Your new post is loading...
Your new post is loading...
|
Scooped by
Cedric
|
Malgré une récente baisse des prix au GlobalDairyTrade, les analystes de Rabobank met en évidence six événements consécutifs avec des mouvements de prix positifs, suggérant une tendance favorable…
Ces perspectives optimistes sont dues à la diminution des craintes de récession qui prévalent dans de nombreux pays, des évolutions encourageantes en Chine. En outre, le ralentissement de la croissance de la production laitière en Chine devrait stimuler les importations en 2024, tout en restant potentiellement inférieures à la moyenne à long terme…
|
Scooped by
Cedric
|
Les Français achètent moins de produits responsables (bio, durables...), donc les GMS réduisent les assortiments... mais la réduction des assortiments, c'est moins de choix, moins de visibilité, moins d'achat d'impulsion, et voilà un serpent qui se mord la queue…
A noter que certains produits font de la résistance... lesquels ?
• Les laits équitables résistent dans un rayon en berne
• Le local plie mais reste un enjeu fort
|
Scooped by
Cedric
|
L'origine France des produits est passée, en un an, de 3e à 2e critère d'achat en circuits courts, selon Kantar. Et c'est celui qui progresse le plus. Un lien avec la forte mobilisation des agriculteurs de début d'année ?
« L’origine France des produits » détrône « la juste rémunération des productions », à la 2e place des motivations d’achat en circuits courts des consommateurs. Les deux en tête, ex aequo, aurait été le résultat idéal. Un jour peut-être…
Comme l’an dernier, « le goût et la qualité », premier critère pour plus de 75 % d’entre eux, se situe largement en haut du classement : 57 % préfèrent les produits français, 75 % le goût et la qualité. La rémunération des producteurs arrive en 4e position…
|
Scooped by
Cedric
|
Si, déjà en 2022, on pensait que les prix (+6,3%) avaient crevé tous les plafonds dans la grande distribution française, que dire de l’inflation record qui a sévit en 2023 à près de 13% ? Du jamais vu !
En deux ans, les prix alimentaires en GMS ont donc augmenté de plus de 20% pour les consommateurs sans aucun espoir de déflation ! Il n’est donc pas étonnant de voir les consommateurs commencer à sérieusement réduire leur volume d’achat. En 3 ans, les volumes d’achats alimentaires (PGC-FLS) en GMS se sont donc contractés de près de 6,5% ! Du jamais vu non plus en 50 ans !
Les ménages consomment-ils moins pour autant en volume ? Non mais ils achètent beaucoup moins en GMS tout en privilégiant clairement la restauration hors foyer par nécessité (le midi) et/ou par commodité le soir. Cette fragmentation des achats en faveur de la restauration commerciale rapide, principalement en soirée, et surtout en faveur du snacking et des sandwicheries au moment du déjeuner, ne va pas sans inquiéter la grande distribution qui voit ses volumes de ventes fondre comme neige au soleil depuis ! En effet, en réaction aux 20% d’inflation, la demande de produits alimentaires en GMS s’est normalement compressée…
Depuis 3 ans, la baisse continue des volumes achetés par les ménages vient donc normalement sanctionner la politique de « greedflation » menée à leur encontre, à la fois, par les distributeurs et certaines multinationales de l’agro-business. Le cycle de « greedflation » touchera à sa fin quand la baisse continue des volumes détruira mécaniquement les sur-profits et que le jeu concurrentiel mettra en orbite la préférence des consommateurs pour de nouveaux canaux de distribution telle que la livraison de solutions de repas à domicile par Uber, Deliveroo et Just Eat France…
Dans la grande distribution, la loi de la gravité tourne toujours autour des volumes achetés et l’inquiétude commence à gagner face à leur érosion…
|
Scooped by
Cedric
|
Substituts végétaux : les volumes progressent légèrement en 2023, tandis que la plupart des axes de la consommation responsable fléchissent…
Le marché reste néanmoins encore petit en France pesant un peu plus d'1/2 milliard et sa croissance valeur est portée par l'inflation…
