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« L'affaire Synutra, la Covid puis maintenant l'explosion des intrants dans nos fermes et dans nos usines » : les dernières années sont agitées aux Maîtres Laitiers du Cotentin. La coopérative reste toutefois leader européen de la production de fromages frais pour la restauration hors foyer et la grande et moyenne distribution…
Si l’activité beurre et crème « marche à fond » dans l’usine de Méautis, les 70 % restants de cet outil ultramoderne ne tournent qu’à « 20 à 25 % » de leur capacité…
L’exercice 2020-2021 affiche un retour à la normale avec un chiffre d’affaires de 1,968 milliard d’euros et résultat net après impôts de 19,4 millions d’euros. « Ça peut paraître beaucoup mais ce n’est que 1 % du CA du groupe. Ça démontre toujours une fragilité. »…
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Le bénéfice du groupe Bel s'est effrité de plus de 49% au premier semestre, dans un contexte inflationniste marqué par une forte hausse des coûts de production. « Ce qui est très frappant dans cette crise inflationniste est que ça touche l'ensemble des lignes de nos coûts d'achat : matières premières, emballage, énergie, transport. »…
Pour protéger ses marges, Bel compte notamment sur « les négociations commerciales avec les partenaires de la grande distribution pour obtenir une meilleure réallocation de l'impact de l'inflation »…
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Le premier groupe laitier mondial a annoncé un résultat courant en baisse pour 2021. La direction du groupe impute ce recul à la tendance inflationniste qu’elle observe depuis le second semestre de l’année dernière…
Le chiffre d'affaires a atteint 22 milliards d'euros, en hausse de 4,2 %. Le résultat courant a, lui, baissé de 2,5 % à 1,17 milliard d'euros, faute d'avoir pu répercuter l'inflation des coûts (énergie, matières premières, emballages). Quant au bénéfice, il s'est établi à 445 millions d'euros…
En 2022, l’inflation devrait atteindre 5,7% dans les pays avancés, et même 8,7% dans les économies émergentes et en développement, selon le Fonds monétaire international. Implanté dans 52 pays à travers ses 270 usines et présent commercialement dans 150 pays, le géant tricolore du lait Lactalis en ressent forcément les effets…
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La coopérative néerlandaise FrieslandCampina doit apporter des changements dans trois usines aux Pays-Bas, des changements qui devraient entraîner la perte d'environ 150 emplois…
La coopérative néerlandaise, l'une des dix plus grandes entreprises laitières au monde en termes de ventes, ferme une usine à Rotterdam et ferme deux tours de lait en poudre sur un site plus au nord à Leeuwarden…
La fermeture du site de Rotterdam, prévue d'ici la fin de l'année prochaine, entraînera la suppression de 142 emplois. À l'usine de Leeuwarden, 55 des 750 emplois deviendront licenciés. Les tours doivent être fermées en mai. Parallèlement, 40 nouveaux emplois seront ajoutés à l'usine de Maasdam, qui emploie 267 personnes.
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« Améliorer sa rémunération par 1 000 litres, c’est optimiser chaque poste de produits et de charges en recherchant les meilleurs équilibres. La recherche de bons taux dans le lait peut accroître la consommation de concentrés ; un taux de croisement excessif pour valoriser les veaux peut menacer le bon renouvellement du troupeau... Tout est donc question de dosage », explique FranceAgriMer.
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Au cours du trimestre, le bénéfice net de Dean Foods s'est chiffré à 1 382 000 $, en forte baisse par rapport à la même période de l'année précédente où l'entreprise avait gagné 14 526 000 $.
Pour comprendre le principal défi auquel Dean Foods Co. doit faire face, il faut examiner le marché du lait liquide. Les volumes sont en baisse, et comme le marché continue de s'éroder, l'entreprise doit chercher des économies de productivité et de nouvelles opportunités ailleurs…
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La mesure clé de la valeur ajoutée, c’est le chiffre d'affaires par kilogramme de solides du lait, indique l’IFCN, réseau international de recherche laitière basé en Allemagne : 1 $ US/kg est le niveau moyen des 20 plus grands transformateurs au monde, équivalent à celui de FrieslandCampina.
Fonterra occupe le 18ème rang, à 60 cts/kg, en retard de 40% dans le top 20 des plus grandes entreprises laitières. Très au-dessous des 5 premières entreprises laitières avec Danone à 2,40$, suivi de Nestlé à 1,90$, les chinois Mengniu et Yili à 1,40 $ et le Groupe Lactalis à 1,30 $ US.
La stratégie de Fonterra et ses agriculteurs-actionnaires évolue vers des ingrédients avancés avec une décennie de retard, toujours dominée par les ingrédients de base.
