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La collecte laitière allemande reste en retrait sous son niveau de l’an dernier, malgré un prix ferme…
Selon les premiers calculs des analystes allemands, les producteurs de lait en Allemagne ont reçu en janvier environ 43,8 ct/kg (base 40-34). Par rapport à décembre de l'année dernière, cela représente une légère hausse de 0,6 cts. Les prix à la production ont donc augmenté pour le cinquième mois consécutif…
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La collecte laitière est repartie à la hausse. L’Idele annonce que cette embellie devrait se poursuivre durant les premiers mois de l’année 2024…
La collecte laitière devrait connaître un regain de dynamisme. En effet, même si le bilan de l’année 2023 a été marqué par un recul de 2,7% par rapport à 2022, cette diminution semble s’être enrayée depuis décembre…
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L'offre de lait dans l'UE a continué de diminuer au début de l'année. Dans le même temps, les prix du lait et des produits laitiers augmentent partout dans le monde. Les producteurs laitiers européens peuvent donc s’attendre à une hausse des prix du lait, selon Rabobank. Du moins pour le moment, car les volumes de livraison augmenteront également au second semestre. Et la demande doit suivre…
Rabobank prévoit que la production laitière deviendra plus rentable au premier semestre 2024. Les premières laiteries ont augmenté leurs prix du lait au cours des derniers mois. Et les prix à la production devraient continuer à augmenter dans l’UE. Rabobank s'attend actuellement à un prix moyen du lait de 47,5 cents/kg en Europe…
Au quatrième trimestre 2023, l'offre de lait dans l'UE et au Royaume-Uni a diminué plus que prévu : 1,7% de lait en moins a été livré par les producteurs. Pour 2024, une nouvelle baisse du volume de lait de 0,6 % est attendue au premier trimestre et une baisse de 0,3 % au deuxième trimestre. Rabobank suppose que l'approvisionnement en lait augmentera au cours du second semestre…
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En janvier, la consommation nationale de lait a diminué de plus de 22% par rapport au même mois de l'année précédente…
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Après avoir reculé en 2023, la collecte de lait de vache conventionnel en France pourrait se reprendre en 2024 :
1. La décapitalisation du cheptel laitier ralentit…
2. Le prix du lait progresse légèrement…
3. Pas d’inquiétude immédiate sur les fourrages…
4. La consommation de produits laitiers résiste…
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Danone annonce un besoin de développement de collecte de 100ML à horizon 2028 pour sécuriser ses approvisionnements en lait en cohérence avec sa stratégie industrielle et dans un contexte de croissance de ses marques, notamment les gammes hyper-protéinées telles qu’Hipro…
Après une augmentation de +27% du prix du lait payé entre 2021 et 2023 en moyenne nationale, Danone précise qu’il maintiendra un niveau de prix responsable, dans le cadre de ses accords contractuels. Afin d’encourager les développements de volume et en cohérence avec ses besoins industriels, Danone annonce également la suspension du prix B qui s’appliquait en cas de dépassement de volume de référence…
Les éleveurs nouvellement installés pourront bénéficier d’un accompagnement financier de 10 000€ sur deux ans (prise en charge financière des intérêts d’emprunts pour aider aux investissements, prise en charge de journées de remplacement et amélioration de la pénibilité au travail, formations aux méthodes de bonnes pratiques pour protéger les sols, la biodiversité et le bien-être animal).
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En Irlande, les laiteries ont enregistré une baisse de lait pour la 2ème année consécutive. De nombreux éléments indiquent que la grande surabondance de lait est terminée…
Alors que les livraisons de lait avaient déjà légèrement diminué en 2022, les laiteries ont enregistré nettement moins de lait (-4,1%) en 2023. Au cours des années précédentes, l’industrie laitière ne connaissait qu’une seule voie : l’expansion ! Au cours des dix dernières années, l'offre de matières premières a augmenté de 63%...
La baisse des prix du lait, les conditions météorologiques défavorables (la sécheresse et les fortes pluies») et les modifications apportées aux règles d'exonération des nitrates ont conduit à cette baisse de lait…
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État de la collecte dans l’UE
Belgique +3,4% >> Pologne +1,8%> Allemagne +1,7% > Pays-Bas > Espagne > … > Italie > France -2,9% > Irlande -3,2%
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Etat de la collecte française
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Il y a en moyenne 224 vaches dans chaque ferme laitière du Wisconsin, soit +86 vaches de plus qu'il y a sept ans à peine. Elles produisaient 25 064 livres de lait par vache en 2022 (+67%/1994).
