Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
Cedric
|
Depuis février 2023, l’Organisation des Producteurs du Sud-Ouest Laitier (OP SOL) livre son lait à la fromagerie des Chaumes (Savencia), « débouché local et durable, gage de pérennité pour ses 140 éleveurs,130 fermes laitières ». La fromagerie sécurise ainsi son approvisionnement avec un doublement des volumes traités à terme…
|
Scooped by
Cedric
|
Le prix du lait bio de base pour l'année 2023 sera au minimum de 550 euros les 1000 litres pour les éleveurs engagés avec Les Prés Rient Bio, filiale de Danone en filière bio équitable… « Il aura mis du temps à naître, mais nous sommes satisfaits de cet accord car Les Prés Rient Bio se sont engagés sur une formule de prix intégrant à 100 % un indicateur de prix de revient, calculé sur la moyenne d’un échantillon de producteurs Danone de l’OP, avec une rémunération des exploitants à deux Smic. Le prix minimum garanti par le contrat est ce prix de revient, auquel s’ajoute 10% pour pallier les aléas climatiques et économiques. Au final, cela fera un prix de base moyen de 550 euros les mille litres minimum sur 2023. »… Cet accord concerne 53 exploitations normandes pour 18 millions de litres de lait. Les Prés Rient Bio (LPRB) souligne que ce « contrat équitable est inédit dans la filière laitière bio française » et qu'il assure la position de LPRB « en tête du classement du prix du lait bio ». Il permet en effet de couvrir l'intégralité du prix de revient moyen des fermes laitières…
|
Scooped by
Cedric
|
Le PO est l’outil financier mis à disposition des OP pour les aider à planifier la production, à l’adapter aux marchés en volumes et qualités et, d’une façon générale à répondre autant que possibles aux demandes des marchés, dans l’objectif 1er de la rémunération des producteurs…
|
Scooped by
Cedric
|
Les explications de Lactalis sur l’échec du premier round de négociations : le groupe aurait proposé à l’Unell 15 € de plus que les prix de base de juillet et août calculés par la formule contractuelle. C’est 20 € de moins que la demande de l’Unell qui a activé la clause de sauvegarde de l’accord-cadre.
La valorisation des PGC France à 500 €/1 000 l dans la formule de calcul de Sodiaal contre 460 € dans celle de Lactalis-Unell interroge…
|
Scooped by
Cedric
|
Le 14 avril, l’AOP Sunlait a envoyé une proposition pour un nouveau contrat-cadre et attend la réponse du fromager avant le 14 juillet. L’actuel prendra fin en mars 2024, dénoncé par l’industriel en mars 2022…
Le 19 septembre, ils se retrouveront à la cour d’appel de Caen pour régler le différend qui les oppose sur l’application du contrat depuis 2020. Une centaine de millions d’euros sont en jeu. À moins de trouver un accord d’ici là…
|
Scooped by
Cedric
|
La fromagerie Vaubernier et des producteurs de lait ont signé la charte du Bon lait mayennais, mercredi 31 mai 2023, deux ans après son lancement. Elle officialise la valeur du lait à 49 centimes le litre pour l’année 2023, « un prix moyen qui permet aux éleveurs de gagner correctement leur vie » selon l’un d’eux… C’est officiel. Deux ans après le lancement du Bon lait mayennais en 2021, la fromagerie Vaubernier, installée à Martigné-sur-Mayenne, a signé une charte avec deux organisations de producteurs. Le document officialise la valeur du litre de lait, collecté dans un rayon de 40 km autour de la fromagerie avant d’être conditionné dans l’Orne à La Chapelle-d’Andaine… Il y a « quinze jours », les trois parties se sont accordées sur 490 € les 1 000 litres, soit 49 centimes le litre de lait pour l’année 2023. Les signataires sont la fromagerie, qui collecte plus de 100 millions de litres de lait par an chez près de 200 éleveurs partenaires, l’organisation de producteurs Vaubernier, qui compte 130 membres, et la section Vaubernier de l’organisation de producteurs FMB (France Milk boards)…