Certes, la coopérative a livré son 4ème meilleur prix du lait (dividendes inclus) aux agriculteurs-actionnaires au cours de ses 16 années d’existence, ses bénéfices sont corrects malgré l'augmentation de 57% du prix du lait et la Chine est maintenant son marché le plus important et le plus rentable. Mais derrière ces résultats, Fonterra est confronté à trois grands problèmes :
- Beingmate, son investissement chinois clé est en difficulté
- Transparence des bonus et incitations aux cadres supérieurs
- Fonterra est un grand collecteur de volumes, encore peu producteur de valeur
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« Yili représente la qualité le plus élevée » est un credo fondamental mis en place par le président Pan Gang pour l'entreprise. Basé sur son propre système de qualité comprenant « la participation de tout le personnel et dans tous les processus de manière intégrale » et le système de gestion des risques alimentaires à trois niveaux, un système de contrôle et de prévention couvrant « le siège social, les différents départements et les usines »
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Après la crise de gouvernance, Danone se donne 3 ans pour redevenir compétitif Danone est de retour. Le numéro un mondial des produits laitiers se donne trois ans pour redevenir compétitif et réinvestit pour y parvenir…
Après deux ans en enfer, entre crise sanitaire – et ses graves conséquences, notamment sur les ventes d’eau minérale – et crise de gouvernance, conclue par le départ contraint de son PDG Emmanuel Faber en mars 2021, le numéro un mondial des produits laitiers et d’origine végétale reprend sa croissance…
Mieux, l’embellie est générale. Accélérer les transformations : Parmi les signaux encourageants, le franc succès de Not Milk, le nouveau lait végétal…
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Isigny Sainte-Mère a présenté un résultat net stable en 2021. Elle affiche un prix du lait avec ristourne de 428,81 €/1 000 l en moyenne…
Sur 2021, le résultat net est stable par rapport à 2020 à 28 millions d’euros, malgré un EBE en baisse du fait d’une hausse des coûts de production. Le prix du lait 2021 – total payé avec ristournes – a atteint 428,81 €/1 000 l en moyenne, contre 408,25 € en 2020. Aux 336,13 € de prix de base, s’est ajouté le paiement de la qualité (57,72 €), des ristournes (30,13 €) et d’autres primes. Le résultat 2021 permettra un retour moyen de 35,42 €/1 000 l aux associés coopérateurs en 2022. Pour le prix du lait 2022, « notre objectif est un prix payé avec ristournes supérieur de 10 % par rapport à 2021, soit environ +42 €/1 000 l »…
L’export tire toujours l’activité d’Isigny. « Nous reprenons des parts de marché au Royaume-Uni, en RHD. Aux USA, les fromages fonctionnent très bien. L’Asie, le Proche et le Moyen-Orient connaissent une forte demande pour nos produits. Il faut que nous passions des hausses importantes de tarif en grande distribution en France. Nous nous sommes parfois faits déréférencer car nous ne lâchons pas sur nos tarifs. Nous avons des relais à l’export qui nous permettent de compenser la perte de débouché en grande surface »…
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Le géant de l'alimentation confirme le retour dans des eaux plus calmes avec un chiffre d'affaires en hausse de 7,1 %. L'effet prix a plus joué que les volumes. Le groupe maintient ses objectifs de croissance et reprend ses investissements…
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Trois ans après le rapprochement de leurs activités laitières et deux ans après leur fusion, Eurial et Agrial versent des dividendes à leurs 4 855 producteurs et coopérateurs. Eurial, branche laitière du groupe coopératif Agrial, vient d'annoncer un résultat 2017 d'environ 20 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de plus de deux milliards, « en hausse de 100 millions d'euros », a révélé Olivier Athimon, directeur général. « Notre marge opérationnelle progresse. Pour la première fois, nous allons pouvoir procéder à des distributions. »
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Au 30 septembre 2017, le chiffre d’affaires consolidé cumulé du Groupe Bel s’établit à 2 513 millions d’euros, en hausse de 15,3% par rapport aux neuf premiers mois de l’exercice précédent. Le Groupe Mont-Blanc Materne (MOM) représente 312 millions d’euros et apporte une croissance de14,3%. L’effet de change négatif sur la période est de 34 millions d’euros ou – 1,5%.
Ainsi, hors effet de change et de périmètre, le chiffre d’affaires progresse de 2,5% au cumul des neuf premiers mois de 2017 par rapport aux neuf premiers mois de l’exercice précédent.
Le chiffre d’affaires du troisième trimestre s’établit à 847 millions d’euros, en hausse de 16,0% si on le compare à celui du troisième trimestre 2016. Hors effet de périmètre et de change, la croissance du chiffre d’affaires du seul trimestre est de 5,0%.
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Le leader européen de l'emmental se donne cinq ans pour réduire sa dépendance à la France. Ses ventes à l'étranger sont passées de 20 % en 2012 à 36 % cette année, et le chiffre d'affaires progresse aussi dans l'Hexagone.
Sept ans après son rachat par la coopérative Sodiaal, Entremont, le leader européen de l'emmental, estime avoir suffisamment gagné en compétitivité pour accélérer son internationalisation. Le fromager affiche un chiffre d'affaires de 1,15 milliard d'euros en 2017 et revendique un bilan sain, où la dette a été divisée par deux, à environ 230 millions d'euros. ...
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L’Assemblée générale de la coopérative des Maîtres Laitiers du Cotentin s’est déroulée à Valognes.
Avec un chiffre d’affaires de 1,8 milliard d’euros et un résultat net de 2,7 millions d’euros, MLC Groupe affirme sa position dans la filière. Plus de 408 millions de litres de lait ont été collectés sur les 750 exploitations adhérentes. C’est 38 000 litres de plus par exploitation que la saison laitière précédente. Avec un prix final des 1 000 l de lait à 347,13 €. « Le conseil d’administration a décidé de soutenir le prix à la production en accordant une aide conjoncturelle de 25 €/ 1 000 l » précise le directeur , Michel Mounier. « Nous avons fait un effort. Nous assumons cette décision mais nous ne pourrons pas le faire plusieurs années » complète Christophe Levavasseur qui rappelle l’engagement « fort de ne pas descendre au-dessous des 300 €/1 000 l ».
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