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Cedric's insight:
Voir aussi Olivier Dauvers : "Ré-enchanter le vin : quelles évolutions de l'offre vin pour s'adapter aux nouvelles tendances de consommation ?" https://sco.lt/9LPvRQ No comment yet.
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La proximité, tout le monde en voulait après la crise sanitaire. Mais l'inflation rebat les cartes. Les commerces de centre-ville et de produits locaux connaissent des fortunes diverses. Les Français peinent à traduire les bonnes intentions en actes… « Pendant les confinements, les Français se sont dit qu'ils allaient profiter de ce moment unique pour réfléchir à leur mode de consommation. Puis le relâchement des contraintes, après l'épidémie, a marqué la fin des bonnes intentions. Les consommateurs sont de moins en moins prêts à payer plus cher des produits responsables. Ils sont à l'affût des bons plans, principalement en grande distribution et en e-commerce. Je continue à penser que le local et, au-delà, la consommation responsable, c'est dans le sens de l'histoire. Mais cette crise montre que cela va être plus long que ce qu'on aurait pu penser… » Au-delà du folklore, cet engouement traduit une montée en puissance des circuits courts. « Le local a été plébiscité dans le contexte des crises alimentaires à répétition, comme la vache folle, rappelle Rémy Oudghiri. On y voyait une garantie grâce au contact direct avec les producteurs. » De fait, la moitié des Français souhaiteraient voir plus de produits locaux dans les rayons…
Cedric's insight:
voir aussi L’alimentation « responsable » percutée par l’inflation
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Plus de la moitié des 20 000 références de marques nationales les plus vendues ont connu une baisse de prix entre le début et la fin de l'été 2023, une proportion qui monte jusqu'à 56% pour les 100 meilleures références des PGC FLS… Certes "ces baisses restent encore relativement faibles (entre -0.2% et -0.8% selon le type de référence), mais ces premiers pas vers la désinflation peuvent laisser présager d'une tendance plus durable"…
Cedric's insight:
Inflation : nouvelle semaine de légère baisse des prix
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Nous avons mis en évidence que l’inflation alimentaire était désormais majoritairement nourrie par une hausse des profits des entreprises de l’agroalimentaire. La forte hausse des prix résulte pour l’essentiel du choix des industriels de profiter du choc de la guerre en Ukraine pour accroître leurs profits…
Cedric's insight:
Nous montrons également que la grande distribution, elle aussi, malgré ses promesses, a contribué à empirer la situation : en pleine situation de crise, certaines enseignes continuent en effet à choyer leurs actionnaires sur le dos des clients pris à la gorge…
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L’inflation a poussé les Français a descendre en gamme dans leurs achats de produits laitiers, retour sur les trois grandes tendances qui ont marqué 2022 selon FranceAgriMer. • Le boom des MDD : « En 2022, pour tous les produits laitiers sauf le beurre, la part des marques distributeurs économiques a augmenté par rapport à 2021 » • L’abandon des produits sous signe de qualité : C’est notamment le cas pour les fromages. « En 2022, un peu plus de 20% des pertes étaient dus aux transferts au profit du non AOP. » • Le recul du bio : Entre 2019 et 2022, la baisse est de 28,1% pour la crème bio, 15,1% pour le lait bio, 10,3% pour le beurre bio et 19,8% pour l’ultra-frais bio.
Cedric's insight:
voir aussi FranceAgriMer : La consommation de produits laitiers en 2022
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Alors qu'en dix-huit mois, les prix alimentaires se sont envolés de plus de 18%, les ménages ont revu leurs habitudes. Résultat, la hausse de leurs dépenses a été limitée à 4,2% sur la période selon l'Insee… Entre le dernier trimestre 2021 et le deuxième trimestre 2023, les étiquettes dans les rayons se sont envolées de 18,4%. En juillet, les prix des produits alimentaires affichent un bond de 12,6% par rapport à l'année précédente… Du jamais-vu depuis 1980 : Entre le dernier trimestre 2021 et le deuxième trimestre 2023, les achats alimentaires des Français ont ainsi diminué de 11,4% en volume selon l'Insee, sachant que cet indicateur mêle deux notions distinctes : les quantités achetées et la gamme de produits retenue…
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Précarité alimentaire chez les plus fragiles financièrement : Sur la seule année 2022, la demande d'aide a augmenté de 9%, 2,4 millions de personnes ont été accompagnées, selon le réseau des Banques alimentaires... Voir aussi Inflation : que cache la baisse des achats alimentaires des Français ?
