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Les prix du lait au printemps prochain devraient être supérieurs à 30c / L, selon le vice-président de l’ICMSA, Pat McCormack. Les marchés à terme de produits laitiers reflètent une demande constante de lait pour les six prochains mois, a-t-il dit. « Cela va nous amener jusqu'au printemps prochain. Après cela, les facteurs de l'offre et de la demande internationale détermineront le ton des marchés ». 
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Les prix internationaux des produits laitiers se redressent, mais les experts avertissent que le secteur « a encore du chemin à parcourir avant des augmentations de prix durables» pour qu’elles soient visibles au niveau de la ferme. La vente aux enchères du GDT de la semaine dernière a vu sa plus forte hausse depuis des mois, avec une augmentation moyenne de 7%. Les prix européens ont également augmenté au cours des deux dernières semaines. Cependant, le spécialiste des produits laitiers de la Rabobank, Kevin Bellamy, a déclaré que les excédents d'exportation pèseront encore un moment sur le système. « La croissance de la production est définitivement enrayée, avec une baisse de 10% attendue en Amérique du Sud en raison des inondations en Argentine et de a hausse des coûts au Brésil. La croissance de la production aux États-Unis ralentit également », a-t-il dit. La croissance de la production de lait en Chine est pratiquement au point mort puisque les transformateurs chinois se tournent vers les importations moins chères et la production est également en baisse en Europe. L'incertitude générée par le Brexit minera les conditions du marché pour les exportateurs irlandais en Grande-Bretagne pour l'année à venir, selon l'expert. Les bas prix du pétrole continuent également à freiner la demande des marchés africains et du Moyen-Orient.
Cedric's insight:
La production de lait a trouvé un «nouvel équilibre» au sein de l'Europe. Les contraintes environnementales et terrestres vont limiter la capacité des Pays-Bas. Et le lobby agricole français devrait continuer à faire pression pour plus de contrôle de l'offre de lait.
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La baisse des prix du lait est susceptible de provoquer une hausse des abattages de vaches laitières en Europe cette année, selon le AHDB. Une baisse du cheptel laitier de l'UE semble maintenant probable cette année. La plupart des États membres sont censés réduire leurs troupeaux laitiers, à l'exception de l'Irlande, du Danemark et des Pays-Bas. Deux des plus grands producteurs de lait en Europe - l'Allemagne et la France - ont déjà vu des diminutions du nombre de vaches baisse jusqu'à 1%, tandis que l'Italie a connu une baisse similaire. Baisse attendue aussi du nombre de vaches en Pologne…
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La production de lait britannique semble prête à augmenter de 3%, les vaches sont là, mais les conditions climatiques actuelles et un prix du lait inférieur pourraient la freiner. Toutefois, les transformateurs britanniques ne seront pas en mesure de traiter ce volume de lait même si elles fonctionnent à pleine capacité.
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Selon les prévisions de la Commission Européenne parues le 8 mars pour l'année 2016, « la collecte laitière pourrait augmenter de près de 2 millions de tonnes ». Les prévisions font apparaître des disparités entre les États membres de l'Union européenne. En France, l'aval de la filière...
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Selon le ministère de l'Agriculture, 360.000 veaux ont été enregistrés en 2015, en hausse de près de 30.000, soit une augmentation de 7%, en lien direct avec l'abolition des quotas laitiers. Teagasc dit que, après l'augmentation de la production en 2015 estimée à 10%, la croissance prévue en 2016 est de l’ordre de 7%.
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Kevin Lane, PDG d'Irish Dairy Board prévoit un prix moyen du lait en 2016 de 24c / litre. « Il est difficile de dire ce que le prix exact sera. Nous pensons que le prix moyen pour l'année se situera autour de cette 24c / litre. Il est très, très faible », a-t-il dit avant de reconnaître qu'un tel prix est inférieur au coût de production pour de nombreux agriculteurs.
Cedric's insight:
Et aussi : Les prix du lait pourraient encore baisser de 6c / L Sur https://www.agriland.ie/farming-news/even-milk-prices-held-farmers-still-6cl/
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La page du choc sur les marchés de 2006-2014 est tournée, dit Philippe Chalmin, le fondateur de CyclOpe. L'heure est aux excédents de production et probablement pour « assez longtemps »....
