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De l'eau propre et accessible en permanence, telle est la règle de base pour un abreuvement efficace. Observez vos vaches, elles vous diront si c'est bien le cas...
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Pour répondre à la demande du public, Fonterra intensifie ses efforts pour améliorer la qualité de l'eau, suite à une série de rapports soulignant la dégradation de la qualité de l'eau dans les lacs, rivières et cours d'eau de Nouvelle-Zélande.
La coopérative a reconnu son rôle dans le déclin de la qualité de l'eau. « Fonterra existe depuis 16 ans et pendant ce temps nous avons vu le nombre de vaches monter en flèche, l'irrigation exploser et la qualité de l'eau s'effondrer ».
Les agriculteurs ont dépensé plus d'un milliard de dollars pour clôturer les cours d'eau et pour les plantations riveraines au cours des cinq dernières années. Fonterra dépensera 250 millions de dollars sur ses 26 sites de production dans le but de réduire la consommation d'eau de 20%.
La coopérative a déjà annoncé un plan pour restaurer 50 bassins hydrographiques clés en Nouvelle-Zélande et a lancé un nouveau programme pour trouver de nouvelles solutions pour une agriculture durable et des voies d'eau saines.
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L’EARL Lecompte à Longuerue, en Seine-Maritime (76), a installé en janvier 2017 un traitement de l’eau par électrolyse avec dynamisation pour un coût total de 20 000 €. Sur son élevage de 70 vaches laitières et 50 taurillons, Julien Lecompte explique : « Notre principale motivation était d’assainir l’alimentation de nos animaux et nous ne nous attendions pas à améliorer autant leur productivité ».
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Le traitement à électrolyse avec dynamisation de l’eau est actuellement en place dans une vingtaine d’élevages, majoritairement laitiers. Ce système assainit l’eau en ne faisant intervenir aucun produit chimique et ne nécessite que très peu de maintenance.
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Un sondage réalisé sur Web-agri du 19 au 26 septembre 2017 révèle que 40,7 % des éleveurs possèdent leur propre forage et l'utilisent pour l'abreuvement de leurs animaux.
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La chloration est le système le plus employé en élevage pour éliminer, dans l'eau d'abreuvement, bactéries, virus, champignons, etc. Cependant, si cette méthode n'est pas correctement utilisée, elle peut s'avérer dangereuse pour la santé des animaux.
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National leader Bill English has denied overstating the impact Labour's proposed water levy would have on farmers after figures revealed five in six would be largely unaffected. Mr English has claimed this week the levy would cost farmers $50,000 a year while his finance spokesman Steven Joyce estimated it could cost twice as much.
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De nouvelles règles sur l'utilisation de l'eau sont susceptibles d'étouffer la croissance laitière en Nouvelle-Zélande : Les pâturages irrigués de Nouvelle-Zélande auront des charges plus élevées....
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Dans les régions d’élevage situées en zone vulnérable, l’indicateur nitrates de l’Institut de l’élevage continue à baisser. L’analyse de cinq campagnes de mesures le démontre.
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Conseil de nutritionniste : Vos vaches boivent-elles suffisamment d'eau de qualité ? Qu'elle provienne d’un forage ou du réseau, l’eau de boisson de vos bovins doit être accessible à tout moment et être d’une qualité sanitaire irréprochable. L’eau est « le premier aliment » d’une vache laitière qui peut en boire jusqu’à 200 litres par jour en été.
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Les Producteurs de lait du Québec ont élaboré un programme d’aide à la relève en production laitière afin d'assurer le futur de la profession et encourager les jeunes à choisir cette voie. Les producteurs de lait démontrent une bonne performance environnementale.
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La qualité de l’eau s’améliore en Bretagne sur le paramètre des nitrates. «Les taux de nitrates dans les eaux bretonnes ont ainsi retrouvé des niveaux proches de ceux constatés à la fin des années 80, un peu supérieurs à 30 mg/litre en moyenne »
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Le museau humide, une résistance électrique bien inférieure à celle de l’homme, les animaux sont très sensibles aux courants parasites par tension de contact. Si une telle problématique existe dans un bâtiment d’élevage et donc, a fortiori, au niveau des abreuvoirs, les animaux vont avoir tendance à moins boire. Qui dit moindre abreuvement signifie moindre production.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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Azote, nitrate, phosphore, pesticides : les engrais, herbicides et autres produits utilisés dans l'agriculture risquent de se diffuser dans l'eau. Un guide explique comment implanter des zones tampons pour éviter que les contaminants d'origine agricole se transfèrent vers les milieux aquatiques...
