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Le syndicat Uniterre s'est fendu d'une action à Berne pour exiger une meilleure régulation du marché du lait. Les producteurs de lait ont demandé au conseiller fédéral Schneider-Ammann des contrats-type d'une année fixant le prix et la quantité à produire, comme le stipule la loi sur l'agriculture.
«Aujourd'hui, seuls 10% des paysans ont des contrats fixes»
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Le plan de régulation de l’offre, dont jouit le beaufort depuis 2013 en tant qu’AOP (dérogation accordée par le paquet lait aux fromages sous signe de qualité), se sophistique. Objectif : gérer l’adéquation offre/demande des beauforts d’été et d’hiver… Une question aussi au cœur des débats de l’AOP comté.
À partir du 1er avril 2017, les exploitations auront une double référence : une pour les sept mois d’hiver et une pour les cinq mois d’été. Les quantités seront établies à partir de l’historique des trois dernières années.
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Devant les volontés protectionnistes du président américain Donald Trump, la coopérative Agropur demande à Ottawa de défendre l'industrie laitière.
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En publiant une analyse sur les mesures d’aides à la réduction de la production laitière, le think tank Momagri estime qu’il faut profiter de la consultation publique sur la réforme de la Pac, lancée le 2 février 2017 pour trois mois, pour défendre le développement d’outils européens de régulation.
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A l'occasion de la réunion du Conseil européen des ministres de l'Agriculture ce 23 janvier ,les producteurs de lait sont une nouvelle fois descendus dans la rue. Ils réitèrent leur demande de la mise en place d'un instrument permanent de gestion de crise dans le secteur laitier et dénonçant revente du lait en poudre stocké par l'UE, entraînant une possible chute des prix du marché.
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Le plus grand groupe coopératif laitier australien Murray Goulburn, et le groupe néo-zélandais Fonterra ont réduit leurs prix à la ferme de près de 20% sous les seuils de rentabilité pour de nombreux agriculteurs durant la crise laitière.
La Commission australienne de la concurrence et des consommateurs (ACCC) a déclaré qu'elle axerait son enquête sur la concurrence entre les transformateurs de lait, les contrats entre transformateurs et agriculteurs, les marchés mondiaux d'approvisionnement et la rentabilité des exploitations laitières.
L'Australie a fait du renforcement des exportations agricoles un objectif clé dans un contexte de ralentissement du secteur minier, mais les producteurs laitiers attendent que l'ACCC recommande des mesures pour éliminer la volatilité intrinsèque des prix.
Un rapport final sera remis au gouvernement d'ici le 1er novembre 2017.
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La deuxième vague de demande de réduction de la production laitière, qui s’est achevée le 12 octobre à midi, s’est soldée par un niveau de demandes de la part des producteurs huit fois supérieur à ce que Bruxelles envisage de soutenir financièrement. Retrouvez tous les chiffres du bilan de cette seconde phase.
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La seconde période d’inscription pour la réduction volontaire de collecte européenne s’est clôturée par 97 880 t demandées pour seulement 12 198 t disponibles. La France en tête au deuxième tour
Avec 23,5 millions de litres demandés, la France est le pays le plus demandeur d’Europe àpour cette deuxième vague. Mais pour les 1 823 demandeurs, seulement 2, 9 millions de tonnes seront acceptés. Au premier tour, les 13 000 candidats s’étaient entièrement vus accepter leurs demandes. Ces derniers ne pouvaient s’inscrire une seconde fois.
Bilan des deux périodes
L’Allemagne et la France sont les deux grands bénéficiaires du plan de réduction de collecte. Elles cumulent respectivement 288 263 et 184 320 tonnes engagées pour les deux périodes. Le Royaume-Uni prend la troisième place avec 113 128 t, suivi par les Pays Bas (80 000 t), l’Irlande (75 000 t), et la Pologne (54 000 t) puis la Belgique, l’Espagne et le Danemark tous trois près de 30 000 t.
La France est le pays où les demandeurs sont les plus nombreux, mais les volumes engagés par exploitation (12 t en moyenne) restent faibles par rapport à la Hongrie (103 t), la Slovaquie (102 t) et l’Allemagne (71 t). Le bilan sur les effets en termes de collecte globale et de remontée des prix est attendu de pied ferme.
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Les députés français ont proposé mercredi la création d'un outil européen de régulation des prix du lait dans un projet de résolution européenne, destiné à
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FrieslandCampina versera autour de 10 centimes d'euro par kg à ses membres pour réduire la production de lait entre Octobre 2016 et Mars 2017. A rajouter au programme de réduction volontaire de l'UE.
Dans le même temps, Friesland Campina a également augmenté son prix du lait de 17% au cours des deux derniers mois, soit un prix de 29,25 centimes d'euro par kg à partir du 1er Octobre.
