Lait de Normandie... et d'ailleurs
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Lait : les distributeurs accusent les industriels d'opacité

Lait : les distributeurs accusent les industriels d'opacité | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La tension monte entre les distributeurs et leurs fournisseurs à l'approche du terme des négociations.

Cinq jours après que Jean-Philippe Girard, président de l'Association des industries alimentaires (Ania), a dénoncé au micro de France Info les demandes de la grande distribution de baisses de tarifs comprises entre 2 % et 8 %, la Fédération du commerce et de la distribution (FCD) a répliqué vendredi par voie de communiqué.

Au nom des enseignes qu'elle représente - les Auchan, Carrefour, Casino et autres Cora -, la FCD appelle « solennellement les industriels, notamment laitiers, à faire preuve de transparence, en appliquant, comme l'ont demandé les ministres, les dispositions de la loi dite "Sapin II", qui prévoit l'inscription, dans les conditions générales de vente, du prix de référence payé aux producteurs ». 

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Négociations commerciales : Les distributeurs demandent 2 à 8 % de baisse de tarifs

Négociations commerciales : Les distributeurs demandent 2 à 8 % de baisse de tarifs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Jean-Philippe Girard, le président de l’Association des industries alimentaires (Ania), a affirmé le 13 février 2017, que les distributeurs demandent des baisses de tarifs comprises entre 2 % et 8 % dans le cadre des négociations annuelles.

« c’est inquiétant. On voit le lait qui a progressé de 30 %, les oranges de 50 % et en face des acheteurs qui disent : “Écoutez, nous, ce n’est pas notre problème, on veut le même prix que l’an passé” »

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Dernière ligne droite pour les négociations entre industriels laitiers et grande distribution

Dernière ligne droite pour les négociations entre industriels laitiers et grande distribution | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Avant la fin du mois, les deux parties doivent trouver un compromis. Les distributeurs discutent avec les sociétés agroalimentaires pour revoir les prix auxquels ils achètent leurs produits. Les éleveurs, inquiets, suivent ces négociations avec intérêt.

Cedric's insight:
C'est devenu une tradition en plein hiver. Ces tractations se transforment en bras de fer. Mais c'est vrai que cette année les enjeux sont encore plus lourds, plus cruciaux car ça fait maintenant 2 ans que les éleveurs de vaches laitières traversent une grave crise. Il y a de plus en plus d'exploitations au bord du gouffre. Avec une conséquence dramatique : beaucoup d'agriculteurs, qui n'y arrivent plus, se suicident. Les enjeux, en fait, ils sont assez simples.
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JA - Prix du lait : Distributeurs et industriels, « cessez de vous renvoyer la balle »

JA - Prix du lait : Distributeurs et industriels, « cessez de vous renvoyer la balle » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les éleveurs ont fait des efforts :

JA rappelle que les éleveurs français et européens ont fait des efforts pour réduire la production et alléger le marché.

Il demande aux industriels de faire preuve de transparence « pour que les relations commerciales se déroulent dans de bonnes conditions ».

« Les industriels doivent indiquer lors des négociations avec leurs distributeurs, les prix payés à la production, dans l’esprit de la loi Sapin 2 », assure JA, faisant ainsi écho à la demande formulée par Système U hier. « Si le 28 février prochain nous constatons des prix de vente identiques à 2016, nous saurons, nous, prendre nos responsabilités. »

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Lait : les industriels dénoncent l'exception française

Lait : les industriels dénoncent l'exception française | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les sociétés françaises se heurtent au refus de hausses tarifaires des distributeurs. Dans les autres pays européens, les prix aux industriels ont été revalorisés.

« Partout en Europe, les distributeurs ont accepté de payer leurs fournisseurs de produits laitiers plus cher depuis la fin de l'année. Sauf en France », souligne Gérard Calbrix, l'économiste de l'Association de la transformation laitière française (Atla).

