Catherine Begos est l'épouse de Christian, un éleveur du Finistère, endetté. Dans une lettre publiée par Ouest-France, elle dénonce les grandes surfaces et appelle les consommateurs à soutenir les fermes familiales.
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Catherine Begos est l'épouse de Christian, un éleveur du Finistère, endetté. Dans une lettre publiée par Ouest-France, elle dénonce les grandes surfaces et appelle les consommateurs à soutenir les fermes familiales. No comment yet.
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Alors que l’industrie agroalimentaire veut répondre seule aux besoins du consommateur, la Confédération paysanne propose une orientation des politiques agricoles vers le citoyen, avec une politique tournée vers l’alimentation de qualité.
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Cette semaine La Presse nous apprenait que, Les producteurs laitiers américains demandent à Donald Trump qu'il place dans son collimateur les pratiques «protectionnistes» du Canada dans ce secteur !
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Directeur de l’école de guerre économique à Paris, Christian Harbulot critique le manque de vision stratégique de la France pour son agriculture. Selon lui, les représentants agricoles doivent dépasser leurs divisions pour que les politiques puissent fixer un cap à la stratégie agricole.
Cedric's insight:
« L’agriculture n’est pas la loi du marché, c’est bien plus que cela. Les Etats-Unis, le principal concurrent de l’Europe, mais aussi la Chine, le Brésil et les autres grands pays agricoles ont défini une vision politique claire et ambitieuse pour leur agriculture. En Europe, les pays membres sont des partenaires qui sont divisés. L’agriculture y est considérée davantage comme un poids plutôt qu’une source de richesse.
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L’engouement croissant pour le lait bio, tant chez les consommateurs que les producteurs, va-t-il faire plonger la filière dans la crise ? L’avis de Christophe Baron, producteur dans le Morbihan et président de la coopérative Biolait.
Cedric's insight:
« tant que nous avons des appels de la société pour consommer plus de lait bio, il n’y a pas de crainte majeure à avoir. »
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L'expansion de la Nouvelle-Zélande est limitée par la disponibilité des terres, l'Europe se stabilise après l'élimination des quotas laitiers et les ambitions des États-Unis en matière d'exportation sont limitées par la croissance de la demande intérieure et le taux de change du dollar américain. Le commerce des produits laitiers est également susceptible de rester dominé par des routes régionales plutôt que mondiales, les accords de libre-échange influençant de façon significative les volumes. L'exception sera l'Asie qui continuera d'être un champ de bataille hautement compétitif pour les exportateurs du monde entier. Tout cela doit être compensé par les possibilités de renégociation ou d'annulation des accords commerciaux à la suite des résultats des élections américaines. En 2015, la croissance du commerce a été d’un maigre 0,3% de plus qu’en 2014. Au cours des trois prochaines années, la croissance du commerce des produits laitiers diminuera légèrement, en raison du fort dollar américain, des prix du pétrole bas, de l'embargo commercial russe et du ralentissement de la croissance chinoise. Mais peut-être même plus que ces dernières années, nous vivons dans des temps incertains où la nouvelle administration américaine, les relations avec la Russie, l'incertitude au Moyen-Orient, la performance économique chinoise, le Brexit et le sort du TPP et du TTIP peuvent avoir un effet majeur sur le commerce des produits laitiers.
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Certains s'inquiètent de la percée du bio dans la grande distribution, où les relations commerciales sont souvent tendues. La solution serait de réussir à contractualiser les relations entre producteurs bio et distributeurs. Un contrat qui inscrirait, noir sur blanc, les droits et les devoirs de chacun. L'Agence bio y travaille.
Cedric's insight:
Et aussi : La filière à un tournant… mais attention à ne pas déraper !