|
Scooped by
Cedric
|
Encore récentes dans le paysage laitier français, les organisations de producteurs et leur association (AOP) gagnent, avec la loi Sapin 2 puis les lois Egalim 1 et 2, une place prépondérante dans la construction du prix du lait…
« L’intérêt des OP est de massifier l’offre pour renverser le rapport de force face à sa laiterie. »
« Mais le plus gros avantage est de pouvoir aller démarcher d’autres acheteurs et de faire jouer la concurrence. C’est la seule solution pour instaurer un rapport de force lorsque l’on est face à un acheteur unique. »
|
Scooped by
Cedric
|
Quelle est la place des OP dans les négociations avec les acheteurs ? L'association du Grand Ouest Poplait demande au gouvernement de renforcer le pouvoir des producteurs face aux industriels. « Les producteurs de lait sont maintenus sous dépendance des industriels »… « Alors que la loi Descrozaille a entériné des évolutions majeures dans le rééquilibrage des relations entre fournisseurs et distributeurs, suscitant l’enthousiasme des industriels, Poplait fait en parallèle le constat alarmant du déséquilibre des relations entre les OP et ces mêmes industriels… Non seulement les lois Egalim restent trop peu appliquées dans les relations entre les OP et les industriels – et encore moins contrôlées ni sanctionnées ; mais, surtout, elles donnent l’illusion au consommateur d’une protection des revenus des producteurs alors que c’est le consentement à payer des industriels qui est protégé ! Les OP restent exposées à la brutalité des rapports de force. Le vrai problème du secteur laitier est bien celui du déséquilibre du pouvoir de négociation. »…
|
Scooped by
Cedric
|
• Tout comprendre de la loi EGAlim 2
• Infographie - Loi EGalim 2 : agir pour la juste rémunération des agriculteurs • FAQ pour répondre aux questions des professionnels et des citoyens sur la nouvelle loi
• Le médiateur des relations commerciales agricoles
• Le rôle du médiateur de la coopération agricole
• Le Comité de règlement des différends commerciaux agricoles (CRDCA)
• Organisation économique : les organisations de producteurs
|
Scooped by
Cedric
|
Les associations d’Organisations de producteurs du Grand-Ouest rappellent les occasions manquées de renforcer le pouvoir de négociation des agriculteurs…
Renforcer le pouvoir de négociation des associations d’OP est le moyen d’assurer la pérennité et l’attractivité du métier de producteur agricole, selon ces associations du Grand-Ouest. Ces dernières sont au nombre de 3 : Cerafel (fruits et légumes), AOP Porcs, et Poplait (lait). Elles revendiquent plus de 3 milliards de litres de lait/an, plus de 500 000 tonnes de légumes et fruits et plus de 11,5 millions de porcs charcutiers mis sur le marché…
|
Scooped by
Cedric
|
Lactalis : Les éleveurs des OP du Grand ouest peuvent dépasser leur volume contractuel…
… à certaines conditions ! Pour les adhérents de l’OPNC, de l’OPLGO et de l’APLBL, le dépassement sera toléré jusqu’à hauteur de 2%. Sinon il sera payé moins cher : - dépassement de 2 à 10% : pénalité de 100€ dès le 1er litre de dépassement - au-delà de 10% : pénalité de 100€ jusqu’à 10%, de 286€ au-delà…
|
Scooped by
Cedric
|
La Coopal, coopérative laitière dans le Massif central, a repris une collecte de 20 millions de litres à son compte, suite au désengagement de la SLVA, filiale de Terra Lacta.
