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Côtes d’Armor : Laïta inaugure sa nouvelle unité de lait infantile et de poudre premium - Laïta, 8e entreprise coopérative laitière d’Europe, filiale du Groupe Even, inaugure, le 1er décembre son unité high-tech de production de lait infantile et de poudre de lait premium à Créhen.
Cette nouvelle usine, qui allie performances techniques et environnementales, regroupe une tour de séchage d’une capacité de production de 30 000 tonnes de poudre et un atelier de boîtage, à destination principalement du grand export. Pour rester parmi les leaders mondiaux, Even investit « massivement ». La filiale Laïta, qui transforme aussi le lait de Triskalia et Terrena, bénéficie d’un investissement annuel de 6% du chiffre d’affaires, contre 2% il y a quelques années...
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Nestlé a annoncé une réorganisation de ses activités de nutrition infantile, qui ne seront plus gérées au niveau mondial mais régional à compter du 1er janvier 2018.
Le groupe, dont le portefeuille inclut les marques de lait pour bébé Nestlé Nidal et Laboratoires Guigoz, entend ainsi créer une structure "plus agile et plus efficace". "Nestlé pourra répondre plus rapidement aux préférences changeantes des consommateurs locaux, aux changements de réglementation et à la demande des clients". Les activités de nutrition infantile sont à la base de l'histoire du groupe, créé il y a 150 ans par le pharmacien allemand Henri Nestlé, installé en Suisse, qui avait mis au point une farine lactée pour bébé...
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La coopérative Maîtres laitiers du Cotentin (MLC), spécialisée dans les produits frais, acquiert une nouvelle compétence dans l’UHT. L’usine de Méautis, qui a nécessité un investissement de 116 millions d’euros, est dédiée au lait infantile UHT notamment... Démarrés en novembre 2015 sur un terrain de 20 hectares, les travaux de construction ont pris fin en avril dernier, mobilisant 13 hectares et laissant ainsi une surface disponible pour des extensions futures...
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Nestlé a fait part jeudi de son intention d'investir 30 millions de francs suisses (environ 26 millions d'euros) dans sa première usine de lait infantile en Russie, afin de diversifier sa gamme d'aliments pour bébés.
L'usine fera partie du complexe existant de Vologda, situé au nord de Moscou et désormais exploité par Nestlé depuis 14 ans, précise le groupe agroalimentaire suisse.
Selon Nestlé, cet investissement s'inscrit dans le cadre de sa stratégie ciblant les catégories à forte croissance du segment aliments et boissons, à savoir le café, la nourriture pour animaux, les aliments pour bébés et l'eau en bouteille.
L'usine sera opérationnelle en 2019.
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Inex reprend les laits de croissance vendus par Danone sous la marque Olvarit en Belgique. D’ici trois mois, les produits Olvarit repasseront sous la marque Bambix, abandonnée par Danone en 2013.
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La Chine investit 225 millions de dollars dans des produits laitiers canadiens pour aider à nourrir son baby boom : L'usine de de Feihe International, actuellement en construction à Kingston, en Ontario, prévoit de produire jusqu'à 60 000 tonnes d'aliments pour nourrissons chaque année, en utilisant du lait provenant de fermes canadiennes.
Les enjeux sont élevés. L'industrie laitière du Canada se prépare à une plus grande concurrence lorsque l'accord commercial de l'UE prendra effet en septembre. Le Canada est sous la pression des États-Unis et d'autres d'ouvrir son marché étroitement réglementé encore plus dans les prochaines négociations commerciales.
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Bellamy's est à nouveau en difficulté. Dans le même temps, les actions de son concurrent a2 Milk ont continué de progresser.
Avant sa suspension de l'ASX, les actions de Bellamy s’échangeaient à 6,74 $, moins de la moitié de son sommet d’août 2016 à un peu plus de 15 $. Parallèlement, les actions de a2 Milk ont plus que doublé d'un minimum de 1,71 $ en octobre 2016 à environ 3,77 $.
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Pékin a accrédité 100 sites de fabrication hors Chine, dont Isigny, et 80 en Chine, et passe actuellement à la moulinette les formules de production. « C’est 20 % du marché qui va disparaître », prédit Fei Luo PDG du groupe chinois Biostime. De quoi aiguiser l’appétit de l’opérateur qui est le numéro 6 chinois du lait infantile Premium (5,6 % du marché).
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Les actions de la société a2 Milk ont gagné 23 cents soit 7,7% à 3,20 $ et celles de Bellamy’s 24 cents soit 5.2% à 4,88 $. Afin de répondre à la demande, a2 Milk travaille avec Synlait Milk pour augmenter sa production. «La demande a été particulièrement forte en Australie et dans le e-commerce transfrontalier en Chine». Les ventes ont été plus fortes que prévu au cours des trois derniers mois, et celles du second semestre devraient être plus élevées encore.
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Tous les bébés ne sont pas allaités au sein. Certains sont nourris au lait infantile, qui diffère du lait maternel. C’est pourquoi des chercheurs planchent sur son amélioration.
