Si « en 2022, le pire a été évité », un rapport appelle à accélérer la transformation de notre modèle agricole. Il prône notamment un effort collectif massif pour accélérer la transformation du modèle agricole, fragilisé par le changement climatique…
« Seul un effort de réduction des consommations d’eau dans la durée permettra de sécuriser la satisfaction des besoins de chaque filière, sans mettre en danger le grand cycle de l’eau et donc la capacité de la ressource à se renouveler ». La mission recommande d’inviter les acteurs à élaborer des feuilles de route nationales d’économies d’eau…
1052 communes ont dû mettre en place au moins une mesure de gestion dérogatoire pour assurer la continuité du service sur tout ou partie de leur territoire. 1093 n’en ont pas eu besoin, mais sont passées près de la rupture. 138 communes ont mis en place plusieurs mesure dérogatoires et 7 communes ont été contraintes à une interruption totale du service pendant plusieurs jours, 1 commune ayant distribué de l’eau non consommable pendant deux semaines…
Cedric's insight:
Ce rapport qui viser à tirer les leçons de la gestion de la crise de 2022 formule 18 recommandations destinées à améliorer l’anticipation et la gestion des épisodes de sécheresse. Huit recommandations sont des mesures de crise et « seront mises en œuvre ou sont en cours déjà de mise en œuvre en vue de l’été prochain »…
Voir aussi Le Cese préconise de « réduire l’impact de l’agriculture sur la ressource en eau »
Le spectre d'une sécheresse estivale se renforce, notamment pour une cinquantaine de départements qui pourraient connaître une situation pire que l'été dernier
Le groupe pourrait économiser 30% de la consommation d’eau de son usine de Ferrières-en-Bray, mais n’en n’a pas encore le droit…
Le pilote est prêt mais son déploiement industriel est bloqué par la non parution d’un décret qui pourrait être accélérée par le Plan Eau…
Tout est prêt. Un pilote REUSE (« Réutilisation des eaux usées traitées») a été mis en place sur son site de Ferrières-en-Bray entre fin octobre 2021 et janvier 2022. L’objectif du projet est de traiter et distribuer les eaux usées et traitées dans plusieurs points de consommation d’eau pour certains cycles de nettoyage des installations, ainsi que pour des utilisations dans l’énergétique (vapeur, eau glacée ou tours de refroidissement)…
Cedric's insight:
voir aussi Plan Eau : quelles mesures pour l’agriculture ?
Augmentation des prélèvements, réchauffement climatique et pollution mettent à mal la ressource. Les pénuries vont se multiplier et créer de plus en plus de tensions…
Le risque d’une crise mondiale de l’eau douce est « imminent », prévient l’ONU. La gestion de la ressource hydrique est un thème universel, complexe, et politiquement si sensible que la précédente édition, la première du genre, remonte à… 1977…
Cedric's insight:
voir aussi UN Water – L’eau dans un monde qui change : Faits et chiffres
Facteur aggravant ? C'est le 16ème mois déficitaire depuis août 2021. Pour le moment, la sécheresse de 2022 se répercute sur 2023 en sautant la saison de recharge…
Cedric's insight:
voir aussi Après la canicule, la guerre de l'eau est-elle inévitable ?