Cedric's insight:
Combien de temps cette situation d'affaiblissement des cours peut-elle durer ? « Nous sortirons de cette phase assez longue de prix déprimés lorsqu'il y aura un ajustement de l'offre et de la demande. » Mais cet ajustement risque de s'avérer d'autant plus long à réaliser que l'économiste ne croit pas à un sursaut de la demande tel qu'au début du XXIe siècle avec la Chine. Pour voir une nouvelle ascension des cours des matières premières, il faudra, selon lui, attendre « un nouveau choc, dans les années 2020, peut-être lié à la poursuite de l'émergence indienne ». Nous avons, donc, devant nous, une bonne décennie de prix instables.
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Les vaches européennes ont produit plus de deux milliards de litres de lait supplémentaires depuis que les quotas ont été levés il y a 7 mois, mettant la pression sur les prix mondiaux. Les agriculteurs irlandais et néerlandais en particulier ont profité de la suppression des quotas, après trois décennies de retenue. Le prix européen du lait à la ferme n'a pas été «fantastique», mais a tenu beaucoup mieux que prévu. Une récente dépréciation de l'euro a aidé les marchés d'exportation et incité les transformateurs à proposer des produits supplémentaires à ces marchés. Les prix européens à l'exportation sont restés supérieurs aux coûts opérationnels, alors que les coopératives ont également aidé les agriculteurs européens en complétant les paiements de lait d’1 à 2 cents le litre. Emma Higgins, analyste à la Rabobank, a dit que les fondamentaux du marché dépendent surtout d'un ralentissement de la croissance de l'offre de l'UE, ce qui ne devrait pas arriver avant la seconde moitié de l'année prochaine. « Il est peu probable de voir une hausse des prix pour cette saison. » La production de la Nouvelle-Zélande devrait être en baisse de 7 à 10% cette saison. Cependant, El Nino soulève quelques inquiétudes pour la production en Australie et Amérique du Sud. Les prix pourraient alors croître plus vite si l'approvisionnement en lait se restreint plus vite que prévu à cause de ces conditions météorologiques défavorables.
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Prédire l'avenir est pas une science, mais à l'US Dairy Export Council Nos experts ont identifié six facteurs sous-jacents qui façonneront l'offre, la demande et la capacité de l'industrie laitière américaine de rivaliser sur le marché international dans l'année à venir. Les voici: 1. Un monde inondé par le lait Les flux de lait ralentissent, mais pas assez rapidement pour tenir compte de la baisse de la demande. Pour 2016, les grandes questions sur l'offre comprennent: Quel sera l'impact d'El Niño sur la production, en particulier en Océanie? Est-ce que les transformateurs européens payeront suffisamment leurs agriculteurs? La production de lait en Chine continue de grimper, malgré un recul de l'investissement dans le secteur, pour quel niveau d’importations? 2. Modification de la gamme de produits Cette année, les deux géants de l'exportation (la Nouvelle-Zélande et l’UE) ont modifié leur stratégie de gammes de produits à l’export, en raison des changements en Chine et Russie. Ils ont renforcé leur présence sur les marchés américains clés, y compris l'Asie du Sud, la Corée du Sud, le Japon, le Moyen-Orient et même au Mexique. En supposant qu’il n’y aura aucun changement à l'embargo russe ou aux habitudes d'achat de la Chine en 2016, où l'Union européenne et la Nouvelle-Zélande vont diriger leur production de lait ainsi que leurs investissements? 3. La croissance économique de la Chine La croissance du PIB de la Chine est toujours en expansion à un rythme supérieur à 6%, et 6 à 7% de croissance sur une économie de la taille de la Chine, ça fait du bruit. Malgré certains signes de danger dans le secteur bancaire, la fabrication et d'autres secteurs, les dépenses de consommation chinoise restent fortes. La Chine fait des efforts pour soutenir la croissance de la consommation, comme la suppression de sa politique de l'enfant… 4. Des lois et règlements en évolution rapide 5. Un labyrinthe croissant d'accords internationaux de libre-échange (ALE) L'Australie, la Nouvelle-Zélande et l'UE combinées négocient actuellement des ALE avec plus de 40 pays, y compris d'autres grands acheteurs américains. Non seulement l'accès au marché des produits laitiers est une priorité pour tous les trois, mais l'UE utilise des accords commerciaux pour transférer son régime d'indication géographique restrictive au plus grand nombre possible de pays… Bien-négocié, les ALE apportent des gains à l'exportation. Il y a tellement à gagner à négocier des ALE et beaucoup à perdre en se tenant debout sur le banc de touche alors que nos concurrents forgent leurs propres offres. 6. Le dollar américain en hausse Le dollar américain a gagné 11 à 15% par rapport aux monnaies de nos trois principaux concurrents (Australie, UE et Nouvelle-Zélande) au cours de 2015. Un coup de pouce imminent des taux d'intérêt américains pourrait entraîner la hausse du dollar dans les prochains mois. Pour les exportations de produits laitiers des États-Unis, ce n’est pas exactement de bonnes nouvelles. Mais un dollar fort pourrait entraîner une baisse de la consommation dans les pays importateurs.
