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Les seniors effectuent la moitié des dépenses de grande consommation en France, et constituent une cible sous-exploitée selon Kantar.
Près de 45 % des foyers Français comportent au moins un senior (+ de 55 ans), selon Kantar. 28 % des ménages comprennent un Baby-boomer (né entre 1945 et 1965) et 15 % un de leurs aînés (+de 70 ans). Ces deux tranches d’âges consomment des PGC-FLS (produits de grande consommation et frais libre-service) en rapport avec leur effectif (28 % des dépenses pour les Baby-boomers et 15 % pour leurs aînés) mais sont surreprésentés dans les dépenses en produits frais traditionnels avec 33 % des dépenses faites par les boomers et 24 % par leurs aînés.
Des gros acheteurs de produits frais
Au total, ils comptent pour 57,1 % des dépenses en produits frais traditionnels. Aimant cuisiner, ces générations sont adeptes de produits bruts (viande, fruits et légumes, produits de la mer) et de crémerie. Malgré l’allégement des restrictions sanitaires, ils sont « les seuls à continuer de développer leurs dépenses en produits de consommation courante ».
Des consommateurs responsables
Selon Kantar, l’envie de consommer responsable est plus marquée auprès des Seniors. 25 % de leurs dépenses se font sur ce segment (bio, local, équitable, environnement…) contre 10 % pour le reste de la population. Ils privilégient le local et l’équitable. Les seniors ont en effet plus de marges dans leurs dépenses que les plus jeunes. Chez les 55 ans et +, on compte seulement 6,3 % de foyers modestes contre 15 % en moyenne au sein de la population et 24 % chez les Millenials.
En France en 2060, 1 personne sur 3 aura plus de 60 ans, soit 10 millions de personnes de plus qu'en 2007 selon les projections de l'INSEE.
Kantar alerte néanmoins, « ils font très attention à leur budget et ne sont pas spécialement prêts à mettre le prix, sauf sur le local et l’équitable ». Peu impulsive dans ses courses, clientèle d’habitude, les seniors sont néanmoins très influençables par les médias et les bad buzz dans les canaux traditionnels.
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La catégorie des desserts lactés a le vent en poupe. Elle enregistre sur l’année écoulée une croissance en valeur de 8,5% grâce à un prix moyen plus élevé qu’il y a un an. La crème dessert reste le produit phare de la catégorie, devant les mousses, qui signent une belle année, et le riz au lait…
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La production laitière demeure ralentie dans les principaux bassins excédentaires où les fabrications de poudres de lait et de beurre sont mécaniquement réduites et inférieures à la demande internationale… La flambée des cours des commodités laitières puis du prix du lait, qui atteint un niveau inédit début 2022 dans l’UE-27, n’a pas encore permis de relancer la production laitière. Le redressement attendu en France comme dans l’UE-27 risque toutefois d’être compromis si la flambée du prix des grains, observée depuis l’invasion russe de l’Ukraine, persiste dans les prochains mois…
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La note globale du marché de l'ultra frais est toujours morose, mais elle cache des zones de croissance : bio, lait de chèvre, en magasins de proximité...
Lors de l'assemblée générale de Syndifrais (organisation professionnelle des fabricants de produits laitiers frais), cette dernière et IRI (analyse des marchés des produits de grande consommation) ont présenté des chiffres de marché 2017.
Le marché des produits laitiers frais (yaourts, fromages blancs, desserts lactés frais, crème fraîche) a baissé de 1,9% en valeur pour atteindre 4,5 milliards d'euros, et de 2,6% en volume, pour atteindre 1,8 millions de tonnes, sur les circuits hypermarchés, supermarchés, hard discount et drive.
Cette situation morose intervient alors que les coûts des matières premières ont augmenté depuis 2017...
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Pour la Fédération nationale d’agriculture biologique (Fnab) et l’association Lait bio de France (LBF), « la demande réelle est certainement sous-estimée » et l’offre « encore insuffisante ».
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Un professeur de marketing de l’université de Göttingen appelle le lait de pâturage « l’Or blanc issu de la prairie ». En 2017, les ventes en volumes de lait de pâturage ont progressé de 35% par rapport à 2016.
