Le développement durable est un concept politique mis en avant au Sommet de la Terre à Rio en 1992 suite au constat d’une dégradation des ressources naturelles à l’échelle mondiale. Il concerne toutes les activités humaines de tous les territoires de la planète. Parmi ces activités il en est une qui agit sur les trois piliers du développement durable : l’élevage laitier, du système de production agricole à l’assiette du consommateur. Cette exposition retrace l’ensemble des actions menées par les acteurs de la filière lait qui participent à la démarche du socialement acceptable et équitable, respectueux de l’environnement et économiquement viable.
Afin d’accompagner le développement des exportations françaises à l’international, le Cniel déploie un programme de communication ambitieux pour le fromage, la crème et le beurre. De nouveaux dossiers viennent d’être déposés auprès de la Commission européenne.
En 2017, le Cniel a budgété 5,2 millions d’euros pour la promotion des produits laitiers sur les pays tiers, auxquels il convient d’ajouter 3,2 millions d’euros de cofinancement européen. Ce budget bénéficie aux fromages, crème et beurre aux États-Unis, en Asie et au Moyen-Orient. Les programmes de promotion touchant à leur fin en 2018, nous venons de de déposer de nouvelles demandes pour la période 2018-2020.
Le Cniel publie le résultat d’une étude comparative de cinq tests rapides pour la détection des résidus de bétalactames et de tétracyclines dans les laits de citernes à la réception à l’usine.
Benoît Rouyer, directeur Économie et territoires du Cniel, est intervenu à la session Chambre d'agriculture du Morbihan. L'occasion de faire le point...
Pourquoi le prix du beurre flambe ?
Pourquoi le prix du lait au producteur ne remonte-t-il pas ?
Quid des stocks de poudre européens ?
Quel bilan de la réduction volontaire européenne ?
Quelles perspectives d’évolution de la collecte européenne en 2017 ?
Produits avec des vaches nourries à l’herbe, avec du foin ou des aliments sans OGM, les laits « verts » se développent en Europe. Le point avec Benoit Rouyer, économiste au Centre national interprofessionnel de l’économie laitière.
Cedric's insight:
Au Pays-Bas, les grandes surfaces et leurs fournisseurs subissent de fortes pressions sur le bien-être animal depuis le milieu des années 2000. Dans ce pays où une vache sur quatre ne sort jamais de l’étable, les défenseurs des animaux réunis sous la bannière Dier en Recht (Animal et droit) défendent l’élevage en plein air avec un mot d’ordre : « une vache dans une prairie est en meilleure santé ». Pour répondre à ces attentes, les producteurs ont lancé le lait de prairie Weidemelk.
En Grande-Bretagne, Waitrose commercialise depuis février 2016 uniquement du lait issu de vaches pâturant plus de 100 jours par an. L’an passé, un groupe d’éleveurs a créé un cahier des charges avec 180 jours de pâturage par an. Début février 2017, la structure regroupait un volume de 825 millions de litres de lait sous la marque « enjoy milk ». L’enseigne Asda vend du « free range milk » issu de vaches pâturant 180 jours par an depuis février 2017.
En Allemagne, le lait de prairie est une petite niche avec 1,6 % du marché du lait liquide en 2016 mais elle se développe rapidement. Les ventes ont progressé de 49 % en 2016 atteignant un volume de 55 millions de litres de lait.
En France, des réflexions sont en cours sur des cahiers des charges lait de prairie....
Benoît Rouyer, économiste au Cniel, revient sur la collecte et le prix du lait en France et en Europe pour le mois de janvier 2017. Il nous offre à la fin un focus sur le lait biologique en France.
Benoît Rouyer, économiste au CNIEL, revient sur la collecte et le prix du lait en France et en Europe. D'après lui, "Le retournement de conjoncture amorcé cet été se confirme". Il nous offre, en fin de conjoncture, un rappel sur les races laitières française.
Benoît Rouyer, économiste au CNIEL, revient sur la collecte et le prix du lait en France et en Europe pour le mois de novembre 2016. Il termine par un focus sur la consommation des produits laitiers dans le monde.
Thierry Roquefeuil vient d’être désigné comme nouveau président du CNIEL.
Il remplace Olivier Picot, président de la FNIL, qui devient vice-président, avec Dominique Chargé (président de la Fédération Nationale des Coopératives Laitières).
Thierry Roquefeuil et son équipe porteront le projet d’un CNIEL rénové qui a été décidé lors de l’assemblée générale tenue le 26 octobre.
Depuis début septembre, vous pouvez retrouver l’actualité de la filière laitière sur www.cniel-infos.com. L’Interprofession laitière vous propose en effet une nouvelle interface du site Cniel Infos, afin répondre de façon efficace aux besoins d’information des professionnels laitiers. Vous y trouverez des données réglementaires, économiques, scientifiques, etc.
Grand écart de valorisation entre la matière grasse et la protéine du lait : Benoît Rouyer, économiste au Cniel, revient sur la collecte et le prix du lait en France et dans le monde pour le mois de juillet 2017.
Découvrez le film Infolabo qui rappelle les principales fonctionnalités de cet outil. Plus de 2/3 des producteurs et laiteries utilisent déjà les services Infolabo, rejoignez-les ! Pour cela, rapprochez-vous de votre laboratoire interprofessionnel.
L'économie laitière en chiffres, éditée chaque année au printemps, présente une très large palette de données annuelles sur la production laitière, les échanges et les fabrications de produits laitiers en France, en Europe et dans le Monde.
Via CDI CDR Institut de Genech, IDELE Institut de l'Elevage
Le Cniel est l'interprofession du lait de vache, créé en 1974. Il rassemble producteurs, coopératives et industries privées dans le but de mener des actions collectives au service de la filière laitière. Oui, mais concrètement ? voici quelques exemples.
Mettre à disposition des entreprises et des producteurs, un suivi renforcé de la qualité du lait.
Tel est l’objectif du nouvel accord sur le paiement à la qualité du lait que vient d’entériner l’interprofession du bassin Auvergne-Limousin-Lozère. Le point avec Jean-François Ponsot, directeur du CRIEL.
Cedric's insight:
Le CNIEL vient de valider une modification de cet accord. Dans quel but ? Quatre grandes évolutions ont été proposées. D’abord, dans un souci d’équité, les coûts d’analyses seront répartis entre producteurs et transformateurs, qui deviendront du même coup copropriétaire des échantillons. Par ailleurs, l’augmentation des fréquences minimales d’analyse a été actée. Elles passent maintenant pour la plupart des critères, à une par semaine, à raison d’au moins une par décade. Il s’agit d’avoir une meilleure lisibilité sur la durée de la qualité du lait, et de simplifier le dispositif pour le rendre plus compréhensible. Enfin, les laboratoires vont procéder à une mise à jour de leur méthode et de leur matériel d’analyses. Qu’en-est-il de l’application de ces nouvelles règles sur le bassin Auvergne-Limousin-Lozère ? L’accord national se décline effectivement au niveau des bassins laitiers. En Auvergne-Limousin-Lozère, les acteurs de l’interprofession ont validé lors de leur assemblée générale de vendredi dernier un nouvel accord interprofessionnel. Cet accord modifie principalement deux points : une répartition à 50-50 des frais d’analyse entre les producteurs et les transformateurs. ...
Le 11 mai 2016, l’interprofession laitière nationale (Cniel) adoptait un nouvel accord interprofessionnel permettant d’harmoniser les modalités de détermination des critères analysés pour le paiement du lait.
Cet accord étendu par le ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation le 16 septembre 2016 rend obligatoire l’application des modalités à partir du 1er janvier 2017.
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