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Il existe une très forte variabilité de rentabilité entre les 25% supérieurs et la moyenne des fermes laitières irlandaises. Selon le Consultant Matt Ryan, en 2015 il y avait une différence de 206 € de coût par vache ou 5,9c/litre entre les meilleurs et la moyenne.
Compte tenu de la volatilité, les systèmes à faible coût de production sont essentiels pour l'avenir du troupeau laitier irlandais.
Les producteurs laitiers devraient se concentrer sur deux indicateurs clés de performance : la production d'herbe et les vêlages groupés (11 à 14 tMS d'herbe/ha et cibler 90% du cheptel à vêler sur une période de six semaines). De nombreux agriculteurs ont déjà atteint ces objectifs, c’est donc possible. « Cependant, en moyenne nationale, le rendement herbe est de 7tMS / ha et le taux de vêlages sur six semaines est de 58% - mais l'amélioration est de 1 à 2% par an. » Dans l'ensemble, il y a un potentiel d'amélioration important.
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Avec la mise à disposition de chiffres actuels et représentatifs sur les coûts, le BAL (Büro für Agrarsoziologie) apporte une contribution importante à la transparence dans le secteur laitier.
Pour juillet 2016, ce bureau d'expertise a calculé une dépense moyenne de 45,05 centimes pour produire un kilogramme de lait en Allemagne. Sur la même période, les producteurs se sont vus verser un prix de 24,40 centimes. Cela correspond à un déficit de 20 centimes et signifie donc que les coûts ne sont couverts qu'à 54 pour cent par le prix du lait.
Les producteurs sont également confrontés à des prix bas dans les autres pays européens. Les producteurs ne perçoivent ainsi actuellement que 26,50 centimes en Belgique, 26,25 aux Pays-Bas et 30 en France pour un kilogramme de lait.
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La transition environnementale du secteur agricole ne pourra se faire sans une revalorisation des prix de 10 à 20 % pour les productions issues de systèmes plus respectueux de l’environnement, selon une étude de l’Ademe.
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Constat : l’herbe pâturée est le fourrage le moins cher à produire et à récolter. Mais comment l’exploiter plus et mieux ? C’est la question que ce sont posés trois élevages du Calvados qui ont accepté d’ouvrir leurs portes lors du rallye « Pâturer Plus »
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« L’agrandissement est la seule chose qui a effectivement sauvé les producteurs laitiers dans une année comme ça », selon Laurence Shalloo de Teagasc. En 2009, les recettes moyennes d’une ferme étaient 60.000 €, les recettes moyennes cette année seront probablement plus près de 100 000 €. Les agriculteurs irlandais auraient été dans une position plus faible s’ils avaient encore été sous les quotas lorsque les prix se sont effondrés.
Avec des investissements importants, Ils ont également été en mesure de maintenir le coût de production du lait. Le coût de production du lait en Irlande a chuté de 9-10% depuis la fin des quotas, alors que les coûts ont augmenté de 2% dans l'UE, d’après Teagasc. En termes de coût de production, Shalloo dit que cela coûte autour de 2.90 € / kg de solides du lait en Irlande, tandis que le coût moyen en Europe était de3.75 € / kg, ce qui donne aux producteurs irlandais un avantage distinct.
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Associée au coût alimentaire, l’efficacité alimentaire est un critère pertinent pour piloter la ration. Elle traduit la capacité de la vache à transformer les aliments en lait.
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La majorité des éleveurs semble avoir opté pour des stratégies alimentaires plus économes (augmentation du pâturage, ajuster les achats de concentrés,…). 45 % d’entre eux sont prêts à faire baisser le niveau de production de leurs vaches pour dépenser moins. 14 % sont parvenus à baisser le coût de leur ration tout en maintenant la production individuelle. Tandis que 8 % ont fait le choix d’augmenter la production par vache par l’alimentation.