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Après une phase de plein essor, l'industrie laitière de la Chine est une fois de plus coincée dans une période de stagnation. Dans un premier temps, une combinaison de la hausse des revenus des consommateurs, des subventions gouvernementales et le souvenir des scandales de sécurité alimentaire post-2008 avaient mis l'industrie sur une voie de solide reprise...
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Kevin Bellamy, analyste du marché laitier mondial de la Rabobank, prévoit une reprise substantielle des prix l'an prochain.
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Une reprise... mais moindre qu'en 2013-2014. Quant aux stocks ?! La grande question sans réponse dans le marché des produits laitiers est la taille exacte des stocks de lait en poudre en Chine...
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La Commission européenne a révisé à la baisse les volumes de production de lait dans l'UE pour 2016. Les chiffres de production provisoire suggèrent que les volumes 2016 finiront à +0,9% par rapport à 2015. La prévision antérieure était de +1,4%. Les derniers chiffres de l'Observatoire du marché du lait de l'UE (MMO) montrent que la production de l'UE a augmenté pour les 5 premiers mois (Janvier à mai 2016) et diminué de 2.03% en juin. Bien que les chiffres de Juillet ne sont pas encore disponibles, il est prévu qu'il y aura une autre baisse. La production semble être en déclin dans certains pays de l'UE, tandis qu’elle continue d'augmenter en Irlande, Belgique et Pays-Bas, mais à un rythme plus lent que l'an dernier.
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ABN Amro a publié son rapport annuel : Vision du marché laitier (Visie op Zuivelketen), mettant l’accent sur les prévisions de la banque néerlandaise concernant le marché des produits laitiers.
Après une baisse significative des prix, elle prévoit une stabilisation en 2016 du prix du lait avec une hausse en fin d’année. Le prix moyen de ces 5 dernières années s’élevait à 0,39 EUR/kg. Les prévisions sont moins enthousiasmantes que l’année précédente car la banque attendait alors une hausse de 7,5% des prix en 2016. Désormais, la banque prévoit une augmentation de la production de 5% avec des prix identiques malgré une hausse des volumes. Cependant, elle anticipe une hausse des exportations vers la Chine grâce à une baisse de la production chinoise, qui permettra d’écouler les volumes de lait néerlandais....
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La coopérative Westland Milk Products a révisé ses prix pour la saison 2015-16 à 3,90 $ - 4,00 $ / kg MS, en baisse par rapport à la prévision du mois dernier de 4,00 $ - 4,10 $. Son PDG dit que le message clair et cohérent qu'ils ont reçu est que la croissance européenne de lait sera plus élevée et plus agressivement promue par les agriculteurs et les transformateurs européens que prévu. « Nous nous attendions à ce que les transformateurs et les agriculteurs européens ressentent une certaine douleur économique qui pourrait les amener à réduire la production, mais ce n'est pas la situation pour la plupart. »
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A cause de la production agressive de l’UE, les États-Unis ont réduit de 50% leurs prévisions de croissance à l'export pour leur industrie laitière, passant de 6,5% à 3,7% selon les dernières projections. L'analyse de marché de l'US Dairy Export Council pour 2020, prévoit que le commerce mondial du lait va passer de 9,4 millions de tonnes de produits finis produit en 2014 à 11,7 millions de tonnes en 2020. « Les exportations de produits laitiers vont encore croître, mais pas aussi rapidement qu'avant. » La Nouvelle-Zélande et, en particulier, l'Union européenne ont investi massivement...