Sur http://www.lafranceagricole.fr/actualites/agriculture-biologique-la-filiere-aun-tournant-mais-attention-ane-pas-deraper-1,0,3388209400.html « Le bio n’est plus une niche mais une filière à part entière, qui a augmenté ses surfaces en production de 50 % depuis mon arrivée en 2012 », s’est réjoui Stéphane Le Foll, invité aux 9e Assises nationales de l’agriculture biologique à Paris, le 14 novembre. Mais pour le ministre, le combat n’est pas fini : « Nous sommes à un moment charnière. La bio est à un tournant : où va-t-elle aller ? Il faut se battre pour les spécificités de la bio, sinon elle court le risque de disparaître d’ici 15 ans », a averti le ministre, qui craint une dénaturation du bio, avec une production industrielle « hors-sol » avec « comme seul argument le « zéro pesticide » ».
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Le professeur Olivier de Schutter, enseignant à l’université de Louvain et à Sciences Po Paris, est catégorique : face à tous les freins à la transition vers un système agricole durable, il faut changer de mode de décision et privilégier la démocratie participative dans le monde agricole.
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Le nouvel accord de libre-échange entre le Canada et l’Europe aura certainement un impact sur la production de lait au Québec, mais Robert Coallier, chef de la direction d'Agropur, ne peut le quantifier pour l’instant. «On sait qu’il y aura moins de lait produit, et transformé dans nos usines.»
Cedric's insight:
Le lait comme tel demeure protégé dans l’entente de libre-échange, mais pas le fromage. Les pays européens pourront exporter plus de 17 000 tonnes de fromages supplémentaires au Canada, dont 40% de fromages fins. Or, le Québec produit 60% de ces fromages au pays. «La consommation de fromage au Québec ne va pas augmenter de 20% pour absorber cette offre plus grande venue d’Europe», dit Robert Coallier.
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L'agriculture ne cesse de se développer, se moderniser, s'adapter aux nouvelles technologies et à la société. Avec un objectif: la durabilité. Via les documentalistes des Chambres d'agriculture
Cedric's insight:
Alors quel portrait dresser de l'agriculteur de demain ?
On peut tenter d'imaginer la situation en 2050 : quelques éléments comme l'autonomie énergétique de l'exploitation et la banalisation de la technologie. Seule certitude : "l'agriculteur de demain sera un homme moderne, en cohérence avec son temps."
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Quels défis la filière agricole va-t-elle devoir relever pour pouvoir nourrir la population mondiale de demain ? Tel était le thème de la conférence organisée par Agrica en collaboration avec l'Isara et Acteurs de l'économie-La Tribune qui s'est tenu le 20 octobre à Lyon. Importance croissante des outils numériques, nécessité d'amélioration de la formation ou développement des circuits-courts sont autant de pistes qui dessinent ce que pourra être l'agriculture de demain.
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Après le Sénat, c’est l’Assemblée nationale qui a publié le 12 octobre 2016 un rapport sur la filière laitière, destiné à dresser « le bilan de la suppression des quotas ». La Commission des affaires étrangères a adopté à l’unanimité la proposition de résolution européenne proposée à l’issue de ce travail par les deux rapporteurs, les députés Yves Daniel (PS) et Hervé Gaymard (LR).
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Nécessité de conjuguer performance environnementale, économique et sociale, forte fluctuation des marchés agricoles, accroissement de la demande alimentaire mondiale, réchauffement climatique, aléas climatiques, nouvelles attentes sociétales en matière de produits et services, développement accéléré des nouvelles technologies de l’information et de la communication…, autant de facteurs de profonds changements pour l’agriculture que la R&D doit être en mesure d’anticiper, d’accompagner. C'est la raison pour laquelle le GIS Relance agronomique a lancé un exercice de prospective, qui a donné lieu à un colloque de restitution le 4 octobre 2016 à l'APCA.Télécharger le rapport final et la synthèse.
Via IDELE Institut de l'Elevage |
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Le rapport "Quel avenir pour l’agriculture ? Les 4 scénarios en 2040" esquisse ce que pourrait être l’agriculture française de demain en soulignant aussi ce qui pourrait correspondre à une "horreur agricole".
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L’Institut de l’Élevage-Idele a présenté sa vision stratégique à l’horizon 2025. L’association veut s’ouvrir pour construire en partenariat les avenirs de l’élevage des ruminants.