|
Scooped by
Cedric
|
La production a reculé ces quinze dernières années dans toutes les filières animales. Les habitudes de consommation évoluent, pourtant la demande baisse moins que l'offre, ce qui conduit à une nette dégradation du solde commercial de la France…
|
Scooped by
Cedric
|
L’ObSoCo décèle « un basculement » des préoccupations santé environnement vers le plaisir. « Le message clef qu’on retient, c’est le besoin de praticité et de plaisir. Au-delà, on a du mal à pouvoir accrocher sur un message purement environnemental »…
Les Français portent moins attention aux labels, connaissent moins les garanties du bio, ainsi que les contrôles et réglementations auxquels sont soumis ces produits. Toutes les raisons majeures de consommer des produits bio reculent. Seul le fait d’avoir des enfants est une motivation qui progresse, c’est une raison de consommer bio pour 15 % des Français, contre 14 % l’an dernier…
Concernant le « bien-manger », le nombre de Français qui associe cette notion à une alimentation saine est en baisse de 6 points (34%). De même, le lien au respect de la nature est en baisse 9 points (13%). A l’inverse, le nombre de Français qui associe le « bien manger » au « plaisir » et à « la convivialité » progresse respectivement de 15 et 10 points ( à 42% et 32%)…
|
Scooped by
Cedric
|
La capitale veut porter à 100% la part de produits durables dans les assiettes des convives, dont 75% de bio et 50% de local d’ici 2027. Un défi de taille au regard des 30 millions de repas servis chaque année dans les 1 300 restaurants collectifs municipaux…
Pour augmenter la part de produits durables et locaux, la ville peut compter sur les 660 agriculteurs bio d’Île-de-France. Pour aller plus loin, elle a créé, avec Le Havre, Rouen et des communes de l’Yonne, un opérateur pour structurer des filières : AgriParis Seine…
Le projet alimentaire territorial (PAT) de Paris est certainement l’un des plus ambitieux. Ce colossal pôle de consommation compte très peu de terres agricoles. Même en élargissant la focale à la métropole de Grand Paris, les terres agricoles ne représentent que 2,5% de la surface totale des 131 communes et 0,5% des produits agricoles consommés sont produits sur le territoire.
|
Scooped by
Cedric
|
Au départ, il y a le reblochon. Ensuite vint le lardon. Au final, un plat réconfort qui égaille nos soirées hivernales : la tartiflette..
Il existe en Reblochon fermier (pastille verte) ou laitier (pastille rouge). "Le plus " noble ", précise l’artisan, étant le fromage fermier, fabriqué à la ferme à partir du lait d’un même troupeau, dans la foulée de chacune des deux traites quotidiennes."…
|
Scooped by
Cedric
|
Avec le temps, on ressent bien les inconforts dus à la consommation de produits laitiers. On fait alors face à des maux de ventre, voire des diarrhées. Ce qui rend la digestion du lait difficile, c’est une intolérance au lactose qui survient au fil des années…
« La lactase, normalement produite par l’intestin, décompose le lactose provenant de l’alimentation en deux autres sucres (glucose et galactose), qui peuvent être facilement absorbés par l’intestin. Ainsi, lorsque la production de lactase diminue, le lactose n’est pas correctement éliminé par l’intestin grêle. C’est alors qu’il atteint le côlon où il est fermenté par des bactéries, ce qui crée un inconfort digestif, dont les maux de ventre et les diarrhées. »…
|
Scooped by
Cedric
|
Un découpage de la France en douze « parties » que nous avons appelées « conso-styles territoriaux », en référence aux travaux de Bernard Cathelat sur les « conso-styles » dans les années 1980…
Il fallait bien ces douze « petites » France pour recomposer la « grande » et refléter à quel point nous consommons différemment sur le territoire…
|
Scooped by
Cedric
|
Les skyrs et les préparations laitières enrichies en protéines ont le vent en poupe, comme en témoigne leur large place au rayon frais. À quoi bon tant de protéines ? Deux à sept fois plus chères qu’un yaourt classique 0%...
