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Eleveuse laitière investie au sein du GAEC Familial à Aubas en Dordogne, Magali Catinel est tout aussi investie dans la réflexion autour de sa profession.
Vice-présidente de l'association de producteurs de lait Nord-Aquitaine, Secrétaire de Sun Lait, elle a participé cet été, aux ateliers parisiens des E.G.A, les états généraux de l'alimentation. Mercredi dernier, le projet de loi a été adopté en conseil des Ministres.
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Selon un document dévoilé par RMC, Bercy soupçonne Michel-Edouard Leclerc et son groupe d'exiger de ses fournisseurs des rabais bien supérieurs aux engagements des distributeurs, qui ont signé une charte promettant une meilleure rémunération des producteurs agricoles...
Dans le viseur du service de Bercy: des baisses exigées par Leclerc à ses fournisseurs allant jusqu'à 5% contre "seulement" 1% à 2% il y a un an...
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Fruit des États généraux de l'alimentation, le projet visant à rééquilibrer les relations du monde agricole avec l'aval est présenté ce mercredi en Conseil des ministres.
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Les négociations commerciales 2018 ne respectent pas la charte d’engagement qui préfigure la loi en préparation, admet le gouvernement : demande de prix rognés, promotions à tout crin. Et enthousiasme hétérogène pour certaines démarches de filière...
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Après les agriculteurs et quelques industriels, un grand groupe agroalimentaire, Nestlé France, est sorti du bois jeudi pour fustiger l'attitude des supermarchés, accusés de "bafouer" les engagements pris lors des Etats généraux de l'alimentation...
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En Ecosse, « la collaboration plutôt que la négociation » pour des prix plus justes
Un groupe d'agriculteurs écossais disent que la collaboration de la chaîne d'approvisionnement plutôt que la négociation est la clé pour obtenir des prix plus justes. Il faut beaucoup de temps pour mettre au point des systèmes qui profitent aux producteurs, aux transformateurs et aux détaillants, mais cela en vaut la peine. Rory Christie, un producteur laitier de la Milk Suppliers Association (MSA), une coopérative qui approvisionne Lactalis, a déclaré : « C'est en travaillant avec Lactalis que nous avons pu obtenir un contrat négocié, plutôt qu'un contrat discrétionnaire. C'est grâce à notre travail de collaboration que nous avons contribué à la conclusion de contrats. » « Nous avons reconnu que nous avions très peu de pouvoir, ce qui signifiait qu'il y avait peu à gagner à négocier. Au lieu de cela, nous sommes arrivés là en entamant des discussions et en travaillant ensemble sur la façon dont nous pourrions travailler ensemble au bénéfice des deux parties. » « Ce que nous devons demander à nos clients est:" De quoi avez-vous besoin de notre part pour pouvoir nous payer une prime? "Et nous pouvons ensuite travailler sur la façon de l'approvisionner. » à retrouver sur http://www.agriland.ie/farming-news/how-more-than-100-scottish-farmers-pooled-together-for-fairer-prices/
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Le gouvernement va imposer aux distributeurs un seuil de revente à perte de 10% sur les produits alimentaires dans un projet de loi destiné à soutenir les producteurs agricoles. • Un seuil de revente à perte de 10%, ça veut dire quoi?
• À quoi sert ce seuil?
• Doit-on craindre une hausse des prix pour les consommateurs?
• Cette mesure convainc-t-elle les syndicats agricoles?
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Alors que se terminent jeudi les Etats généraux de l'alimentation, la FNSEA dénonce les négociations sur les prix avec les grands distributeurs. Dans 75% des négociations, la grande distribution impose aux industriels une baisse des prix allant de 2 à 10% ce qui va totalement à l'encontre de l'engagement pour des prix plus élevés afin d'accompagner la filière agricole face aux multiples crises (lait, beurre etc...).
"Les grands distributeurs ont repris leurs habitudes, ils se comportent comme des prédateurs"...
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Pénurie de production: non ! Pénurie de marché : à n'en pas douter ! La pénurie de beurre est la partie visible de la guerre des prix made in France... Dans un contexte de marché des matières grasses et matières protéiques inédit, les transformateurs laitiers, en organisant la pénurie de beurre, croyaient avoir trouvé le moyen de chahuter l'oligopole des GMS françaises tout en faisant leur beurre sur le marché mondial: puisque les distributeurs français ne veulent pas payer, ils vendront leur beurre ailleurs. C'était sans compter sur le cynisme des distributeurs français....