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C’était attendu, et annoncé ici depuis quelque temps : juin sera donc le mois le moins inflationniste depuis le début de la “crise” il y a 18 mois…
Selon le baromètre exclusif A3 Distrib / Editions Dauvers sur 150 stars des rayons et dans 7 000 points de vente, les prix sont quasiment demeurés à l’identique en juin vs mai : + 0,2 % seulement. Certes, les prix en question sont au plus haut historique et très exactement 26 % au-dessus de janvier 2022, il n’empêche : le phénomène de stabilisation est inédit…
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Le contexte inflationniste a touché la catégorie des produits laitiers frais. Les consommateurs arbitrent vers des offres moins valorisées et « essentielles ». Les yaourts, et en particulier les protéinés, tirent leur épingle du jeu…
Les volumes de produits laitiers frais vendus en grande distribution ont reculé de 1,5% en 2022 par rapport à 2021, mais seulement de 0,8% par rapport à 2019…
Les yaourts, les desserts frais et les fromages blancs ont tiré principalement les volumes. Si, certes, la reprise de la restauration est une bonne nouvelle, ce circuit reste quand même largement minoritaire au global du marché. C’est bien en grande distribution que la majorité des volumes se font. Et là, comme pour le reste des marchés alimentaires, la situation a été difficile en 2022. Les volumes ont reculé de 1,5 % par rapport à 2021 et de 0,8 % par rapport à 2019, à 1,750 million de tonnes, pour un chiffre d’affaires de 5,214 milliards d’euros (+4,8 % vs 2021, +9,2 % vs 2019). Et la situation ne s’améliore pas vraiment du côté des ventes en volume depuis le début de l’année 2023…
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L’inflation semble actuellement être sur un plateau et la décrue est bien devant nous, septembre vert après un mars rouge ?
Longtemps “cachés” dans les rayons, les premiers prix sont plus présents que jamais dans les chariots. Certes, leur part de marché est toujours faible (< 5 %) mais le rythme d’évolution est soutenu.
L’indicateur le plus important est la “vélocité” : l’écart d’évolution volumes entre les premiers prix et la moyenne PGC / Frais LS. La vélocité s’approche désormais de 20 points, soit un quasi doublement depuis le début de l’année…
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Elle se stabilise, certes à un niveau élevé (+16%), mais elle n’augmente plus et ce, pour le 2ème mois consécutif. 4 grandes raisons peuvent expliquer ce plateau :
• Le repositionnement fortement à la baisse d’un groupe d’enseignes
• Le lissage (la temporisation) des hausses sur les marques nationales
• L’accalmie de l’inflation des marques de distributeurs et des premiers prix
• Un historique d’inflation qui commence à devenir important
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Les prix dans l'alimentaire (+15,5%) devraient grimper trois fois plus vite que l'indice général des prix à la consommation (5,4%) jusqu'en juin, selon la dernière prévision de l'Insee. Pour la deuxième partie de l'année, les statisticiens restent prudents sur leurs projections…
L'inflation a complètement changé de composition depuis plusieurs trimestres. Après avoir nettement contribué à la fièvre des prix, l'énergie marque le pas. En revanche, l'alimentaire et les services ont pris le relais dans l'indice général…
La demande, traditionnel moteur de l'économie hexagonale, continue de souffrir. L'envolée des prix depuis l'éclatement de la guerre en Ukraine a plombé la consommation des ménages. Obligés de se serrer la ceinture, les Français ont réduit leur volume d'achats mais aussi la qualité des produits. Dans l'alimentaire, la chute est particulièrement spectaculaire (-9% entre mars 2022 et mars 2023)…
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Selon Commerce équitable France, en 2022, le commerce équitable essentiellement concentré sur les produits alimentaires a connu une croissance de 2%, alors que la consommation globale de ces produits baissait de 4,6%...
Structurellement, ce marché se partage en deux grands segments. Celui, historique, des produits issus des filières internationales (65% des ventes), et celui du « Made in France ». Identifié depuis 2014, ce dernier pèse déjà 35% du marché…
En 2022, il a enregistré une progression de 5,5% pour atteindre 746 millions d'euros de chiffre d'affaires. En son sein, parmi les catégories qui ont le plus progressé figurent celle des produits laitiers (17% des ventes de produits issus du commerce équitable origine France), avec 25 % de croissance, et celle des produits de boulangerie (54 % des ventes), en hausse de 15 %...