C’est le constat dressé par le BRGM au 1er janvier. La pluviométrie des prochains mois conditionnera le niveau de recharge mais l’atteinte des niveau normaux est très hypothétique pour les nappes affichant des niveaux très bas en décembre…
Les situations les plus critiques, avec des niveaux bas à très bas par rapport à tous les mois de décembre des années précédentes, concernent les nappes du Bassin parisien, de la craie champenoise, des sables du Maine, de la craie de Touraine, des calcaires du Poitou, Vendée, Périgord et Causses du Quercy et du Plio-quaternaire aquitain, des cailloutis plio-quaternaires de Bourgogne-Franche- Comté, du Rhône moyen et du Bas-Dauphiné ou encore de la Côte d’Azur…
Cedric's insight:
voir aussi Après la canicule, la guerre de l'eau est-elle inévitable ? https://sco.lt/4h8ckK
Alors que la sécheresse continue de saisir les producteurs, certains craignent qu'elle n'incite les producteurs laitiers à quitter la Californie et à déménager plus à l'est…
Selon RaboResearch, « Nous pensons que le cheptel laitier devrait se stabiliser en 2023. Mais il y a beaucoup moins de génisses de remplacement cette année, il n'y aura pas de croissance significative du nombre de vaches. La production laitière aux États-Unis en 2023 augmentera d'environ 1,4 % sur la base des solides du lait. »…
RaboResearch a commencé à explorer l'idée de la migration des vaches laitières vers le centre du pays il y a quelques années. « Nous avons publié un article il y a quelques années autour de cette idée que les vaches laitières migrent vers le centre du pays, plus près de l'alimentation. C'est là que se produit principalement l'expansion de la capacité de transformation laitière. Et c'est là que les vaches se dirigent. Et vraiment, c'est en partie dû à tous les défis liés à l'eau que nous voyons dans l'Ouest. »…
Les producteurs laitiers qui se trouvent dans une zone déficitaire en eau pourraient être contraints de déménager, mais il y aura toujours des vaches laitières en Californie. « Ce qui se passe, c'est que les personnes menacées par l'eau cherchent peut-être à réduire leur troupeau, mais les producteurs qui ne sont pas menacés par l'eau achètent leur bétail et leurs quotas. Ainsi, vous ne verrez pas le nombre de bovins laitiers en Californie chuter de façon spectaculaire »…
Cedric's insight:
Selon l'USDA, la Californie conserve la première place en termes de nombre de vaches laitières, ainsi que de production de lait, même si la dynamique se déplace légèrement vers l'est…
Voir aussi Un autre exode californien : les vaches laitières partent pour des pâturages plus verts...
Le premier groupe laitier mondial plaide pour plus d'encadrement des négociations commerciales sur les marques nationales et sur le marché des marques de distributeur. En amont, la laiterie affirme vouloir faire preuve de «transparence» envers les producteurs…
« Toute l'année, on a vécu avec un train de retard». L'industriel estime à 4 MdEUR les charges supplémentaires sur un an, soit une inflation de 18 %. Egalim 2 ne «fonctionne qu'en partie» pour l'industrie laitière. «Le problème, c'est qu'on sacralise la matière première agricole, mais qu'est-ce qu'on fait des matières premières industrielles ?» Il fustige la grande distribution et «la guerre des prix» qui «n'aide pas à la valorisation sur les produits laitiers»…
La moitié des volumes de lait UHT transformés par Lactalis sont distribués en MDD sous les étiquettes de Carrefour, Auchan, Lidl, etc. Le groupe est partisan de davantage d'encadrement de ce marché, qui fonctionne par des appels d'offres envoyés par les distributeurs…
Cedric's insight:
voir aussi L’été compliqué de Lactalis
Cet été, des restrictions d’eau ont conduit Lactalis à interrompre des lignes de fabrication quelques jours sur certains sites. Cet épisode met en lumière la volonté de Lactalis — et aussi des autres transformateurs laitiers — de réduire ses besoins en eau. Ainsi, Lactel affiche un objectif de -5 % de consommation d’eau en 2025 par rapport à 2019. Les industriels demandent tous à pouvoir traiter et réutiliser l’eau qui s’évapore durant le process industriel de concentration et de séchage du lait. Pour l’heure, l’Europe l’autorise, mais pas la réglementation française…
Des solutions existent et les entreprises agro-alimentaires sont mobilisées pour les mettre en place. Il s’agit par exemple de la Re-Use, Réutilisation des « eaux non conventionnelles », dans les process agroalimentaires (comme les eaux issues de la matière première et/ou les eaux usées traitées). « Il est important que les expérimentations puissent être mises en place rapidement. La Re-Use en est un levier majeur, à effet immédiat »…
