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L’élevage occupe une place centrale dans de nombreux pays d’Afrique de l’Ouest. Il fait ainsi vivre plusieurs millions de familles, pour qui il représente une source d’activités et de revenus, une épargne, un facteur de résilience face aux crises, mais aussi un référent culturel fort...
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Si pour les éleveurs polonais 2016 est une année noire, les perspectives restent bonnes et la Pologne laitière continuera sa métamorphose et sa croissance.
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Le secteur laitier s’enlise depuis ces dernières années dans une crise sans précédent. Surproduction, déséquilibre frappant entre l’offre et la demande du marché, manque de centres et unités de collecte, refroidissement et stockage du lait, hausse du coût de la production auxquels s’ajoutent des conditions climatiques défavorables et la dépréciation du dinar.
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Le développement de l'élevage laitier est stimulé par des politiques visant à réduire la dépendance économique du pays sur le secteur du pétrole et du gaz.
L’année dernière, l'Iran a exporté 600 mille tonnes de produits laitiers vers 30 pays pour une valeur de 624 millions de dollars et on estime que ce chiffre atteindra 650 millions de dollars pour l'exercice en cours. L’Iran est le deuxième plus grand exportateur du Moyen-Orient après la Turquie.
En Iran, il y a environ 8,8 millions de bovins, un million qui est représenté par Holstein avec une production moyenne quotidienne de 32 kg de lait. Les plus grandes entreprises laitières du pays sont les sociétés Pegah Dairy Company, Kaleh Company, Dairy Group Mihan, Ado Dairy Products Company, Pak Dairy Company.
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Le secteur laitier européen, ce sont 600 000 fermes laitières, 12 000 laiteries où le lait est transformé en lait de consommation et produits laitiers, ainsi que 300 000 emplois uniquement dans les sites de transformation : un véritable poids lourd de l’économie agricole de l’Union européenne (UE) !
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Le Centre de conseil agricole maroco-allemand (CECAMA) et la Fédération interprofessionnelle marocaine du lait (FIMALAIT) ont signé récemment une convention de partenariat visant à renforcer la filière laitière au Maroc en amont et en aval.
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Après la longue crise des prix, les cours mondiaux remontent. Mais selon les industriels, les producteurs ne doivent pas espérer trop vite.
La faute à la grande distribution ? Ou aux industriels ? Le débat est loin d'être tranché.
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Sur 100 euros de consommation alimentaire des ménages, l’agriculture ne capte que 6,8 euros de valeur ajoutée, constate l’Observatoire des prix et des marges. Dans sa dernière note de décembre, l’Observatoire calcule ainsi que dans 100 euros de consommation alimentaire – restauration incluse – les produits agricoles domestiques représentent 13,5 euros et les valeurs créées en aval, 67 euros (chiffres 2012).
10 % de la valeur ajoutée induite : Voilà pour la part agricole, mais quid de la valeur ajoutée pour le secteur ? La prise en compte nouvelle de la restauration fait apparaître des résultats plus serrés qu’auparavant : sur 100 euros de consommation alimentaire des ménages, l’agriculture ne capte que 6,8 euros de valeur ajoutée (contre plus de 8 euros avant). Cela représente 10 % de la valeur ajoutée induite dans toutes les branches de l’économie nationale (qui pèse 65,7 euros sur nos 100 euros). Les industriels captent de leur côté 11,5 € (soit 17,5 % de valeurs ajoutées induites).
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En 2030, le lait restera une source importante de protéines et d’énergie que le tunisien continuera à consommer, et la filière lait restera un secteur d’activité économique à forte employabilité directe et indirecte.
Quel paysage laitier pour la Tunisie en 2030 si le niveau de consommation, en constante croissance, sera de 200 équivalents litres de lait per capeta, et si nous aurons à répondre aussi aux besoins en lait de la population libyenne?
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La Chine a infligé une amende de 668 millions de yuans (92 millions d'euros) à Tetra Pak, à la suite d'une enquête anti-monopole visant le géant suédois des emballages pour liquides alimentaires.