En Allemagne, le plus gros concurrent de l'Hexagone dans le secteur laitier, les enseignes ont consenti dès octobre une hausse de 30 % sur le prix du beurre aux industriels pour prendre en compte la très vigoureuse reprise du marché mondial. Hausse historique outre-Rhin (la dernière de cette importance remonte à 2007 !) répercutée sur le consommateur.

Cedric's insight:
Du côté des distributeurs, on reconnaît que les produits laitiers sont un point de friction. Pour les grandes enseignes, la question est d'abord celle de la transparence. Elles reprochent aux industriels laitiers de ne pas appliquer la loi Sapin 2, qui leur fait obligation d'indiquer sur les contrats les prix payés à la production...
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FNIL Lait : « Les négociations avec la grande distribution se passent mal »

FNIL Lait : « Les négociations avec la grande distribution se passent mal » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dans leur « plaidoyer », les transformateurs laitiers privés se placent comme défenseurs des producteurs. Ils demandent une augmentation des tarifs au vu de la conjoncture.

Cedric's insight:
« En France, ce déséquilibre global du marché laitier s’est traduit en 2016 par une baisse moyenne de 1,5 % des prix de vente des produits laitiers aux consommateurs, selon l’indice Insee PVC lait, fromages et œufs », indique la Fnil.
C’est un recul plus faible que celui dont a bénéficié la distribution car « les prix de vente sortie usine des produits laitiers vendus à la grande distribution en France ont chuté en moyenne de 3,1 % (indice Insee) », d’après le communiqué.
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Négociations commerciales : L’industrie agroalimentaire coincée entre le marteau et l’enclume

Négociations commerciales : L’industrie agroalimentaire coincée entre le marteau et l’enclume | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L’Ania, Association nationale des industries alimentaires, tire la sonnette d’alarme ce 31 janvier 2017.

Pourquoi ?

À cause des pressions que subissent ses adhérents pris « en tenaille » entre « la montée significative des prix des matières premières agricoles et la poursuite de la guerre des prix de la grande distribution ».

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Des laits vraiment solidaires ?

Des laits vraiment solidaires ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Depuis la crise cet été, liée à la chute des prix du lait, les bouteilles dites « équitables » se multiplient dans les rayons. Nous avons voulu savoir lesquelles bénéficient le plus aux éleveurs.

Cedric's insight:
Si le cahier des charges diffère selon les enseignes (alimentation, bien-être animal, pâturage, territoire de collecte du lait...), tous ces laits ont un point commun : ils mettent en avant la production made in France et une meilleure rémunération des éleveurs.
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Irlande : Plus de 1 200 € / ha de marge nette prévue en 2017 pour les éleveurslaitiers

Irlande : Plus de 1 200 € / ha de marge nette prévue en 2017 pour les éleveurslaitiers | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Selon Teagasc, la marge nette sur la ferme laitière irlandaise moyenne devrait atteindre entre 1 250 et 1 400 euros en 2017, contre 795 € en 2016 soit une augmentation de 58 à 78%. Cette prévision est basée sur une hausse de 15 à 20% des prix du lait, de 6% de la production laitière et sur une superficie de 3% supérieure à celle de 2016 (soit une production de lait / ha qui augmentera de 3%). Les coûts à la ferme, à l'exception du carburant, devraient afficher peu de changement par rapport à 2016. Teagasc suppose également que ce lait supplémentaire sera produit à un faible coût marginal, ce qui contribue à la marge nette / ha plus élevée atteinte.

(Graphique: Produit brut moyen et marge nette / ha pour 2012-2017)

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Marges brutes lait et pâturage : + 19 €/1 000 l pour les élevages fermant le silo de maïs au printemps

Marges brutes lait et pâturage : + 19 €/1 000 l pour les élevages fermant le silo de maïs au printemps | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Parmi les élevages de vaches laitières de Loire-Atlantique et du Maine-et-Loire, ceux qui ferment le silo de maïs au printemps pour profiter de la pousse de l’herbe ont une marge brute de 220 €/1 000 litres contre 201 € pour ceux qui distribuent du maïs tout au long de l’année. De même, les élevages en robot de traite qui pâturent tirent un peu plus de marge par volume de lait que ceux qui n’ont pas accès aux prairies.
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MILC - Marge IPAMPA Lait de vache sur Coût total indicé - Actualisation août 2016