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Pour cette quatrième année faisant suite à la sortie quotas de production par pays qui régulaient la production laitière entre 1984 et 2014 inclus, une grande incertitude plane sur le prix du lait pour les prochains mois. La production européenne repart à la hausse alors que demeure un stock de 380 000 tonnes de poudre de lait écrémé. On voit mal, dans ces conditions, comment une loi promise par le gouvernement d’ici l’été permettra d’intégrer les coûts de production dans la détermination du prix du lait au départ de la ferme puisque nous sommes au sein d’une Europe où la concurrence est libre et rude.
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Selon Xavier Hollandts, enseignant-chercheur à la Kedge Business School ayant notamment travaillé sur la gouvernance des coopératives agricoles, la « révolution culturelle » qu’Emmanuel Macron a demandée au secteur agricole pourrait enterrer le modèle agricole familial qui domine en France.
Deux types d’agriculture vont se distinguer encore davantage : « un modèle bien armé pour une économie mondialisée d’un côté, et un modèle de production plus local de l’autre »…
« Pour développer à la fois l'agro-industrie et un modèle agricole plus local, il faudra peut-être mettre en œuvre deux politiques distinctes »
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L’Union française des industries pétrolières (UFIP) constate la bonne tenue du prix du baril de brut, qui frôle désormais les 70 dollars, alors qu’il avait plongé à 30,7 dollars en janvier 2016. Pour les utilisateurs de carburant, et en particulier de véhicules diesel, il n’y a pas de raison de se réjouir puisque le prix à la pompe augmente très régulièrement, en particulier depuis mai.
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En France, les livraisons de lait bio sont se sont accrues de 11 % en 2017, tirées par de nombreuses conversions depuis 2015.
Le prix plus attractif qu’en production conventionnelle est la principale motivation des éleveurs ayant franchi le pas. Le nombre de livreurs bio aurait augmenté de 20 % en fin d’année 2017. Un constat partagé dans les principaux pays producteurs de lait en Europe (Allemagne, Autriche, Danemark).
Selon FranceAgriMer, « la filière laitière s’inquiète du rythme de l’augmentation de la production bio par rapport à la dynamique de la demande pour les mois à venir, dans un contexte où la consommation de lait bio marque le pas et les prix de vente du lait et des yaourts bio dans les magasins s’effritent depuis plusieurs années. »
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Fonterra a déclaré qu'elle s'attend à une baisse de 3% de la production par rapport à la saison dernière, en raison des conditions climatiques extrêmes.
Certains analystes doutent que cela se concrétise, mais les prix devraient néanmoins s'améliorer et s'appuyer sur la dernière adjudication, qui a vu les principaux prix de la poudre de lait entier augmenter de 5,1% pour atteindre 3010 $ US la tonne.
L'économiste rural de l’ASB Nathan Penny a ajusté ses prévisions de production pour cette année à un gain de 1%, en baisse par rapport à sa prévision précédente d'un gain de 3%, mais toujours plus optimiste que les prévisions de Fonterra d'une baisse de 3%.
En décembre, les ventes de lait en Nouvelle-Zélande de Fonterra ont chuté de 6% par rapport à décembre de l'année précédente.
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Après avoir grimpé de 16% en 2017, le prix moyen du lait payé aux producteurs en France pourrait ralentir sa progression cette année.
Selon le Cniel en effet, le prix du lait restera pris en tenailles entre deux tendances de marchés radicalement opposées : des stocks très importants de poudre de lait écrémé tirant les prix vers le bas, et un manque de beurre soutenant les cours.
A fin janvier, les 1000 litres de lait s'échangeaient à 362,7 euros, un prix stable depuis le début de l'année.
