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Le gouvernement irlandais s’efforce de protéger son industrie agricole du Brexit. Ce secteur importe en effet près de la moitié de sa production vers le Royaume-Uni.
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Editée par la société Ecovi SAS, Laballeronde.fr est une nouvelle place de marché en ligne tournée exclusivement vers le commerce de fourrages et de paille. Cette plateforme, qui vient d’être mise en ligne, permet d’effectuer les opérations d’achat/vente directement entre agriculteurs. Le système de paiement en ligne sécurisé facilite les transactions. Ce nouveau concept vient répondre à un besoin de numérisation des marchés agricoles et permet de franchir une nouvelle étape digitale aux services des agriculteurs.
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La réponse aux défis climatique et alimentaire du XXIe siècle passe par une révolution de l’économie agricole. Face à la mondialisation, il est nécessaire de préserver la biodiversité et les cultures alimentaires de chaque pays.
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En Chine, où le taux de pénétration du smartphone dépasse 90 %, le marché de l'e-commerce s'est hissé à la première marche mondiale.
Et a fait de nombreux adeptes : sa croissance, après avoir atteint 48,7 % en 2015, devrait encore rester supérieure à 20 % au cours des deux prochaines années. Ce sont surtout les 20-30 ans qui se montrent les plus accros.
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Après quatorze ans de négociation, les accords commerciaux entre l’Union européenne et le groupe des pays ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique) avancent vers des conclusions qui s’éloignent des objectifs de développement initiaux. Sur fond de croissance africaine et de crise économique européenne, les pourparlers ont été marqués par de profondes dissensions …
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L'expansion de la Nouvelle-Zélande est limitée par la disponibilité des terres, l'Europe se stabilise après l'élimination des quotas laitiers et les ambitions des États-Unis en matière d'exportation sont limitées par la croissance de la demande intérieure et le taux de change du dollar américain. Le commerce des produits laitiers est également susceptible de rester dominé par des routes régionales plutôt que mondiales, les accords de libre-échange influençant de façon significative les volumes. L'exception sera l'Asie qui continuera d'être un champ de bataille hautement compétitif pour les exportateurs du monde entier. Tout cela doit être compensé par les possibilités de renégociation ou d'annulation des accords commerciaux à la suite des résultats des élections américaines.
En 2015, la croissance du commerce a été d’un maigre 0,3% de plus qu’en 2014. Au cours des trois prochaines années, la croissance du commerce des produits laitiers diminuera légèrement, en raison du fort dollar américain, des prix du pétrole bas, de l'embargo commercial russe et du ralentissement de la croissance chinoise.
Mais peut-être même plus que ces dernières années, nous vivons dans des temps incertains où la nouvelle administration américaine, les relations avec la Russie, l'incertitude au Moyen-Orient, la performance économique chinoise, le Brexit et le sort du TPP et du TTIP peuvent avoir un effet majeur sur le commerce des produits laitiers.
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Le CETA (accord commercial UE-Canada) et le TTIP (UE–Etats-Unis) font partie de ce que l'on appelle la "nouvelle génération" d'accords de libre-échange.
Plus complets que les accords commerciaux traditionnels signés entre l'Union européenne et les pays tiers, ils doivent permettre à l'UE d'accroître encore le volume des échanges et, ainsi, de concurrencer les principales puissances économiques mondiales que sont les Etats-Unis ou le Japon...
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Sans revenir dans le détail sur la crise du lait, une initiative portée par les consommateurs, prêts à payer le juste prix, a reçu un excellent accueil et une forte couverture médiatique. Elle apporte de la transparence, de la qualité et une juste rémunération aux producteurs laitiers.
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L'Association laitière des sociétés de la Nouvelle-Zélande (DCANZ) - qui représente toutes les principales entreprises laitières en Nouvelle-Zélande - a déclaré qu'elle avait demandé à l'OMC d'engager des poursuites contre le Canada s’il poursuit l’extension de ses protections commerciales laitières.
Dans une lettre conjointe, la DCANZ et ses organisations affiliées aux États-Unis, en Australie, Europe, et Mexique ont exposé leurs préoccupations vis-à-vis d’un accord récemment conclu entre producteurs et transformateurs laitiers canadiens.
