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Sur les marchés mondiaux, les prix des produits laitiers repartent à la hausse de manière significative grâce à une baisse généralisée de la production. Mais la Fnil, qui représente les industriels laitiers, estime que la répercussion de la hausse des cours aux producteurs français sera difficile. Le syndicat justifie ces prochaines difficultés par les négociations commerciales qui démarrent et la guerre des prix que se livrent les distributeurs.
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«Le problème de la France, c'est qu'on veut deux modèles : celui des grandes exploitations pour rivaliser avec les entreprises étrangères et celui du modèle familial», remarque Emmanuel Vasseneix.
Ce dernier qui soutient, dans un même temps, que la distribution a «besoin de différenciation» dans un contexte marqué par une forte concurrence des plateformes de distribution numérique incarnées par la plus célèbre d'entre elles : le géant américain Amazon. Un chiffre inquiétant, cité lors d’échanges, interpelle. Près de 67 % des produits alimentaires seraient issus de 16 multinationales seulement. Cette concentration de l'offre empêche d'entrevoir pour l'heure l'équilibre tant revendiqué à la fois vis à vis des consommateurs et de ceux en amont de la chaîne.
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L’agroalimentaire est un secteur particulier. Dominé par quelques géants mondiaux, il n’en reste pas moins quasi-universel : tous les pays sans exception disposent d’une gamme industrielle plus ou moins étendue.
La compétition se joue ainsi à plusieurs niveaux, entre acteurs locaux et multinationales, tout autant qu’entre géants. Elle se complique encore par la concurrence entre marques distributeurs et marques originales.
Les géants élaborent donc des stratégies très actives pour maintenir ou développer leurs parts de marché. La tentation est grande, dans ce contexte, de délaisser le maelstrom compétitif de l’offre généraliste pour chercher à se différencier, en développant des modèles d’affaires innovants. Trois stratégies récentes en témoignent…
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Crise du lait, crise de la viande, disparition des exploitations ... Vidéo extraite du journal de 20 h d'Antenne 2 datée du 6 octobre 2014 : Voici comment la guerre des prix entre grands distributeurs ruine les petits producteurs.
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Intimidations, comportements abusifs, pratiques illégales… les quatre centrales d’achat de la grande distribution profitent d’un rapport de force disproportionné dans leurs négociations avec les producteurs. La guerre des prix fait rage et les paysans se noient.
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Carrefour a annoncé le 19 septembre la signature, le 7 octobre, d’un contrat Filière Qualité entre l’enseigne et la Société fromagère du Livradois pour la production de fromage Salers. Fromage exclusivement fermier au lait cru de vache, produit sur les monts du Cantal entre le 15 avril et le 15 novembre, il ne sera cependant pas issu uniquement du lait de vache de race Salers. Carrefour avait également annoncé, quelques jours auparavant, qu’en octobre, il lancerait une nouvelle marque « C’est qui le patron », revalorisant le prix du lait payé à l’éleveur. Le litre de lait vendu 0,99€ en grande surface devrait permettre de rémunérer le producteur 0,39€. À ce jour, seuls 51 producteurs laitiers de l'Ain bénéficieraient de cet accord sur le lait.
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Et si c'était le consommateur qui décidait du prix et des conditions de production des produits qu'il achète? Partant de cette idée, une nouvelle marque devrait faire son apparition dans les hyper et supermarchés Carrefour dès la fin octobre.
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Pour surmonter la crise, certains éleveurs ont peut-être trouvé la solution : ils assurent eux-mêmes la production, la transformation et l'approvisionnement de leur lait. 14 exploitants de Vendée, Loire Atlantique, Haute-Vienne et Charente se sont lancé dans cette aventure unique en France.
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La grande distribution avait répercuté l’aide aux producteurs de lait sur les consommateurs. L’aide, c’est terminé… mais les prix n’ont pas baissé.
La grande distribution et les marques de lait sont en train de gruger les producteurs laitiers ainsi que les consommateurs. C’est la charge donnée par la Fugea (Fédération Unie de Groupements d’Éleveurs et d’Agriculteurs) qui dénonce la politique des prix du lait dans le cadre d’un accord conclu il y a un an.
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la chute du prix du lait à la ferme porte beaucoup de producteurs laitiers à pointer du doigt les supermarchés et les « guerres du lait». Cependant, la solution proposée d'augmenter le prix que nous payons pour transmettre plus de profit aux agriculteurs est erronée. Les supermarchés ont été le moteur de la baisse du coût des produits de base comme le lait depuis 2011. Mais le coupable réel sous-jacent pour la baisse des prix a été la surabondance mondiale de l'offre par rapport à la demande entraînant une baisse du prix mondial, avec seulement une compensation partielle de la baisse du taux de change australien.
La politique actuelle en Australie est de laisser les forces du marché fixer les prix plutôt que de subventionner certaines industries. La fixation des prix pour l'industrie laitière, serait un retour aux "mauvais jours" avec un risque d'une diminution de la productivité agricole....
