Résultats d’essais menés à la station expérimentale de Mauron : faisabilité d’une production de viande rouge issue de jeunes bœufs ou génisses (abattage 300 kg à 15 16 mois) en croisement Holstein x Races rustiques…
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Résultats d’essais menés à la station expérimentale de Mauron : faisabilité d’une production de viande rouge issue de jeunes bœufs ou génisses (abattage 300 kg à 15 16 mois) en croisement Holstein x Races rustiques…
Cedric's insight:
voir aussi Bœufs à l’herbe à Mauron : Des essais concluants https://sco.lt/5SfGyW [Diaporama] Travaux de valorisation des mâles laitiers à Mauron https://www.slideshare.net/idele_institut_de_l_elevage/travaux-de-valorisation-des-mles-laitiers-mauron No comment yet.
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La coproduction de veaux de boucherie et de vaches de réforme dans les élevages laitiers permet d’obtenir du lait et de la viande offrant une meilleure empreinte carbone et des impacts environnementaux plus faibles… Une étude a comparé au moyen de l’analyse du cycle de vie (ACV) les impacts environnementaux associés à la coproduction de viande bovine de deux types d’exploitation laitière. La viande de bœuf peut être produite de deux manières : en tant que produit principal dans des exploitations spécialisées ou en tant que coproduit dans des exploitations laitières. Dans cette étude, les cas d’une ferme laitière en semi-confinement (A) et d’une ferme laitière basée sur les pâturages (B) ont été analysés au moyen de l’analyse du cycle de vie (ACV) pour évaluer les impacts environnementaux associés à la coproduction de viande bovine…
Cedric's insight:
Voir Etude « Environmental advantages of coproducing beef meat in dairy systems »
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La France produit de moins en moins de viande bovine, alors que de nombreux éleveurs ont renoncé devant la faiblesse des revenus de leur travail… Depuis 2011, la consommation moyenne annuelle de boeuf diminue de 0,8 % chaque année, selon les chiffres de France Agrimer. La viande de boeuf est devenue la troisième viande la plus consommée en France, derrière le porc et, depuis peu, la volaille. Même si chaque Français en consomme encore autour de 22 kg par an (25 kg en 2011), surtout sous forme de viande hachée et de hamburger… Les Français consomment moins de boeuf… mais surtout, la France produit moins de boeuf . L'an dernier, la production a reculé de 4 %. Pire, depuis 2016, le troupeau a perdu plus de 700.000 animaux, soit une baisse de 8 % pour les vaches à viande. Aux difficultés liées au métier d'éleveur s'ajoutent les difficultés économiques. Le métier rapporte peu et l'envolée récente du prix des matières première a encore pesé sur les marges des éleveurs. Beaucoup ont renoncé. Sans compter les départs à la retraite, difficiles à remplacer faute de candidat à l'installation…
Cedric's insight:
voir aussi Les 5 chiffres de la décapitalisation bovine
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Licenciements, scandale sanitaire, effondrement en Bourse... Beyond Meat, star de l'agroalimentaire végane, fait face à un retour de bâton. La fin de la hype pour les simili-carne ? Après des débuts réussis, Beyond Meat a perdu la faveur des investisseurs. La licorne autrefois chouchoute de Wall Street a perdu 90 % de sa valeur en bourse en 2 ans... Installée sur un marché de niche avec ses ersatz de viandes, Beyond Meat s'adresse à des consommateurs qui n'entendent pas changer leurs habitudes mais sont à la recherche d'alternatives au régime carné. Si dans un premier temps la curiosité pour le simili-carné a fait exploser la demande, l'effet de mode passé, le marché de niche peine à se transformer en marché de masse. Selon une étude parue dans Nature, les ventes des substituts de viande d’origine végétale ont chuté de plus de 10 % au cours des douze derniers mois aux États-Unis, après un an de stagnation. La consommation de viande, quant à elle, reste stable… Dans son ascension vers nos assiettes, la startup végane rencontre un deuxième obstacle : ce que les Américains appellent l’ « effet margarine » . Longtemps vantée pour ses bienfaits santé, cette alternative au beurre s'est finalement révélée très riche en acides gras saturés, responsables entre autres de l'augmentation du mauvais cholestérol. Les viandes végétales surfant sur l'argument santé suivraient un parcours identique. Avec leur liste d’une vingtaine d’ingrédients, les steaks et autres saucisses végétales qui imitent le goût, la couleur et la texture de la viande se retrouvent ainsi dans la catégorie des aliments ultra-transformés. On se retrouve donc avec de la fausse viande riche en gras saturé et en sodium, vendue à prix d'or…
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voir aussi Veganuary : Les ventes d'alternatives laitières et à la viande ont baissé
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Rétrospective avec Philippe Chotteau, chef du département économie de l’Institut de l’élevage, sur les évènements qui ont jalonné l’élevage bovins viande des années 1970 à nos jours. Et réflexion sur les perspectives d'avenir…
