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La FNSEA alerte sur « l’urgence » de conclure ces négociations avant la fin du mois de mai, « date butoir non négociable » au risque de mettre en danger toute la filière…
Distributeurs et représentants des agriculteurs ne parviennent pas à s’entendre sur les prix de l’alimentaire, en pleine inflation et guerre en Ukraine…
« Sur 60 % de notre chiffre d’affaires, on nous redemande des hausses de 8 % qu’on ne va pas accepter, je vous le dis tout de suite », a affirmé de son côté Michel-Édouard Leclerc… .
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La Coopération Agricole et l’Association nationale des industries alimentaires critiquent l’attitude de la grande distribution face aux hausses des coûts de production. Des accusations que rejette la Fédération du commerce et de la distribution…
Plus d’un mois après la réouverture des négociations commerciales sur les prix de l’alimentaire, les industriels ont accusé certains distributeurs de « jouer la montre » face à la flambée des coûts de production, ce que ces derniers ont contesté…
Malgré la signature d’une charte d’engagement sous l’égide du ministère de l’Agriculture il y a un mois, ils estiment que « certains distributeurs sont encore prêts à contourner son contenu sans scrupule », faisant fi d’un esprit de solidarité de filière…
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La démondialisation a commencé il y a plus d'une décennie. La fragmentation de la planète va la prolonger et l'amplifier…
Le commerce mondial n'est plus ce qu'il était. L'organisation internationale qui tente de le réguler, l'OMC, prévoit une progression des échanges de marchandises de 3 % en 2022, inférieure à la croissance mondiale qui pourrait approcher 4 %. La mondialisation des marchandises s'est clairement arrêtée il y a plus d'une décennie…
C'est bien sûr encore la faute à l'épidémie. C'est surtout la faute à la guerre. Comme la guerre de 1914-1918 avait tourné la page de « notre première mondialisation »…
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Face à une situation inflationniste inédite liée, entre autres, à la guerre en Ukraine, la Coopération laitière demande à la distribution de revoir ses tarifs à la hausse de 15 à 20 %. Une augmentation qui sera répercutée sur les prix consommateurs…
Négociations commerciales, second round. L’édition de février à peine terminée, un nouveau volet va s’ouvrir pour réévaluer les prix des produits alimentaires, et des produits laitiers. « On n’avait déjà pas eu tout ce qu’on voulait en février (8 % demandés et 4 à 6 % de hausse accordée, ndlr) mais s’ajoute à cela le conflit en Ukraine qui engendre de forts niveaux d’inflation sur certains postes de dépenses comme l’énergie et l’alimentation animale », explique Damien Lacombe, président de la Coopération laitière…
En effet, pour les producteurs, le cout de l’alimentation animale a augmenté de 50 %, l’énergie a été multipliée par deux et les engrais par 2 ou 3. Du côté des transformateurs, l’électricité progresse de 350 %, le gaz de 400 %, les ingrédients comme l’huile et les fruits de 20 % et les emballages de 15 à 20 %. …
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Les premières négociations ont permis de décrocher une hausse de 6 % fin février. 6 % insuffisants désormais dans un contexte sans cesse évolutif…
« On cherche à avoir une hausse minimum de 15 % sur 2022 par rapport à 2021. Pour l’instant, on a fait une partie du chemin. On n’a pas le choix?! Les producteurs de lait en ont vraiment besoin. » - Frédéric Chausson, directeur des relations extérieures et du développement durable…
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France OP Lait conteste la valorisation B/P des industriels
« (…) Du jour au lendemain, il semblerait qu’une majorité de transformateurs souhaitent apporter de manière unilatérale une correction de l’Indicateur Beurre-Poudre : un correctif de -47.7 € correspondant à la réactualisation évaluée par ATLA des coûts de transformation supportés par la fabrication du beurre poudre. Ces derniers passeraient de 71.70€/1000L à 119.50€/1000L. La part du beurre poudre variant de 10% à 50% dans certains mix industriels, l’impact sur le prix du lait (de 5 à 10%) en cette période de hausse de nos coûts de productions (énergies, aliments,… etc.) est inacceptable. (…) »
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Dans le contexte inflationniste qui sévit actuellement, Syndifrais, l’organisation professionnelle des fabricants de produits laitiers frais, demande à la distribution de reprendre les négociations commerciales. Elle demande une revalorisation des produits d’au moins 14 à 16 % par rapport à 2021.
