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In spite of the ban on European products – including dairy – entering Russia, the internal dairy industry seems to be on a firm footing in spite of some challenges, according to Andrey Oleynik, chairman of the board of directors 
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La Russie avait mis une condition rigide à ses importations indiennes que les produits laitiers proviennent d'entreprises ayant au moins 1000 animaux, selon le raisonnement que les grandes unités laitières doivent avoir un système adéquat en place pour vérifier la qualité des produits . La Russie vient d’accepter de lever cette condition. Un protocole d'importation devrait être signé prochainement avec le Service fédéral russe de surveillance vétérinaire et phytosanitaire, qui ouvrira la voie pour les fournitures indiennes de produits laitiers.
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Jusqu'à 11% de tous les produits laitiers en Russie sont des contrefaçons en 2015, selon Rosselkhoznadzor. Et cela peut monter jusqu'à 50% de certaines catégories de produits laitiers…
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Il ne peut pas y avoir de rebond des prix internationaux des produits laitiers avant l'année prochaine, selon Kevin Bellamy de la Rabobank. « Nous avions dit que les prix devraient s’améliorer dans la deuxième moitié de 2016, mais plus le temps passe, plus il devient difficile de voir les prix du lait rebondir ». Bellamy a souligné que les facteurs alimentant prix des produits laitiers peuvent changer très rapidement, mais la corrélation entre la faiblesse des prix des matières premières industrielles et les faibles prix des produits laitiers n’est pas de bon augure pour les produits laitiers. Bellamy a ajouté que si la Russie revient sur le marché européen, sa monnaie est tellement dépréciée que le pays ne pourra pas être un gros importateur : « le rouble est déprécié à un niveau où leur pouvoir d'achat serait très faible de toute façon. » En outre, il a déclaré que la Russie est un «client peu fiable »… Les Chinois ont eu jusqu’à 200.000 tonnes de poudre en stock, il en reste à peu près la moitié. La Rabobank estime que la Chine va revenir sur le marché mondial des produits laitiers dans la seconde moitié de l’année 2016. Mais l'ascenseur des prix internationaux des produits laitiers est tributaire d'autres facteurs, pas seulement une augmentation de la demande chinoise…
Cedric's insight:
Bellamy a affirmé que la question clé de cette année pour les producteurs laitiers européens sera celle des taux de change. « Nous avons vu beaucoup plus de lait sortir d'Europe, mais nous avons été en mesure d'exporter, grâce à la faiblesse de l'euro contre le dollar. » Avec l’arrêt des quotas, l’Europe cherche son niveau optimum de production, mais cela peut durer jusqu'à 2020 avant que l'Europe découvre la capacité laitière optimale de ses terres.
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La Russie serait prête à mettre fin à l'embargo portant sur les importations agroalimentaires en provenance d'Etats ayant imposé des sanctions à l'encontre du pays, si les Etats concernés retirent ces pénalités, a déclaré lundi Alexeï Oulioukaïev. Via les documentalistes des Chambres d'agriculture
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La première avait vu le jour il y a deux ans près de Voronej. Celle-ci, encore plus grande, appartient au même propriétaire russe. Un marché à fort ...
