Le distributeur annonce ce 15 décembre 2016, la signature d’une convention d’accord avec la MSA pour reverser aux éleveurs, les 4 millions d’euros collectés sur les bouteilles de lait à sa marque.
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Lait de Normandie... et d'ailleurs
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Dans un communiqué de presse diffusé ce 13 décembre 2016, la marque estime que sa collecte de lait bio a chuté de 10 % cette année. Elle explique qu’elle soutient près de 150 fermes dans leur conversion pour répondre à la demande.
Cedric's insight:
Et aussi : Les producteurs de lait toujours remontés contre Lactalis
Sur http://www.ouest-france.fr/economie/agriculture/lait/les-producteurs-de-lait-toujours-remontes-contre-lactalis-4676836 La hache de guerre entre les producteurs de lait français et Lactalis est loin d'être enterrée, les agriculteurs menaçant le numéro un mondial du lait d'assécher son approvisionnement en France s'il ne « modernise » pas ses relations avec ses fournisseurs. 
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Mon Lait est la marque créée par l'Association des Producteurs de Lait de Montagne. Ils sont répartis sur 7 départements du Massif-Central et du Sud-Ouest, dont la Corrèze. Au total 560 producteurs. La marque vient de passer le seuil des 5 millions de litres...
Cedric's insight:
la Marque "Mont Lait" a été lancée en 2013. Elle atteint en 2016 les 5 millions de litres produits sous son nom. C'est trois fois et demi de plus que la première année. Un succès rapide dû à la qualité du lait : les vaches ne sont nourries qu'à l'herbe, dans les prés, mais aussi aux animations régulières que les producteurs eux-mêmes mènent dans les grandes surfaces où est vendue la marque. Et aussi : Mont Lait, la marque des producteurs du Massif Central fête ses trois ans Sur https://www.francebleu.fr/infos/agriculture-peche/mon-lait-la-marque-des-producteurs-du-massif-central-fete-ses-trois-ans-1480525526 Mont Lait vise les 10 millions de litres en 2018 Sur http://www.newsauvergne.com/economie-actualite-auvergne-letacuteessentiel-des-actualites--des-news-des-infos-en-auvergne---newsauvergnecom-ra6/mont-lait-vise-les-10-millions-de-litres-en-2018-actualite-auvergne-letacuteessentiel-des-actualites--des-news-des-infos-en-auvergne---newsauvergnecom-ac9043.html
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En laissant au consommateur le soin de fixer le prix qui lui semble juste pour le producteur et durable pour l'environnement, Nicolas Chabanne révolutionne la distribution.
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Du lait, une pointe de sel et quelques ferments… Depuis 1977, l’usine d’Évron produit des Mini Babybel, selon la même recette. Cinq millions de petits fromages ronds et rouges en sortent chaque jour.
Cedric's insight:
Une quinzaine de citernes pénètrent, sept jours sur sept, dans cette usine de 650 salariés, qui avale 50 000 tonnes de lait par heure. Dans un rayon de 50 kilomètres autour de l’usine, 380 producteurs fournissent 172 millions de litres de lait par an. Ce site, qui a vu naître ce célèbre fromage à pâte pressée en 1977, produit 5 millions de Mini Babybel chaque jour, soit 25 350 tonnes à l’année.
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Pour mieux valoriser les produits de leur troupeau nourri à l’herbe et au foin séché en grange, un groupe d’éleveurs de l’Ouest souhaite créer une filière de démarcation « lait de foin ».
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Valio, le plus grand transformateur de lait en Finlande, a fait son entrée sur le marché des substituts de viande avec sa nouvelle innovation MiFu. Le nom « MiFu » est une combinaison des mots « milk » et « tofu ». Le produit ressemble à du fromage frais granulé et est riche en protéine. Mifu peut être consommé cru ou cuit. Il existe trois saveurs différentes: naturel, « tomates de Méditerranée » et « poivre du Mexique ». Une boîte de 330g coute 3,40 EUR. Mifu est sans lactose, sans gluten, sans soja et sans œufs.