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Leur job, c’est d’étudier notre estomac et nos intestins. Enfin plutôt ceux des personnes réputées fragiles comme les nouveau-nés ou les seniors. Les membres de l’unité de recherche « Science et technologie du lait et de l’œuf » de Rennes travaillent sur des mécanismes bien complexes qui pourraient s’avérer essentiels dans la mise au point d’un « lait infantile idéal ».
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Lorsque les choses tournent mal pour une entreprise, en généralement elles s'aggravent avant de s'améliorer - si jamais elles s'améliorent.
Il en va de même pour Bellamy's Australia, la société de lait biologique dont les actions se sont effondrées avant Noël, après avoir révélé que ses ventes en Chine s'étaient affaissées.
Bellamy’s a annoncé que le bénéfice d'exploitation se situerait entre 22 et 26 millions de dollars australiens, soit environ la moitié des 46 millions de dollars attendus par les analystes. Sans surprise, le cours de l'action a chuté de 40%, même si elle a remonté un peu depuis lors.
Fonterra a accepté de prolonger son contrat d'approvisionnement de cinq ans à huit ans. Mais avec une clause additionnelle qui permet à Fonterra de mettre fin à l'entente si une personne ou un groupe acquiert 30% ou plus des actions de Bellamy. Probablement pour dissuader les rivaux de Fonterra (comme Bega Cheese) de faire une offre publique d'achat…
Mais les problèmes de l'entreprise sont loin d'être terminés. Bellamy’s fait maintenant face à une révolte d'actionnaires pour renverser le conseil.
Ainsi, nous avons une entreprise qui est une cible potentielle de reprise, supervisée par un conseil qui se bat pour sa survie face à une révolte des actionnaires….
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Les malheurs du fabricant de préparations pour nourrissons biologiques Bellamy démontrent que la valeur ajoutée des produits laitiers n'est pas un jeu facile.
Depuis deux ans, la formule lactée bio de Bellamy en Australie est l'une des deux étoiles du marché chinois des préparations pour nourrissons. L'autre a été 'a2 Platinum' produit en Nouvelle-Zélande par Synlait pour a2Milk.
Ces dernières semaines, les affaires de Bellamy ont mal tourné. Cela a suscité des inquiétudes à travers l'industrie des préparations pour nourrissons. Il est maintenant évident que Bellamy avait perdu des parts de marché pendant quelques mois, mais les choses ont vraiment mal tourné au cours de la deuxième moitié de novembre.
Les problèmes de Bellamy viennent de la perturbation de la réglementation et la réduction des prix en Chine.
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La PME rouennaise, Nutriset, spécialiste de solutions alimentaires contre la malnutrition et la coopérative Isigny Sainte-Mère, spécialiste de la poudre de lait infantile à Isigny-sur-Mer (Calvados), s'associent pour produire des laits thérapeutiques à destination des programmes humanitaires. Ce partenariat, signé pour cinq ans, permettra d’aider les enfants malnutris partout dans le monde avec du lait de Normandie. Isigny Sainte-Mère, reconnue pour la qualité de ses poudres de lait infantile (200 formules différentes), produira les laits en poudre formulés par Nutriset, suivant un cahier des charges validé par les organisations des Nations unies telle que l’UNICEF...
Le contrat prévoit la livraison de 1 400 tonnes de poudres de lait thérapeutiques par an. Dans un premier temps. La coopérative pense que le volume représentera à terme "5 à 10% des volumes de poudre de lait infantile" produit à Isigny-sur-Mer.
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Laïta inaugure sa nouvelle usine de lait infantile et de poudre premium à Créhen.
L’outil regroupe une tour de séchage d’une capacité de production de 30 000 tonnes de poudre et un atelier de boîtage. « Il va permettre à l’entreprise coopérative de contribuer durablement à la valorisation du lait de 3 250 exploitations et au développement des territoires du Grand Ouest, en allant capter de nouvelles opportunités de marché en France et à l’international »... Initié en 2015 cet investissement s’inscrit dans un schéma global de 80 M€. Il offre à la filiale du groupe Even spécialisée dans la collecte, la transformation et la commercialisation de produits laitiers (2 750 salariés, 1,2 Md€ de CA en 2016) « un outil supplémentaire, créateur de valeur, pour faire face à la volatilité des marchés ». Laïta valorise chaque année 1,5 milliard de litres de lait.
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Nestlé chercherait à renforcer sa position sur le marché russe dans les préparations pour nourrissons en lançant sa première usine de production de nutrition infantile
Nestlé possède déjà 8 usines en Russie. « Cette nouvelle industrie nous permettra de renforcer notre position de leader sur le marché russe des préparations pour nourrissons en développant notre capacité à approvisionner les marchés intérieurs et d’exportation ».
La nouvelle installation sera opérationnelle d’ici 2019, dans l'objectif de doubler la capacité de production locale.
et aussi : Nestlé va investir 26 millions d'euros dans la construction d'une usine d'aliments infantiles
sur http://www.ria.fr/actualites/russie-nestle-va-investir-dans-la-construction-d-une-usine-d-aliments-infantiles-117147.html
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Les ventes d'aliments infantiles ne cessent de reculer en France. En cumul annuel mobile se terminant le 27 août, Iri les estiment à 715 millions d'euros, soit un repli de 3,6 %. En volume, la perte est de 3,4 %.