Cedric's insight:
Il y a deux ans, près de Voronej, ville située à un peu plus de 600 km au sud de Moscou, voyait le jour une monumentale ferme d’élevage regroupant quelque 2 500 bêtes. La plus grande exploitation de montbéliardes au monde. Une grande sœur encore plus impressionnante vient d’être créée non loin de là, abritant quelque 3 000 vaches en provenance, par convois routiers, des élevages de Franche-Comté. Les deux structures fonctionnent indépendamment l’une de l’autre mais appartiennent à un seul et même propriétaire
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4 filiales régionales de l’Iran Dairy Industries Company (IDIC, entreprise laitière nationale) - Pegah Fars, Pegah Téhéran, Pegah Golpayegan et Pegah Ispahan – vont pouvoir commencer à exporter leurs produits laitiers en Russie à compter du 20 Janvier. Les produits qui seront exportés en Russie vont inclure des produits laitiers en poudre, différents types de fromages et certains articles stérilisés. « La Russie est un marché important et une grande opportunité pour les entreprises iraniennes, suite aux sanctions contre le pays », a déclaré Ali Roomi, Directeur Général d’IDIC. La Russie est à la recherche de nouvelles sources de produits laitiers après l'interdiction des importations en provenance d'Europe, des États-Unis, Canada et Australie. L’organe de surveillance agricole de la Russie, Rosselkhoznadzor, a dit que l’inspection qualité était réussie…
Cedric's insight:
Et aussi : Russia gives green light for Iranian dairy factories to export products La Russie importe environ 4 milliards $ de produits laitiers chaque année et 1,5 milliard $ comprend divers types de fromage. Kaveh Zargaran, membre de la chambre iranienne de commerce, des industries, des mines et de l'agriculture, a déclaré que l'Iran est capable de fournir tous ces produits. Selon Zargaran, le chiffre annuel des exportations laitières de l'Iran se situe à 670 millions $ et si l'Iran parvient à entrer sur le marché russe des produits laitiers, le chiffre va augmenter considérablement. L'Iran a exporté des produits d'une valeur de 151 millions $ à la Russie entre Mars et Octobre l'année dernière. La part des produits agricoles est d’environ 80 M $. En d'autres termes, les produits agricoles représentent plus de la moitié de la valeur des exportations de l'Iran vers la Russie.
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Fermeture de deux usines en Russie: l'une à Tomsk en Sibérie, l'autre à Cheboksary en Tchouvachie autonome, sur la Volga. Les opérations de l'usine de produits laitiers de Cheboksary seront déplacées vers Kazan. L'usine produisait 40 250 tonnes de produits par jour. L'usine de Tomsk produisait 100 tonnes par jour, son activité sera répartie entre deux usines dans d'autres régions. « La réorganisation mettra fin à l'exploitation de la laiterie Tomsk pour consolider les capacités industrielles de Kemerovo et Krasnoïarsk. Les opérations de l'usine laitière Cheboksary seront redistribuées entre les installations existantes à Samara, Saransk et Kazan », a indiqué la compagnie. Danone explique que la raison principale de sa décision est la forte usure des équipements, une faible rentabilité et la baisse des ventes. L'investissement pour la mise en conformité avec les nouvelles normes de qualité et de sécurité écologique serait déraisonnable. « La rationalisation affectera 300 employés. »
Cedric's insight:
Et aussi : Mmm… Danone! Le groupe français ferme deux sites en Russie Néanmoins, le groupe français souligne qu'il n'envisage pas de renoncer à ses projets en Russie et investira 700 millions de dollars dans la modernisation de ses capacités de production d'ici fin 2017. Les deux usines qui vont être fermées sont les «rejetons» de la société russe Unimilk. En effet, en 2010, le groupe français a fusionné ses activités dans le secteur des produits laitiers frais avec le russe Unimilk. Après la fusion, le groupe Danone-Unimilk est devenu le leader des produits laitiers en Russie, indique Danone. Sur http://fr.sputniknews.com/economie/20151226/1020580940/danone-ferme-deux-usines-en-russie.html
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8 aspects de la crise : le Pétrole, les Sanctions, le Rouble, l’Inflation, les Taux d'intérêt, les importations de remplacement, le Chômage… et le Mécontentement ?
L'agriculture a profité du taux de change du rouble, des interdictions d'importation et des appels du gouvernement en matière d'autosuffisance pour des raisons de sécurité nationale, avec une croissance d'au moins 3% a déclaré M. Poutine lors d'une conférence de presse en Décembre. Mais la rapidité du changement et l'absence de concurrence se sont faites au détriment de la qualité. De nombreux produits locaux sont de qualité inférieure et l'industrie laitière est en proie à des suppléments d'huile de palme bon marché.