Cedric's insight:
voir aussi Les 5 chiffres de la décapitalisation bovine
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Déçu par la valorisation des veaux laitiers, Matthieu Gourlin, éleveur dans l'Aisne, s'est lancé dans le croisement viande, puis dans l'engraissement de bœufs croisés pour valoriser la viande issue du lait sur son exploitation…
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voir aussi [Diaporama] Travaux de valorisation des mâles laitiers à Mauron Valorisation des veaux laitiers : comparaison dans 10 pays
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Si ce type de produit existe déjà en conventionnel via les contrats Herbopack, le cahier des charges bio donne à la filière des défis techniques supplémentaires à relever, avec la gestion de la phase lactée et du parasitisme sur les jeunes animaux… Au delà du volet production, la valorisation des veaux laitiers pose question. « Les contrats Herbopack, proposés par le groupe Bigard se développent en conventionnel et montrent qu'il y a une voie pour ce type de produits. C'est assez proche de ce que l’on veut faire en bio, avec pour enjeux supplémentaires la gestion du parasitisme et de la phase lactée »… « Il faut créer une filière. Si on veut élever les veaux laitières dans la filière bio, il faudra créer un nouveau métier : engraisseur à l’herbe, qui n’existe quasiment pas aujourd’hui. L'objectif est de créer des relations entre naisseurs et engraisseurs pour que chacun puisse exercer ses compétences »…
Cedric's insight:
voir aussi Quelle valorisation des veaux mâles dans les grands bassins laitiers ? De la viande produite à l’herbe : la démarche Herbopack https://www.google.com/url?sa=i&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&cad=rja&uact=8&ved=0CAMQw7AJahcKEwjQwfab8or8AhUAAAAAHQAAAAAQAg&url=https%3A%2F%2Fafpf-asso.fr%2Findex.php%3Fsecured_download%3D2396%26token%3D1c7eb1b12c5ed7189d725ef997c06504&psig=AOvVaw2YgmMxNEG_G8yXdH-S9q8G&ust=1671718271939563
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À compter du 1er janvier 2023, la contractualisation voulue par la loi Egalim 2 devient obligatoire pour les vaches de réforme et les petits veaux laitiers… Théoriquement, fini les ventes de gré à gré où l’on négocie les prix des petits veaux ou des réformes dans la cour de la ferme. Dès le 1er janvier 2023, toute vente de bovin sur le territoire français est soumise à la contractualisation obligatoire. Cela inclut tant les vaches que les veaux laitiers. Les sanctions encourues sont une amende administrative pouvant grimper jusqu’à 2 % de votre chiffre d’affaires. En pratique, il n’y a pas lieu de s’alarmer…
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voir aussi Rémunéra-score : La FNB s’engage avec Lidl Un premier contrat cadre "Egalim2" est signé par ELVEAOP https://sco.lt/5TX9pQ
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Alors que les veaux laitiers peuvent conduire à une multitude de produits finis, les exploitations françaises semblent se spécialiser sur la production laitière au détriment du produit viande, plaçant la France au rang de deuxième exportateur européen de petits veaux de lait… En 2020, 61 % des veaux mâles issus du cheptel laitier étaient valorisés en veaux de boucherie…
Cedric's insight:
voir aussi Les veaux, « mâles nécessaires » de la production laitière https://sco.lt/4yvTJw S'inspirer de nos voisins pour mieux valoriser les veaux laitiers https://sco.lt/9HqQOu
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Un nouveau logo, le Rémunéra-score, informe le consommateur du niveau de prix payé au producteur de viande bovine. Initié dans le cadre de la loi EGAlim2 par Lidl et la FNB, le Rémunéra-score vise à informer le consommateur, au travers d’un étiquetage reprenant le modèle du Nutri-score, sur la rémunération des éleveurs de la filière bovine... Appliqué depuis septembre sur la viande bovine de race Limousine issue de contrat tripartite dans 150 supermarchés Lidl du Grand Est, l’enseigne s’engage à déployer cette initiative dans l’ensemble des supermarchés en France d’ici 2023…
Cedric's insight:
« L’enjeu de la loi EGAlim2 est de permettre aux éleveurs d’être rémunérés à hauteur de leur coût de production. Avec le Rémunéra-score, nous y répondons de manière concrète avec un meilleur partage de la valeur au sein de la filière pour le consommateur tout en tenant compte du coût de production des éleveurs dans la construction du prix de leurs produits.» Voir aussi Le commerce équitable, modèle résilient et inspirant ? https://sco.lt/5WbQfo
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Si la réduction des charges est un préalable, il ne faut pas pour autant négliger les coproduits. Pesant pour 10 % du produit de l’atelier lait, la valorisation des coproduits est un levier rapidement actionnable pour améliorer son revenu en exploitation laitière… Pour 10 % des ateliers laitiers français, c’est la valorisation des coproduits qui est le facteur limitant du résultat. C’est seulement 5 % pour le prix du lait, selon l’Idele.
