalis a réussi ses négociations commerciales et a vu une augmentation des tarifs de la poudre de lait de 25% depuis le mois d’août 2023. Celui du beurre a grimpé de 15%. C’est la preuve que certains industriels se refont effectivement une santé financière au détriment des producteurs…
La responsabilité du groupe Leclerc est grande. Nous pouvons toutefois apprécier que Lidl ait signé plus de 200 contrats tripartites avec des éleveurs. C’est une solution intéressante pour donner davantage de visibilité aux éleveurs…
Pour calmer la situation, il faudrait prévoir des plans stratégiques différenciés selon les filières.
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Lorsque Fonterra a été créée en 2001, elle comptait plus de 12 000 fournisseurs et 95% des collectes nationales de lait, et la Nouvelle-Zélande comptait environ 5 millions de vaches laitières. Après avoir atteint un pic en 2014/15, ce chiffre a progressivement diminué chaque année pour s'établir à 4,67 millions à la fin de la saison 2022/23…
Au moment de la création de Fonterra dans le cadre de la loi sur la restructuration de l'industrie laitière (DIRA) de 2001, il y avait plus de 13 500 troupeaux dans le pays ; ils sont désormais réduits à environ 10 800 têtes, bien que la taille moyenne des troupeaux ait augmenté de 200 têtes et que la production par vache ait augmenté de 25% au cours de la même période. Au cours des 20 dernières années, Fonterra a vu sa part de la collecte du lait tomber en dessous de 80% en raison du nombre de nouveaux entrants dans l'industrie, stimulés en grande partie par l'opportunité de produire des produits à valeur ajoutée destinés aux étrangers, notamment aux clients chinois…
En 2001, seuls Tatua et Westland ont choisi de rester en dehors de la nouvelle coopérative, estimant qu'ils pourraient mieux fonctionner en dehors. Tatua a continué à prospérer, payant régulièrement ses 102 fournisseurs coopératifs plus – parfois beaucoup plus – que Fonterra, bien que cela soit dû en grande partie à sa petite échelle, à sa zone d'exploitation restreinte et à sa gamme spécialisée de produits laitiers de grande valeur pour la vente au détail et la restauration. Il a trouvé sa niche de marché et est toujours bon dans ce qu’il fait. À l’inverse, les fournisseurs de Westland ont réalisé après quelques années qu’ils auraient fait mieux en rejoignant Fonterra, mais il était alors trop tard et Fonterra a indiqué son manque d’enthousiasme pour la collecte de lait sur la côte Ouest…
En 2019, les fournisseurs coopératifs de Westland ont voté massivement en faveur d’une offre de rachat du groupe Yili, basé en Mongolie. Yili possède également Oceania Dairy dans le sud de Canterbury, qui a débuté ses activités en 2013 et qui, combinée avec Westland, représente environ 4% du chiffre d'affaires de l'industrie laitière…
Open Country Dairy (OCD) a été créée il y a 20 ans (initialement appelée Open Country Cheese) et est aujourd'hui la 2ème plus grande entreprise laitière de Nouvelle-Zélande avec environ 10 à 11% des volumes de lait et plus de 1 000 fournisseurs. Elle exporte plus de 300 000 tonnes de produits laitiers vers plus de 50 pays depuis ses usines de Waikato, Taranaki et Southland. Le modèle économique est totalement différent de celui de Fonterra, dans la mesure où l’entreprise fait partie du groupe Talley et paie à ses fournisseurs un prix compétitif à l’avance dans le cadre d’un programme de règlement régulier…
Les autres grands acteurs du secteur sont les grandes sociétés multinationales Danone et Nestlé, qui s'approvisionnent en produits transformés auprès des transformateurs primaires.
