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Les objectifs 2023 de Danone sont revus à la hausse : Sur les neuf premiers mois de 2023, le chiffre d’affaires progresse de 7,6% (hors Russie) :
+7,2% pour Produits laitiers frais et d'origine végétale EDP ("Essential Dairy & Plant-based products"), notamment en Europe
+7,4 % pour la nutrition médicale, notamment en Chine avec les laits infantiles qui sont dynamiques
+9,3% pour les eaux.
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Le groupe laitier a vu son bénéfice net chuter au premier semestre de plus de 94%, pour atteindre 8 millions d’euros. Cette baisse s’explique principalement par un prix du lait payé par FrieslandCampina aux producteurs laitiers beaucoup plus élevé que les prix du marché, qui ont fortement baissé…
La société laitière néerlandaise FrieslandCampina (Cécémel, Campina, Joyvalle, Fristi…) va faire l’objet d’une réorganisation majeure. Le groupe, qui possède plusieurs sites de production en Belgique, prévoit de réduire ses dépenses de 400 à 500 millions d’euros par an, a-t-il annoncé vendredi. Des emplois seront également supprimés…
Avec cette réorganisation, le groupe souhaite améliorer sa rentabilité et se concentrer davantage sur une croissance durable. On ignore encore le nombre d’emplois qui disparaîtront. Les économies prévues seront précisées dans les mois à venir. L’ensemble de l’entreprise doit procéder à des réductions de coûts…
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Avec les dividendes le prix final monte à 9,22 NZD (389 €/1000 litres).
Un paiement supplémentaire de 50 cents néo-zélandais par action sera versé. Plus tôt, les membres ont déjà reçu 50 cents néo-zélandais suite à la vente de ses activités chiliennes…
Au total, la coopérative a collecté 1,48 milliard de kg de solides laitiers l'année dernière. Le bénéfice après impôts de 1,577 milliard de dollars néo-zélandais a augmenté par rapport à l'année précédente de 994 millions. Hors gain net sur cessions, le bénéfice normalisé après impôts s'est élevé à 1,329 milliard de dollars, en hausse de 738 millions sur un an. Le rendement du capital de Fonterra pour les 12 derniers mois était de 12,4%, contre 6,8% pour la période comparable…
Pour l’avenir, la prévision du prix du lait pour 2023/24, de 6,00 à 7,50 dollars néo-zélandais par kg de matière sèche, avec une médiane de 6,75 dollars néo-zélandais, reflète une baisse de la demande de lait entier en poudre de la part des principales régions importatrices…
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Le groupe Savencia publie ses résultats du premier semestre 2023. Le chiffre d’affaires affiche une progression organique de 14%, mais le bénéfice baisse comme les cours mondiaux. Le résultat courant recule de 11% Le bénéfice net du groupe passe ainsi de 71 à 51 millions d'euros.
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La société tunisienne Délice Holding a réalisé au terme du premier semestre 2023 un résultat net en progression de 72,19% par rapport au premier semestre 2022, selon les états financiers intermédiaires arrêtés au 30 juin 2023…
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Arla Foods a revu à la baisse ses prévisions de ventes pour l'année, expliquant que l'inflation et l'augmentation du coût de la vie en Europe incitaient les consommateurs à acheter moins de produits laitiers ou des produits laitiers moins chers pour réduire les coûts…
Les volumes de beurre Lurpak, une marque haut de gamme vendue dans 95 pays, ont chuté de 6,6%, tandis que la quantité de fromage Castello vendue a diminué de 4,4% par rapport à l'année précédente. Malgré cela, les ventes en valeur ont augmenté au cours du premier semestre, en raison de la hausse des prix. Le bénéfice avant intérêts et impôts a chuté de 36% par rapport à l'année précédente…
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Saputo reporte l’atteinte d’une cible financière de son plan stratégique tandis que l’industrie des produits laitiers est trop volatile. La société montréalaise ne s’engage plus à faire le bénéfice prévu au cours de l’exercice 2025, clos à la fin mars 2025…
« La cible de 2,1 milliards est toujours la même. Nous avons confiance en notre plan et en notre capacité de réaliser efficacement les projets que nous nous sommes fixés. Ce n’est pas l’enjeu. C’est l’imprévisibilité du marché relativement au prix et à la confiance des consommateurs, qui nous amène à repousser l’échéance. »…
Les revenus de Saputo ont diminué de 2,8% pour s’établir à 4,2 milliards. Le bénéfice net a totalisé 141 millions, en hausse par rapport aux 139 millions enregistrés l’an dernier. Le bénéfice ajusté dilué par action s’établit à 36 cents…
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Le chiffre d'affaires de Danone devrait atteindre, en données comparables, «la fourchette haute» de l'objectif de croissance pour 2023, fixé entre +4 et +6%...