Cedric's insight:
voir aussi En avril, la marge laitière sur un an est en hausse Sur un an, la MILC « a progressé de 26 €/1000 l. La hausse du prix du lait (+ 71 €/1000 l) est presque intégralement gommée par celle des charges (+ 67 €/1000 l), mais le bond des prix du coproduit viande (+ 22 €/1000 l) permet à l’indice d’excéder nettement son niveau d’avril 2021 (85 €/1000 l). »… Structure et évolution des couts de production en élevages laitiers https://laitdenormandie.blogspot.com/2021/12/structure-et-evolution-des-couts-de.html
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Le cahier des charges de la STG « Bœuf traditionnel de race Normande » est officiellement défini… Le bulletin officiel du ministère de l’agriculture a publié, le 11 août, le cahier des charges de la spécialité traditionnelle garantie (STG) Bœuf traditionnel de race Normande, homologué une semaine auparavant par arrêté du 28 juillet 2022. Seul est encore attendu l’enregistrement de cette nouvelle STG par la Commission européenne… Le Bœuf traditionnel de race Normande « est une viande bovine obtenue à partir d’un mâle castré de race normande âgé de 30 à 48 mois (…) Les carcasses sont classées au minimum O= avec un état d’engraissement noté 3 ou 4. Le poids minimum est de 380 kg pour les carcasses classées O+ et de 410 kg pour les carcasses classées O=. »…
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Le mode d’élevage du Bœuf traditionnel de race Normande « repose sur un itinéraire technique simple qui a peu évolué depuis la seconde guerre mondiale, résume le cahier des charges. Il est basé sur l’alternance saisonnière pâturage/stabulation qui privilégie l’herbe pâturée sur 7 mois de l’année, et l’herbe conservée pendant la période hivernale. Ce système d’élevage permet de favoriser une croissance lente des animaux. L’alimentation du Bœuf traditionnel de race Normande exclut le maïs ensilage et tous les aliments issus d’organismes génétiquement modifiés. »… voir aussi Cahier des charges
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Les dénominations données aux produits d’origine animale leur sont désormais strictement réservées. Ces dispositions entreront en vigueur le 1er octobre prochain. Si le texte est salué par les professionnels des filières animales, ces derniers demandent toutefois un élargissement de ces exigences à l’échelle européenne… Un décret « insuffisant » Les produits légalement fabriqués ou commercialisés dans un autre État membre de l’Union européenne ou en Turquie, ou légalement fabriqués dans un autre État partie à l’accord sur l’Espace économique européen, ne sont pas soumis aux exigences du présent décret…
Cedric's insight:
« Il est nécessaire d’élargir cette mesure au niveau européen, mais également d’envisager des mesures législatives ou réglementaires analogues pour protéger les dénominations animales par rapport aux aliments artificiels de synthèse »… Un encadrement européen des dénominations des produits laitiers a été obtenu « à l’occasion de la réforme de la Pac ». La FNSEA demande que l’application du décret « s’accompagne de contrôles accrus de la DGCCRF »… Voir aussi En 2020, substituts végétaux dans l'UE : le lait protégé, la viande non |
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Les abattages de bovins continuent de se replier par rapport au niveau bas de 2022. Les abattages de vaches laitières, quasi stables sur un an (+ 0,4 % en têtes), sont en repli de 9,1% par rapport à la moyenne 2018-2022. À 4,85 €/kg carcasse, le cours moyen de la vache de type « O » dépasse de 0,80 €/kg son niveau de 2022… La cotation Interbev de la vache « O » est repassée, depuis la mi-mars, au-dessus de 5 €/kg carcasse. En semaine 12 (20 au 26 mars), elle s’est établie à 5,02 €/kg…
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L’agriculture est infiniment plus complexe que n’importe quelle invention humaine. Quand on parle des viandes, on les classe selon leurs émissions moyennes de CO2 (eq)… Mais ces moyennes cachent de très TRÈS grandes variabilités : les émissions du bœuf varient de 1 à 10 selon le mode de production. Imaginez acheter une voiture sans savoir si elle consomme 5L ou 50L au 100…
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La variabilité de ces émissions dépend notamment de la race de vache, la conduite du troupeau, les pratiques alimentaires, la gestion des effluents, etc. Rajoutons un niveau de complexité : les vaches qui profitent des prairies améliorent la séquestration du CO2 des sols. Autrement dit, elles compensent une partie de leurs propres émissions. Les vaches valorisent de l’alimentation non-humaine (de l’herbe) vers des protéines comestibles. Elles valorisent des prairies qui, dans près de la moitié des cas (à l’échelle de la planète) ne peuvent pas être converties en terrain agricoles…