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Le groupe doit mettre en lumière les causes de son niveau d'endettement actuel et dit n'avoir aucune prévision précise pour le moment, étudiant différents scénarios allant de son maintien à sa dissolution…
Le groupe est "confrontée à un héritage financier difficile à rembourser avec ses propres ressources, malgré un modèle commercial compétitif". Les résultats annuels montraient une perte nette réduite, passant de 15,8 millions à 10,2 millions de francs suisses fin décembre dernier. Le groupe lucernois vise un résultat d'exploitation à l'équilibre…
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Pour la première fois, un rapport de la start-up Open Climat s’est penché sur les réductions des émissions de CO2 de 120 multinationales ces dernières années. La start-up a calculé que seules 21 d’entre elles étaient alignées sur une trajectoire de décarbonation compatible avec une limitation du réchauffement climatique à 2 °C…
Parmi elles, 7 sont françaises : Danone, Sodiaal, Bel, Sanofi, Hermès, Kering et LVMH. À l’échelle mondiale, seules 3 (Burberry, GlaxoSmithKline et Sodiaal) sont pour l’instant alignées sur une trajectoire compatible avec une limitation du réchauffement à 1,5 °C…
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La cour d'appel de Paris vient de rejeter les recours de 2 géants du lait contre des perquisitions réalisées par l'Autorité de la concurrence, en ce qui concerne les accords de collecte. L'enquête menée par les services de Benoît Cœuré sur des soupçons de pratiques anticoncurrentielles va donc pouvoir se poursuivre…
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Selon une coalition d’organisations de recherche, les entreprises du secteur agroalimentaire ont jusqu’ici échoué à réduire leurs émissions et ne doivent pas laisser les agriculteurs supporter seuls le coût de la transition…
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Données annuelles de collecte et de production de la branche, et sur le champ des entreprises de 20 salariés ou plus, les données de fabrication et de production vendue…
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En 2021, dans les industries agroalimentaires, 2 établissements sur 5 ont engagé des dépenses pour protéger l’environnement, pour un total de 376 millions, soit 71 millions de plus qu’en 2020. Les neuf dixièmes de ces dépenses sont consacrées aux investissements, le reste à des études… Les investissements spécifiques sont majoritaires et représentent 57 % du total investi. Ils ont pour seul objectif de diminuer ou de supprimer la pollution, tandis que les autres investissements, dits intégrés, correspondent à des achats d’équipements moins polluants. Ces derniers ont doublé par rapport à 2020, pour atteindre désormais 145 millions…
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Le groupe Vilvi est un groupe de transformation laitière des pays baltes, avec une part d'exportation d'environ 90%. Ses principaux marchés d'exportation sont les pays de l'Union européenne, avec des exportations supplémentaires vers l'Asie et d'autres continents…
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Cette laiterie UHT de Loire-Atlantique détenue par des agriculteurs s'appuie sur un modèle unique. La société De Nous à Vous a transformé l'an dernier plus de 7 millions de litres en lait UHT. En passe de gagner de nouveaux marchés, il lui faut attirer d'autres exploitants…
« Produire, transformer et vendre nous-mêmes ». C'est de cette simple devise qu'est née en Loire-Atlantique la laiterie De Nous à Vous et sa marque « En direct des éleveurs ». Portée par 6 agriculteurs et 110 actionnaires, des personnes physiques dans le cadre d'un financement participatif, cette SAS a mobilisé 8,5 millions d'euros en 2016 pour construire sa propre laiterie à Remouillé, au sud de Nantes…
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Depuis 2018, il est possible de trouver en grande surface, des produits laitiers issus du territoire percheron. Ces articles, ce sont ceux de la marque « Pur Perche » fabriqués dans une usine semi-industrielle, inaugurée en 2023…
Grâce à l’initiative de plusieurs fermes qui voulaient sortir de la collecte industrielle, cette entreprise continue de se développer et souhaite se stabiliser sur le marché. Grâce aux machines présentes sur le site, Pur Perche peut maintenant produire plus de produits…
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François-Xavier Huard assure que la FNIL "représente tous les acteurs" de la filière, non seulement les leaders mondiaux, mais aussi "80% de PME et d'ETI, d'entreprises familiales, indépendantes, basées dans les territoires"…
Il rappelle que "les laiteries et fromageries ont pris leurs responsabilités" en augmentant "depuis 2 ans le prix du lait de 25%", "un rythme plus rapide que les coûts de production des éleveurs"…
En réponse aux critiques, il souligne que "les marges de l'industrie laitière sont des marges très faibles" et précise que les acteurs de l'industrie ont pris sur leurs marges pour éviter que l'inflation ne se répercute auprès des consommateurs.
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Alors que l'affaire Sunlait/Savencia n'est pas terminée et que la coopérative Eureden a déposé plainte contre Even, Loïc Adam, président de France OP lait, préfèrerait des contrôles et des sanctions, plutôt que des procédures judiciaires…
Il fustige par ailleurs « l’attitude de Savencia, qui met en péril Sunlait ». Si la médiation et les négociations qui sont mises en place dans le cadre de la loi Égalim ne suffisent pas, il pourrait y avoir plus de procédures en justice, à l’avenir…
« À quoi sert une OP si on n’arrive pas à discuter ? ». Plutôt que des procédures en justices qui sont « lourdes à porter et pas anodines », les OP réclament plutôt des contrôles et des sanctions. « Les constats ont été faits par la Cour des comptes et la DGCCRF. Maintenant, il faut des sanctions ».
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Ce décret devrait mettre l’industrie française sur la voie du réemploi de la ressource hydrique pourtant déjà en œuvre dans d’autres pays de l’Union européenne. L’Hexagone ne réutilise actuellement que 0,8 % de ses eaux usées. Le gouvernement voudrait faire passer ce taux à 10 % d’ici à 2030.
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