Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
Cedric
|
La Cour de justice européenne vient de statuer que les produits végétaux ne peuvent être commercialisés comme des « produits laitiers ». Les termes «lait», «crème», «beurre», «fromage» et « yaourt » se limiteront à décrire uniquement les produits d'origine animale. Il n'y a que quelques exceptions spécifiquement définies, comme le terme anglais «cream»….
|
Scooped by
Cedric
|
Sous l’injonction de Bruxelles, les Pays-Bas doivent sortir de la filière 160 000 vaches cette année. À partir de l’an prochain, la production sera encadrée par des quotas phosphates....
|
Scooped by
Cedric
|
Les acteurs de la sélection et le représentant du ministère de l’Agriculture ont précisé les modalités du Règlement zootechnique européen. 2017 sera l’année de l’évolution du dispositif génétique, pour se conformer au nouveau Règlement zootechnique européen (RZE). Les futurs organismes de sélection (OS) « porteront l’ensemble des missions qui contribuent à l’amélioration génétique, missions qu’elles pourront réaliser en interne ou déléguer à d’autres entités. [Ils] seront autonomes dans leurs décisions et devront ensemble piloter le futur dispositif génétique ». Les calculs d’index seront repris en main collectivement par Races de France, Allice (ex UNCEIA) et la Confédération nationale de l’élevage, et l’Inra continuera à assurer la recherche en génétique, ainsi que l’hébergement et la maintenance des bases de données.
Le soutien public se bornera au contrôle de la fiabilité des données génétiques, et au financement de l’hébergement de la base de données. Quant à l’Institut de l’élevage, il devrait évoluer vers « un institut prestataire dans son rôle d’expert », avec une réorganisation de son pôle génétique.
En 2015, l’Eurobaromètre sur les attitudes des Européens à l’égard du bien-être des animaux a montré que les citoyens de l’UE considèrent le bien-être animal comme une question très importante et que l’UE a un rôle à jouer suer le sujet, en coopération avec les États membres et les opérateurs économiques. « L’objectif de la Plateforme sera d’encourager le dialogue entre les différentes parties prenantes sur les questions de bien-être animal. Elle devrait se concentrer sur une meilleure application de la règlementation de l’UE sur le bien-être des animaux. La plate-forme sera le facilitateur pour le développement et l’utilisation d’engagements volontaires sur le bien-être animal par les entreprises « .
Via IDELE Institut de l'Elevage
|
Scooped by
Cedric
|
Un demi-million de vaches laitières hollandaises ont un gros problème. Si les Pays-Bas ne parviennent pas à trouver un moyen de gérer les excréments qu'elless produisent, les règles environnementales de l'Union européenne signifient qu'elles devront être tuées.
Si ces vaches sont abattues, cela enlèverait environ un tiers des vaches laitières aux Pays-Bas, ce qui ne serait pas une bonne nouvelle pour le secteur laitier; L'industrie laitière hollandaise avait une valeur de production de 7 milliards d'euros (7,4 milliards de dollars) en 2014, dernière année disponible pour les enregistrements.
|
Scooped by
Cedric
|
Règlement zootechnique européen. Certaines races s’orientent vers plusieurs Organismes de sélection (OS). Seront-ils capables de mutualiser l’évaluation génétique ?
|
Scooped by
Cedric
|
Le décret du 5 décembre 2016 modifie la nomenclature des Installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE) et le code de l’environnement. Désormais, le régime d’enregistrement est applicable aux veaux de boucherie et/ou de bovins à l’engraissement. Seuls les élevages de plus de 800 animaux présents simultanément sur site sur une durée de 24 heures relèvent du régime de l’autorisation. L’autorisation simplifiée ne concerne que les élevages comprenant entre 401 et 800 bovins. Pour les élevages comprenant 50 à 400 animaux, la simple déclaration est exigée.
Les mêmes modifications s’appliquent aux vaches laitières. Le régime d’autorisation n’est applicable que si le cheptel est supérieur à 400 animaux.
|
Scooped by
Cedric
|
Depuis l'adoption de sa loi sur le réchauffement planétaire en 2006, la Californie a réduit les émissions de carbone des voitures, des camions, des maisons et des usines, tout en stimulant la production d'énergie renouvelable. Le principal État laitier du pays cible désormais les gaz à effet de serre produits par les vaches laitières.
La nouvelle loi vise à réduire les émissions de méthane des élevages à 40% sous les niveaux de 2013 d'ici 2030.
Les producteurs laitiers disent que les nouvelles réglementations augmenteront les coûts alors qu'ils sont déjà aux prises avec cinq années de sécheresse, les bas prix du lait et la hausse des coûts de la main-d'œuvre. L'industrie laitière pourrait être contrainte de déplacer sa production vers les États et les pays où les réglementations sont moins nombreuses.