L’accord contrevient aux obligations du Canada à l’OMC et porte atteinte à l'esprit de l'accord de Partenariat Trans-Pacifique que le Canada a signé plus tôt cette année. Il fournirait une incitation à substituer des ingrédients laitiers canadiens aux ingrédients laitiers importés et souhaite subventionner injustement les exportations de produits laitiers canadiens.
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Le Canada serait non conforme à l’ALENA et l’OMC ! Les programmes canadiens sont perçus chez nos voisins du sud (USA) comme conçus pour décourager l'usage des exportations de produits laitiers en provenance des États-Unis. Les sénateurs craignent l’aggravation d’une situation économique déjà difficile pour les producteurs laitiers américains et soulèvent l’idée que cela aille à l’encontre de la conformité avec l'ALENA et l'OMC. Le Canada pourrait donc par ces nouveaux programmes ``entraver le commerce des produits laitiers" entre les deux pays.
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À ce jour, les États-Unis ont 14 Accords de libre-échange en vigueur avec 20 pays qui représentent 43% du total des exportations agricoles américaines vers le monde. Les États-Unis ont également conclu des négociations sur le Partenariat Trans-Pacifique (TPP) et sont en train de négocier le partenariat transatlantique (TTIP), qui devraient améliorer encore les possibilités d'exportation de produits agricoles américains.
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Le Nicaragua interdit l'importation des produits Dos Pinos en provenance du Costa Rica, après que le Costa Rica a bloqué les importations de deux des quatre usines laitières de Lala, société mexicaine située au Nicaragua. L'interdiction des produits laitiers de Lala est entrée en vigueur le mois dernier après inspection sanitaire. Le 6 Juin, le Nicaragua a riposté en fermant ses frontières à l'importation des produits Dos Pinos.
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Le gouvernement irlandais a été appelé à prendre immédiatement des mesures décisives pour apaiser les préoccupations de l'agriculture et du secteur agro-alimentaire sur les implications du vote du Royaume-Uni à quitter l'UE.
Le Président se l’IFA Joe Healy, a exprimé sa déception à l'issue du référendum au Royaume-Uni. Il a dit que le résultat du vote au Royaume-Uni a des implications majeures pour l'agriculture irlandaise et le secteur agro-alimentaire. «Le gouvernement doit donner un signal clair sur les questions d'importance majeure pour ce secteur, nos relations commerciales avec le Royaume-Uni et l'Irlande du Nord. Minimiser l'incertitude et définir une stratégie claire sur les prochaines étapes est une priorité. " par an.
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Les tarifs douaniers japonais sur les importations de fromages sont devenus une source majeure de contestation dans les négociations commerciales entre le Japon et l'Union européenne, menaçant de bloquer les efforts de libéralisation des échanges de biens et de services.
Le Japon impose des droits de douane de 22,4 à 40% sur les importations de camembert, de mozzarella et d'autres fromages importés de France, d'Italie et d'ailleurs en Europe. L'UE, qui produit la moitié du fromage mondial, demande au Japon d'éliminer ces droits. En contrepartie, Bruxelles propose de supprimer ses tarifs sur les importations de voitures japonaises.
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Ce ne sont pas les multinationales qui vont nourrir le monde, le commerce international ne traite que 10 % de la production agricole mondiale. L’essentiel passe par les petits producteurs, sur les marchés locaux et nationaux, ou par la vente directe. Chacun doit comprendre que son espace, c’est son marché local. On ne peut plus continuer à produire trop et toujours plus pour jeter chez les autres.
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Les coopérations entre la Chine et les seize pays d'Europe Centrale et Orientale (PECO) deviendront un nouveau pôle de croissance mondiale grâce au réchauffement des rapports entre ces pays, et particulièrement après la mise en œuvre de l'initiative des Nouvelles Routes de la soie. Les investissements chinois dans les PECO se répartissent principalement dans les secteurs de la construction mécanique, de l'industrie chimique, de l'électroménager, de la logistique, des nouvelles énergies, de la R&D, la finance et de l'agriculture, tandis que les investissements des PECO en Chine vont surtout dans les secteurs de la construction mécanique, de l'industrie chimique et des produits laitiers.
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L'interprofession du lait voudrait créer des fonds pour remplacer une subvention fédérale, appelée à disparaître. L'actuelle loi chocolatière revêt une grande importance pour le marché suisse du lait et l'industrie alimentaire indigène. Grâce à la réduction de prix assurée par la Confédération et aux contributions de la branche, l'industrie alimentaire peut utiliser des matières premières laitières suisses. Durant les deux ans à venir, les producteurs seront encore soutenus par la Confédération.