Cedric's insight:
Et aussi : Russia market filled with counterfeit meat Environ 67% de toutes les viandes en conserve et une grande partie de la production laitière sur le marché russe est contrefait, selon une étude réalisée par l'Union russe des industriels et entrepreneurs (RUIE). Sur http://www.globalmeatnews.com/Products/Russia-s-market-filled-with-counterfeit-meat
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Les fromages indiens n’apparaîtront pas de sitôt sur les étagères des magasins russes. La principale préoccupation de la Russie est la qualité du lait indien et la façon dont il est collecté. Suite aux sanctions envers les pays européens de 2014, les autorités russes avaient proposé aux entreprises indiennes de livrer leurs produits. La principale condition était que le producteur local avait au moins 1000 têtes de bovins laitiers. Mais pour l'Inde, cela signifie que la plupart des entreprises ne sont pas admissibles. Même le géant laitier indien Amul n'a pas fait le poids. Après étude minutieuse des pratiques locales de collecte et de transformation du lait, seules deux sociétés ont reçu le feu vert pour vendre à la Russie. New Delhi n’est donc pas pressé de signer le protocole final qui permettrait l’exportation de ses produits laitiers vers la Russie.
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Trente ans après la catastrophe, l’analyse d’un échantillon de lait produit en Biélorussie, près de la zone d’exclusion, contenait dix fois la quantité de radiation acceptée. Ce lait servirait à la production de fromages commercialisés en Russie. Des résultats inquiétants mais à confirmer.
Cedric's insight:
Et aussi : Certaines zones en France toujours contaminées par Tchernobyl
Sur http://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/20160426.AFP3380/certaines-zones-en-france-toujours-contaminees-par-tchernobyl.html Selon les données de l'IRSN, en 2015, un habitant des zones les plus touchées par les retombées de Tchernobyl (Est de la France) est presque sept fois plus exposé au rayonnement émis par le césium présent dans les sols, qu'une personne résidant ailleurs en France. Cette radioactivité persistante de certaines zones du territoire français se retrouvent dans des aliments. "C'est le cas du lait", précise Philippe Renaud. "Le lait produit sur ces zones est de l'ordre de huit fois plus contaminé que le lait du reste de la France".
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Les entreprises laitières russes ont menacé de cesser de fournir du lait aux magasins de la nation.
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« Nous sommes à -1% pour les exportations européennes de fromages hors Union européenne sur les 11 mois 2015 comparé à la même période en 2014, sachant qu'en 2014 nous avons exporté 7 mois vers ...
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Le 19 Janvier, Rosselkhoznadzor a permis à six entreprises laitières iraniennes d’exporter vers la Russie après les inspections de sécurité appropriées. « Il est prévu qu'au cours de la prochaine année [l’année iranienne commence le 21 Mars], l’exportation de produits laitiers iraniens en Russie atteindra au moins 500 millions $ à 800 millions $», a déclaré Reza Bakeri, cité par Mehr, l'agence de nouvelles de l'Iran.
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L’embargo alimentaire et les milliards de subventions publiques ont remis l’agriculture russe au goût du jour. Pourtant, elle reste le secteur le moins rentable du pays et les réels succès ne sont remportés que par les grands holdings agricoles créés bien avant les sanctions.