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L’Association des producteurs de lait de montagne (APLM) a accueilli les directeurs des Intermarché du Puy-de-Dôme dans les fermes de deux adhérents.
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La marque Kerrygold est la marque alimentaire la plus appréciée d'Irlande. Créée par Sir Anthony O'Reilly en 1962, son histoire est dans une large mesure l'histoire de la production laitière irlandaise. Connue et aimée des consommateurs du monde entier, la marque est associée à des images de vaches qui paissent dans les pâturages verdoyants. Les campagnes de publicité Kerrygold sont devenues virales alors que YouTube n'existait pas encore. Aujourd'hui, la marque jouit d'une position de leader sur plusieurs de ses marchés : N°1 du beurre de marque en Allemagne, N°1 du beurre importé aux États-Unis et N°3 du beurre. Une histoire de Kerrygold - Chronologie…
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Et si le consommateur décidait du prix et des conditions de production des produits qu'il achète, en lien avec le producteur ? Fin octobre, Carrefour s'apprête à lancer une nouvelle marque "C'est qui le patron ?" revalorisant le prix payé au producteur.
Cedric's insight:
Pour André Bonnard, responsable de la FNPL, i, la grande innovation de ce système repose sur "la contractualisation tri-partite" entre producteurs, coopérative et distributeur.
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En pleine crise du lait, des consommateurs entendent commercialiser leur propre marque de lait en souhaitant garantir un revenu décent aux producteurs. Est-ce une utopie ? Non, c’est un projet réel, celui de la Marque du consommateur
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Mondelēz, Kraft, Coca-Cola, Nestlé, PepsiCo, P & G, Johnson & Johnson, Mars, Danone, General Mills, Kellogg and Unilever own just about everything
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DMK est en négociation avec Hipp, groupe spécialisé dans la production d’aliments destinés aux nourrissons, afin de leur vendre son usine située à Herford. Cette décision fait suite aux importants problèmes auxquels doit faire face le secteur des produits laitiers actuellement : DMK veut réduire ses dépenses de 60 M EUR d’ici la fin de l’année.
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"Mont lait", c’est la réponse d’éleveurs du Massif central pour répondre à la crise laitière. L’initiative fédère aujourd’hui 560 exploitations sur 7 départements.
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Suite à la crise que subissait le monde agricole, certains éleveurs laitiers lançaient il y a 3 ans leur propre label : FaireFrance. Si la crise n’a pas disparu, l’objectif des éleveurs FaireFrance et de rééquilibrer (enfin ?) le rapport de forces entre laitiers, transformateurs et distributeurs. Dans les Ardennes ils sont une soixantaine d’éleveurs à participer à l’aventure. Un lait équitable qui leur permet une meilleure rémunération avec des ventes en progression notamment dans notre département 75 000 litres vendus en 2016 au Leclerc Sedan, deuxième magasin en France.
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La chaîne de supermarchés allemands a décidé de se fournir exclusivement en lait espagnol pour alimenter sa marque de lait, qui d’ailleurs sera la seule marque de lait proposée dans ses rayons. L’entreprise, présente en Espagne depuis 1994, avec 535 supermarchés, 10 plate-formes logistiques et 11,500 employés, a décidé de faire de l’Espagne un de ses premiers fournisseurs. En plus de cela, en 2015, Lidl aurait acheté pour 1,2 millions de tonnes de fruits (+11,6%), ce qui représenterait 6% de la production espagnole ! Lidl a un chiffre d’affaires de plus de 3 milliards d’euros en Espagne, on comprend pourquoi !
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Le lait "C'est qui le patron" arrive en grande surface grâce à la laiterie de Saint-Denis-de-l'Hôt
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Rescooped by Cedric from Revue de presse sur l'agriculture, l'environnement, le territoire, l'agroalimentaire en Normandie |
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CESER : Marque Normandie, une bonne idée ?
Le Conseil économique social et environnemental régional (Ceser) de Normandie se montre prudent sur la création de la nouvelle marque Normandie.