MILC - Marge IPAMPA Lait de vache sur Coût total indicé - Actualisation août 2016 | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
un indicateur de marge laitière adapté à la volatilité

Le secteur laitier est soumis à une forte volatilité des prix qui occasionne des crises récurrentes de revenu au niveau des exploitations. Cette volatilité des prix concerne aussi bien les produits que les charges, avec des évolutions qui ne sont pas toujours synchrones. La fréquence et l’ampleur des retournements de conjoncture nécessitent de disposer d’indicateurs plus précoces et réactifs que les constats réalisés a posteriori avec les bases de données comptables (RICA par exemple).

 

L’Institut de l’élevage met à disposition des acteurs de la filière un indicateur de marge laitière directement dérivé de l’IPAMPA Lait de vache qui permet de mesurer, depuis 1997, l’évolution du prix du panier de charges typique des exploitations laitières spécialisées.


Via IDELE Institut de l'Elevage
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Produits bio : Pleine croissance du bio… et des marges en magasins !

Produits bio : Pleine croissance du bio… et des marges en magasins ! | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La transformation des produits bio connaît un boom de 15 % en 2015, révèle la nouvelle étude de Natexbio, alors que le secteur agroalimentaire conventionnel reste atone. Les enseignes bio voient aussi leur chiffre d’affaires grimper de 14 % en 2015, et profitent des marges intéressantes sur le bio.

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USA - Programme de protection des marges laitières : Indemnisation record  en mai-juin, nada en juillet-aout

USA - Programme de protection des marges laitières : Indemnisation record  en mai-juin, nada en juillet-aout | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Quelle différence en quelques mois !

En mai et Juin, le prix américain « tous laits » a chuté en dessous de 15 $ et le coût d'alimentation a grimpé à 9 $, soit une marge laitière de 5,76 $ / quintal. Cela a déclenché les paiements d'indemnisation les plus importants jamais réalisés du programme de protection des marges laitières (MPP).

L'USDA vient d’annoncer pour Août un prix du lait de 17,10 $ et un coût d'alimentation de 7,84 $, soit une marge de 9,26 $ MPP. En d'autres termes, en seulement quelques mois, les prix du lait ont augmenté de plus de 15%, les prix des aliments ont chuté de 12%, et la marge a bondi de 46%.

La marge de Juillet était de 7,59 $, donc la marge moyenne pour Juillet-Août est de 8.43 $ / quintal. Résultat: Aucun paiement d'indemnisation MPP pour la période.

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FNPL - Négociations commerciales : transformateurs et distributeurs doivent respecter la loi et donc afficher des objectifs de prix du lait annuels

FNPL - Négociations commerciales : transformateurs et distributeurs doivent respecter la loi et donc afficher des objectifs de prix du lait annuels | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La FNPL appelle les acteurs de l’aval à la décence et condamne ce jeu de dupes qui n’est pas digne de la situation catastrophique vécue par les éleveurs de lait depuis deux ans.

La FNPL constate que la baisse du prix du lait suite à une mauvaise conjoncture ne fait jamais l’objet de tant d’interrogations dans son application par les entreprises laitières. Les années 2015 et 2016 en sont hélas la preuve ! En France, la baisse du prix du lait est toujours automatique alors que sa hausse est toujours hypothétique !

Au résultat, c’est toujours le producteur, premier maillon de la chaine alimentaire qui trinque.

Pour la FNPL, le prix du lait de 2017 doit tendre vers son niveau de 2014. Les distributeurs doivent prendre en compte ce besoin vital d’oxygène des producteurs de lait après deux ans de crise. La déflation des produits laitiers est inacceptable.

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Lait : Les actions se poursuivent dans les supermarchés

Lait : Les actions se poursuivent dans les supermarchés | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les producteurs demandent des comptes à la grande distribution qui continue d’appliquer des promotions supérieures à 30 %, à l’encontre de la loi Sapin 2.

