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Sous le titre « Manger en ville, une défiance durable ? », l'Ocha (1) et la chaire Unesco alimentation du monde ont consacré un colloque à la défiance alimentaire. Un phénomène mondial qui interpelle les entreprises mais aussi les politiques et les scientifiques.
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Une vaste étude épidémiologique confirme que la graine de lin est bénéfique sur la production et la fertilité, en conditions réelles d’élevage.
Menée par Valorex et l’UMR Oniris-Inra Bioepar dans le cadre d’une thèse, une étude épidémiologique de vaste ampleur a évalué l’impact de l’utilisation de la graine de lin sur les performances de production et reproduction. L’étude a croisé les données de livraison d’aliments contenant de la graine de lin de 1204 troupeaux avec les résultats de performances individuelles issus des bases de données nationales (performances de production, reproduction…), et les a comparées à une référence sans complémentation en lin. Les données alimentaires ont été collectées par Valorex et une vingtaine de partenaires fabricants d’aliments.
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Pour atteindre l'objectif de 2 500 € / ha de profit, les éleveurs doivent utiliser leur système de vaches à l’herbe pour leur permettre de résister à la tempête de la volatilité des prix du lait.
« Le seul avantage compétitif de l'Irlande est sa capacité à faire pousser de l'herbe, notre système doit maximiser l'utilisation de l'herbe, ce qui permet une vache à faible entretien, très fertile et productive », selon Teagasc.
L'augmentation de chaque tonne d'herbe coûte 173 € / ha, les agriculteurs devraient pousser à atteindre les objectifs de 13 tonnes par an. «À l'échelle nationale, nous utilisons environ 7,8 tonnes, mais la cible est de 13 tonnes. Le top 5 des agriculteurs utilise 12,3 tonnes par hectare, mais 1% atteignent l'objectif de 13 tonnes. »
Les producteurs laitiers doivent acheter moins d'aliments s'ils veulent éviter une baisse des profits. « Chaque augmentation de 10% des aliments achetés entraîne une baisse des bénéfices de 97 €. » Le vêlage de printemps est passé de 53 à 63% depuis 2008, mais c’est loin de l'objectif de 90% requis pour atteindre 2 500 € / ha.
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Le lait cru, produit quelque peu oublié, revient en force ces derniers temps.
Le lait cru connaît un récent engouement. Mais est-il bon pour notre santé ? Dans la fromagerie parisienne où s'est rendue France 2, on privilégie le lait cru. Deux fois par semaine, le lait arrive dans la nuit pour être en rayon au petit matin....
et aussi : Alimentation : comment choisir son lait ? sur https://www.francetvinfo.fr/replay-jt/france-2/13-heures/alimentation-comment-choisir-son-lait_2577638.html
En plateau, Simon Ricottier revient sur les différents laits. Stérilisé, pasteurisé, cru... Que faut-il choisir ?
Ce numéro spécial illustre le large panorama des services et impacts de l’élevage européen. Il développe non seulement le rôle de l’élevage vis-à-vis de la production de denrées alimentaires, de l’emploi, des dynamiques territoriales et de la construction des paysages, mais aussi comment l’élevage pourrait mieux répondre aux attentes légitimes de nos concitoyens en matière de préservation de l’environnement, de bien-être animal et de traçabilité des circuits alimentaires.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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En hausse de 59% sur un an, son chiffre d'affaires alimentaire américain est notamment tiré par les boissons fraiches et le café. Mais les ventes d'épicerie d'Amazon progressent aussi de 56% au Royaume-Uni et de 54% en Allemagne.
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De nouvelles marques fleurissent dans la filière laitière. Certaines ont un cahier des charges interdisant l'alimentation OGM. Les éleveurs doivent alors se tourner vers des alternatives au soja et cela peut valoir le coût !
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La confiance, le « soin de soi », le stress, l’individualité et la durabilité apparaissent comme les 5 tendances qui reflètent les thématiques consommateurs clés de 2018.
Chacune d’entre elles touchera les consommateurs, les fabricants et les distributeurs …
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Dans un livre passionnant, le docteur Anthony Fardet met en garde contre les "aliments ultra-transformés", qui font des ravages sur notre santé. Entretien ultra-fouillé.
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« L'indépendance protéique de nos élevages est en danger ! » : ce sont les mots de l'interprofession Terres Univia. Elle s'inquiète quant à l'impact de la révision de la directive biocarburant sur la filière française de colza et donc sur l'approvisionnement en protéines des élevages. « La filière française du colza est en péril. En cause, le projet de révision de la directive biocarburant (RED II) de l'Union européenne qui risque de rayer d'un trait de plume la filière française de biodiesel, et ce alors même que ses avantages environnementaux sont clairement établis. Supprimer cette filière aurait de lourdes conséquences économiques et environnementales, notamment pour l'élevage. »
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Prévus dans la loi d’avenir pour l’agriculture, les projets alimentaires territoriaux (PAT) sont élaborés de manière concertée à l’initiative des acteurs d'un territoire. Ils visent à donner un cadre stratégique et opérationnel, à des actions partenariales répondant aux enjeux sociaux, environnementaux, économiques et de santé. L’alimentation devient alors un axe intégrateur et structurant de mise en cohérence des politiques sectorielles sur ce territoire. Construisez-le votre !
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Une étude d’organismes experts en économie de l’élevage actualise quelques repères à atteindre pour maintenir en bon santé son système de production. Plus que dans la maximisation du produit, le plus souvent les marges de manœuvre sont dans la maîtrise des charges alimentaire et de mécanisation. - Viser 100€/1.000l de rémunération permise - Pas plus de deux chevaux à l’hectare A lire aussi : Un agrès pour que votre coût de production garde la ligne ; Le coût alimentaire calculé au jour le jour ; Le lait issu de pâturage plus écolo et plus rentable ; La robotisation laitière rend-elle plus heureux?