A titre d’exemple, un sondage auprès de 28 sites agroalimentaires bretons identifie 2,5 millions de m3 d’eau potable immédiatement économisables chaque année, soit l’équivalent de plus de 800 piscines olympiques. «Il est donc impératif de publier le décret, annoncé dans les conclusions du Varenne agricole de l’eau, pour autoriser immédiatement les expérimentations de la Re-Use dans les industries agroalimentaires»…
Cedric's insight:
voir aussi « Il faut une économie de guerre de l’eau »: la filière agroalimentaire prête à évoluer
Avec la sécheresse actuelle, l’élevage herbivore est confronté à sa consommation d’eau, de façon d’autant plus cruciale que la ressource se fait rare. Comme pour bien d’autres activités, l’eau est indispensable à l’élevage…
L’empreinte eau des produits laitiers et carnés est de l’ordre d’1 à 3 litres d’eau par litre de lait et de 30 à 50 litres d’eau par kilo de viande vive…
Cedric's insight:
voir aussi Fausse Information : Il faut 15 000 litres d’eau pour produire 1 kilo de viande bovine
Comment consommer moins d’eau, tout en maintenant le niveau de production ? C’est le difficile problème que doivent résoudre les industriels de l’agroalimentaire…
La crainte de l’alerte rouge : Si l’eau venait à manquer, la préfecture pourrait purement et simplement interdire la consommation aux usines ICPE. Ce serait le scénario catastrophe « On travaille une matière première agricole, le lait. On doit lui trouver des débouchés »…
Cedric's insight:
Une situation d’autant plus difficile à gérer pour les industriels bretons qu’elle est nouvelle…
voir aussi Le manque de pluie va-t-il finir en guerre de l’eau ? https://sco.lt/85ZlNw
Suisse : Le secteur laitier veut être exempté des restrictions d’électricité
La moitié des rivières et des lacs de l'État sont touchés par une production laitière excessive. Aujourd'hui, 7 000 éleveurs laitiers bénéficient d'une dérogation approuvée par la Commission européenne qui leur permet d'utiliser jusqu'à 250 kg d'azote du fumier de bétail par hectare…
Depuis l'abolition des quotas laitiers en 2015, la production laitière a augmenté en volume de 60 % et en valeur de plus de 2 milliards d'euros par an, bien en avance sur les objectifs fixés par le gouvernement de l'époque en 2010…
L'agriculture est "certainement" la principale cause de la détérioration de la qualité de l'eau. L'industrie laitière pose des problèmes majeurs, selon l'Agence de protection de l'environnement (EPA), car le nombre de bovins par hectare est désormais supérieur à la moyenne de l'UE. Il en va de même pour les taux d'azote excédentaire, tandis que les taux de phosphore excédentaire de l'Irlande sont parmi les plus élevés de l'UE…
Cedric's insight:
voir aussi France - Nitrates : les textes durcissant les dispositions dans les zones d’actions renforcées en consultation publique
La vache est très sensible à la qualité gustative de l’eau. Pour maintenir une eau propre, il faut vidanger et nettoyer régulièrement les abreuvoirs. Au pâturage, disposer d’un tuyau souple de 3 m à proximité de chaque bac permet de réaliser l’opération par siphonnage dès la sortie des animaux de la parcelle. Il suffit ensuite de rincer au besoin.
• l’Espace Accompagnement présente un guide d’utilisation et de bonnes pratiques pour les projections climatiques.
• l’Espace Découverte permet de visualiser et géolocaliser les projections climatiques au plus près de chez vous, en métropole comme outre-mer : vous avez accès à toutes les informations fournies par les modèles de climat, pour les scénarios les plus récents (RCP) présentés dans le dernier rapport du GIEC.
• l’Espace Données et Produits vous permet de télécharger ces paramètres et indicateurs climatiques sous forme de données numériques.
Vivre avec moins d’eau. À Ancenis Saint-Géréon, la coopérative laitière Laïta planche sur la réutilisation des eaux de concentration de la matière laitière extraites lors de la fabrication de la poudre de lait et en fromagerie notamment. La nouvelle réglementation lui permettrait d’économiser 450 millions de litres d’eau par an, sur ses sites du grand Ouest…
La réutilisation des eaux de concentration de la matière laitière (ECML) représente un levier majeur d’économie d’eau pour la coopérative qui collecte aujourd’hui 1,5 milliard de litres de lait auprès de 2 600 exploitations en Bretagne et dans les Pays de la Loire.