Danone a réalisé 14,2 milliards d'euros de chiffre d'affaires au premier semestre (+6,3%) et son bénéfice net part du groupe est repassé au-dessus de la barre du milliard d'euros (+48,2%). La croissance est toujours tirée par la hausse du prix de ses produits, comme les yaourts Activia, les eaux Evian et Mizone ou encore les pots pour bébé Blédina, avec une augmentation des prix de 9,4% sur le semestre. Danone a «absorbé un tiers des coûts liés à l'inflation» et a répercuté les deux tiers restants en augmentant le prix de vente de ses eaux ou yaourts…
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L’année sera maigre pour le géant du lait FrieslandCampina. Les bénéfices ont chuté au cours des six derniers mois en raison de la forte baisse des prix du lait et de la diminution des achats de lait de marque par les consommateurs…
« Les résultats du premier semestre ne sont pas à la hauteur de ce que l’on peut attendre de FrieslandCampina. » Bien que le chiffre d’affaires net ait augmenté de 4,6 % pour atteindre 6,9 milliards d’euros, les résultats sont sous haute pression en raison de la forte baisse des prix des produits laitiers de base et de la diminution des volumes. Le bénéfice net a même diminué de 94,2 % par rapport au premier semestre 2022, pour atteindre 8 millions d’euros. Les branches Food & Beverage et Trading ont enregistré des résultats particulièrement faibles : FrieslandCampina a payé ses membres producteurs laitiers plus cher que la valeur du lait au moment de la vente…
Les prix du marché pour le fromage et le beurre, en particulier, ont chuté rapidement au début de l’année, tandis que les volumes ont également baissé. Pour le second semestre de 2023, FrieslandCampina prévoit un rapprochement des prix, mais les volumes resteront sous la pression de l’inflation et de la perte du pouvoir d’achat des consommateurs…
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La saga continue chez Isigny Sainte-Mère. Malgré le contexte inflationniste, elle maintient son résultat net et poursuit ses investissements…
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L’Observatoire de l’endettement et des trésoreries vient de livrer ses résultats pour les clôtures d’été 2022. La situation financière des élevages de bovins laitiers s’est globalement améliorée, mais un quart d’entre eux reste en situation critique…
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Les produits laitiers et la viande bovine vont pouvoir expérimenter un étiquetage renseignant sur la rémunération des producteurs…
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En 2022, « l’augmentation des prix agricoles a profité aux producteurs qui ont retrouvé des marges positives par rapport à leurs coûts de production, que ce soit pour le lait, les céréales et dans une moindre mesure le porc et les volailles. La principale exception demeure l’élevage bovin qui, malgré la hausse des prix, demeure assez loin de deux smic par UTH. Ces chiffres sont bien entendu des moyennes et ne peuvent cacher la grande hétérogénéité des exploitations agricoles françaises (…) » selon Philippe Chalmin… « Mais une chose est claire par contre : l’amélioration de la situation agricole n’est en aucune manière liée à un « partage plus favorable de la valeur ajoutée », comme le célèbrent nombre de discours depuis les Égalim. Les hausses de prix sont celles de marchés mondiaux et européens que subissent l’ensemble des acteurs des filières… Certes, l’approche de l’OFPM reste principalement limitée aux canaux de la GMS et ne tient compte ni de la restauration, ni des circuits courts et directs. Mais la crise que connaissent les produits de l’agriculture bio (notamment pour les produits laitiers) montre bien les limites de ces créneaux lorsqu’ils ne restent pas des niches. »
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A fin septembre, le chiffre d’affaires de Savencia Fromage & Dairy est en progression de 6,5% à 5,01 milliards d'euros contre 4,71 milliards d'euros il y a un an…
• 11% de croissance organique sur 9 mois
• A taux de change et périmètre constants, le chiffre d'affaires des Produits Fromagers progresse à fin septembre de 8,8% à 2,9 milliards d'euros.
• Le chiffre d'affaires des Autres Produits Laitiers croit de 15,3% en organique à 2,27 milliards d'euros.
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La hausse des prix, visible dès le printemps 2022, a porté le chiffre d'affaires des enseignes en France. Toutes les enseignes alimentaires voient leur chiffre d'affaires progresser, sauf Géant Casino et Monoprix. Tous les formats progressent, mais l’alimentaire progresse plus vite que la moyenne (+6,9%)…
Autre symbole de ce retour à la normalité, c’est le retour vers les magasins physiques et l'e-commerce qui boit le bouillon. La dégringolade attendue a bien eu lieu : les ventes e-commerce de produits déclinent de 7% sur un an en 2022, avec un volume de transactions en baisse de 3%...