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La transition agricole et alimentaire en dix points : A l'heure des Etats généraux de l'alimentation, WWF veut démontrer que la transition agricole et alimentaire est déjà en marche. En 10 points clés, l'association pointe les avancées en la matière et encourage les acteurs à aller plus loin. Détails en infographie.
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Chez beaucoup de Français, les besoins en calcium ne sont pas couverts. De récentes études du Credoc réaffirment le rôle clé des produits laitiers pour l’équilibre nutritionnel de la population.
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FeedMarket.fr est une plateforme d’e-commerce destinée à répondre d’une part à la digitalisation des pratiques commerciales agricoles et d’autre part à la demande directe croissante des éleveurs à la recherche d’économie et d’aide au pilotage des achats de matières premières. FeedMarket.fr propose à la commercialisation des tourteaux riches en protéines et des huiles végétales brutes. …
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Le lait fermenté au kéfir favorise l'ensemencement de la flore intestinale des veaux. Peu coûteux, il permet de passer le lait des vaches à cellules ou des fraîches vêlées. La préparation du kéfir nécessite cependant une certaine organisation.
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Coop de France nutrition animale et le Snia constatent que le secteur bovin, avec une chute de 3,6 %, reste très impacté par la baisse de la demande en aliments pour vaches laitières (–4,8 %)...
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Suite de notre série de dossiers sur vos vaches ont des choses à vous dire, aujourd'hui la rumination ! A retrouver sur http://sco.lt/6fUjqL
Et si on abordait l'alimentation du troupeau sans parler de rationnement, mais plutôt de comportement alimentaire, d'appétence, ou encore d'accessibilité de la ration ?
Distribuer une bonne ration, c'est bien, mais faire en sorte qu'elle soit bien consommée, c'est mieux !
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Équipés de robots de traite, Magali et Ludovic Foureau vont doubler la surface pâturée en 2018 et ajouter la féverole toastée aux autres aliments concentrés produits sur place.
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Le lin, riche en acide alpha-linolénique, a des intérêts pour la production et la santé des vaches laitières. La première étude épidémiologique en nutrition animale, conduite par l’Oniris, chiffre un gain possible de 1,3 kg de lait par jour pour une vache qui recevrait quotidiennement 780 g de lin. Par ailleurs, dès un apport quotidien de 25 g, c’est 5 jours gagnés sur la fécondation. Des améliorations qui bénéficient à la marge de l’élevage...
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Des chercheurs de l'Université du Québec travaillent à mettre au point un procédé de production de micro-algues nourries au petit-lait. Cette culture permettrait aux scientifiques d'extraire une protéine créée par les micro-algues qui éliminerait la présence de lactose dans certains aliments...
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La démarche Eco-Méthane, impulsée par l’association Bleu Blanc Cœur, encourage l’éleveur à fournir à ses animaux une alimentation plus diversifiée, équilibrée en Oméga 3 par un apport de luzerne ou de lin. Elle permet de réduire les émissions de méthane, un gaz à effet de serre naturellement rejeté dans l’atmosphère par les vaches.
Actuellement, 25 élevages du pays de Fougères, représentant 2000 vaches laitières, se sont engagés dans la démarche. Ils réduisent en moyenne de 12,1 % leurs émissions de méthane. 610, 8 tonnes de gaz à effet de serre n’ont pas été émises, ce qui représente 295 voitures qui n’auraient pas roulé pendant un an.
Pour encourager plus d’éleveurs à se lancer dans le dispositif Eco Méthane, le pays de Fougères s’engage financièrement. Il a décidé d’y consacrer 100 000 € (dont 80 000 € venant de fonds européens) sur 3 ans, une somme qui sera entièrement reversée aux éleveurs sous forme d’unités de crédit à utiliser localement.
Une récente étude du Groupement d’intérêt scientifique Élevage demain remet en perspective la concurrence entre alimentation animale et humaine.
Souvent critiqué pour sa faible efficience de conversion des ressources végétales en produits animaux, l’élevage montre pourtant une forte capacité à valoriser de nombreux coproduits végétaux, résidus de cultures et fourrages qui ne sont pas consommables par l’Homme.
Il est généralement avancé que 2,5 à 10 kg de protéines végétales sont nécessaires pour produire 1 kg de protéines animales. Pourtant, si l’on ne considère que la fraction des végétaux consommés par les animaux et qui est directement consommable par l’Homme et seulement la fraction des produits animaux qui entrent dans la chaîne alimentaire, l’étude démontre que de nombreux élevages ont une contribution positive à la production de protéines de qualité...
Via IDELE Institut de l'Elevage
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La tendance à la segmentation des productions et la quête de valeur ajoutée sont des sujets importants dans la filière laitière.
Les notions de bien-être animal, de traçabilité des filières, de durabilité des systèmes de production vis-à-vis de l’environnement sont désormais bien ancrées.
Les éleveurs travaillent dans ce sens, et Triskalia les accompagne dans ces démarches. À l’heure où les questions sur les OGM se multiplient dans différentes productions, et notamment en production laitière ou en viande bovine, Triskalia propose des nouvelles solutions à ses clients en nutrition bovine.
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Tony et Valérie Citerin dans le Finistère viennent de réaliser un audit avec BCEL Ouest qui a relancé leur réflexion sur le choix de système d’alimentation.
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