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Étude IDELE « investissement et productivité du travail en élevage laitier »
L’Institut de l’élevage a présenté au conseil une étude sur l’investissement et la productivité du travail, qui constate certains surcoûts au stade de la production : investissements de mécanisation parfois trop importants ou mauvaise adéquation entre les investissements et les volumes produits. La structure particulière du coût alimentaire des vaches laitières, qui découle de ces choix stratégiques n’est pas favorable à la production française quand le prix de l’aliment acheté est à la baisse, alors que celui des tracteurs et matériels nécessaires à la production est toujours en hausse.
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Selon le syndicat laitier européen European Milk Board (EMB), ni l’Allemagne, ni le Danemark ni les Pays-Bas ne couvrent leurs coûts de production. Les statistiques « illustrent clairement que même les pays disposant de grosses structures laitières essuient un déficit constant ». ...
En Allemagne, avec un prix moyen de 25,78 centimes en avril, « il n’est même pas possible de couvrir deux tiers des coûts de production qui dépassent 44,6 centimes par kilo de lait », souligne le syndicat. Au début de juillet, les statistiques pour le Danemark et les Pays-Bas « illustrent clairement que même les pays disposant de grosses structures laitières essuient un déficit constant ». « En 2015, avec des coûts moyens avoisinant 41,70 centimes, le Danemark a perdu plus de 10 centimes, selon les calculs du BAL. Aux Pays-Bas, les producteurs ont enregistré un déficit de 14 centimes par kilo de lait avec des coûts culminant à 44,50 centimes ».
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Les producteurs laitiers ont besoin de renforcer leurs structures commerciales, de développer des systèmes de production flexibles qui peuvent facilement réduire les coûts lorsque les prix baissent, selon un nouveau rapport de Rabobank.
Les agriculteurs devront prendre des décisions difficiles, prudentes et réfléchies dans le prochain cycle à la hausse, plutôt que d'augmenter les investissements et les dépenses. Le secteur laitier doit prévoir la volatilité future inévitable.
« Les producteurs laitiers néo-zélandais doivent avoir le meilleur coût parmi leurs pairs mondiaux afin d'être en avance sur la courbe des prix dans les bons et les mauvais moments ».
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La Fédération nationale des producteurs de lait (NMPF) a mis à jour à la fois son site Internet et ses outils en ligne pour aider les producteurs laitiers dans l'évaluation du Programme de protection des marges laitières 2017.
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Le prix faible du lait génère des conséquences non-négligeables sur la production. Les éleveurs néerlandais de vaches laitières perçoivent pour le moment environ 0,25 EUR/litre, soit 0,08 à 0,10 EUR en dessous des coûts de production. Pour un élevage de vaches laitières moyen, cela représente de 6 000 à 7 000 EUR de revenus en moins.
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Journée Grand Angle lait :Le coût de production, ramené aux 1000 litres de lait, est plus élevé dans les élevages robotisés. Mais il est compensé par un volume de lait par unité de main-d'œuvre plus important.
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Le Luxembourg est le pays où le coût de production du lait reste le plus cher d'Europe, à 44 cents le litre, alors qu'il est payé aux alentours de 25 cents aux
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Sur un an, la baisse du prix des intrants s’accentue pour atteindre 2,4 %.
Dans sa dernière note d’Infos rapides publiée le 10 octobre 2016, Agreste, le service statistique du ministère de l’Agriculture, estime que le prix des intrants a diminué de 0,6 % entre juillet et août 2016. « Sur un an, le recul du prix s’accentue (- 2,4 %), mais demeure inférieur à celui observé sur les cinq premiers mois de l’année (- 3,3 % en moyenne) ».
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Une enquête réalisée en 2015 auprès de 50 élevages sur la zone couverte par Littoral Normand (Calvados, Manche, Haute-Normandie) indique un coût de 504 EUR par génisse produite, pour un âge au vêlage de 29 mois. L'échantillon repose sur un tiers d'élevages en Prim'Holstein, un tiers en Normandes et un tiers en race mixte.
