Actualités de l'élevage

Désinfection des bâtiments, doubles clôtures, marche en avant : GDS France a scruté à la loupe les pratiques de 217 éleveurs laitiers et 212 allaitants. Le 29 décembre 2023, le réseau a publié un rapport d’analyse.

GDS France et le Réseau des GDS, en collaboration avec la SNGTV, ont construit une formation sur le thème de la biosécurité en élevages bovins. Réalisée avec l’appui financier du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation; cette formation vous est proposée dans le cadre du Plan de Relance.

Elle est disponible sous deux formats :

• Une Formation Mixte Digitale (dite « FMD ») qui comprend 3h de formation en distanciel (« MOOC ») et une demi-journée en présentiel (4h) ;
• Une formation classique totalement en présentiel sur une journée (7h).

Vous souhaitez suivre une formation sur la thématique de la biosécurité en élevages bovins, sous l’un des deux formats proposés ?

Merci de vous rapprocher de votre GDS (retrouvez les contacts de votre GDS sur la carte de notre Réseau) qui vous accompagnera dans cette démarche.

Pour toute personne curieuse de découvrir la biosécurité, le MOOC est également accessible librement, rendez-vous sur biosecuritebovins.gdsfrance.org.

Le groupe de travail biosécurité de GDS France a produit deux documents sur la biosécurité en élevage bovin : un guide des bonnes pratiques et une plaquette reprenant les grandes lignes de ce guide.

Le dispositif Oscar lancé par GDS France analyse les résultats des diagnostics différentiels d'avortements. Pour les bovins, 434 diagnostics ont été analysés; 40% des diagnostics différentiels réalisés ont permis d'imputer l'avortement de façon forte ou possible à au moins un agent pathogène (diagnostic élucidé).

La néeosporose reste la cause n°1 d'avortement. Les causes infectieuses les plus fréquentes ont été les trois maladies recherchées en première intention : néosporose (15% des diagnostics élucidés), fièvre Q (10%), BVD (8%). Dans près de 20% des cas, l'avortement était imputable à au moins deux agents pathogènes.

Le plus fréquemment, l'agent de la BVD était associé à un autre agent. Pour les maladies recherchées en deuxième intention, donc de façon facultative (anaplasmose, ehrlichiose...), il est difficile d'interprêter leur fréquence d'implication.Les informations ont été recueillies sur la base de protocoles standardisés disponibles sur

www.observatoire-oscar.fr