Comparativement, le petit-suisse affiche des taux de protéines très intéressants à un prix défiant toute concurrence. L’atout du skyr : il est fermenté. Or, « les ferments des produits laitiers sont particulièrement efficaces pour coloniser nos intestins et nous permettre de garder un bon microbiote »…
|
Scooped by
Cedric
|
À boire, épais ou juste ferme, glacé, lissé, aromatisé, nature ou sur lit de fruits frais, de vache, de chèvre, de brebis, de soja et même de jument… le yaourt est un produit multiple et universel. En plus, il est bon pour la santé…
Le mot yogourt viendrait du turc yoğurt, « épaissir, cailler ». Les historiens pensent qu’à force d’être ballotté sur le dos d’un buffle il y a fort longtemps, le lait a été chauffé et brassé, et s’est mis à produire, au contact de deux bactéries, le fameux yogourt que les hommes ont trouvé à leur goût. Le terme est principalement utilisé en Amérique du Nord, l’Europe lui préférant celui de yaourt. Le procédé serait originaire de Bulgarie…
Quelle que soit l’appellation, c’est le même principe de fabrication : du lait de vache, de chèvre, de brebis, ou encore de soja, fermenté sous l’action de ferments lactiques (le Lactobacillus bulgaricus et le Streptococcus thermophilus) qui convertissent une partie du lactose (le principal glucide du lait) en acide lactique. Et quand le lait a suffisamment fermenté, il suffit de le refroidir pour découvrir, le lendemain, du yaourt.
|
|
Scooped by
Cedric
|
• des produits plaisir (chips, cookies, produits apéritifs...)
• des catégories de la transition alimentaire (boissons végétales, légumes secs)
|
Scooped by
Cedric
|
La segmentation du secteur agroalimentaire français sur les SIQO : analyse et tendances
De nouveaux labels pour répondre à de nouvelles attentes des consommateurs : Les préoccupations des consommateurs évoluant au cours du temps, ils formulent régulièrement de nouvelles attentes. Aujourd’hui, l’impact des modes de production et de distribution sur l’environnement constitue un sujet d’importance croissante… Coût des labels : un risque de dépositionnement en prix ? Au cours de cette période, la forte inflation des prix des produits agroalimentaires a pu conduire à une certaine désegmentation et à une dédifférenciation, dans le cadre d’une descente en gamme des produits achetés. Ce phénomène s’observera certainement au cours des prochaines années mais, à terme, la tendance structurelle à la segmentation des économies modernes devrait se poursuivre.