La Société laitière des volcans d’Auvergne (SLVA, groupe Terra Lacta) avait dénoncé le 31 décembre 2021 le contrat qui la liait à la Coopal, coopérative laitière représentant près de 300 adhérents situés en grande majorité en zone de montagne, en Haute-Loire, Puy-de-Dôme, Creuse, Corrèze, Allier, Cantal…
|
Scooped by
Cedric
|
L’arrêt de nouvelles conversions bio dès 2020 ne suffit pas. Lactalis veut trouver d’autres leviers pour réduire le taux de déclassement en lait conventionnel. Une réflexion est engagée avec les OP sur un nouveau type de contrat distinguant lait biologique et lait déclassé…
Face à la crise que connaît la filière lait bio, « nous accompagnerons les éleveurs qui décident de retourner vers le conventionnel, indique Lactalis, deuxième collecteur de lait bio français avec 250 millions de litres en 2021. Les pénalités prévues par les contrats ne seront pas appliquées, et les aides précédemment accordées n’auront pas à être remboursées. »…
|
|
Scooped by
Cedric
|
À partir du 1er janvier 2024, une centaine de producteurs laitiers haut normands et leurs 70 à 75 Ml approvisionneront les usines de Novandie. Ces éleveurs rejoignent l’APLBC et LSDH, ouvrant une voie à la concurrence entre OP.
Novandie, filiale du groupe Andros, est spécialisée dans les produits frais aux 2/3 sous MDD. Ses 280 Ml transformés sont assurés aujourd’hui par 90 Ml en collecte propre dans le nord de la France et 190 Ml sous contrats, principalement avec Sodiaal. Un contrat de 70 à 80 Ml avec le groupe coopératif arrive à échéance en fin d’année…
|
Scooped by
Cedric
|
Les prises de paroles publiques des deux parties attestent de tensions importantes mais pas irréconciliables. Retour sur une crise en deux temps…
Ils avaient pourtant trouvé un accord en octobre 2022, à la suite d’une médiation. A l’époque, certains syndicalistes assuraient que « l’on avait tordu le bras à Lactalis » qui de peur de passer devant le comité de règlement des différends commerciaux agricoles avait fait des concessions aux producteurs. Lactalis n’avait alors pas manqué de se targuer d’un prix élevé par rapport à ces concurrents. Explication : les cours du beurre-poudre, dont la proportion est importante dans la formule de prix entre l’Unell et Lactalis, avaient tiré les prix à la hausse. La laiterie avait alors obtenu de l’Unell un rabotage « exceptionnel »...
Cette année retournement de situation, le beurre-poudre diminue et le prix calculé par la formule de prix aussi. La formule contractuelle entre Lactalis et l’Unell définit un prix du lait à 401€/ 1000 l sur juillet et août. Alors l’Unell demande à Lactalis de limiter la baisse du prix du lait comme la hausse a été limitée l’année dernière…
« Lactalis a proposé à l’organisation de producteurs Unell une valorisation de 15 € supplémentaire », ajoutant que « le marché beurre-poudre international subit, en effet, une forte érosion des prix, qui ont été pratiquement divisés par deux en un an. » Une proposition non satisfaisante pour les producteurs regroupés au sein de l’Unell. « Nous demandions 435 euros en prix de base 38 32, pour rattraper le retard depuis le début de l’année ». L’association d'OP s’est retrouvée devant une fin de non-recevoir d’où le déclenchement de la clause de sauvegarde. « Nous ne pouvons pas faire des ajustements que quand cela arrange Lactalis. »…
|
Scooped by
Cedric
|
Une centaine de producteurs laitiers haut normands et leurs 70 à 75 Ml, jusque-là destinés à Eurial Ultra Frais, se sont engagés à rejoindre l’Association des producteurs de lait du bassin Centre pour approvisionner Novandie, filiale du groupe Andros. Ils vont quitter l’Oplase qui bouge aussi de son côté…
|
Scooped by
Cedric
|
L’an passé, l’Unell était en médiation avec Lactalis. Le Lavallois avait activé la clause contractuelle de sauvegarde sur la fixation du prix du lait. Cette année, c’est l’Unell qui déclenche la clause…
Les négociations ce matin entre Lactalis et l‘Unell ont échoué. L’association d’OP demande 435 € de prix de base en juillet et août. Elle active la clause contractuelle de sauvegarde…
Du fait de l’activation de la clause de sauvegarde, le prix du lait du mois de juillet sera égal à la moyenne des trois derniers mois, soit 425,67€ /1000 l (prix de base 38-32). Pendant la durée d’activation de cette clause, le prix du lait correspond au prix moyen des 3 derniers mois complets précédant son déclenchement, soit les mois d’avril, mai et juin.