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La ferme des mille vaches située dans la Somme sur 8 hectares, aux portes d’Abbeville, a fait couler beaucoup d’encre. Un groupe d’éleveurs de la Manche, membres de la section lait de la FDSEA, a fait le déplacement pour se faire sa propre opinion.
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Pas de place pour les faibles :
« Les tailles critiques d’exploitation se situent autour de 200 à 500 vaches laitières. Au-dessus, on spécialise les gens ». Et c’est ce qui se passe pour la ferme des 1 000 vaches, avec à la tête une seule personne qui a le pouvoir de décision « afin d’être réactif » note-t-il. Aujourd’hui, Michel Welter s’interdit d’être dans l’émotionnel. « Il faut avant tout être méthodique. Il faut s’occuper d’un troupeau et non d’un animal. C’est d’autant plus vrai quand le prix du lait est faible ». C’est ainsi qu’après avoir visité des exploitations conséquentes dans d’autres pays, il est revenu avec l’idée de ne conserver que les meilleurs animaux. Il s’est donc séparé de 10 % du cheptel. « Il faut niveler vers le haut et non vers le bas notre outil de production ». Autrement dit, « il n’y a pas de place pour les faibles ». Et ce message n’est pas facile à entendre. Il en est conscient. Pour lui, c’est avant tout une question de culture...
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Selon Jean-Christophe Bureau, professeur d'économie à AgroParisTech, le secteur agricole et alimentaire français devrait s'inspirer des Pays-Bas pour retrouver sa place... D'abord, il faut agrandir les exploitations : les nôtres sont bien trop petites. Ensuite, il faut pousser les agriculteurs à repositionner leurs productions. Comme les produits de base ne leur rapportaient plus, beaucoup se sont spécialisés sur le très haut de gamme et les produits de niche, en mettant par exemple en avant le lien avec le terroir et les AOC. Mais cette stratégie fonctionne mal. D'abord, parce que le consommateur étranger ne comprend rien à nos labels. Mais surtout, parce que ces productions de niche ne correspondent pas forcément à la demande. Nos agriculteurs feraient mieux de s'inspirer des Néerlandais : eux misent sur les produits de grande consommation, et ils mettent le paquet sur la recherche, la transformation et le marketing. Cela leur permet de mettre en avant la qualité et la valeur ajoutée de ce qu'ils produisent. D'ailleurs, certaines filières le font très bien en France, comme celle du sucre.
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Le système alimentaire est aujourd’hui bien verrouillé. Contrôlé par quelques acteurs, mastodontes de l’industrie agro-alimentaire ou de l’industrie des semences et produits phytosanitaires, fédérations de gros agriculteurs, la voix des petits producteurs et des consommateurs a du mal à se faire entendre. Après de multiples scandales, vache folle, viande de cheval dans les lasagnes, crise du lait, la défiance de la population vis à vis du monde agricole grandit. Les mangeurs en quête de transparence se dirigent de plus en plus vers le bio et les circuits courts, qui jouent la carte du lien direct et de la confiance. Les “marginaux” commencent à s’organiser, inventent des alternatives pour contourner la mainmise de ces grands groupes en quête de profits. Face à ce constat et ces dynamiques à l’oeuvre, comment le système alimentaire pourrait évoluer dans les années à venir ?
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«Le problème de la France, c'est qu'on veut deux modèles : celui des grandes exploitations pour rivaliser avec les entreprises étrangères et celui du modèle familial», remarque Emmanuel Vasseneix. Ce dernier qui soutient, dans un même temps, que la distribution a «besoin de différenciation» dans un contexte marqué par une forte concurrence des plateformes de distribution numérique incarnées par la plus célèbre d'entre elles : le géant américain Amazon. Un chiffre inquiétant, cité lors d’échanges, interpelle. Près de 67 % des produits alimentaires seraient issus de 16 multinationales seulement. Cette concentration de l'offre empêche d'entrevoir pour l'heure l'équilibre tant revendiqué à la fois vis à vis des consommateurs et de ceux en amont de la chaîne.