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Fait notable, le groupe coopératif laitier MLC (La Mère Richard, Réo, Yo’Gourmand etc.) voit baisser sa collecte de 0,5 % à 469,8 millions de litres de lait, « la première fois dans l’histoire de notre coopérative (642 fermes dans la Manche) »… Maîtres Laitiers du Cotentin annonce un résultat 2022-2023 en légère baisse à 17,6 millions (19,4 millions en 2021-2022) tandis que le chiffre d’affaires du groupe progresse à 2,359 milliards (1,968 milliard sur l’exercice précédent)… D’ici à 2025, le groupe coopératif laitier vise 78% de sa collecte laitière en lait de pâturage non OGM, lait bio et AOP…
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Mengniu a déclaré un bénéfice d'exploitation de 3,27 milliards de yuans (environ 455 millions de dollars) au premier semestre de l'année 2023, soit une hausse de 29,9% en glissement annuel…
Son chiffre d'affaires s'est élevé à 51,12 milliards de yuans, marquant une croissance de 7,1% par rapport à l'année dernière. Le secteur du lait liquide a contribué à hauteur de 41,64 milliards de yuans au chiffre d'affaires, tandis que le secteur des crèmes glacées a gagné 4,21 milliards de yuans. Durant cette période, le chiffre d'affaires généré par le secteur du fromage a grimpé d'à peu près 314% sur un an à 2,26 milliards de yuans.
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Le chiffre d’affaires combiné des 20 plus grandes entreprises laitières mondiales a bondi de 7,4% en dollars américains, après le gain de 9,3% de l’année précédente. En euros, le chiffre d'affaires combiné a augmenté de manière significative de 21%. Dans l'ensemble, seules cinq entreprises occupaient la même position que l'année dernière, ce qui indique un remaniement sur l'ensemble de la liste.
La coop américaine DFA s’empare de la 2ème place, devant Nestlé et Danone qui reculent d’une place. Arla devance Friesland, mais toutes 2 grimpent légèrement. Le chinois Yili assure sa position face à Mengniu qui décroche un peu et Fonterra passe derrière eux. L’indien Amul devance Savencia et Sodiaal décroche plus fortement. La coop irlandaise entre dans le Top 20…
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En attendant le top 100 mondial de Rabobank, voici celui de l’Amérique du nord, en fonction des ventes 2022…
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Le groupe Bel vient de publier des résultats en forte progression sur le premier semestre 2023. Le bénéfice net du groupe a bondi de 61,8 % à 55 millions d’euros, pour un résultat opérationnel qui a également fortement progressé de 57,1 % à 108 millions d’euros. La marge opérationnelle courante de Bel atteint désormais 6,4 %, contre 4,7 % au premier semestre 2022… Le premier semestre 2023 du groupe Bel est marqué par une forte progression de ses résultats financiers, portés par une croissance organique « solide ». Son chiffre d’affaires s’est élevé à 1,790 milliard d’euros (+6,3 % comparé au premier semestre 2022, dont +9,1 % de croissance organique). En Europe, ses ventes sont en progression de 7 %... « L’activité en Europe a été marquée par la bonne performance de Babybel au Royaume-Uni et a été soutenue par les revalorisations de prix, qui compensent une baisse de la consommation en volume, du fait de la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs ». Toutefois, sur cette zone comme en Afrique du Nord, les performances en volume sont en recul du fait d'une inflation qui s'est intensifiée et qui impacte le pouvoir d'achat des consommateurs…
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Le prix moyen du lait irlandais pour 2023 devrait désormais être inférieur de 25 % à la moyenne de l'année dernière, selon l'évaluation de mi-année de Teagasc…
Le rapport montre que le revenu moyen des exploitations laitières devrait être de 70 000 € en 2023, contre plus de 150 000 € l'année dernière. Le coût total moyen de production de lait par litre en 2023 devrait être similaire à celui de l'année dernière à 36c/L…
En 2023, Teagasc a déclaré que la ferme laitière irlandaise moyenne devrait voir une marge nette de près de 9c/L, soit une baisse de plus de 60 % par rapport au niveau de 2022…
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L’analyse économique de la répartition du prix final d’un litre de lait est presque toujours biaisée. Les deux principales propositions du monde syndical agricole sont, non seulement anti-économiques, mais vont profondément à l’encontre des intérêts de la profession…