|
Scooped by
Cedric
|
L’entreprise de yaourt, filiale de Danone, doit signer ce lundi un accord revalorisé avec ses 50 éleveurs laitiers bio en Normandie…
Les Prés Rient Bio, filiale de Danone qui commercialise la marque Les 2 Vaches, annonceront la signature d’un contrat équitable inédit dans la filière laitière bio française. L’entreprise de yaourts, créée il y a dix-sept ans, propose à ses 50 éleveurs bio partenaires en Normandie un nouvel accord revalorisé…
Il redéfinit la notion de prix plancher en couvrant l’intégralité des coûts de production du lait, quels que soient les aléas, tels que l’inflation ou le climat, tout en intégrant une marge de sécurité de 10 %. Ce contrat sur cinq ans renouvelables permet de sécuriser un revenu disponible moyen minimum de deux smic, quels que soient la conjoncture et les prix du marché…
|
Scooped by
Cedric
|
En France, nous avons des Organisations de producteurs et des syndicats face à une PAC relativement riche. En Afrique de l’Ouest, il y a des Organisations paysannes et leur fédération, le ROPPA, qui tentent de se faire entendre de leurs gouvernements pour instaurer de maigres politiques agricoles…
Le président du Réseau des Organisations Paysannes et de Producteurs de l’Afrique de l’Ouest (ROPPA) a souligné l’importance d’une meilleure collaboration entre les acteurs du secteur agricole et les institutions gouvernementales pour améliorer la vie des populations rurales…
|
Scooped by
Cedric
|
Certains industriels mettent tout en œuvre pour empêcher les OP de monter en puissance et d’exercer pleinement leurs missions. Le renforcement du poids des producteurs dans les négociations les gêne…
Les tentatives de contournement des OP par certains industriels sont non seulement insupportables, mais en plus illégales. Dans un avis en date du 21 avril 2023, la Commission d’Examen des Pratiques Commerciales (CEPC) a rappelé la prééminence du mandat de négociation confié par le producteur adhérent à une OP, sur la relation individuelle entre le producteur et l’industriel : « le fait pour un acheteur de conclure un contrat directement avec le producteur alors même que celui-ci a donné mandat à une OP (…), sans avoir conclu d’accord-cadre, est prohibé et peut faire l’objet d’une sanction administrative (…) ». Ainsi, par exemple, le non-renouvellement d’un accord-cadre ne saurait servir de prétexte à un industriel pour solliciter directement les producteurs adhérents d’une OP…
Les Organisations de Producteurs sont une chance pour la filière ! Le réseau France OP lait représente un tiers des OP de la filière lait, soit 6000 exploitations laitières produisant plus de 2.7 milliards de litres de lait…
|
Scooped by
Cedric
|
En procédure judiciaire, Savencia et l'association d'OP Sunlait voudraient conclure un nouvel accord-cadre d'ici l'audience en septembre…
Lors de son assemblée générale, l'organisation de producteurs Ouest'Lait (ex-CLE-P&S Ouest) a présenté la proposition faite à Savencia : Sunlait propose un pack volume, prix et RSE ; Savencia veut un prix proche de celui de ses concurrents…
|
Scooped by
Cedric
|
Voilà dix ans que les organisations de producteurs (OP) ont été créées et le constat est mitigé. Trop peu d’accords-cadres ont été signés entre les organisations de producteurs de lait et les acheteurs transformateurs. Trop peu de formules de prix intègrent un indicateur coût de production. Et les engagements conclus ne sont pas toujours tenus, comme l’illustre l’affaire Sunlait contre Savencia. La mission première des OP – négocier un accord-cadre volume et prix – est largement soumise au bon vouloir de l’industriel et dépendante de la conjoncture…
Les OP s’impliquent de plus en plus dans la construction de la RSE (charte des bonnes pratiques d’élevage, engagement carbone…) des industriels, qui va de pair avec la négociation sur le volume et le prix…
Parmi les réussites, l’APBO (près de 700 exploitations liées à Bel) est une des rares OP à avoir signé un contrat-cadre et à avoir créé son cahier des charges de production laitière (MonBBLait). Elle gère également collectivement le volume de ses adhérents en mutualisant les sous- et les sur-réalisations. Cela permet d’éviter les pénalités individuelles. Cette prise en main de leur destin par les éleveurs a été favorisée par la motivation du groupe Bel à déléguer ces compétences à une OP...