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Conférence au Space Jeudi 14 septembre - salle 1 espace Région 10h30 à 12h
Voir aussi Olivier Dauvers : "Ré-enchanter le vin : quelles évolutions de l'offre vin pour s'adapter aux nouvelles tendances de consommation ?"
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A l'issue de deux jours de négociations, où industriels et distributeurs auront défilé à Bercy, une réouverture des négociations commerciales est prévue dès le mois de septembre pour les 75 plus gros industriels de l'agroalimentaire du pays, afin que les nouveaux tarifs - à la baisse - s'appliquent dès le mois de janvier…
« Il était nécessaire de conclure un accord global entre industriels et distributeurs », a expliqué le ministre. Premier volet de cet accord : industriels et distributeurs s'engagent à ce que les prix de 5 000 produits ne montent plus. Les prix seront donc au pire stables, au mieux à la baisse...
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Le plateau de l’inflation se confirme sur les grandes marques. C’est la seconde semaine consécutive de recul ( – 0,2% en Semaine 32 après – 0,1 % pour la S31), mais difficile d’affirmer qu’un véritable mouvement de reflux est enclenché. Néanmoins, la hausse ininterrompue semble quand même derrière…
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Descente en gamme, transfert vers le non AOP, il n’était que de 5% sur la période de 12 mois s’arrêtant à juin 2022, et de plus de 40% sur la période de 12 mois s’arrêtant à mai 2023. Le phénomène s’est donc bien amplifié au cours des mois…
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Et si c’était parti… ? avec en ligne de mire un “septembre vert”, la déflation pointe. C’est encore modeste mais les signaux (convergents) se multiplient. Après juin qui a été le mois le moins inflationniste depuis le début de la séquence, voilà donc la seconde semaine consécutive de baisse : – 0,1 % sur la S25, à nouveau – 0,1 % sur la S26…
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Plusieurs grandes marques ont annoncé leur intention de faire baisser les prix sur l'alimentaire en mettant en place des promotions significatives sur des centaines de produit. Danone appliquera dès le 1er août des rabais de 46 centimes en moyenne, dont une réduction de 18 % pour le très célèbre yaourt Danette. Cette promotion devrait durer jusqu'à la fin de l'année…
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Un signal encourageant en Allemagne sur le front de l’inflation. Le prix du beurre chute depuis décembre, et ce à contre-courant de la flambée des prix de l’alimentaire. Un indicateur significatif pour le reste de l'Europe…
En Allemagne, le prix du beurre chute de 30% depuis le mois de décembre. Et ce, alors même que les produits transformés continuent de grimper. Signe avant-coureur d'une baisse de l'inflation dans l'alimentaire à l'échelle de l'Europe ?
La raison de cette baisse du prix du beurre chez nos voisins germaniques est simple : le lait coûte moins cher, car les prix des aliments pour les vaches baissent et les dépenses énergétiques aussi. Mais surtout, l'Allemagne a une spécificité : les prix du beurre sont renégociés très régulièrement. Ainsi, la baisse des coûts des matières premières se voit presque en temps réel sur une motte de beurre allemande. Un indicateur avancé donc, et selon les observateurs, ce marché allemand peut refléter une baisse globale des prix à venir en Europe…
Le beurre allemand est même un "indicateur précoce" d'une tendance à venir sur les autres produits alimentaires. Pour le moment, le prix du beurre ne faiblit pas en France. Il augmente même légèrement, comme en Espagne, et ce au même titre que l’huile, les pâtes, les biscuits. Mais en France aussi, les dépenses énergétiques et les coûts des matières premières refluent. Il faut juste plus de temps pour qu’ils se répercutent. La décrue devrait arriver avec les nouvelles négociations en cours entre industriels et distributeurs…
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Ventes en volume et en valeur, inflation, évolutions de l'assortiment… Autant d'indicateurs qui montrent la mauvaise passe des produits de grande consommation…
L'année 2023 démarre mal pour les PGC, qui affichent un recul des ventes en volume de 4,8 % au 1er trimestre selon Circana. Et même 5,3 % pour les fromages, d'après Kantar…
L'inflation continue de grimper sur les PGC-FLS en avril, conséquence des répercussions des négociations commerciales achevées le 1er mars. La hausse des prix à un an s'établit à 17,6 % et atteint même 18,3 % sur les produits alimentaires…