|
Scooped by
Cedric
|
La création de la coopérative C’est qui le patron ?! remonte à 2016, en pleine crise du lait en France. Elle permet de rémunérer les producteurs français au juste prix. La démarche s’appuie sur des concertations entre consommateurs et producteurs…
« Si la coopérative a le succès qu’elle rencontre aujourd’hui, c’est avant tout grâce à la force collective des consommateurs qui nous soutiennent ! Nous n’avons jamais fait de publicité et n’avons pas de commerciaux, ce qui signifie que tout passe par la force des réseaux de connaissances, et surtout par la motivation à soutenir une démarche engagée. Nous sommes persuadés qu’armés de leur carte bleue, les consommateurs peuvent bel et bien impacter la composition des rayons des enseignes. »
« En ce moment, malgré l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat, nous sentons que les ménages sont plus prêts que jamais à soutenir une chaîne de production plus transparente et plus juste. Le conflit ukrainien et l’envolée des prix nous l’ont prouvé, lorsque nous avons décidé de faire passer notre brique de lait de 1,09 à 1,27 euros le litre. Certains redoutaient que les consommateurs ne nous suivent pas, et pourtant, nous avons connu une forte hausse des ventes à ce moment-là ! »
|
Scooped by
Cedric
|
L’indice FAO des prix des produits laitiers a enregistré une hausse de 1,1% par rapport au mois de janvier, mais un niveau inférieur de 13,4% à celui de l’année dernière au même mois…
En février, la plus forte hausse est à mettre au compte des prix mondiaux du beurre, laquelle est due à l’accroissement de la demande à l’importation de la part des acheteurs asiatiques et à la diminution saisonnière de la production de lait en Océanie…
De leur côté, les prix du lait entier en poudre ont continué à grimper, mais de façon moins marquée, principalement parce que l’augmentation de la demande à l’importation, en particulier en Chine, a été partiellement compensée par une baisse des prix dans l’Union européenne…
Les prix du lait écrémé en poudre sont restés stables, car la hausse des prix en Océanie a été presque contrebalancée par un fléchissement des prix dans l’Union européenne, lequel s’explique principalement par une baisse de la demande à l’importation en partance de la région due à une augmentation des coûts des expéditions et à des retards de transport découlant du conflit en mer Rouge…
|
Scooped by
Cedric
|
« Les Français dépensent moins pour l’alimentation ». Mais, plus que les loisirs, c’est surtout le logement qui pèse aujourd’hui sur le budget des ménages…
Au début du XXe siècle, l’alimentation représente alors plus de la moitié du budget des ménages. Cent ans plus tard, elle est tombée à 14% en euros courants...
|
Scooped by
Cedric
|
Après une longue période de vaches maigres, l'inflation a favorisé le retour des pâtes molles, plus accessibles en prix. Profitant de cette embellie, les industriels s'organisent pour préparer le futur…
En 2023, le fromage a maintenu son niveau de 2022 affichant même une légère croissance, à +0,3%. Et ce, en dépit d'une inflation (+16 pts) plus marquée pour le segment que la moyenne des PGC. Mais, attention, « même si les volumes de fromage résistent cette année, cela ne veut pas dire que la crise inflationniste n'a pas marqué le rayon. » Pour preuve le développement transversal des marques de distributeurs sur le segment (+2 pts sur le total fromage; + 1,1 pt sur les pâtes molles). À l'inverse, les labels de qualité perdent du terrain : - 0,5 pt de part de marché en volume pour l'AOP l'an passé; - 0,2 pt pour le bio et les fromages frais emballés…
Les pâtes molles, premier segment du marché fromage en volume et deuxième en valeur derrière les râpés, qui souffrait historiquement d'une déconsommation, a retrouvé un second souffle. Segment mature, consommé par 9 foyers sur 10, les ventes de pâtes molles ont atteint 145 503 tonnes en 2023 contre 142 145 t l'année précédente. « Entre 2018 et 2022, l'évolution moyenne annuelle du segment des pâtes molle était de l'ordre de - 1,2% en volume, alors même que le marché global du fromage était en croissance. Depuis septembre 2022, début des impacts de la crise inflationniste sur les PGC, le segment s'est redressé avec des volumes en hausse de 1,8 % en 2023 par rapport à 2022…