L'entreprise a profité de sa "position dominante sur le marché" pour obliger ses fournisseurs à utiliser ses services et entraver leur collaboration avec des rivaux, a indiqué mercredi l'Administration étatique chinoise pour l'industrie et le commerce (SAIC) dans un communiqué.
Les autorités chinoises avaient annoncé une enquête à son encontre en 2013, dans le cadre d'une vaste investigation contre les entreprises liées au secteur laitier, particulièrement celles produisant du lait en poudre pour bébé.
La Commission nationale du développement et de la réforme (NDRC), l'organisme chinois chargé de superviser la politique économique, avait visé la même année les prix jugés élevés de plusieurs fabricants étrangers de lait infantile. Wyeth Nutrition, filiale du géant agroalimentaire suisse Nestlé, le français Danone, les américains Mead Johnson et Abbott et le néerlandais Friesland étaient dans le collimateur de la NDRC.
Tetra Pak emploie quelque 23.600 personnes dans le monde et ses emballages sont disponibles dans plus de 170 pays. L'entreprise fait partie du groupe Tetra Laval.
La marque suédoise est présente en Chine depuis 1972, selon son site internet. Elle possède un centre de recherche à Shanghai et des usines dans plusieurs villes.
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A la fin des années 1960, les importations totales en lait couvraient 40% des disponibilités, pour une consommation qui atteignait les 50 litres équivalent lait /habitant. Aujourd’hui, elles en couvrent plus de 50 % pour une consommation par habitant qui a presque triplé à 147 litres équivalent lait/habitant.
«Nous produisons environ trois milliards de litres pour des besoins estimés à 6 milliards».
Près de 30% des disponibilités laitières sont destinés à l’autoconsommation ou se retrouvent dans le circuit informel, selon les chiffres du ministère de l’Agriculture. On estime que le taux d’intégration du lait cru est autour de 15% en moyenne, entre laiteries privées et publiques.
Les investisseurs «n’investissent pas car ils ne peuvent pas concurrencer un prix administré de 25 dinars le litre. Ils ne veulent pas investir dans des vaches laitières puisqu’il y a la poudre et qu’elle est subventionnée».
En 2013, les subventions à la poudre de lait ont atteint 30 milliards de dinars. Mais, c’est loin d’être la seule contrainte.
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À l'échelle nationale, les producteurs laitiers de Nouvelle-Zélande ont produit 1.862 milliards de kilogrammes de solides de lait, pour une valeur de 8 milliards $ en 2015/16, année la plus difficile jamais connue, selon les derniers chiffres de DairyNZ.
Le prix du lait a été le plus bas depuis plus d'une décennie, avec un prix moyen à 3.90 $ / kgMS (contre 8,40 en 2013/14) pour des agriculteurs qui avaient un coût de production de 5,25 $ / kgMS. Mais en dépit du manque à gagner évident, les agriculteurs ont pris des mesures pour réduire leurs coûts. « Nos données montrent que les agriculteurs sont devenus plus efficaces et ont affiné leur gestion, si bien que le coût a diminué à 5,05 $ / kgMS pour 2016/17. (…) Les agriculteurs devraient être fiers, c’est essentiel au maintien de la compétitivité internationale de notre industrie. »
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La production laitière de 2016 du Zimbabwe a atteint 65 millions de litres, soit un volume en hausse de 13% par rapport au résultat de l’année 2015. Les besoins de consommation de lait du Zimbabwe avoisinent les 120 millions de litres par an.
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La Chambre syndicale nationale des industries du lait et dérivés a annoncé aujourd’hui qu’elle se trouve dans l’obligation d’arrêter, vers la fin du mois de janvier 2017, la collecte et l’industrialisation du lait et dérivés.
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Le coup d’envoi de « Miel Vert » édition 2017 a été donné ce jeudi à l’Etang-Salé. La filière lait réunionnaise représente 18,7 millions de litres de lait en 2015, 231 000 litres par exploitation, 36,6 vaches par exploitation, 6 300 litres par vache laitière par an. Et pour confirmer que la filière est en bonne santé, il faudra dire qu’elle représente 650 emplois directs entre éleveurs, techniciens et transformateurs.
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Enquête exclusive de @LEleveurlaitier sur l'essoufflement de la filière #lait danoise. A lire dans le numéro de janvier.