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Marque « C'est qui le patron ?» : des résultats prometteurs Lancée fin octobre dernier en partenariat avec la laiterie de Saint-Denis-de-l'Hôtel, la marque « c'est qui le patron ? » semble donner des premiers signes encourageants.
Vendue à 99 centimes d'euros la brique, près de 800 000 tonnes de lait sur 2 millions produites ont d'ores et déjà été vendues à Carrefour en l'espace de 15 jours. « On va ouvrir d'autres points de vente», assure Emmanuel Vasseneix. Relatif à la rémunération des éleveurs, le contrat annoncé a bien été rempli. «La paie de lait du mois d'octobre affiche 388 euros les 1 000 litres pour les producteurs contre 270 euros en moyenne sur l'ensemble du territoire», indique le directeur de la laiterie. Depuis l'annonce de cette campagne de responsabilisation du consommateur, Emmanuel Vasseneix affirme avoir relancé une dynamique positive de consommation du lait en France.
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Le groupe de travail sur les marchés agricoles a remis son rapport à la Commission ce matin, le 14 novembre 2016. Les douze experts proposent notamment d’adopter des règles au niveau de l’Union pour remédier à certaines pratiques commerciales déloyales ou de recourir à un arbitre.
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Cinq axes dans le rapport :
Le groupe de travail sur les marchés agricoles a notamment formulé les recommandations suivantes : •L’obligation de notifier les prix et de fournir des données plus harmonisées et plus à jour pour améliorer la transparence du marché ; •Face aux pratiques commerciales déloyales, l’établissement d’une législation cadre européenne avec des contrôles efficaces de son application dans les États membres. Le rapport contient aussi des recommandations sur les contrats écrits obligatoires pour apporter davantage de visibilité aux agriculteurs ; •Des règles en matière d’organisation collective et de concurrence [qui] devraient être claires et fonctionnelles ; •La mise en place avec la BEI (Banque européenne d’investissement) d’un mécanisme de garantie des crédits à l’exportation ; •L’amélioration des outils existants de gestion des risques. « Les marchés à terme offrent aux agriculteurs un outil supplémentaire, mais il faut déployer davantage d’efforts en matière de sensibilisation et de formation ».
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La parution récente de deux études consacrées à l’alimentation du futur apporte une vision un peu plus claire de ce que nous devrions manger demain et de la façon dont nous allons nous procurer de la nourriture et nous nourrir. Or, derrière l’alimentation de demain, il y a bien entendu l’image de l’agriculture de demain qui se dessine.
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Le rapport du français Eric Andrieu, « Comment la Pac peut-elle améliorer la création d’emplois dans les zones rurales » a été adopté jeudi par le Parlement européen.
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Fin août dernier, plus de 400 agriculteurs bloquaient les routes menant à l’usine Lactalis de Laval afin d'obtenir « un juste prix du lait ».La fin des quotas laitiers est-elle à l'origine de cette crise? Quel rôle joue la baisse de la demande chinoise? Que peut/doit faire l'Europe?
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Quel avenir pour l’agriculture et le système de recherche et développement agricole français ? Quatre scénarios pour débattre. Près de 200 personnes ont assisté, mardi 4 octobre, dans les locaux de l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture (Apca) à la restitution d’un projet de recherche sur l’avenir de l’agriculture et du système de recherche et développement (R&D) français à l’horizon de 2025. Via les documentalistes des Chambres d'agriculture
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Alors que montent partout dans le monde des oppositions à une mondialisation capitaliste fondée sur le dumping social, environnemental et plus de destruction de biens produits comme de capital productif, le Fonds monétaire international (FMI) affirmait dans une récente déclaration que « l’économie mondiale a bénéficié de manière formidable de la mondialisation et des changements technologiques. Cependant, les perspectives sont de plus en plus menacées par des politiques économiques contrées sur des préoccupations d’ordre interne, y compris des mesures protectionnistes, et à cause d’une panne des réformes structurelles», grince le FMI. Mais qu’en est-il réellement ? Voyons comment les choses se passent dans le secteur agricole. |