Une progression emmenée notamment par les MDD et les marques de brie, de coulommiers, et de camembert, fromages les plus accessibles en prix parmi les pâtes molles, 15% moins chers en moyenne que les autres fromages. Au sein même des camemberts, ce sont les offres pasteurisées, à l'opposé des traditionnelles au lait cru, qui tirent la croissance (+ 4% pour les camemberts pasteurisés qui représentent 73% des volumes versus -1,7% pour les camemberts de tradition)…
|
Scooped by
Cedric
|
La marque d'ingrédients laitiers et de solutions de Fonterra, NZMP, a dévoilé son outil numérique Carbon Footprinter pour fournir des profils d'émissions sur les produits laitiers d'origine néo-zélandaise…
« Première du genre et à grande échelle » dans l'industrie laitière, elle permet aux clients d'accéder rapidement et facilement aux données sur les émissions des produits NZMP. L'outil prévoit les réductions potentielles d'émissions pour les produits jusqu'en 2030, sur la base de l'hypothèse que Fonterra atteint ses objectifs climatiques pour 2030…
|
Scooped by
Cedric
|
A la table de l'Histoire. L’Hexagone a profité de son prestige culinaire, de son savoir-faire en matière de fromages (et d’un joli coup marketing) pour imposer cette tradition née de l’autre côté des Alpes…
Il est devenu le plat iconique de nos hivers. Les chiffres donnent le tournis : la France consomme près de 2 kilos par an et par foyer de raclette et celle-ci pourrait même bientôt détrôner le camembert à la 2ème place des fromages les plus consommés en France, juste après l’emmental. En 2023, le plat devient même le deuxième préféré des Français derrière le poulet-frites, selon un sondage CSA…
|
Scooped by
Cedric
|
L’indice des prix des produits laitiers est resté stable en janvier, soit 17,8% de moins que l’année précédente à la même période. Les cours internationaux du beurre et du lait entier en poudre ont progressé, compensant presque le déclin des cours du lait écrémé en poudre et du fromage…
Les prix mondiaux du beurre ont augmenté en raison de la hausse de la demande de la part des acheteurs asiatiques, à laquelle s’ajoute un renforcement de la demande de la part du secteur de la distribution lié à la diminution des stocks et aux besoins de réapprovisionnement en Europe occidentale…
Dans le même temps, les prix du lait entier en poudre ont eux aussi grimpé, ce qui s’explique par la hausse de la demande de livraisons à moyen terme, en particulier de la part de la Chine, et la diminution saisonnière de la production en Nouvelle-Zélande…
|
Scooped by
Cedric
|
Spécialité locale à base de fromage, le fondu creusois fait office aujourd’hui de plat consensuel qui ravit toutes les générations et qui offre à ce territoire la recette que la Creuse cherchait pour affirmer son identité sur le plan gastronomique. Rien de révolutionnaire, mais terriblement gourmand…
Au début du siècle dernier la recette permettait d’utiliser les vieux morceaux de fromage que l’on faisait fondre en les diluant avec du lait pour en adoucir le goût. Pour remonter sa piste, il semblerait qu’il faille chercher plutôt au nord du département, du côté de Gouzon, aux confins des Combrailles, sur ces terres aux influences auvergnates, où l’on produisait traditionnellement des fromages.
|
Scooped by
Cedric
|
L’inflation en 2023 a poussé les foyers français à réduire leurs achats de produits de grande consommation de -3,2 % tout en dépensant plus +8,2 %...
|
Scooped by
Cedric
|
En hausse pour les fromages, la crème, le beurre et les yaourts : les volumes de vente de plusieurs produits laitiers en magasins progressent en fin d’année 2023. En novembre 2023, les ventes en volume en GMS de plusieurs produits laitiers étaient en hausse par rapport à novembre 2022. Une tendance qui confirme les bons chiffres d’octobre 2023….
En novembre, la hausse des ventes de l’ensemble des produits laitiers est de 0,6% par rapport à 2022, en équivalent lait, évalue le Cniel. Le total des ventes s’est même « situé au-dessus de son niveau de novembre 2019 (+1% en équivalent lait) malgré une inflation de près de 30% entretemps ». Cela met fin à la phase de baisse de la consommation due à l’inflation et à la perte de pouvoir d’achat des ménages français…
Dans le détail, sauf le lait liquide dont la déconsommation est structurelle depuis de nombreuses années, les grandes familles de produits laitiers évoluent favorablement. Même le beurre, qui accusait un repli depuis le début de l’année, a repris des couleurs sur octobre et novembre : +1% et +1,3% respectivement par rapport à octobre 2022 et novembre 2022…
|