Les résultats ont oscillé entre 340 EUR et 680 EUR. Les coûts ont été calculés à partir des factures de concentrés, de minéraux et d'aliment d'allaitement, et le coût fourrager à partir de la comptabilité des exploitations. Le lait entier a été pris au coût forfaitaire de 300 EUR/1000 l.
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Avec un prix du baril à moins de 50 $, la dépense en carburant a baissé en 2015. Le coût des énergies directes dans les élevages reste néanmoins un poste de charge non négligeable, d’autant que le coût d’électricité continue d’augmenter. Analyse des dépenses...
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Ils mènent une vie de nomade, l’hiver ils sont dans leur exploitation avant de monter dans les alpages à 2.000 mètres d’altitude pour les beaux jours. Les producteurs de lait de Savoie ne vivent pas comme en plaine et le coût de production est supérieur.
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LE SCAN ÉCO - Ce jeudi, les représentants des éleveurs et Lactalis se réunissent à Paris pour débattre d'un niveau de prix satisfaisant alors que les prix actuels ne couvrent pas le coût de production.
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Dans le secteur laitier, c’est l’acheteur qui fixe les prix. Depuis deux ans, les prix d’achat du lait chutent, au détriment des producteurs, qui manifestent depuis lundi soir devant le siège de Lactalis, à Laval.
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Les coûts actuels exercent toujours une pression désastreuse sur les producteurs de lait. Le fossé s’élargit entre les coûts de production et les prix de vente et dans les élevages, la menace se précise sur des familles d’agriculteurs au bord du désespoir. Force est de constater, à la lecture des chiffres pour la production laitière allemande au mois d’avril, qu’avec un prix moyen de 25,78 centimes, il n’est même pas possible de couvrir deux tiers des coûts de production qui dépassent 44,6 centimes par kilo de lait. Ces statistiques sont relevées chaque trimestre par le BAL (Büro für Agrarsoziologie, Bureau pour la sociologie agricole et l’agriculture) et publiées conjointement par le MEG Milch Board et l’EMB (European Milk Board).
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Le plus grand groupe coopératif laitier de l’île a lancé début juin un programme de financement sous forme de prêts très avantageux pour aider ses 4 800 adhérents à faire face à la crise laitière.
Le Sénat est actuellement en train d’examiner le projet de loi Sapin 2, quelques semaines après le vote de l’Assemblée nationale. Plusieurs dispositions, dans ce texte, concernent directement l’agriculture.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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La tendance européenne de forte baisse de production s'étend aussi au Danemark et aux Pays-Bas. Il ressort de l'étude menée par le bureau allemand BAL (Büro für Agrarsoziologie) qu'étant donné un prix moyen de 30,75 centimes et un coût de production de 44,50 centimes par kg de lait en 2015, le déficit s'élève à 14 centimes aux Pays-Bas.
Au Danemark, la perte est supérieure à 10 centimes vu le coût de 41,70 centimes et le prix moyen de 31,03 centimes par kg de lait.
Etant donné la chute des prix enregistrée en 2016, cette situation s'est encore aggravée. Une solution à la hausse de la surproduction au sein de l'UE est dès lors indispensable.
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Cette consommation est notamment marquée par une augmentation de la demande de fromages et de matières grasses d’origine animale. Les 320 millions d'habitants aux États-Unis consomment ainsi en moyenne 270 kg équivalent lait par an, soit une hausse de 2 % de la consommation par habitant.
Cette dynamique interne soutient le prix du lait dans le pays autour de 377 US $, soit un niveau moins bas que celui de ses concurrents. Mais la production n’a pas attendu cette hausse de consommation pour augmenter de façon régulière pour atteindre + 20 % en dix ans. Elle s’appuie notamment sur une hausse de 1,4 % de la productivité des vaches dont le rendement est désormais de 10 160 kg/vache.
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« Et sur la scène internationale, nous avons les deuxièmes plus bas coûts en pourcentage de la production laitière. »