Les émissions entériques - le méthane produit par le système digestif – peut être limité via l’alimentation du bétail. Mais l’essentiel est dû au fumier, qui représente environ un quart des émissions de méthane de l'État. Les agriculteurs peuvent réduire leurs émissions grâce à des digesteurs qui capturent le méthane provenant du fumier dans de grands réservoirs de stockage et transforment le gaz en électricité. L'Etat a réservé 50 millions de dollars pour les aider à installer des digesteurs, mais les agriculteurs disent que ce n'est pas assez pour les équiper tous…
|
Scooped by
Cedric
|
La Rabobank s’alerte de la menace qui plane sur la dérogation à la directive nitrates des Pays-Bas. Elle pourrait mettre à mal près d’un tiers de leur production laitière. Selon la Rabobank, Martijn van Dam, le ministre néerlandais de l’agriculture, annonçait le 13 octobre dernier l’abandon de l’accord sur les permis phosphates, visant leur réduction. « Après des années d’argumentation et de négociation », l’échec s’explique par une incompatibilité avec la réglementation européenne sur les aides d’État. Cet abandon sur les phosphates remet en cause une dérogation chère aux Pays-Bas : celle qui les autorise à un seuil de nitrates supérieur au reste de l’Europe. En fonction de la variation de productivité par vache, la restriction pourrait correspondre à une réduction de 500 000 têtes, soit 30 % du troupeau national. L’équivalent de 3,5 millions de tonnes de lait seraient perdues. Les conséquences toucheraient les exploitants agricoles, mais également l’industrie de transformation.
|
Scooped by
Cedric
|
Le système de quotas pour les allocations de phosphate du gouvernement néerlandais a été rejeté par la Commission européenne comme illégal. Le troupeau laitier néerlandais devra être réduit de 100.000 vaches, soit 8% du cheptel total, pour respecter les limites environnementales européennes sur la production de phosphate.
En 2015, la production de lait néerlandais a fait un bond de près de 7% à un nouveau record de 13.1 milliards de litres, tandis que dans les huit premiers mois de 2016 la production de lait dans les fermes néerlandaises est en hausse de 11% par rapport à l'année dernière. Dans le cadre des préparatifs de la fin des quotas, le gouvernement néerlandais a demandé et obtenu une dérogation de 30% plus élevée pour la production de phosphate que la moyenne de l'UE. Cependant, malgré la dérogation, la production de phosphate en 2015 était au-dessus des nouvelles limites fixées par la Commission européenne.
Pour y remédier, le gouvernement néerlandais a travaillé sur la législation pour mettre en œuvre des quotas de phosphate en Janvier 2017, sur la base du nombre de vaches qu’un agriculteur avait en Juillet 2015. Cependant, cette proposition a été refusée par la Commission européenne, parce qu'elle ne respecte pas le droit européen. Le gouvernement néerlandais a reporté l'introduction du système de quotas de phosphate jusqu'en 2018…
|
Scooped by
Cedric
|
L'industrie agroalimentaire craint que ce soit seulement la première étape d’un mouvement à l'échelle continentale sur le marché unique. D'autres pays suivront probablement: l'Italie, le Portugal et la Lituanie ont également notifié la Commission pour des mesures similaires d'étiquetage de l’origine.
Les agriculteurs et les groupes de consommateurs appuient fortement l'action de la France. Les partisans de l'étiquetage soutiennent qu'il aidera à relancer les prix par la création de valeur de la marque et de forcer les entreprises à être plus transparentes sur les chaînes d'approvisionnement.
Mais l'industrie alimentaire estime que ces régimes portent un coup dur à la libre circulation des marchandises au sein du marché européen au marché, et plus important encore, imposent des coûts onéreux aux petites entreprises. Les exigences d'étiquetage de l'origine pourraient perturber les chaînes d'approvisionnement, causer des déchets alimentaires, augmenter les prix des denrées alimentaires et avantager injustement les producteurs locaux.
|
Scooped by
Cedric
|
Le nouveau règlement zootechnique européen, paru au Journal officiel de l’Union européenne, s’appliquera à tous les États membres. Il est destiné à homogénéiser les réglementations des différents États membres, afin de faciliter les échanges transfrontaliers de génétique animale...
|
Scooped by
Cedric
|
La Chine renforce la supervision du lait maternisé en poudre---L'organe chinois de sécurité des aliments a publié mercredi un règlement, qui entrera en vigueur le 1er octobre, pour renforcer la supervision du lait en poudre pour les bébés.
|
|
Scooped by
Cedric
|
Bien qu’ils représentent une alternative aux médicaments vétérinaires allopathiques et qu’ils soient particulièrement utilisés en bio, les produits à base de plantes sont actuellement encadrés par une réglementation inadaptée à leur usage en élevage à des fins thérapeutiques.
|
Scooped by
Cedric
|
Les règles approuvées visent une réduction de 40% du méthane et des gaz fluorés et une réduction de 50% des émissions de carbone noir non forestier d'ici 2030, en dessous des niveaux de 2013. Les règles entreront en vigueur en janvier 2018.
L'un des plus grands défis sera de trouver comment réduire les émissions des 1,4 millions de vaches laitières de l'État.
|
Scooped by
Cedric
|
Les Pays-Bas n'ont pas le choix. Depuis deux ans, ils dépassent le plafond européen de 172,9 millions de kg de phosphate qui leur est imparti.