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Crise du lait : des produits bradés jusqu'à 50 % en Normandie

Crise du lait : des produits bradés jusqu'à 50 % en Normandie | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Les producteurs laitiers de la FDSEA et des Jeunes Agriculteurs de la Manche constatent des produits laitiers bradés jusqu'à 50 % dans une grande surface de Saint-Lô (Manche).
Cedric's insight:
Les éleveurs laitiers se sont rendus dans l'enseigne Intermarché de Saint-Lô pour vérifier les pratiques commerciales de l'enseigne sur les produits laitiers et si celles-ci étaient en conformité avec la Loi Sapin II, qui interdit de solder à plus de 30% les produits.
Il a été constaté des produits bradés jusqu'à 50%, l'enseigne s'est engagée à les retirer.
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Prix : Les ministres surveillent les négociations commerciales

Prix : Les ministres surveillent les négociations commerciales | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Souhaitant s’assurer du bon déroulement des négociations en cours, Michel Sapin et Stéphane Le Foll ont réuni le comité de suivi des relations commerciales ce matin, le 9 février 2017.

Le monde agricole, l’industrie agroalimentaire, et la distribution avaient rendez-vous ce matin avec Michel Sapin et Stéphane, pour faire le point sur le déroulement des négociations commerciales annuelles qui s’achèveront le 28 février.

Cedric's insight:
Ces hausses, très attendues et importantes pour les producteurs concernés, doivent être pleinement prises en compte dans les négociations en cours afin d’assurer un juste équilibre entre les intérêts des producteurs, des industriels et des consommateurs », précisent les deux ministères dans leur communiqué de presse.
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Lait : les négociations commerciales mal engagées

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Les négociations commerciales 2017 en cours entre industriels laitiers et distributeurs, qui doivent aboutir avant fin février, semblent mal engagées entre les deux parties qui se renvoient la balle.

Cedric's insight:
De son côté, le distributeur Système U demande dans un communiqué "à ses fournisseurs/industriels de faire figurer dès maintenant dans leurs conditions générales de vente (CGV) le prix de référence du lait payé aux producteurs", comme le demande la loi Sapin 2. "La gravité de la situation et le risque à terme de voir une grande part des exploitations cesser leur activité, nécessitent aujourd'hui un engagement et des actions fortes de la part des acteurs de la filière", assure le distributeur en expliquant que "pour des raisons de calendrier d'application et de non-rétroactivité de la loi, les industriels n'ont pas mis en oeuvre cette disposition" pour les tarifs qui s'appliqueront cette année.
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Prix du lait : Les éleveurs ne sont pas « les fantassins des industriels »

Prix du lait : Les éleveurs ne sont pas « les fantassins des industriels » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les FDSEA de l’Ouest demandent aux laiteries de penser « prix » avant de penser « volume ». Et elles annoncent que dans les actions à venir, elles cibleront les marques et distributeurs qui ne joueront pas le jeu des négociations commerciales.

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Négociations commerciales : Leclerc doit rembourser 61,3 M€ à ses fournisseurs

Négociations commerciales : Leclerc doit rembourser 61,3 M€ à ses fournisseurs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La Cour de cassation a confirmé, le 25 janvier 2017, la condamnation du Galec, groupement d’achats des centres E. Leclerc, à rembourser à ses fournisseurs 61,30 M€ de remises de fin d’année.

Une décision saluée par les entreprises agroalimentaires et les coopératives.

Cet arrêt  confirme que la construction du prix auquel les enseignes achètent les produits de leurs fournisseurs est bien sous le contrôle du juge.

Toute obligation prise par les deux parties doit avoir une contrepartie ou une justification, indiquée dans une convention écrite.

La grande distribution ne peut donc plus demander à ses fournisseurs de participer financièrement à des opérations de promotion, si ces opérations n’ont pas lieu ou si les sommes demandées sont trop importantes. Cette pratique peut désormais être sanctionnée au titre d’un déséquilibre significatif.