Elle pourrait ainsi potentiellement réduire de 15 à 20 % sa consommation globale, soit de 300 à 450 000 m³ par an sur l’ensemble de ses sites du Grand ouest, l’équivalent d’environ 450 millions de litres d’eau par an. Aujourd’hui, la réglementation empêche l’entreprise d’utiliser cette eau extraite du lait pour nettoyer l’intérieur des cuves ou des citernes de camion où il existe du contact alimentaire…
Sur l’ensemble des process de transformation du lait chez Laïta, 70 à 75 % de la consommation d’eau concernent le nettoyage des installations…
Cedric's insight:
voir aussi « Il existe encore un gros potentiel de valorisation de l’eau disponible dans les laiteries »
Dans les Landes, des eaux usées alimentent depuis cinq ans l'irrigation de cultures agricoles, un exemple de « réutilisation » encore rare en France mais qui pourrait se développer pour économiser la ressource…
En France, moins de 1 % des eaux usées sont directement réutilisées, le reste étant rejeté dans les cours d'eau, alimentant leur débit tout en s'y diluant. Développer la « réut' », selon le jargon des experts, est une piste étudiée par le gouvernement dans le cadre de son futur « plan eau ».
Cedric's insight:
voir aussi « Il existe encore un gros potentiel de valorisation de l’eau disponible dans les laiteries »
Dans les activités de transformation laitière en aval, l’utilisation de l’eau est surtout liée à la nécessité de nettoyer les installations. 80 % des sites laitiers ont leur propre station d’épuration ou une station de prétraitement des eaux…
D’abord, il faut savoir que la filière laitière a une particularité par rapport aux autres filières : elle génère de l’eau. Le lait contient en effet plus de 85 % d’eau. 16 millions de mètres cube d’eau sont ainsi produits chaque année dans les laiteries…
En 10 ans, on a beaucoup progressé, puisque les volumes d’eau nécessaires ont déjà été réduits de 20 %...
Cedric's insight:
voir aussi Projet MINIMEAU : Minimisation des consommations d’eau dans les industries agro-alimentaires https://minimeau.fr/
Lactalis épinglé par l’Etat pour avoir consommé trop d’eau en pleine sécheresse
Alors que d’importantes restrictions étaient demandées par les autorités, la société laitière de Vitré aurait consommé trop d’eau…
• La préfecture d’Ille-et-Vilaine a mis en demeure la société Lactalis pour des excès de consommation d’eau l’été dernier
• Les principaux consommateurs du département étaient invités à réduire leur consommation de 25 % en raison de la sécheresse
• La société laitière a promis un plan d’action qu’elle a transmis à la préfecture, sans qu’on en connaisse le contenu
Cedric's insight:
Pour s’assurer que ces restrictions étaient bien respectées, l’Etat a mené quelques contrôles. Et chez Lactalis, tout ne s’est pas bien passé. « Il a été constaté que les consommations sur la fin du mois de juillet 2022 ne respectaient pas la restriction d’une diminution de consommation à hauteur de 25 % de la consommation hebdomadaire moyenne en 2021 ». On ignore cependant l’importance de ces excès…
La qualité de l’eau de boisson est cruciale pour obtenir de bons résultats techniques. L’expérience montre qu’avec une eau de mauvaise qualité, il est impossible de maximiser les performances de ses animaux et, dans de nombreux cas, la qualité de l’eau est un facteur de risque évident…
Il est donc important de connaître la qualité de l’eau de boisson de son bétail et de la contrôler régulièrement. Une quantité suffisante d’eau potable de bonne qualité est essentielle dans tout élevage. Si l’on compare l’analyse de l’eau à la source avec celle de l’eau au niveau des animaux et que vous constatez une forte augmentation des paramètres bactériologiques, cela peut être le signe d’une pollution des canalisations d’eau potable…
La sécheresse du mois de septembre peut laisser craindre un automne sec et donc une année 2023 marquée par des pénuries d’eau. Or, si l’été 2022 a été marqué par des conflits d’usage médiatisés mais somme toute peu nombreux, les acteurs de terrain reconnaissent que les tensions entre les différents types d’usagers (agriculteurs, industriels, consommateurs privés d’eau potable, usagers de rivières et de retenues d’eau de loisirs) se sont multipliées…
Il existe pourtant nombre d’instances publiques supposées prévenir ces incidents et réguler la consommation. Comment fonctionnent-elles ? Qu’y voit-on poindre des conflits futurs et de leurs possibles résolutions ?