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Le prix du lait est au plus bas : 21 centimes, c'est en moyenne ce que reçoit aujourd'hui un producteur pour un litre de lait. Soit 7 centimes de moins qu'il y a six mois, alors que, pour rentrer dans ses frais, on estime qu'un éleveur doit gagner au moins 30 centimes.
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Des agriculteurs du Modef (Mouvement de défense des exploitants familiaux) et du MNER (Mouvement national des éleveurs de nos régions) ont distribué du lait devant la gare Montparnasse pour dénoncer les marges de l’industrie et de la distribution.
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CHRONIQUE ECO. Un rapport de l’observatoire des prix et des marges révèle que les prix des produits alimentaires ont moins baissé que les produits agricoles. Les agriculteurs en ont-ils bénéficié ? Non puisqu'ils sont toujours confrontés à de grandes difficultés dans le secteur du lait et porc. Les industriels sont, eux, pointés du doigt.
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La pression des distributeurs sur les industriels pour obtenir les tarifs les plus bas perturbe l’ensemble de la chaîne. Les fournisseurs doivent souvent céder aux injonctions des hypermarchés, via des pratiques abusives. A la fin, les producteurs paient l’addition.
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Aide à la lecture : sur 100 € de dépenses alimentaires nationales, 61 € constituent les valeurs ajoutées, c’est-à-dire une rémunération brute du travail et du capital, dont 8 € dans l’agriculture française et 53 € dans les autres branches, principalement le commerce et les services.
Avec l’allègement des interventions de la politique agricole commune et le poids croissant des pays émergents sur les marchés mondiaux, les prix agricoles sont devenus plus volatils. Cette situation nouvelle a ravivé les questions sur les écarts entre prix agricoles et prix alimentaires. C’est dans ce contexte et pour éclairer ces débats que la loi de modernisation de l’agriculture de 2010 a créé l’OFPM.
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Certains s'inquiètent de la percée du bio dans la grande distribution, où les relations commerciales sont souvent tendues.
La solution serait de réussir à contractualiser les relations entre producteurs bio et distributeurs. Un contrat qui inscrirait, noir sur blanc, les droits et les devoirs de chacun.
L'Agence bio y travaille.
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Changement de cap pour l’agriculture biologique et l’Agence Bio en vue. Avec un taux croissance à deux chiffres depuis plusieurs années, l’agriculture biologique entre dans l’ère de la massification. Mais les filières y sont-elles prêtes ?
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Le distributeur français, avec des partenaires comme La laiterie-Saint-Denis-de-l’Hôtel, développe des initiatives pour valoriser la filière laitière, toujours dans une situation financière catastrophique. Il mise sur le local, le qualitatif et l’inédit.
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A Lisieux (Calvados) jeudi 15 septembre 2016, le PdG de Leclerc, Michel-Edouard Leclerc, a lancé un appel aux agriculteurs :
"Il faut créer une véritable interprofession. Nous, on sait vendre. Nous sommes la caution auprès des consommateurs que les produits sont bons. Mais pour ça, il faut arrêter de nous dézinguer dans les médias ou à travers des pratiques de contestation. Ce n’est pas en dézinguant le client, et encore moins l’intermédiaire, que l’on va valoriser les nouvelles productions agricoles."
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Lidl France, la Laiterie Saint-Denis-de-l'Hôtel (LSDH) et l'Association des producteurs de lait du bassin centre ont signé le 1er juillet une convention d'engagement tripartite.
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ÉCONOMIE - Sur le prix d’un litre de lait, la plus grande part ne revient pas aux éleveurs mais aux intermédiaires.
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Le ministre de l'Agriculture, Willy Borsus (MR), souhaite réunir à la rentrée les partenaires de la concertation chaîne pour aborder le décrochage entre les prix payés aux producteurs de lait et ceux payés par les consommateurs....
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Pour Olivier Mével, consultant en stratégie des entreprises agroalimentaires, universitaire breton, seule la remise en cause du pouvoir de marché de la grande distribution, en l’ouvrant à la concurrence étrangère, est de nature à rééquilibrer les relations commerciales.
D’année en année, les négociations commerciales entre industriels et distributeurs sont de plus en plus difficiles. Pourquoi ?
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Un seul constat s’impose pour les filières alimentaires en 2015 : - 2,4 % sur les prix agricoles (après - 5,3 % en 2014), - 2 % sur les produits des industries agroalimentaires (- 2,5 % en 2 ans) et + 0,5 % sur les prix à la consommation (Insee)… L’écart est donc de plus en plus net dans les linéaires entre les prix agricoles et ceux payés par le consommateur !
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La baisse des marges des agriculteurs et des éleveurs n'est pas répercutée dans les rayons des supermarchés. Mais la grande distribution ne doit pas être le seul acteur à interroger, souligne le président de l’Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires, Philippe Chalmin. L'Usine Nouvelle fait le point en cinq graphiques et un article montrant la répartition des marges dans la filière....
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