L’entrepreneuriat ne peut fonctionner correctement que si les prix sont vrais, et si les quantités ne sont pas manipulées par des quotas. Un quota n’est qu’une aide temporaire et maladroite qui ne bénéficie jamais au consommateur et qui ne profite aux producteurs que l’espace d’un instant…
Une partie de l’empressement à supprimer les quotas était de permettre aux exploitations laitières européennes les plus efficaces d’augmenter leur production et de participer à la demande mondiale croissante de produits laitiers…
Si le gouvernement voulait sérieusement sauver la filière laitière – ce dont nous pouvons douter au regard du contenu insensé de la loi Egalim – il faudrait immédiatement et massivement défiscaliser le secteur, comme, du reste, le reste de l’économie…
Si le consommateur n’est prêt à payer que 90 centimes le litre, il est parfaitement impossible de donner aux agriculteurs les 55 centimes dont ils ont besoin. Il faudrait donc drastiquement diminuer les coûts des facteurs de production des agriculteurs, des entreprises agro-alimentaires et des grandes surfaces d’au moins 10 à 15 centimes…
Il n’existe que deux recettes économiques éprouvées en la matière. La première est l’augmentation de l’intensité en capital, ce qui prend des décennies et réclame énormément de capital. La seconde est une baisse massive des impôts en tous genres payés par tous les acteurs de la filière…
Dans un tel contexte, l’exploitant est seul face aux forces de marché et face à l’État. Il a été trompé jusqu’en 2015 sur l’état réel de la demande de lait par l’existence des iniques quotas de l’Union européenne. Il existe cependant un espoir qui est de transformer le lait en un autre produit à forte valeur ajoutée…
Kolkhoze ou marques ? Les AOC, AOP et IGP jouent le même rôle qu’une marque de luxe en restreignant la production potentielle. Le fromage n’est évidemment qu’un exemple parmi d’autres dérivés possibles, et de très nombreux agriculteurs font déjà d’énormes efforts pour essayer d’écouler leurs produits à travers des coopératives. Le « secret » n’est pas dans l’industrialisation, mais dans la différenciation des produits : personne ne peut faire du Beaufort en dehors de la zone…
Ce ne serait pas une solution instantanée – il a fallu des décennies pour que Beaufort établisse sa suprématie économique – mais elle aurait le mérite de ne pas distordre le marché une fois de plus en créant de faux droits, tout en flouant le consommateur et le contribuable…
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Après seulement six mois, la phase de profit se termine…
Les coûts de production, toujours très élevés, ont légèrement diminué de 1,02 centime à 46,68 centimes le kilogramme de janvier à avril 2023. Cela s'explique principalement par la légère baisse des prix des engrais et des aliments composés pour le bétail.
Cependant, comme les prix du lait ont chuté dans le même temps de 11,80 cents ou 21% à 45,11 cents le kilogramme, les coûts de production en avril 2023 ne pouvaient plus être couverts avec un rapport prix-coût moyen national de 0,97. En janvier 2023, le rapport prix-coût était encore de 1,19…
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Si l’on se réfère aux valeurs IPAMPA publiées par Agreste (factures d’achats d’avril), le point d’équilibre moyen du Groupe Cogedis se stabilise autour de 424 €/1000 l. Le point d'équilibre prévisionnel est donc encore couvert par le prix de vente du lait et la trésorerie reste donc positive de 66 €/1000 l…
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[Diaporama] Observatoire de l’endettement et des trésoreries des élevages bovins
Le revenu disponible s’améliore partout, en moyenne toute zone, à 38 700 €/UTH f/an. Ce qui permet de dégager une marge de sécurité et améliorer les prélèvements privés. La part d’exploitations en situation critique diminue à moins de 25%... L’Observatoire de l’endettement et des trésoreries, instauré en 2015, permet d’avoir un suivi régulier des résultats des exploitations bovines depuis 2013… Le suivi est réalisé annuellement sur la base de deux échantillons, représentant chacun une période de clôture : les clôtures dites « d’hiver » (octobre - décembre) et celles « d’été » (mars - juin). Les élevages sont répartis sur 4 bassins : le « Grand-Ouest », le Cantal (zone « Montagne »), la Saône et Loire (en bovins viande, pour le bassin Charolais ‘’historique’’) et la Dordogne (en bovins lait). Le suivi des exploitations est réalisé grâce aux partenariats durables, entretenus avec 4 centres comptables : Cerfrance Alliance Massif Central, Cerfrance Dordogne, COGEDIS et GIE Entr’AS.
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