La création d’une marque Normandie pour valoriser les produits régionaux, avancée par Hervé Morin, a quant à elle fait l’objet d’un avis pour le moins prudent. Si le président du Ceser, Jean-Luc Léger, estime qu’il « serait absurde de ne pas tenter » de créer cette marque, en remplacement de Gourmandie dont la connotation régionale est quasi nulle, les auteurs du rapport s’interrogent sur le risque de « banalisation » des produits, en particulier ceux déjà valorisés sous le vocable Normandie, et pointent la nécessité de réfléchir à l’existence d’un cahier des charges, à l’exigence de son contenu, à sa variabilité éventuelle d’une filière à l’autre, etc.
La création d’une marque Normandie pour valoriser les produits régionaux, avancée par Hervé Morin, a quant à elle fait l’objet d’un avis pour le moins prudent. Si le président du Ceser, Jean-Luc Léger, estime qu’il « serait absurde de ne pas tenter » de créer cette marque, en remplacement de Gourmandie dont la connotation régionale est quasi nulle, les auteurs du rapport s’interrogent sur le risque de « banalisation » des produits, en particulier ceux déjà valorisés sous le vocable Normandie, et pointent la nécessité de réfléchir à l’existence d’un cahier des charges, à l’exigence de son contenu, à sa variabilité éventuelle d’une filière à l’autre, etc.
Via Chambre régionale d'agriculture de Normandie - Cellule intelligence économique et territoriale
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Sur la brique blanche et bleue de Cant’Avey’Lot, une vache pose fièrement au milieu d’une prairie verdoyante. L’image vaut bien plus qu’un logo, elle illustre les valeurs de la coopérative du lait de la Vallée du Lot...
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La marque collecte 10 millions de litres de lait par an dans 30 fermes du Cantal, de l’Aveyron et du Lot d’où elle tire son nom. Une production de qualité concentrée dans un rayon limité de 20 kilomètres qui a su se faire en quelques années une belle place dans les rayons des supermarchés du Sud-Ouest et même d’une enseigne parisienne.
Le pari audacieux lancé il y a six ans par une poignée de producteurs lotois leur permet aujourd’hui de faire face aux récurrentes crises du lait et d’assurer aux producteurs un revenu correct toute l’année.
Aujourd’hui sur les 10 millions de litres produits chaque année, 8 millions sont transformés en briques et bouteilles UHT. La moitié est commercialisée dans la région, l’autre moitié est écoulée dans tous les Franprix de la région parisienne.
Le pari audacieux lancé il y a six ans par une poignée de producteurs lotois leur permet aujourd’hui de faire face aux récurrentes crises du lait et d’assurer aux producteurs un revenu correct toute l’année.
Aujourd’hui sur les 10 millions de litres produits chaque année, 8 millions sont transformés en briques et bouteilles UHT. La moitié est commercialisée dans la région, l’autre moitié est écoulée dans tous les Franprix de la région parisienne.
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La filiale bio de Danone, Stonyfield France, qui produit des desserts lactés au Molay-Littry (Calvados), affiche une croissance de 25 % cette année. Entretien
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Le groupe Bel, qui compte Kiri, Babybel ou La Vache qui rit parmi ses marques phares, lance une grande campagne pour sortir de l'ombre afin de rassurer les consommateurs sur l'origine de ses produits, une première depuis la création du groupe familial il y a 151 ans. A Evron, en Mayenne, l'usine où sont fabriqués les mini-Babybel a ouvert ses portes à la presse pour marquer l'événement.
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Pour le groupe familial qui emploie 12.000 personnes dans le monde dont 3.500 en France, avec un chiffre d'affaires de 2,9 milliards d'euros et des marques de renom comme Leerdammer, Boursin, Port-Salut ou encore Apéricube, cette communication est une grande nouveauté, assure Marin Susac, l'un des responsables de Bel France.
Jusqu'ici, chaque marque communiquait de son côté, sans jamais que le groupe Bel ne soit mis en avant. Désormais ce sera chose faite pour ce géant fromager qui a doublé de taille en dix ans, et compte bien renouveler l'exploit dans les dix prochaines années, promet M. Susac.