Mais il y a encore de nombreuses déceptions. L’inflation met une pression très importante sur les OP lors des négociations sur le prix du lait...
|
Scooped by
Cedric
|
L’organisation de producteurs du Sud-Ouest Laitier (OP Sol) vient de signer un partenariat avec la Fromagerie des Chaumes de Jurançon (Savencia). Une solution alternative pour un avenir « plus serein »…
Souvenez-vous, fin 2021 : le groupe Danone avait annoncé sa volonté de convertir son usine de transformation laitière de Villecomtal, dans le Gers, en un site de production de boissons végétales. Du jus au lieu du lait, voilà qui laissait sur le carreau plus de 200 exploitations…
La transition des volumes collectés se fera progressivement d’ici fin 2023. Cela permettra de continuer à développer la marque Saint Albray, tout en maintenant l’ancrage régional Sud-Ouest de la fromagerie des Chaumes…
|
Scooped by
Cedric
|
« Nous avons terminé l’année 2022 à un prix bas, autour de 430 € les 1 000 litres en prix de base et nous recommencerions 2023 à 415 € les 1 000 litres ? C’est inacceptable. Le compte n'y est vraiment pas »…
Le constat est accablant et le sujet lasse (sic) les représentants des éleveurs. Car depuis l’été dernier, ils alertent le groupe face aux difficultés climatiques et économiques auxquelles ils sont confrontés. Mais ils ne se sentent pas – ou si peu – entendus. Si la formule a été légèrement réajustée au mois d’octobre, cela ne s’est pas fait de façon pérenne…
Aujourd’hui, ils sont en train de prendre leurs dispositions pour que les producteurs qui le souhaitent puissent livrer à d’autres laiteries. Ils n’hésiteront pas non plus à aller sur le site de l’usine, ni à saisir le médiateur…
|
Scooped by
Cedric
|
Malgré l’annonce par Thierry Roquefeuil, président de l’interprofession laitière, de l’arrivée des organisations de producteurs en son sein, France OP Lait dénonce une "mascarade". France OP Lait demande que le Cniel joue son rôle d’éclairage à l’égard de l’ensemble des maillons de la filière, y compris les OP…
Pour eux, « il n’y a pas de représentation des OP au Cniel » mais « un représentant du collège producteurs (...) désigné par son syndicat [la FNPL] comme ayant la charge du dossier OP ». « Les OP ne veulent pas de petits fours une fois par an, mais d’une reconnaissance à la hauteur de la place qu’elles ont prise depuis maintenant plus de dix ans dans la filière laitière », revendique France OP Lait avant de s'interroger : « La CVO doit-elle continuer à financer une structure qui non seulement ne reconnaît pas le rôle et les missions des OP, mais qui en plus les freine ? »…
|