Les entreprises agroalimentaires doivent faire face à une situation inflationniste record depuis plusieurs mois, qui s’est amplifiée avec la guerre en Ukraine. Dans ce contexte, et tandis que les négociations commerciales qui se sont closes le 1er mars avec la grande distribution n’ont pas permis d’obtenir les revalorisations demandées, Syndifrais, l’organisation professionnelle des […]
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Un appel à la responsabilité de tous est lancé pour rouvrir les négociations, avec la possibilité d’un moratoire sur les pénalités logistiques…
Les dispositifs et clauses d'Egalim 2 permettent la renégociation
"Il faut permettre aux exploitants de continuer leur activité, que les industriels puissent continuer à faire tourner les outils de production, et que les distributeurs fassent tourner leur modèle sans alimenter une inflation à outrance. Et la Loi Egalim a l’avantage de nous offrir les clauses et outils pour répondre à ces défis (…). L’alimentation n’est pas un bien comme les autres, elle a une valeur." a commenté le gouvernement.
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En Normandie, c’est fait ! Dans les autres régions, les discussions étaient encore en cours au 16 mars.
Le site Danone du pays de Bray est plus exposé aux marchés export. La nouvelle formule de prix en tiendra compte.
L’OP Caplait et Danone ont trouvé un accord pour une nouvelle formule de prix du lait qui s’appliquera en 2023. Elle collera davantage à la réalité des exploitations, avec une référence au coût de production moyen de 30 élevages représentatifs de l’OP – au lieu du coût de production du quartile supérieur d’une référence de centre de gestion. De plus, la formule reflétera le mix produit de l’usine de Ferrières-en-Bray, plus orientée sur les marchés export et donc le beurre poudre.
« Nous avons aussi introduit des primes pour les exploitations qui auront réalisé leur diagnostic carbone et leur diagnostic bien-être animal », ajoute Laurent Schatz, responsable amont chez Danone…
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La relation OP/industriel est le 1er étage de la fusée pour une construction du prix en marche avant et une juste répartition de la valeur. Sans sécurisation de cet étage et sans réouverture de négociations entre OP et acheteurs, les producteurs, resteront une variable d’ajustement. POPLAIT soutient pleinement l’ensemble des OP membres du territoire. Chaque attaque contre une des OP de POPLAIT concerne notre collectif. Ensemble, nous mettrons en œuvre des solutions structurantes pour rééquilibrer le rapport de force…
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Infographie - Mieux rémunérer les agriculteurs pour une alimentation saine et durable
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Une étude sur la réussite de la filière lait en ligne révèle que des relations transparentes entre les producteurs et les transformateurs, de même que des cadres motivés, sont la condition sine qua non pour une valeur ajoutée respectable et des prix équitables dans ce secteur. Cette étude, financée par les Producteurs Suisses de Lait et l'Union Suisse des Paysans, est disponible en ligne. La version française sera disponible à partir de mai 2018.
Étude en ligne sur https://www.junglandwirte.ch/de/themen/milch.html (version française en mai 2018)
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Les négociations commerciales viennent de s'achever sur un statu quo s'agissant de la rémunération des éleveurs. Ni les industriels ni la distribution n'ont réellement transformé leur mode de négociation pour sortir de la guerre des prix au détriment des paysan.ne.s. Au contraire, certains opérateurs se font des coups de « pub » en surfant sur le « marché du lait équitable ». Or, l'approche équitable ne se satisfait pas de concurrence vers le bas et du fonctionnement actuel de la distribution.