Son savoir-faire, Bel le démontre dans son usine d'Evron qui produit cinq millions de fromages par jour à partir de 600.000 à 700.000 litres de lait. Ici, en deux jours, un litre de lait va se transformer en sept mini-Babybel, explique Yann Lamblin, le directeur du site.
En bout de chaîne, 30% de la production aboutira sur le marché français, 50% sur le marché européen et 20% à l'export hors Europe, dont la moitié vers le marché américain où la petite coque rouge fait un tabac au point qu'une usine y a été implantée pour la produire sur place il y a deux ans.
Jusqu'ici, chaque marque communiquait de son côté, sans jamais que le groupe Bel ne soit mis en avant. Désormais ce sera chose faite pour ce géant fromager qui a doublé de taille en dix ans, et compte bien renouveler l'exploit dans les dix prochaines années, promet M. Susac.
Son savoir-faire, Bel le démontre dans son usine d'Evron qui produit cinq millions de fromages par jour à partir de 600.000 à 700.000 litres de lait. Ici, en deux jours, un litre de lait va se transformer en sept mini-Babybel, explique Yann Lamblin, le directeur du site.
En bout de chaîne, 30% de la production aboutira sur le marché français, 50% sur le marché européen et 20% à l'export hors Europe, dont la moitié vers le marché américain où la petite coque rouge fait un tabac au point qu'une usine y a été implantée pour la produire sur place il y a deux ans.
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Leurs volumes restent certes limités. Mais la croissance des marques régionales dépasse aujourd’hui largement celle des marques nationales. Une performance qui ne doit rien au hasard. « Le consommateur se détourne du lait de consommation, car le produit s’est banalisé. Il convient de le valoriser. Pour ce faire, nous avons choisi l’axe de la tradition »
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Et si c'était le consommateur qui décidait du prix et des conditions de production des produits qu'il achète? Partant de cette idée, une nouvelle marque devrait faire son apparition dans les hyper et supermarchés Carrefour dès la fin octobre.
Cedric's insight:
Le partenariat a été établi avec la laiterie de Saint-Denis-de-l'Hôtel dans le Loiret pour la partie collecte et conditionnement, et avec Carrefour pour la distribution. Les 51 producteurs laitiers qui en bénéficieront sont issus de petites exploitations familiales en grande difficulté, rassemblés en coopérative dans le département de l'Ain. Les volumes devraient se situer entre 7 et 10 millions de litres. "En échange d'un coût supplémentaire minime (environ 7 centimes d'euros par brique, soit 3,50 euros par an), les consommateurs vont pouvoir participer à sauver cette filière"
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En Allemagne, cinq enseignes se partagent 80 à 85 % de parts de marché de l'industrie laitière, comme dans d’autres pays.
La particularité de ce pays, c’est l’importance prise par leurs propres marques au détriment des laiteries qui n’ont pas su développer leurs produits. Les marques distributeurs dominent dans les rayons des supermarchés, ce qui n’est pas sans conséquence.
La distribution met les laiteries sous pression : " si vous ne voulez pas vendre pour ce prix, on demandera à un autre. " Les laiteries n’ont pas de produits sous leurs propres marques comme argument clé de vente.
Cette absence de différenciation produit (par le nom de la laiterie ou la région) conduit à une dégradation des prix. La distribution livre l’emballage aux laiteries : celles-ci sont devenues de simples prestataires de service de la distribution, qui, elle, pense en entrepreneur.
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La stratégie de la coopérative laitière Arla pour 2020 est de devenir le «champion britannique" des produits laitiers et d'augmenter ses recettes de 2 milliards à 2,6 milliards de £ dans le cadre de sa stratégie de croissance...
C’est la stratégie commerciale la plus ambitieuse d’Arla qui comportera beaucoup d’investissement dans ses marques Arla, Lurpak et également Castello pour faire partie des dix marques de grande consommation en 2020.