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N'oublions pas le lien entre prix du pétrole et prix du lait
N'oublions pas qu’il existe un lien bien établi entre les prix du pétrole et les prix mondiaux du lait. Les prix du pétrole étant actuellement à leur plus haut niveau depuis trois ans et la perspective de nouvelles hausses à venir, la musique d'ambiance pour les marchés mondiaux du lait devrait prendre une tournure positive au cours de la période à venir. Les conditions de sécheresse en Nouvelle-Zélande et la croissance des besoins d'importation de produits laitiers en Chine sont favorables. La capacité des pays à économie pétrolière d'acheter des produits laitiers augmente également. Et c'est particulièrement le cas au Moyen-Orient et en Afrique subsaharienne. La seule mouche du coche est due aux stocks d'intervention de l'UE. Et ceux-ci sont substantiels. Par le passé, l'Irlande a particulièrement bénéficié de ces tendances. Espérons que cela continuera d'être le cas dans le futur. à retrouver sur http://www.agriland.ie/farming-news/lets-not-forget-the-proven-link-between-oil-and-milk-prices/
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En parallèle, les ventes en grandes surfaces continuent leur recul au profit des marchés et des artisans.
D’après l’étude de CSA sur 2100 Français, la filière continue de recruter de nouveaux consommateurs, bien que la dynamique ralentisse. Elle était de +11 % en 2021, contre +15 % en 2020. Globalement, ces nouveaux venus sont jeunes (19 % de 18-24 ans et 18 % de 25-34 ans) et issus de CSP -. Sur ces profils, le frein du prix recule. En moyenne, il est une contrainte pour 70 % des acheteurs de bio (73 % en 2020), mais seulement pour 60 % des 18-24 ans (83% en 2020) et 64 % des 25-34 ans (75% en 2020)…
Autre constat de l’étude, 59 % des adeptes de bio disent avoir modifié leurs habitudes d’achat depuis trois ans, notamment en privilégiant les produits locaux et les circuits courts. Ainsi, pour la deuxième année consécutive, le panéliste enregistre une baisse d’achat de produits bio en grandes surfaces (69 % de foyers acheteurs en 2021 contre 74 % en 2020 et 77 % en 2019)…
En revanche, la dynamique profite aux marchés locaux (35 % des consommateurs bio y font leurs courses, + 11 pts vs 2020) et aux artisans (31 %; + 6 pts)…
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La Bretagne a perdu 5 % de livreurs de lait en 2021, et la flambée des prix des céréales n’augure rien de bon pour 2022… « Entre 2020 et 2021, le recul du nombre de livreurs de lait de vache s’est accentué », constate l’Institut de l’élevage (Idele) dans sa dernière lettre de conjoncture. La France en a perdu 4,2% entre janvier 2021 et janvier 2022, après un repli de 3,6% l’année précédente… « Trois régions affichent des pertes particulièrement importantes : la Bretagne, qui a perdu 460 livreurs en une seule année (-5%), l’Occitanie (-110 livreurs, soit -5,5%) et la Nouvelle-Aquitaine (-150 livreurs, -7%). La Normandie, le Centre-Val de Loire et la Bourgogne-Franche Comté s’en sortent relativement mieux, avec une perte d’environ -3% de livreurs en un an. »… Productivité laitière et agrandissement « La collecte s’étant maintenue en Normandie et Bretagne en 2021, ce sont logiquement ces deux régions qui enregistrent les plus fortes hausses de volumes par livreur (supérieures à +4%). Cette croissance des volumes peut s’expliquer par une croissance plus forte de la productivité laitière, mais aussi par le plus net agrandissement des cheptels dans ces régions. »
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Les Français consomment-ils de manière plus responsable ? Quels sont les secteurs où leurs attentes sont les plus fortes ? Qu’attendent-ils des marques ?
Du local et de la composition en alimentaire…
Les éléments suivants ont-ils une influence sur votre décision au moment de l’achat d’un produit alimentaire ? (% de oui)
Le Chicago Council on Global Affairs explore les défis et les opportunités des systèmes agricoles dans un monde avec un nombre de jeunes sans précédent dans "The Next Generation"… Historiquement, l'augmentation des populations de la « classe moyenne » a contribué à la croissance économique en tant que source majeure de la demande des consommateurs.