Cedric's insight:
voir aussi [Vidéo] Canicule : va-t-on manquer d'eau pour nourrir la France ?
Produire davantage avec moins d’eau est dans ce contexte devenu un défi interdisciplinaire. Comment intensifier la production végétale dans un contexte de sécheresse et d’une façon durable ? C’est un défi scientifique et sociétal multidimensionnel pour assurer la sécurité alimentaire future...
Cedric's insight:
voir aussi Face à la sécheresse, innover pour transformer notre agriculture
On nous incite souvent à réduire notre consommation de viande pour réduire notre empreinte carbone. Mais passer au tout-végétal serait en fait catastrophique…
• Des mensonges, encore des mensonges, et des statistiques
• L'élevage subventionne en réalité la production céréalière humaine
• Les vaches, des éco-vandales ?
• L'élevage laitier est en réalité le moyen le plus écologique de nourrir une population
• Pâtures et paysages
• Les herbivores maintiennent la biodiversité
Cedric's insight:
voir aussi Fausse Information : Il faut 15 000 litres d’eau pour produire 1 kilo de viande bovine
La Sill, comme dans tout l’agroalimentaire, consomme énormément d’eau pour faire tourner ses usines. Depuis trois ans, un plan d’économie a permis de réduire les volumes utilisés de 8 à 10 % par an…
« On n’a pas attendu les arrêtés sur la sécheresse pour économiser l’eau. Concrètement, si du jour au lendemain on devait réduire notre consommation de 25 %, on ne fait plus tourner nos usines ! Et on ne ramasse plus le lait dans les fermes »…
À Plouvien, siège du groupe et plus gros site de production, la Sill consomme 1 000 m3 d’eau par jour, soit 372 000 m3 par an…
Cedric's insight:
Dans le secteur laitier, comme dans toute industrie agroalimentaire, « on n’arrête pas de laver, à toutes les étapes, pour des questions d’hygiène. Pour travailler un litre de lait, il nous faut quatre litres d’eau »…
Voir aussi À Quimper, la laiterie Le Gall fait face au défi de l’eau https://sco.lt/8v5QSe
L’agriculture française est sommée de s’adapter au dérèglement climatique et aux sécheresses estivales. Problème : les solutions potentielles déchaînent les oppositions…
Cedric's insight:
Voir aussi Espagne : La sécheresse ravive les tensions sur la gestion de l’eau
Le Gaec des Fermes voisines, dans le Doubs, dispose d’une citerne de récupération d’eau de pluie en béton pour alimenter les abreuvoirs. Assuré par une lampe à UV, le traitement de l’eau garantit une qualité sanitaire conforme depuis 2015.
Cedric's insight:
voir aussi Traitement de l'eau : Vaches plus calmes et productivité qui coule de source
To get content containing either thought or leadership enter:
To get content containing both thought and leadership enter:
To get content containing the expression thought leadership enter:
You can enter several keywords and you can refine them whenever you want. Our suggestion engine uses more signals but entering a few keywords here will rapidly give you great content to curate.
Your new post is loading...
![[Dossier] Le monde doit se préparer à une « crise de l’eau douce », selon les Nations unies | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it](https://img.scoop.it/XOMfHfy6KM40eln_EATYijl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
![[Infographie] Consommations d’eau en élevage : entre sobriété et résilience | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it](https://img.scoop.it/SJybjc869cbPDVXVDJkPJTl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