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À la station expérimentale de Mauron (56), des travaux sont menés sur une nouvelle voie de valorisation des mâles laitiers : des carcasses légères (environ 300 kg) et bien finies à 16 – 18 mois, visant à alimenter le segment de la RHD. « Le pâturage et l’herbe sont optimisés et différents croisements lait x viande sont testés sur 2 itinéraires de production : naissance en automne avec finition à l’auge, naissance en hiver avec finition au pâturage.»… «Les objectifs de croissance ont été atteints avec plus de 50 % d’herbe dans la ration pour les deux types de conduites.» Côté économique, « les premiers repères affichent un coût inférieur de 10 à 15 % par rapport au JB Holstein conventionnel.»… À la FNPL, « nous réfléchissons aussi au retour de l’engraissement des veaux laitiers en France, notamment pour ne pas avoir à subir un changement de réglementation sur leur transport demain. Mais cet engraissement ne se fera pas forcément sur les élevages laitiers. Nous travaillons plutôt sur la partie sevrage en essayant de lui donner de la valeur. »
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voir aussi [Témoignage] L'engraissement de croisés a remplacé la vente de reproducteurs [Diaporama] Travaux de valorisation des mâles laitiers à Mauron
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Le recueil des connaissances sur la qualité des viandes bovines se présente sous forme de fiches illustrées, simples et synthétiques. Accessible à tous, il permet d'acquérir une vision complète de la qualité des viandes bovines, des mécanismes métaboliques aux leviers d'action à disposition des professionnels…
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En savoir + sur Interbev : Recueil 156 pages structurées en 32 fiches et sous-fiches
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Production et consommation de veaux de boucherie sont en chute libre. La filière veau sous la mère est particulièrement dans la tourmente. Néanmoins, la restauration commerciale reste un débouché important…
« On estime à -16 % la chute des volumes vendus en grande distribution et boucherie traditionnelle, à fin septembre, contre -8 % pour l’ensemble des viandes de boucherie fraîches. Les informations sur la consommation ne sont pas bonnes. Nous souffrons depuis plusieurs mois. L’été n’est jamais propice, mais avec les températures très élevées que l’on a eues, les ventes ont été particulièrement catastrophiques. On s’attendait à du mieux à la rentrée, mais la reprise a été très tardive. L’ambiance est vraiment morose ».
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Après presque deux ans de hausse quasi ininterrompue, les prix des vaches mixtes et laitières et dans une certaine mesure allaitante donnent des signes d’essoufflement…
Semaine assez tendue sur le marché de la viande bovine. Car la consommation est toujours en net repli. Selon des données Kantar rapportées par la FCD, les achats des ménages de viande de bœuf reculaient de 12,3 % en cumul annuel mobile à fin août…
Les prix au consommateur de la viande bovine ont bondi de 12 % entre août 2021 et août 2022. L’offre française demeure néanmoins très réduite : en moyenne sur les semaines 41 à 44, les abattages de gros bovins se situaient 5,1 % sous leur niveau de l’an dernier, la baisse atteint même 7 % pour les vaches mixtes et laitières, selon les remontées auprès d’Interbev…
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On nous incite souvent à réduire notre consommation de viande pour réduire notre empreinte carbone. Mais passer au tout-végétal serait en fait catastrophique…
• Des mensonges, encore des mensonges, et des statistiques
• L'élevage subventionne en réalité la production céréalière humaine
• Les vaches, des éco-vandales ?
• L'élevage laitier est en réalité le moyen le plus écologique de nourrir une population
• Pâtures et paysages
• Les herbivores maintiennent la biodiversité
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Depuis le 2 août 2022, les cotations "gros bovins entrée abattoir" sont désormais organisées en trois segments de marché : les animaux standards, les animaux "Label Rouge et autres signes de qualité" (SIQO), et les animaux bio…
Pour les animaux standards, la publication reste hebdomadaire - toujours le mardi - nationale et régionales. Elle interviendra chaque second mardi du mois pour les deux autres segments. Ces cotations seront diffusées sur le site VISIONet de FranceAgriMer sous réserve que le nombre d’animaux abattus pour chaque élément de cotation soit supérieur à 80. Cela permettra de disposer de cotations hebdomadaires pour les animaux standards et de cotations mensuelles pour les animaux bio et les animaux sous SIQO…