C'est notamment du fait de la baisse des naissances. 785 000 naissances ont été recensées par l'Insee en 2016 contre 799 000 en 2015 et 832 000 en 2010. Les ventes de laits infantiles en poudre chutent sur le même rythme, avec un recul de 3,4 % en valeur, à 314 millions d'euros, et de 3,5 % en volume. Les ventes de lait infantile premier âge sont celles qui affichent la plus mauvaise performance, avec un recul de 6,4 % en valeur (95 millions d'euros) et 5,9 % en volume, peut-être lié à une petite augmentation du taux d'allaitement maternel dans les premiers mois.
Les ventes de lait infantile deuxième âge reculent de 5,2 % en valeur et 5,6 % en volume. Enfin les ventes de lait de croissance en poudre, le marché le plus rémunérateur (148 millions d'euros) se maintiennent à flot en valeur (-0,5 %) mais s'effritent en volume (-2,9 %). Les ventes de laits de croissance liquides 18,5 % en valeur et 18,6 % en volume.
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La compagnie Feihe International Inc., un des leaders du lait pour bébé en Chine, est en train de construire une usine de production d'une valeur de 300 millions de dollars canadiens (234 millions de dollars américains) à Kingston, au Canada.
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La France accroît sa fabrication de lait pour la Chine, après les sites de production de lait en poudre lancés en 2015 et 2016.
La nouvelle usine de Maîtres Laitiers du Cotentin, basée à Méautis (Manche), qui représente un investissement de 114 millions d'euros, a expédié fin juin les deux premiers conteneurs de briquettes de 20 centilitres de lait infantile qui seront réceptionnées mi-septembre par le distributeur chinois Synutra. Cela dans le cadre d'un contrat portant sur la fourniture de 150.000 tonnes par an. En région Auvergne-Rhône-Alpes, l'usine Candia de La Talaudière (Loire) commencera à son tour fin juillet ses livraisons de lait infantile à ce nouveau client. Dans le cadre d'un contrat de dix ans renouvelable avec Synutra pour la fourniture de 450 millions de briquettes par an et au terme d'un investissement de 26 millions d'euros partagé entre Candia, Synutra et Tetra Pak.
Ces nouveaux marchés s'inscrivent dans le cadre de la démarche de sécurisation des approvisionnements des groupes de distribution de lait en Chine, après les scandales du lait à la mélamine, qui ont fortement ébranlé les consommateurs ces dernières années.
En 2015, la coopérative normande Isigny Sainte-Mère avait mis en service une nouvelle usine dans le Calvados, cofinancée à hauteur de 20 millions d'euros par le chinois Biostime, pour l'exportation dans ce pays de lait infantile en poudre. L'an dernier, c'est une usine bretonne de Sodiaal, basée, elle, à Carhaix (Finistère), financée (170 millions d'euros) par Synutra, l'un des grands acteurs de la nutrition infantile en Chine, qui a démarré ses livraisons de poudre de lait vers l'ex-empire du Milieu.
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Les Maîtres laitiers du Cotentin (MLC) viennent de lancer une nouvelle usine à Méautis (Manche), qui leur permet d'exporter en Chine dans le cadre d'un contrat signé avec le chinois Synutra, a-t-on appris vendredi auprès de la direction du groupe normand.
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Les exportations de formule de lait infantile de l’Irlande vers la Chine ont augmenté le mois dernier par rapport à mars 2016, l'Irlande étant la deuxième plus grande source pour les importations chinoises derrière les Pays-Bas. Elles sont en hausse de plus de 32% par rapport à l'année dernière, de 67,7% par rapport à la moyenne triennale.
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Restructuration stratégique : De nouveaux investissements feront de Synlait, de loin, le plus grand producteur néo-zélandais de préparations pour nourrissons.
Synlait va doubler ses capacités grâce à un contrat avec Tetra Pak, dans une nouvelle usine de mélange et d'emballage autonome, non seulement pour augmenter la capacité de sa formule pour nourrissons, mais aussi donner une certaine flexibilité avec le nombre de marques à vendre en Chine.
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la start-up BioNascent s’est lancée sur le marché du lait infantile fabriqué à partir de lait de vache, qu’elle entend « materniser » par adjonction de protéines humaines.
« Notre but ultime est de produire une formule infantile complète faite de protéines de lait maternel humain, plutôt que des protéines de lait de vache. Rien n’est meilleur que le lait maternel, c’est donc notre inspiration! » explique la start-up.
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Le serpent de mer du rachat de Mead Johnson par Danone pourrait avoir fait son temps. Cette nuit, l'américain a confirmé l'existence de négociations en vue d'un rachat par le britannique Reckitt Benckiser.
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La délégation de l’Union Européenne à Pékin informe que les autorités chinoises (Health Food Evaluation Center of CFDA) organisent une formation sur l’enregistrement des recettes de lait infantile le 20 janvier 2017 à Pékin (voir invitation attachée). La formation sera délivrée en langue chinoise exclusivement.
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