SOCIÉTÉ - Les agriculteurs ont connu une année 2016 très compliquée. Pour sortir du rouge, la FNSEA leur conseille notamment de se convertir au bio. Mais ce n'est pas si simple.
Via les documentalistes des Chambres d'agriculture
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Cedric's curator insight,
September 12, 2016 2:21 AM
Le premier enseignement concerne la gestion des risques.
Le deuxième enseignement concerne la création de valeur. Enfin, le troisième enseignement concerne le partage de la valeur. |
Cedric's curator insight,
November 24, 2016 12:00 AM
[anti-crise] Entre soja et colza, seuls les consonnes et le prix changent
[anti-crise] Une moiss’ batt’ bien réglée, c’est une moiss’ batt’ payée [anti-crise] Gratter sur les coûts de concentrés [anti-crise] Produire beaucoup plus de lait, une ambition à mesurer [anti-crise] Vous prendrez bien un peu de couvert? [anti-crise] Ne pas transporter des kilos superflus [anti-crise] Se grouper pour acheter l’huile etc.
Cedric's curator insight,
October 2, 2016 11:27 AM
Rétrocessions par les consommateurs via les distributeurs
Exemple : les supermarchés suédois Axfood ont augmenté de 10 centimes le litre de lait sous marque distributeur, qui sont ensuite rétrocédés aux éleveurs. En parallèle, certains transformateurs ont lancé des démarches pour réguler les volumes avec un développement de systèmes de prix différenciés sur le modèle des coopératives françaises. C’est le cas de l’entreprise laitière britannique Dairy Crest. Citons aussi les contrats à prix indexé garantissant une marge à l’éleveur, qui ont été mis en place avant la crise. Ce type de contrat s’est généralisé en Irlande. Ils sont souscrits sur une durée de 18 à 36 mois à prix fixe pour 5 à 20% de la collecte.
Cedric's curator insight,
September 24, 2016 5:47 AM
«Le système conventionnel de production laitière montre actuellement ses limites, explique Philippe Grégoire. Je me suis rendu compte qu'il faisait vivre beaucoup de monde autour de nous comme les marchands de matériels, ceux d'engrais, de produits phytosanitaires ou aliments pour le bétail sans oublier les conseillers techniques des chambres d'agriculture ou les coopératives… mais aussi les laiteries et les distributeurs. En fait les seuls qui n'arrivent pas à vivre dans cette filière qui génère beaucoup de chiffres, ce sont nous, les éleveurs.
En continuant sur cette pente glissante, je n'avais plus qu'à fermer mon exploitation à court terme, sans pouvoir la transmettre à mon fils.(...)" |