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Tous les acteurs de la filière se sont donnés rendez-vous, mardi, pour signer une charte d’engagement qui doit encadrer les négociations commerciales entre industriels et distribution... Le feu vert a été donné par Michel Edouard Leclerc qui a annoncé dimanche son intention d’apposer sa signature... Les signataires se disent prêts à « promouvoir une contractualisation fondée sur la construction des prix à partir de l’amont ». Une construction qui doit prendre en compte « les coûts de production des produits agricoles », mais aussi « la volatilité des marchés agricoles » tout en « assurant la répercussion à chaque maillon de la filière de la fluctuation dûment constatée des prix des produits bruts ». Sur le sujet du seuil de revente à perte, rien n’est précisé. La charte se contente de demander de « respecter strictement le cadre législatif et réglementaire en vigueur et à venir, notamment en matière de seuil de revente à perte et de promotions ».
La charte incite les acteurs à travailler plus activement au sein des interprofessions et demande aux producteurs de se regrouper au sein d’organisations structurées. Elle prévoit également la mise en place de comités de liaison entre les interprofessions et les associations de consommateurs pour favoriser les échanges.
Les signataires s’engagent enfin à veiller « à la loyauté des relations, via notamment une meilleure transparence, un climat de respect mutuel entre les négociateurs ». L’avenir très proche dira si cet engagement restera au niveau des bonnes intentions. La récente crise du beurre a prouvé que les tensions dans la filière laitière étaient toujours aussi fortes et que la transparence n’était guère au rendez-vous.
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Les parties prenantes aux discussions tarifaires devraient signer dans les prochains jours la charte les engageant à respecter « l’esprit des États-généraux de l’alimentation ».
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Les négociations commerciales entre la grande distribution et les industriels laitiers ont permis à ces derniers d'obtenir des hausses de tarifs qui devraient se répercuter sur les revenus des éleveurs, ont affirmé mardi les producteurs de lait de la FNPL.
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Michel-Edouard Leclerc donne ses résultats 2017 et ses perspectives 2018. Tout en alimentant le débat sur les mesures annoncées lors des récents Etats généraux de l’alimentation. Michel Edouard Leclerc, président du groupe E. Leclerc, va ouvrir 200 magasins bio et lancer la livraison à domicile à Paris.
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Présenté ce mercredi en Conseil des ministres, le projet de loi censé rééquilibrer les relations commerciales entre agriculteurs, industriels et distributeurs ne suffira pas à éteindre la bataille des promotions. Car l'argument prix reste décisif pour la majorité des consommateurs, et les distributeurs disposent toujours d'un puissant pouvoir de négociation.
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Le projet de loi issu des États généraux de l'alimentation est présenté ce 31 janvier en Conseil des ministres. S'il porte de belles ambitions, il risque de se heurter à la réalité.
Certes la loi va inverser la construction du prix de vente pour qu'elle tienne compte du coût de production mais cette obligation ne concerne que les filières soumises à une contractualisation, soit la filière lait et celle des fruits et légumes.
1 - Nous ne sommes pas dans une économie administrée
2 - Les distributeurs ne sont pas obligés d’accepter le prix proposé par le producteur
3 - Produits locaux : les marchés publics interdisent la préférence locale
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«Si rien n’est fait, l’état d’esprit des Etats généraux de l’alimentation ne survivra pas au-delà du 1er mars 2018. Les enseignes de la grande distribution ne peuvent continuer à assumer seules contre tous un double discours».
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Une réunion du Comité de suivi des négociations commerciales se tenait ce 19 janvier. Elle a révélé que la charte d’engagement signée par les différentes parties prenantes était loin d’être appliquée dans les faits. Et que les tensions restaient vives.
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Selon la FNPL, les prix objectifs payés aux producteurs pour 2018, que les industriels ont mentionnés dans leurs conditions générales de vente, oscillent dans une fourchette comprise entre 335 et 375 €/1 000 l. Mais face à l’imprécision des termes, le syndicat se donne six mois pour mettre en œuvre le plan de filière laitière en matière de cadre interprofessionnel et de définition d’indicateurs de valorisation du lait.
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Les négociations commerciales menées actuellement entre distributeurs et industriels de l'alimentation sont plus dures que jamais. La charte signée par tous il y a quelques semaines à la demande du gouvernement semble allègrement piétinée dans les fameux boxes où l'on négocie les prix d'achat pour l'année 2018... Il y a quelques semaines, Christiane Lambert, présidente de la FNSEA, confiait que la charte n'avait "rien changé". Et que selon des chiffres remontant là encore de l'Ania et de Coop de France, "dans 65 % des négociations la distribution exigeait des baisses de prix de 5 à 7 %". "Certains distributeurs demandent même un rattrapage sur le manque à gagner qu'ils ont connus durant plusieurs semaines dans le beurre", alors que c'est précisément parce que ces mêmes distributeurs qui ont fait le choix de cesser leur approvisionnement auprès des laiteries, en raison de la hausse des cours. La FNSEA remontait également d'enquêtes de terrain de nombreux exemples de promotions allant à l'encontre de la fameuse charte alors qu'elle venait d'entrer en vigueur. Un des exemples cités portait sur du lait bio en promotion à 67 centimes, soit plus de dix centimes en dessous d'un prix de lait conventionnel d'entrée de gamme. Christiane Lambert résumait alors sa pensée en qualifiant ces distributeurs de "vrais prédateurs".