En 1994, il y avait 29 000 fermes laitières dans le Wisconsin et une famille agricole moyenne comptait 51 vaches. Chaque vache produisait en moyenne 15 001 livres de lait par an, pour un total de 22,4 milliards de livres de lait produites cette année-là. Il y a dix ans, le Wisconsin comptait 10 541 fermes laitières, soit environ 46% de fermes de plus que les 5 661 fermes laitières de l'État au 1er janvier…
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Brièvement redevenue positive durant les trois dernières semaines de 2023, la collecte française de lait de vache est repassée dans le rouge (-0,6% sur une semaine, -1,8% sur un an) durant la première semaine de janvier 2024…
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Évolution de la collecte dans l’UE jusqu’en octobre
Belgique +3,9% >>> Allemagne +2% > Pologne +1,9% > Pays-Bas +1,7% > … > Italie -1% >> Irlande -2,1% > France -2,7%
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La collecte a repris sa tendance haussière, une fois passée les incidents climatiques de novembre
Au mois d’octobre 2023, le recul de la collecte de lait de vache est resté prononcé : avec 1,80 milliard de litres collectés, les volumes se sont établis 4,5% sous leur niveau d’octobre 2022. En parallèle, la collecte AOP est toujours en fort retrait, et les volumes de lait biologique ont diminué de 8,8%.
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Les prix du lait auprès des agriculteurs ont baissé de 26% en 2023 par rapport à 2022 et le volume de lait produit a chuté de 4%. Cela a entraîné une baisse globale de 30% de la valeur de la production laitière…
Les prix du bétail ont augmenté de 3 %, mais les volumes ont chuté de 4%, avec une valeur de production globale en baisse de 1%...
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« Pour la première fois, la collecte de lait biologique en France a diminué » en 2023. La baisse atteint - 4,5 % par rapport à 2022. Pour l’Idele, « tout l’enjeu pour la filière en 2024 sera d’enrayer cette crise persistante de la consommation »…
La filière a perdu deux cents livreurs en un an (- 4,7 %/2022) et pour 2024, « des inquiétudes persistent sur les arrêts de certification, sachant qu’un nombre conséquent d’éleveurs seront arrivés aux termes de leurs 5 ans d’aide à la conversion »…
Au-delà de la diminution du nombre de livreurs bio, l’institut technique souligne que la baisse du lait produit par site d’exploitation a aussi participé à la baisse de la collecte. En cause : les conditions climatiques et « une moindre motivation à produire ». La collecte s’est repliée dans toutes les régions, sauf en Normandie (+ 1,1% /2022).
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Il y a des lueurs d’espoir à l’horizon pour une amélioration des prix mondiaux des produits laitiers. Les prévisions des prix dans la plupart des régions clés indiquent une meilleure année après une année 2023 difficile, avec une amélioration des marges cruellement nécessaire au niveau des producteurs…
Associée à la baisse attendue des coûts de l'alimentation animale, l'amélioration des perspectives de marge finira par stimuler la croissance de la production laitière dans les Big 7 d'ici le 2ème semestre 2024. Ce ne sera probablement pas une année de prix record, à tous égards, mais les agriculteurs du monde entier accueilleront favorablement le retour à la rentabilité…
La croissance de l’offre de lait continue de connaître des difficultés et le retour à l’expansion de la production prendra du temps. Rabobank prévoit une production inférieure d'une année sur l'autre pour les deux premiers trimestres de cette année avant que le volume ne devienne positif au second semestre 2024…
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La collecte progresse de 0,1% par rapport à l’an dernier. Elle est particulièrement dynamique en Pays de Loire (+3%) et Grand Est (+2,9%), mais s’effondre toujours en Centre Val de Loire (-5,9%) et Occitanie PACA (-5,2%)…
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Bilan de la collecte laitière dans les pays de l’UE en 2023
2023 vs 2022 : Belgique +3,3% >> Pologne +1,9% > Allemagne +1,5% > Pays-Bas +1% > Espagne +0,2% > > Italie -0,7% >> France -2,7% >> Irlande -4,1%
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Depuis la 4ème semaine de l’année 2024, la collecte française dépasse le faible niveau de 2023. C’est encore loin de 2022 ou de la moyenne 2019-23. En semaine 6, on arrive à +0,9% : en tête le Grand est à +4,1%, devant les Pays de Loire, les Hauts de France, la Normandie et la Bretagne. Les autres régions sont toujours en baisse, avec à la traine le Centre val de Loire à -5,8%...