Friesland Campina affirme que son programme vise à aider les exploitations agricoles à réduire la production de phosphate en prévision de la réglementation en cours d'introduction aux Pays-Bas. Mais les membres de la coopérative en Allemagne et en Belgique peuvent également participer.
Friesland vise à réduire la production globale de 146m litres entre Octobre et Mars. Ce qui équivaudrait à une réduction de 0,2% de la production de lait dans l'UE-28, par rapport à la même période en 2015/16.
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Sur les 150 M€ alloués à raison de 140 €/1.000 kg de lait non produit, la totalité sera potentiellement mangés sur la période d'octobre à décembre avec les engagements de réduction souscrits portant sur 1.071.428 t. Il ne restera donc rien pour la seconde période...
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Le père de Marike de Pena s'était élevé socialement. Devenu concessionnaire automobile, il ne rêvait pourtant que de revenir à la ferme familiale aux Pays-Bas. Sa fille, la présidente de Fair Trade-Max Havelaar, a réalisé son rêve dans... une bananeraie de République Dominicaine.
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La rencontre entre le président Trump et le Premier ministre Justin Trudeau était fort attendue, en raison des inquiétudes causées par la volonté de la nouvelle administration de revoir l’ALENA. Le président Trump a indiqué qu’il ne souhaitait que quelques ajustements, mais le système de la gestion de l’offre risque de se retrouver dans le collimateur.
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Une initiative censée protéger les producteurs de lait se fait taillader, fragilisant encore le marché du lait en Suisse. Une situation «aberrante» pour les défenseurs des paysans.
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L'Association des producteurs de lait indépendants (Apli) organisait ce jeudi 9 février à Serres-Morlaàs son assemblée générale.
Elle réclame une régulation du marché à l'échelle européenne. Quand on lui demande comment se porte de le moral des troupes, Boris Gondouin ne mâche pas ses mots : "La situation est catastrophique." Le président de l'Association des producteurs d
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Le think-tank Momagri, publie les résultats de son analyse des mesures mise en œuvre pendant la crise laitière.
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I l ne manque plus qu’un instrument de crise pour un anniversaire parfait" lance le 10 novembre le European Milk Board, qui célèbre ses dix ans d'existence, avec un certain sentiment de satisfaction sur le chemin parcouru.
Plusieurs des idées de politiques laitières défendues par le mouvement ont été entendues, voire appliquées. Dernière en date, cette année, la réduction volontaire de la production, qui est un "élément essentiel du Programme de responsabilisation face au marché (PRM) de l’EMB", a été appliquée au niveau européen. Cette mesure "doit désormais mener à l’établissement d’un instrument de crise permanent" estime l'EMB.
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Deux députés défendent, à l’Assemblée nationale, une proposition de résolution européenne visant notamment à mettre en place un dispositif de régulation de la production laitière tel qu’il est réclamé par l’European Milk Board.
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Alors que la suppression des quotas laitiers met à mal les producteurs européens, les éleveurs canadiens sont protégés par un système de gestion de l’offre. Mais la cherté des quotas pénalise la transmission des exploitations, don
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La Commission européenne a opté pour une régulation temporaire des marchés par une incitation à la réduction de la production. Une première depuis la fin du système des quotas, qui présage une réflexion plus ouverte dans le cadre de la nouvelle PAC.
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La Vie agricole dévoilera le 9 novembre prochain à Québec, le livre dont nous vous parlons depuis des mois sur la gestion de l’offre et l’industrie laitière. Tout en présentant les bienfaits de la gestion de l’offre, ce livre sera aussi une présentation des travers qu’elle a suscités au cours des dernières années en raison de sa gestion dont plusieurs aspects sont discutables. Ce livre est le résultat d’un travail collectif de notre équipe : Simon Bégin, ancien attaché politique de Jean Garon, Yan Turmine, agronome et chroniqueur et Yannick Patelli, éditeur.
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Avec des croissances à faire pâlir d’envie bien d’autres filières, le lait bio a la cote. Cependant, la régulation est essentielle pour les producteurs qui soulignent l’importance de s’impliquer dans l’aval.
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Les premières demandes d’indemnisation pour chaque kilo de lait non produit faites dans le cadre du plan de réduction de la production laitière vont consommer la quasi-totalité des 150 M€ dédiés au niveau européen. Pays par pays, retrouvez le bilan chiffré de la première vague de demandes qui s’est clôturée le 21 septembre à midi.
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Selon les premières indications de sources professionnelles, les demandes déposées par les producteurs du lait de l’UE, à l’échéance du 21 septembre auprès des administrations nationales, ont déjà épuisé l’enveloppe de 150 millions € prévue par Bruxelles destinée à la réduction de la production laitière. En France, environ 12 800 éleveurs auraient fait une demande, soit près de 20 % des producteurs, pour une quantité globale non encore précisée.
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