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Des contrats basés sur les coûts de production, une organisation en filières, la montée en puissance de l'agriculture bio, le tout décidé par ordonnances au printemps 2018. Voici les principales annonces faites à la mi-octobre, à mi-parcours de ces Etats généraux de l'alimentation, par leur maître d'oeuvre Emmanuel Macron : - Des ordonnances au premier semestre prévoiront de fonder les contrats entre agriculteurs et leurs clients (distributeurs, industriels) sur le coût de revient proposé par l'agriculteur.
- Pour les négociations commerciales de fin d'année, les acteurs sont priés de s'engager à refléter "l'esprit de la loi à venir" sous l'égide du gouvernement
- Les négociations commerciales doivent s'inscrire dans une contractualisation pluriannuelle de 3 à 5 ans. - Pour établir ces coûts de production, filière par filière, "des indicateurs de marché doivent être définis" avec un renforcement de l'Observatoire des prix et des marges ainsi que des contrats-types. Le rôle du médiateur des relations commerciales agricoles sera également renforcé.
- relèvement du seuil de revente à perte (SRP) pour les produits alimentaires et encadrement des promotions
- conclure pour la fin de l'année des plans de filières qui doivent permettre "d'assurer (...) la montée en gamme autour de labels, des signes de qualité, de la bio avec des objectifs chiffrés à cinq ans".
- Les agriculteurs sont priés de se structurer en inter-professions qui puissent peser dans les négociations.
- plus de transparence des coopératives dans la répartition de leurs gains à leurs adhérents.
- un taux de 50% de produits bio ou locaux dans la restauration collective en 2022.
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Le mois de décembre marque le coup d'envoi des négociations commerciales annuelles entre distributeurs et industriels. Au 1er mars, ils doivent avoir trouvé un accord sur des prix d'achat qui resteront en vigueur pour un an.
Qu'en sera-t-il pour le beurre, dont les cours ont flambé au long de l'année 2017 ? Les fabricants de beurre veulent obtenir une hausse du prix d'achat. Mais « les distributeurs exigent qu'on leur verse des pénalités pour rupture de service. Dans les contrats annuels, les fournisseurs s'étaient en effet engagés sur un certain volume. »
Les nouvelles négociations commencent donc plutôt mal pour les industriels, avec un rapport de force qu'ils estiment être en leur défaveur. « 17 000 entreprises de l'agro-alimentaire font face à quatre centrales d'achat qui représentent 92% de leur marché ».
D'après les calculs de l'ANIA, la guerre des prix engagée depuis 2013 leur a coûté trois milliards et met en danger leur avenir, tout cela pour que le consommateur bénéficie en bout de chaîne d'un modeste gain de 30 centimes d'euros par semaine.
Dans l'esprit de la charte de novembre, tous les acteurs doivent s'entendre pour qu'aucun des maillons de la chaîne d'approvisionnement ne se trouve perdant, depuis l'agriculteur jusqu'au consommateur. Le tout en engageant une montée en gamme des produits, pour répondre aux nouvelles demandes. Ce qui signifie donc que les prix n'ont pas vocation à rester au niveau actuel. Les distributeurs se sont engagés à "pratiquer des prix responsables."
"La charte, on s'assoit dessus", auraient déjà déclaré certains acheteurs. "Ils ont fait du prix l'alpha et l'oméga. Cela leur réussit d'ailleurs en termes de parts de marché. Pourquoi changeraient-ils ?" Le consommateur peut s'en réjouir, la guerre des prix ne semble pas terminée. Pas plus que ses effets délétères sur la chaîne des fournisseurs.
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La charte d’engagement « pour une relance de la création de valeur et pour son équitable répartition au sein des filières agroalimentaires françaises » vise à confirmer les principaux éléments de consensus issus des ateliers nationaux du premier chantier des États généraux de l’Alimentation. Elle a été signée par les représentants des acteurs de la production, de la coopération agricole, des entreprises de l’alimentaire et de la distribution le 14 novembre 2017, en présence de Stéphane Travert, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation et de Benjamin Griveaux, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances.
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Le beurre manque dans les linéaires de certains magasins. Une absence qui ne relève pas d’une pénurie de lait chez les producteurs, mais d’ « un problème de négociations commerciales entre industriels laitiers et distributeurs », selon la Fédération Nationale des Producteurs Laitiers. Et qui met en lumière les conséquences indésirables de la libéralisation du secteur.
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