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En décembre 2023, la collecte de lait de vache reste en retrait de la moyenne 2018-2022. En cumul sur l’année, la baisse atteint 2,7% par rapport à 2022…
A 467 euros en décembre 2023, le prix du lait conventionnel à teneurs réelles recule de 6,1% par rapport au niveau élevé de décembre 2022. En revanche, le prix du lait bio progresse encore de 2,7% et s’établit à 547 euros…
Les fabrications de produits laitiers sont majoritairement en recul, à l’exception notable des poudres de lait écrémé et de la poudre de lactosérum. Parmi les fabrications de fromages, celles des pâtes pressées sont en net retrait, à l’image de l’emmental et du comté.
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En France, la collecte a progressé jusqu’en 2014, avant de se stabiliser entre 2016 et 2020, pour mieux chuter ensuite…
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Une croissance modeste attendue en 2024 : la production mondiale de lait devrait croître légèrement de 0,25% en 2024. Ce chiffre est légèrement supérieur à l'augmentation de 0,05% enregistrée en 2023…
Avec une récente remontée des prix, même à des niveaux assez bas, la production laitière devrait connaître une certaine croissance dans certaines des principales régions exportatrices, à l'exception du Royaume-Uni, de l'Argentine et de la Nouvelle-Zélande. Les États-Unis (1,0%), l’UE (0,3%) et l’Australie (0,6%) prévoient une certaine croissance.
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Le secteur laitier est une clé de l’économie néo-zélandaise. Néanmoins, le regard de la société envers l’élevage laitier a changé et les urbains interrogent de plus en plus l’impact environnemental de cet élevage (eutrophisation des cours d’eau, pollution, gaz à effet de serre, bien-être animal)…
Pour exporter, la Nouvelle-Zélande doit conserver son image « Clean and Green » et impose donc de plus en plus de normes environnementales à ses éleveurs. Celles-ci limitent fortement depuis quelques années l’expansion laitière tant en termes de surfaces qu’en nombre de vaches. La production laitière semble donc avoir atteint un plafond tandis qu’elle est rattrapée sur le plan fourrager par la variabilité climatique…
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Sur un an, le repli de la collecte de lait de vache s’accentue en novembre (- 4,8%), après - 4,4% en octobre. En cumul depuis le début de l’année, la baisse atteint 2,9%. Dans l’Union européenne, la collecte recule de 1,7% en octobre…
Le prix à teneurs réelles du lait conventionnel recule de 3,6% sur an, tandis que celui du lait bio progresse de 3,4%...
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Au cours de la semaine 50 (11 au 17 décembre 2023), la collecte de lait de vache en France affiche une progression de 0,5% sur un an. Un renversement de tendance confirmé en semaine 51 (18 au 24 décembre 2023), avec une hausse de 0,4% sur un an.
Les principaux bassins de production repassent dans le vert : la Bretagne (+ 0,3 % sur un an en semaine 51), la Normandie (+ 0,8 %), les Pays de la Loire (+ 4,5 %), le Grand Est (+ 3 %).
A l’inverse, la Bourgogne-Franche-Comté (- 0,2 %), Auvergne-Rhône-Alpes (- 4,5 %), le Centre-Val de Loire (- 6,3 %), les Hauts-de-France IDF (- 0,1 %), la Nouvelle-Aquitaine (- 2,3 %) et Occitanie-PACA (- 6,8 %) demeurent dans le rouge.
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![[Visionet] FranceAgriMer : Sondage hebdomadaire sur la collecte française | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it](https://img.scoop.it/1hudOvGCheLUtDJPmM4eeDl72eJkfbmt4t8yenImKBVvK0kTmF0xjctABnaLJIm9)