Or cette mesure est considérée comme une subvention à l'exportation contraire à la concurrence. L'organisation mondiale du commerce (OMC) a décidé, fin décembre 2015, de bannir ces aides. La Suisse est donc tenue de supprimer sa loi chocolatière d'ici à 2020.
Le Conseil fédéral prévoit de la remplacer par un nouveau supplément général pour le lait et les céréales, à partir du 1er janvier 2019. Celui-ci sera directement versé aux paysans. Le projet est actuellement en consultation.
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La Nouvelle-Zélande et la Chine ont décidé de réviser leur accord de libre-échange existant. Les négociations débuteront au premier semestre 2017.
L'accord signé en 2008 a vu le commerce entre la Nouvelle-Zélande et la Chine doubler entre 2009 et 2014 pour atteindre 20 milliards de dollars (13,4 milliards d'euros).
Le président de Fonterra, John Wilson, a déclaré: "La mise à niveau de l'accord de libre-échange offre l'occasion de renforcer les relations déjà solides entre la Nouvelle-Zélande et la Chine".
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Bruxelles a présenté ce 15 novembre 2016 aux ministres européens de l’Agriculture les conclusions d’une étude sur les effets cumulés de 12 futurs accords commerciaux pour le secteur agroalimentaire européen.
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Les agriculteurs néo-zélandais ont longtemps fait sans intervention de l'État, et il semble que les agriculteurs néerlandais sont arrivés au même point de vue.
« On n'a pas demandé ce paquet d’aides de l’UE et nous ne le soutenons vraiment pas » a déclaré Jan Maarten Vrij, directeur des affaires internationales à la Dutch Dairy Association’s (NZO), dans une interview avec le Herald à La Haye. « Nous préférons ne pas avoir la complication des systèmes de soutien. (…) Oui, nous voyons une volatilité accrue des prix au cours de la dernière décennie en partie due au fait que nous n’avons pas de subventions à l'export. Mais seule une minorité d'agriculteurs néerlandais pensent que le gouvernement devrait être responsable de leur revenu. »
« Tout le monde dans l'Union européenne devrait se faire à l'idée qu'il n'y a plus de quotas», dit-il.
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Les industriels laitiers aux États-Unis, en Australie, dans l’Union européenne, au Mexique et en Nouvelle-Zélande ont publié une lettre commune envoyée à leurs responsables respectifs du commerce et de l’agriculture pour exprimer leur indignation sur les actions récentes du Canada qui viseraient à maintenir des restrictions sur le commerce des produits laitiers.
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Il doit maintenant être évident pour tous les Néo-Zélandais que nous sommes trop dépendants de la Chine - nous sommes si près d'eux qu’ils nous disent ce qu'il faut faire…
Au cours des dernières semaines, la Chine n'a pas apprécié les enquêtes néo-zélandaises sur les importations d'acier chinois qui inondent le marché et nous a menacé de réduire ses importations de lait, de la laine et de kiwis.
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Le total des exportations irlandaises de marchandises en 2014 ont été évalués à 92 milliards €, dont près de 13,6 milliards € vers le Royaume-Uni, selon Teagasc. Les exportations agroalimentaires irlandaises vers le Royaume-Uni représentent environ un tiers des exportations totales de marchandises vers le Royaume-Uni. Et c'est sous la forme de viande, de produits laitiers et d’aliments transformés.
En 2014, le total des importations de marchandises ont été évalués à 61 milliards €, dont près de 20,6 milliards € provenaient du Royaume-Uni. Sur ce total, les importations agroalimentaires en provenance du Royaume-Uni ont une valeur de 4,5 milliards €.
Le commerce entre l'Irlande et le Royaume-Uni continuera, mais à quel prix ? Le Brexit pourrait réduire les flux bilatéraux entre l'Irlande et le Royaume-Uni de 20% ou plus. Teagasc a estimé qu'un Brexit pourrait signifier une réduction de la valeur des exportations irlandaises agroalimentaires de € 150m (1,5%) à 800 M € (7,2%) par an. Le Brexit n’est pas bon pour l'Irlande, mais nous devons vivre avec.
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