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Parmi les outsiders agricoles figure l’industrie laitière, en baisse depuis quatre ans : l’introduction de mesures économiques spéciales l’a complètement achevée. L’année dernière, les responsables ont beaucoup parlé de la priorité accordée à l’industrie laitière et lui ont promis monts et merveilles, car l’embargo alimentaire a libéré près d’un quart du marché. Mais un an plus tard, il s’est avéré qu’il était impossible d’accroître la production de produits laitiers - le pays manque cruellement de lait cru... « À cause du déficit, le volume de produits de contrefaçon a atteint près de 10-15%. La margarine est vendue sous le nom de beurre, le fromage est remplacé par un substitut », explique l’expert. Le financement annoncé lors de l’adoption du budget fédéral a également baissé pour passer de 25 milliards à 14 milliards de roubles (de 300 à 168 millions d'euros). Les productions fermières et paysannes affichent une légère hausse (2%), mais elles peinent à survivre sur le marché russe. « Elles sont intégrées dans les circuits du marché à des conditions désavantageuses, les usines et entreprises de transformation achètent les produits des fermiers pour un prix dérisoire. Ce travail devient peu rentable et les fermiers réduisent leur production »
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Depuis le mois d'août 2014, la Russie boycotte les importations de fromages de plusieurs pays, qui lui avaient imposé des sanctions pour son implication dans le conflit en Ukraine. Les amateurs restent sur leur faim et cherchent par tous les moyens de remplacer les centaines de milliers de tonnes de fromage qui faisaient les délices des Russes.
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La crise économique rogne les chiffres d’affaires, mais Glencore, Nestlé, Novartis, Holcim et d’autres tablent sur une reprise économique à plus ou moins long terme pour faire fructifier leurs investissements déjà effectués en Russie.... Depuis vingt ans, les sociétés suisses ont investi un total de 15 milliards de francs, d’après la banque nationale de Suisse. Un sixième de cette somme vient du géant de l’agroalimentaire Nestlé, présent depuis 20 ans en Russie avec aujourd’hui 9 usines et 10 000 employés. Dans un entretien récent au quotidien Vedomosti, le directeur général pour la Russie Maurizio Pattanrello concède une baisse du chiffre d’affaires en francs suisses, se dit incertain des deux prochaines années, mais assure en revanche que «Pendant les 20 prochaines années, la classe moyenne va se développer et consommera davantage de produits Nestlé».
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L'année dernière, l’interdiction des importations de produits laitiers mise en place, censée durer jusqu'à août 2015, a été étendue à août 2016. (Des rumeurs suggèrent que cela pourrait aller jusqu'à 2018.) Pourquoi s’en préoccuper ? Parce que l'interdiction de la Russie exerce une pression à la baisse sur les prix du lait dans le monde entier. Avant l'interdiction, la Russie était un grand importateur de produits laitiers y compris de fromage. Ils achetaient 25 000 Mt de fromage par mois selon l'analyste Nick Buyse de FCStone. « Le lait européen initialement concerné par les importations russes doit maintenant trouver une nouvelle destination», dit Buyse. « Donc l'UE sera beaucoup plus agressive dans l'exportation de poudres et fromages sur les marchés mondiaux, et rendra le marché très concurrentiel. » Voilà la mauvaise nouvelle pour les États-Unis : compétitifs sur le marché mondial de la poudre, nos prix du fromage sont beaucoup plus élevés que d'autres sur le marché mondial. En novembre, le prix du cheddar américain était 4,9% supérieur au prix du cheddar européen et 7,3% supérieur au prix du cheddar océanien.
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Pas d’emballement chez Danone. Le géant français de l’agroalimentaire table sur une croissance moyenne de ses activités de 5 % d’ici à 2020. Le groupe reste avare en détails sur les moyens concrets pour y parvenir. Tout juste affirme-t-il vouloir s’appuyer sur un retour de la croissance rentable de sa branche des produits frais.
Cedric's insight:
... et des investissements en Russie : Alors même que Danone finalise son investissement de 2,8 milliards de roubles (56 millions d’euros) dans la région de Tyumen démarré en 2013 pour la production de cottage cheese, 1 milliard de roubles (20 millions d’euros) va être investi dans la modernisation du site de Petmol. La modernisation et l’agrandissement se feront au travers de différents projets, dont le plus important (75 % de l’investissement) est d’harmoniser les procédés de transformation pour répondre aux standards de la nutrition infantile. http://www.rlf.fr/actualites/russie-danone-modernise-son-site-de-petmol:7EHYADO5.html
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