Alors que le marché de la classe moyenne dans les pays à revenu élevé ne devrait augmenter que de 0,5 à 1% par an, les marchés de la classe moyenne des pays à revenu faible et intermédiaire pourraient afficher des taux de croissance annuels de 6% ou plus.
D'ici 2020, l'Afrique comptera plus de 1,1 milliard de consommateurs, soit plus que les populations combinées de l'Amérique du Nord et de l'Europe. En 2010, 34% de la population africaine était de la classe moyenne, contre 27% en 2000. Les dépenses de consommation en Afrique ont augmenté à environ 680 milliards de dollars par an en 2008.
La région Asie-Pacifique devrait à elle seule atteindre plus de 85% de la croissance de la classe moyenne jusqu'en 2020…
Via Système de veille
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Ce document présente en 4 pages un condensé de divers travaux et études concernant la situation économique et financière des exploitations bovines laitières : estimations des revenus 2017, marge MILC, observatoire de l'endettement et des trésoreries et indicateurs économiques de l'atelier laitier. Un prix du lait orienté à la hausse en 2017, un produit "cultures" nettement meilleur qu'en 2016 et des conditions de production plus favorables entrainent une amélioration des revenus des producteurs laitiers. Cependant, après deux années de baisse consécutives et de forte amplitude, une grande proportion de producteurs laitiers se trouvent dans une situation financière critique.
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En progression quasi continue depuis 2011, l’effectif européen de vaches laitières est en léger repli (–0,9 %).
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En décembre dernier, les livraisons de lait de Bourgogne-Franche-Comté ont progressé de 7%, dépassant leur valeur moyenne triennale pour le quatrième mois consécutif.
La production de lait AOP a même enregistré une croissance de 14,2% par rapport à décembre 2016.
Du côté des produits laitiers régionaux, le mois de décembre a confirmé la reprise courant 2017 de la production des pâtes pressées cuites, la dynamique du Comté alliée à la forte évolution de l’emmental ayant fait croître les volumes de 12,9% sur un an.
En revanche la hausse de production des pâtes pressées non-cuites ralentit alors que la fabrication des pâtes molles diminue (-4,1%).
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Alors qu’ils décrochaient depuis l’automne, les cours des commodités laitières se stabilisent voire se raffermissent début 2018. La demande internationale est bien orientée et l’offre de l’hémisphère sud est toujours limitée. Mais l’équilibre demeure fragile en raison de l’importance des stocks de poudre maigre et du potentiel de croissance de la production européenne.
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En 2016-2017, la production de lait en Inde a affiché une croissance de 20,1% par rapport à 2013-2014. De plus, on estime que la production a augmenté de 6,4% en 2016-2017 par rapport à 2015-2016. Le taux de croissance était de 6,3% en 2014-2015, puis de 6,3% en 2015-2016 et 6,4% en 2016-2017 : cette forte croissance a été maintenue au cours des trois dernières années. Concernant l'estimation saisonnière, la production totale de lait est passée de 51,3 millions de tonnes à l'été 2016-17 à 53,7 millions de tonnes à l'été 2017-2018, enregistrant une croissance de 4,7%. L'Uttar Pradesh, le Rajasthan, le Gujarat, le Madhya Pradesh et l'Andhra Pradesh sont les cinq États laitiers les plus productifs.
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La Chambre d’agriculture de la Somme organisait, le 25 janvier, une journée de l’élevage laitier. En invité, Gérard You, de l’Institut de l’élevage.
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Les consommateurs choisissent de plus en plus de faire des dîners sans viande, ce qui peut rendre le saut vers le véganisme moins intimidant. 29% de nos repas du soir sont végétariens, et cela n'a cessé de croître au cours des dernières années…
Le lait et les fromages «free from» affichent une croissance à deux chiffres et attirent de nouveaux acheteurs: le lait «free from» est en hausse de 10% par rapport à l'année précédente et le fromage sans lait a augmenté de 80% sur la même période…
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Durant les dix dernières années, les prix à la consommation des produits laitiers frais n’ont cessé de baisser. En 2017, ils se sont toutefois stabilisés. Ces baisses s’expliquent – en partie- par le recul du prix de la matière première (lait cru).
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