S'ils veulent conserver leur dérogation à la directive nitrates, ils doivent rentrer dans les clous d'ici le 1er janvier 2018.
Cela veut dire réduire leurs rejets de phosphate de 8,2 millions de kg (en théorie les rejets de 120 000 à 170 000 vaches)...
|
Scooped by
Cedric
|
Produire plus en respectant le minimum réglementaire européen, ou préserver ses fondamentaux… Avec l’envolée du marché de l’agriculture biologique, deux visions s’affrontent.
|
Scooped by
Cedric
|
Un arrêt de la Cour de justice de l’Union européenne du 27 octobre 2016, publié au Journal officiel de l’UE du 9 janvier 2017, reconnaît aux éleveurs le droit à demander une autorisation d’importation parallèle de médicaments vétérinaires. Cette autorisation permet d’acheter sous certaines conditions un médicament vétérinaire dans un autre État membre de l’UE. Le médicament en question doit être identique ou similaire à celui commercialisé en France. Il doit également bénéficier d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) dans le pays où l’achat est réalisé. Jusqu’à présent et selon la législation française, seuls les distributeurs en gros pouvaient être titulaires d’une telle autorisation.
|
Scooped by
Cedric
|
Le secteur laitier néerlandais a mis au point un ensemble important de mesures visant à réduire sensiblement la production de phosphate par le secteur laitier en 2017. Pour respecter les limites de phosphates en 2017 et préserver le renouvellement des dérogations de phosphates l'année prochaine, le troupeau laitier néerlandais devra être diminué de plus de 170 000 têtes. Les entreprises d'alimentation animale se sont engagées à diminuer davantage la teneur brute de phosphore dans les aliments composés en 2017. En attendant, plusieurs régimes seront introduits pour réduire le nombre de bétail et réduire la production de lait.
|
Scooped by
Cedric
|
Les organisations bio françaises, soutenues par Stéphane Le Foll, insistent pour que des points essentiels figurent dans le futur règlement bio européen, qui pourrait être adopté les 12 et 13 décembre à Bruxelles. Leurs exigences : un contrôle annuel, le maintien du lien au sol, l’harmonisation des protocoles en cas de contamination des produits bios.
|
Scooped by
Cedric
|
Près de 200 000 vaches seront abattues au cours des prochains mois aux Pays-Bas dans une tentative désespérée des autorités néerlandaises pour éviter de perdre leurs dérogations aux nitrates.
À l'instar de nombreuses fermes laitières irlandaises intensives, la majorité des éleveurs hollandais bénéficient de dérogations pour appliquer jusqu'à 250 kg / ha d'azote par an, en hausse par rapport à la limite annuelle standard de 170 kg / ha. Toutefois, cette dérogation a été compromise par le fait que les Pays-Bas ont violé leurs limites de phosphates chaque année au cours des trois dernières années.
|
Scooped by
Cedric
|
Le ministère de l'Ecologie soumet à consultation deux textes relatifs aux installations de transformation du lait. Certaines d'entre elles pourraient échapper à la réglementation des ICPE. D'autres bénéficieront du régime d'autorisation simplifiée.
|
Scooped by
Cedric
|
Les nouveaux règlements sur les émissions de méthane pourraient tendre vers une Californie plus verte ou aigrir l'industrie laitière de l'État.
La qualité de l’eau, de l’air, des écosystèmes en général… sont des enjeux majeurs à l’échelle européenne, encadrés par des Directives Européennes. Qu’il s’agisse de la Directive Nitrates, de la Directive Cadre sur l’Eau, de la Directive IED (émissions industrielles vers l’air) ou de la Directive NEC (fixation de plafonds d’émissions gazeuses), l’ensemble des acteurs du secteur agricole doivent intégrer cette batterie réglementaire afin de maintenir les niveaux de production tout en améliorant efficience environnementale et économique. Ce document permet de comparer de manière exhaustive les niveaux de contraintes techniques liés à l’application de la réglementation environnementale auxquels sont soumis les éleveurs français par rapport aux éleveurs des autres pays européens.
Via IDELE Institut de l'Elevage
|
Scooped by
Cedric
|
Deux textes allégeant les contraintes portant sur les élevages de bovins et de volailles sont mis en consultation. Le régime d'enregistrement est introduit pour les premiers tandis que les obligations de contrôle périodique sont supprimées.
|
http://www.produits-laitiers.com/wp-content/uploads/2017/06/Communique_Le-CNIEL-salue-la-decision-de-la-Cour-de-Justice-de-l-UE-sur-l-usage-des-denominations-laits-et-produits-laitiers_14062017.pdf
et aussi : Justice européenne. Le « lait de soja » trop végétal pour être du lait
sur http://www.ouest-france.fr/economie/agroalimentaire/justice-europeenne-le-lait-de-soja-trop-vegetal-pour-etre-du-lait-5061297
ou bien : Les industriels vont devoir rebaptiser les "lait d'amande" ou "beurre de tofu"
http://www.huffingtonpost.fr/2017/06/14/les-industriels-vont-devoir-rebaptiser-les-lait-damande-ou-be_a_22193242/