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Dans une perspective pour 2016, Danone prévoit une baisse des prix en Europe et aux États-Unis au premier semestre, avec un rebond possible dans la seconde moitié de l'année.
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Dairy Australia a révisé sa prévision de production de lait pour 2015/16 et prévoit une diminution globale comprise entre 1% et 2% pour la saison jusqu’à Juin. Cela implique un volume de lait total compris entre 9,55 et 9,65 milliards de litres.
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Dairy Australia s’attend à une baisse globale de la production en volume de lait pour la saison 2015-16 de 1 à 2%. Pour Février, la faiblee manque de demande mondiale et les coûts plus élevés des intrants, tels que les aliments et l'eau, provoquent une production modérée..
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La croissance annuelle de l'économie chinoise devrait ralentir à 6,8% l'an prochain... L'économie chinoise reste soumise à une pression baissière...
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Dans son dernier rapport, la Rabobank a repoussé la reprise des marchés internationaux des produits laitiers à la fin de 2016, principalement en raison de la croissance continue de la production de lait de l'UE et de stocks excédentaires mondiaux.
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et aussi : Rabobank - pas d’amélioration avant fin 2016 La Rabobank prévoie que poudre de lait entier ne sera pas à 3000 $ la tonne avant la fin de l'année prochaine. sur http://www.agrimoney.com/news/rabobank-again-dampens-hopes-for-dairy-price-revival--9123.html
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Malgré une baisse d'environ 6% des prix aux enchères sur le marché de référence GlobalDairyTrade, Fonterra maintient son prix du lait (NZ $ 4,60/kg milksolids), en raison de perspectives de reprise du marché « au cours des neuf prochains mois ». Le déséquilibre des marchés laitiers est en train de réduire. « Nous soutenons le consensus ... qu'une amélioration va avoir lieu » a dit. M. Wilson. Aux États-Unis, la croissance de la production qui avait atteint 2,4% en 2014, s’est ralentie autour de 1%. Cependant, les agriculteurs européens, libérés de leurs quotas de production en avril, ont continué à accroître leur production. Au Danemark, Arla prévoit une hausse des volumes d'environ 3% par an à l'horizon 2020. Mais « il y a des signes de reprise, notamment en Chine », pays grandement responsable de la baisse des prix des matières premières laitières, qui a atteint son niveau le plus bas depuis 13 ans au mois d’août. Les importations chinoises ont chuté de 15% au cours des neuf premiers mois de 2015, essentiellement à cause de la chute de 54% des volumes de poudre de lait entier. Mais on observe des signes de reprise depuis juillet. En Septembre, les importations chinoises étaient en hausse de 25% par rapport à l'année précédente. Fonterra a ajouté qu'il suspendait son programme de prêts sans intérêt aux producteurs.
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La première moitié de l'année 2016 sera critique pour les producteurs laitiers irlandais, en raison de problèmes de liquidité probables, selon Voorbergen Consultancy...
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L'US Dairy Export Council (USDEC) prévoit une autre année difficile pour le lait... Alors que la Chine et la Russie n’ont pas aidé le marché, il y a eu des gains en Europe, en particulier pour l'Irlande et les Pays-Bas. lan Levitt, vice-président des communications à la USDEC, a déclaré que ces deux pays sont en hausse de 10% de la production. Levitt a déclaré que les tendances devraient se poursuivre en 2016. La Chine et la Russie ont un énorme effet sur le marché. Même si la Chine augmente ses importations dans les années à venir, il ne prévoit pas de croissance aussi forte que les années précédentes. Levitt dit qu'il y aura toujours en 2016 des "stocks qui pèseront sur le marché" ce qui va retarder la reprise du marché, y compris les stocks européens de la poudre de lait écrémé, à leur plus haut depuis cinq ans.
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