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Carrefour annonce la signature d'une nouvelle 'Filière Qualité' sur la crème UHT afin d'assurer une rémunération plus juste de ses partenaires producteurs. Cette initiative s'inscrit dans la continuité du partenariat lancé en janvier 2021 avec la Laiterie Saint-Denis-de-l'Hôtel (LSDH) et l'Association des Producteurs Laitiers du Bassin Centre (APLBC) sur le lait UHT Filière Qualité Carrefour...
Cette signature repose sur un contrat tripartite entre Carrefour, la LSDH et l'APLBC offrant davantage de visibilité et de perspectives aux 326 producteurs concernés. Ceux-ci disposeront ainsi de garanties de volumes sur 3 ans, ainsi qu'une plus juste rémunération. Le tarif des 1000 litres passe ainsi de 390 à 430 euros, tant pour le lait que la crème UHT FQC...
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Avec la forte inflation actuelle, les hausses de prix décidées fin 2021 entre l’APLBC, LSDH et plusieurs enseignes de la grande distribution, s’avèrent insuffisantes pour passer l’année. Un second round de négociations doit avoir lieu d'ici l'été…
LSDH n’étant pas sur les marchés de commodité beurre et poudre de lait, elle ne peut pas profiter de l’embellie des cotations. Il faut absolument passer des hausses en grande distribution pour assurer un prix du lait qui permette de faire face à la flambée des charges.
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Au lendemain de leur clôture, les négociations commerciales entre la grande distribution et ses fournisseurs sont déjà ré-ouvertes. Si le premier round n’avait pas porté ses fruits, le second sera l’occasion de faire passer les hausses espérées…
On prend les mêmes et on recommence : à peine clôturées au 1er mars, les négociations commerciales annuelles ont été ré-ouvertes quelques jours plus tard. En cause : la forte inflation due à la guerre en Ukraine…
Elles ne sont donc plus annuelles. Du fait de l’inflation galopante qui touche les charges des producteurs et celles des transformateurs, le gouvernement a décidé, dans le cadre de son plan de résilience qui fait suite à la guerre en Ukraine, de rouvrir les négociations commerciales entre les industries agroalimentaires et les enseignes de la grande distribution. L’objectif : sécuriser producteurs et transformateurs.
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427€/1000 litres en conventionnel et 503€/1000 litres en bio pour avril
Un nouvel accord a été conclu entre les deux parties le vendredi 8 avril 2022 : le prix « MonBBLait® » sera revalorisé en 2022 pour 100% de la collecte, et continue à assurer ainsi un lait durable et de qualité…
L'APBO et le Groupe BEL ont signé depuis 5 ans un partenariat matérialisé par un contrat-cadre. Celui-ci prévoit la possibilité de renégociation en fonction d'indicateurs définis. Dans ce contexte économique complexe, les 2 parties sont ainsi revenues à la table des négociations dès l'application de cette clause, début avril 2022 :
- Pour le prix « MonBBLait® », augmentation du prix de référence fixé à l'automne 2021 de + 50 € / 1000 L sur les mois de mars, avril, mai 2022 et de + 45 € / 1000 L de juin à septembre 2022. Pour le 4ème trimestre et afin de donner de la visibilité aux éleveurs, l'augmentation sera de minimum + 35 € / 1000 L, renégociable en septembre 2022 en fonction du contexte économique. Ainsi, pour un lait « MonBBLait® » Bel & l'APBO projettent un prix de référence 38/32 moyen annuel minimum de 413,25€/1000 L, incluant un prix de base, une prime alimentation sans OGM (<0.9%) de 15€/1000L et une prime Vaches aux Pâturages de 6€/1000L. Par ailleurs, le prix final payé aux éleveurs comprend en plus une prime liée au taux de matière grasse et matière protéique du lait livré.
- Pour le lait « MonBBLait® » Bio : augmentation du prix de base fixé à l'automne 2021 de + 25 € / 1000 L sur les mois de mars, avril, mai 2022 et de + 22,5 € / 1000 L de juin à septembre. De même pour le 4ème trimestre, augmentation de minimum 17,5 € / 1000 L, renégociable en septembre 2022 en fonction du contexte économique. Le prix de référence du lait « MonBBLait® » Bio revalorisé varie ainsi entre 503 et 495,5 euros / 1000L en fonction de la période.