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Alors que tous les signaux de qualité des eaux sont au rouge en France, le budget 2018 prévoit de priver les agences de l’eau d’un quart de leurs moyens. Au nom des « arbitrages budgétaires », c’est la politique de l’eau qui est sacrifiée.
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Les bassins de production de lait ou de viande montrent une tendance à la reconquête de la qualité de l’eau en zone vulnérable. Les améliorations fortes sont dues à la meilleure prise en compte des fertilisants organiques issus de l’élevage dans la fertilisation des surfaces...
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On a tendance à l’oublier mais l’eau est le premier aliment consommé par les animaux en quantité. Pourtant, en élevage, sa qualité laisse souvent à désirer. Des traitements existent, mais sont-ils sans danger pour le troupeau ? Le point dans le numéro d'octobre de Terre-net Magazine, spécial élevage.
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Les fermes laitières utilisent l’équivalent des besoins en eau de 60 millions de personnes, disent les experts, soit l’équivalent des populations combinées de Londres, New York, Tokyo, Los Angeles et Rio de Janeiro. Il y a environ 12 000 troupeaux laitiers en Nouvelle-Zélande consommant 4,8 milliards de mètres cubes d'eau. Mais presque tout est utilisé par environ 2000 fermes, car la grande majorité n'est pas irriguée. Certaines fermes paieraient 50 000 $ à 100 000 $ pour une taxe sur l'eau. Bill English a cité le chiffre de 50 000 $. Le coût moyen d'une taxe sur l'eau dans une ferme laitière irriguée serait entre 10 000 $ et 15 000 $, selon leur analyse. Une analyse de RNZ et de l'Institut de politique publique de l'Université d'Auckland a déterminé que le coût d'une ferme laitière moyenne irriguée serait de 13 800 $.
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Le lait est composé à 90 % d’eau. Il est donc logique qu’une vache qui produit beaucoup de lait boive plus qu’une basse productrice. Sa consommation d’eau dépasse souvent les 100 l/jour. Elle dépend de sa production, de son alimentation et des conditions climatiques. Il est essentiel que les vaches aient suffisamment d'eau à leur disposition, car l'inverse risque de pénaliser leur production
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Une eau d’abreuvement de mauvaise qualité peut être vecteur de nombreuses pathologies telles que des toux, mammites, diarrhées, boiteries, problèmes digestifs ou de croissance, dysfonctionnements rénaux...
L’eau peut transporter des bactéries, virus, parasites ou tout simplement des éléments minéraux et sa qualité laisse souvent à désirer. Il s’agit pourtant de l’aliment le plus consommé en termes de quantité.
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Afin d’économiser l’eau dans ses usines et chez ses 1.500 producteurs, le groupe coopératif a signé un accord de partenariat de trois ans avec l’Agence de l’eau Loire-Bretagne.
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Avec des débits d’eau de 4 m3/h à 60 m de profondeur, il est intéressant de réaliser un forage pour alimenter son élevage. Pour une consommation de 10 m3/jour, le retour sur investissement se fait en moins de 2 ans.
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Une enquête sur l’eau d’abreuvement, présentée lors des dernières journées GTV, a été réalisée par les étudiants d’Oniris sur 169 exploitations bovines (130 élevages laitiers et 39 élevages allaitants), essentiellement situées dans le Grand Ouest. Celle-ci a mis en évidence l’importance des captages privés par rapport à l’eau du réseau d’adduction comme principale source d’eau d’abreuvement. En élevages laitiers, l’eau souterraine est utilisée dans 72 % des cas (avec 48 % de forage et 24 % des puits), et donc 28 % des élevages recourent donc à l’eau du réseau.
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En Arabie Saoudite, d'énormes fermes laitières ont vu le jour dans le désert. Mais garder le bétail vivant dans la chaleur extrême nécessite une énorme quantité d'eau: 2.000 litres pour chaque litre de lait produit.
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