Cedric's insight:
Carrefour, également condamné à rembourser 17 M€ et Système U, condamné pour 77 M€, attendent aussi une décision de la Cour de cassation.
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L’entente entre l’amont agricole et l’agroalimentaire est un enjeu important

L’entente entre l’amont agricole et l’agroalimentaire est un enjeu important | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dans le secteur agroalimentaire, la formation des prix entre l’amont agricole, l’industrie alimentaire et la grande distribution, constitue un facteur de rentabilité très important : la part des achats amont représente près de 55 % du chiffre d’affaires dans l’alimentaire contre environ 40% dans le reste de l’industrie manufacturière. Extrait de la note de conjoncture de janvier de l’Ania.

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Chaîne alimentaire : Sur 100 €, moins de 7 servent à l’agriculture

Chaîne alimentaire : Sur 100 €, moins de 7 servent à l’agriculture | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Sur 100 euros de consommation alimentaire des ménages, l’agriculture ne capte que 6,8 euros de valeur ajoutée, constate l’Observatoire des prix et des marges.

Dans sa dernière note de décembre, l’Observatoire calcule ainsi que dans 100 euros de consommation alimentaire – restauration incluse – les produits agricoles domestiques représentent 13,5 euros et les valeurs créées en aval, 67 euros (chiffres 2012).

10 % de la valeur ajoutée induite :

Voilà pour la part agricole, mais quid de la valeur ajoutée pour le secteur ? La prise en compte nouvelle de la restauration fait apparaître des résultats plus serrés qu’auparavant : sur 100 euros de consommation alimentaire des ménages, l’agriculture ne capte que 6,8 euros de valeur ajoutée (contre plus de 8 euros avant). Cela représente 10 % de la valeur ajoutée induite dans toutes les branches de l’économie nationale (qui pèse 65,7 euros sur nos 100 euros).

Les industriels captent de leur côté 11,5 € (soit 17,5 % de valeurs ajoutées induites).

Cedric's insight:
Le partage de l’ euro alimentaire : première estimation incluant la restauration, sur http://www.franceagrimer.fr/content/download/48713/467406/file/2016_12_01_LETTRE_n%C2%B011-v2.pdf
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Irlande : Les marges laitières devraient s'améliorer en 2017

Irlande : Les marges laitières devraient s'améliorer en 2017 | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Selon les prévisions de production, les prix à la production et les coûts des intrants, les marges des produits laitiers devraient s'améliorer en 2017 par rapport à cette année.


Le rapport de Teagasc prévoit une marge nette moyenne sur les fermes laitières irlandaises de 10.5c / l ou 1.198 € / ha en 2017.

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La formation des prix et des marges du pré à l’assiette

La formation des prix et des marges du pré à l’assiette | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Aide à la lecture : sur 100 € de dépenses alimentaires nationales, 61 € constituent les valeurs ajoutées, c’est-à-dire une rémunération brute du travail et du capital, dont 8 € dans l’agriculture française et 53 € dans les autres branches, principalement le commerce et les services.


Avec l’allègement des interventions de la politique agricole commune et le poids croissant des pays émergents sur les marchés mondiaux, les prix agricoles sont devenus plus volatils. Cette situation nouvelle a ravivé les questions sur les écarts entre prix agricoles et prix alimentaires. C’est dans ce contexte et pour éclairer ces débats que la loi de modernisation de l’agriculture de 2010 a créé l’OFPM.

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Indice MILC : Un indicateur de marge à la production de lait

Indice MILC : Un indicateur de marge à la production de lait | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le conseil spécialisé pour les filières laitières de FranceAgriMer, a engagé depuis un an, des travaux pour élaborer un indicateur simple et fiable, reconnu par tous les représentants de la filière.

Au terme de cette phase de concertation, l’indice Milc (Marge Ipampa lait de vache sur coût total indicé) élaboré par l’Institut de l’élevage, en indice national, indifférencié, mensuel et sur 12 mois glissants, a été présenté lors du conseil spécialisé du 26 octobre. Il sera, à présent, diffusé dans le tableau de bord hebdomadaire « produits laitiers » de FranceAgriMer.

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