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Négociations Lactalis-OPLGO : Pas d’accord sur le prix du lait d’avril
La tentative de Lactalis (comme Sodiaal) de faire appliquer un nouvel indicateur Beurre/Poudre non validé par le Cniel a bloqué les négociations. Pas d’accord non plus pour l’Unell… Le prix imposé par Lactalis devrait tourner autour de 405,8 € (38/32) en Bretagne Pays de Loire
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Industriels, transformateurs et distributeurs ont tous paraphé la nouvelle charte d'engagement qui intervient dans un contexte exceptionnel de hausse des coûts…
Du côté des enseignes deux engagements principaux ont été faits, selon les cabinets des ministres. Le premier est "d’activer les clauses de renégociation en acceptant de rouvrir les discussions sur les couts agricoles et industriels", et ce "même lorsque les critères de déclenchement des clauses ne sont pas forcément réunis"…
Le deuxième point porte sur un engagement à ne pas appliquer de pénalités logistiques lorsque les fournisseurs arrivent à faire la démonstration qu’ils sont touchés par la crise actuelle, et qu’ils préviennent les distributeurs à l’avance...
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Elle enjoint à l’État de prendre des mesures « coercitives » pour « faire respecter l’équilibre des rapports de force entre OP et industriels. »
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Si les lois Egalim 1 et 2 visent à renforcer le pouvoir de négociation des producteurs, force est de constater que sur le terrain, la réalité est tout autre. Malgré les bonnes volontés politiques, le rapport de force entre producteurs et industriels reste déséquilibré…
« Mutisme » des industriels, dénoncent des organisations de producteurs laitiers. « Radicalisation » de certaines OP, répondent certains transformateurs. Les points d’achoppement continuent donc entre laiteries et OP…
Même celles qui ont signé des contrats qui leur paraissaient satisfaisants jusque-là éprouvent des difficultés à faire prendre en compte les coûts de production, la hausse des charges ou encore à supprimer les clauses d’alignement concurrentiel…
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« Explosion des charges : Il va falloir oser parler de hausses substantielles des prix. »
La guerre en Ukraine s’invite à la table : les négociations commerciales entre industriels de l’agroalimentaire et grande distribution à peine achevées le 1er mars, le gouvernement a convoqué l’ensemble des acteurs vendredi matin pour « entamer de nouvelles négociations » en raison de la flambée des coûts de production…
Finalement, le gouvernement avait annoncé que le prix des produits alimentaires payés aux industriels allait augmenter de l’ordre de 3 % en France en 2022, une première depuis 2014. Mais les négociations se sont largement tenues avant le déclenchement de l’invasion de l’Ukraine par la Russie le 24 février…
Selon le panéliste NielsenIQ, la hausse moyenne des prix en février 2022 (par rapport à février 2021) est modérée, à 0,52 %, mais beaucoup plus notable sur les marques de distributeurs premiers prix (+2,85 %), pour lesquelles la matière première représente la part la plus importante du prix.
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Le distributeur Système U est favorable à la détermination de « prix référents » pour les principales matières premières agricoles (lait, porc, boeuf) vendues en grande surface, a dit mercredi son patron, Serge Papin devant des agriculteurs.
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Le PDG de l'enseigne de grande distribution entre en campagne contre le projet de loi sur les seuils de revente à perte. Sur BFM Business, il a expliqué pourquoi selon lui cette mesure ne va pas permettre une meilleure rémunération des agriculteurs.
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L'indicateur de marge laitière Milc, créé par l'Institut de l'élevage, établit un bilan mensuel de la conjoncture. Il est également pris en compte dans les négociations commerciales entre transformateurs et distributeurs mais pourrait aussi servir à la négociation des prix entre producteurs et laiteries, voire entrer dans la création d'une compensation de marge en cas de crise.
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