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La «vague blanche de lait» des coopératives laitières de Californie qui a commencé dans le Golden State dans les années 1970 est terminée. Maintenant, les transformateurs sont dans une nouvelle ère tout à fait différente, dans laquelle il n'y a pas assez de lait pour garder toutes les usines ouvertes.
« Les fournitures de lait seront moins importantes en Californie, c'est presque une certitude, et c'est un changement très important pour l'industrie. Pendant des décennies, l'industrie laitière de la Californie était axée sur la façon d'équilibrer les approvisionnements abondants en lait avec la capacité de traitement. À partir de 2015, tout a changé. Nous ne pouvons pas obtenir suffisamment de lait pour faire fonctionner efficacement toutes les usines ». La concurrence entre les coopératives devrait augmenter.
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Au fil de six années, la production laitière a évolué au gré des conditions climatiques. Les petits pics des années 2012 et 2014 correspondent à la bonne pluviométrie enregistrée durant ces campagnes. Hors ces saisons, la production a plutôt stagné... Passer de 2,4 milliards de litres de lait à 4 milliards d’ici 2020. C’est le pari que veut relever la Fédération interprofessionnelle marocaine du lait (Fimalait)...
Tous les mois, la conjoncture des marchés lait et viande pour les espèces bovine, ovine et caprine au plan français, européen et mondial. Tendances analyse chaque mois les variations de prix aux différents stades, de la production à la distribution; examine les évolutions de production, de commerce extérieur, intra-communautaire et international, ainsi que de consommation.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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La filière laitière au Maroc compte près de 300 000 producteurs laitiers, dont 90% de petite taille (moins de 10 vaches).
Le contrat-programme de développement de la filière a tablé sur une production de 4 milliards de litres en 2020, soit une hausse de 1,55 milliards de litres par rapport à 2015 et un chiffre d’affaires de 23 milliards de dirhams. Pour ce faire, l’encadrement et l’intégration des petits et moyens éleveurs dans une chaine de valeur performante restent primordiaux pour atteindre ces objectifs ambitieux.
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La production laitière a connu un essor remarquable durant les dernières années suite à un ensemble de mesures d'incitation touchant tous les maillons de la filière. En 2014, près de 235 centres de collecte sont en activité avec une capacité globale de collecte dépassant les 2,6 millions de litres de lait par jour. Le lait collecté représente plus de 64% du lait produit et les centrales laitières s'approvisionnent à hauteur de 85% du lait frais auprès des centres de collecte. Transformation : Ce maillon comporte 43 unités industrielles d'une capacité de transformation de 4,2 millions de litres par jours ainsi que d'un réseau de transformateurs artisanaux repartis sur toute la République.
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Bruxelles a présenté ce 15 novembre 2016 aux ministres européens de l’Agriculture les conclusions d’une étude sur les effets cumulés de 12 futurs accords commerciaux pour le secteur agroalimentaire européen.
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Souvent traditionnels, les mécanismes de production laitière en Afrique ne permettent pas de couvrir les besoins d'une population, en constante croissance démographique et estimée à plus de 1,2 milliard
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Faiblement protégée avec des droits de douane à seulement 5 % sur la poudre de lait, le lait local risque de devoir faire face à une concurrence accrue des importations de poudre de lait ces prochaines années, avec la fin des quotas laitiers en Europe et l’installation de nombreux groupes agroalimentaires internationaux dans plusieurs capitales africaines.
Dans ce contexte, la filière lait local a peu de chance de se développer, alors même qu’il existe un potentiel de production important, qui pourrait être davantage valorisé avec des dispositifs incitatifs de subvention aux centres de collecte de lait local et la mise en place de droits de douane un peu plus élevés sur la poudre de lait.
Le plaidoyer des éleveurs ouest-africains a été entendu par la CEDEAO (Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest), qui a décidé fin 2015 de lancer une grande « Offensive lait ». La dynamique doit maintenant être portée au niveau régional par un collectif structuré d’acteurs de la filière lait local capables de peser face aux industriels, afin que ces orientations se traduisent rapidement dans des instruments de politique au service des éleveurs et des entreprises de transformation de lait local.