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Garanties. Le fromager et son OP de l’Ouest ont conclu un accord garantissant un prix du lait moyen à 350 € les 1 000 litres en 2018, et incitant à modifier les pratiques... La certification engendrera des coûts pour l’OP : Mais tout reste à faire pour la mise en musique de cet accord. D’abord, il faut rédiger un cahier des charges précisant clairement à quoi correspondent les exigences en matière d’OGM et de pâturage. Ensuite, l’OP doit choisir un organisme certificateur qu’il faudra payer pour certifier la conformité des élevages.
Le coût de l’adhésion à l’OP reste donc à fixer. Jusque-là, Bel a toujours traité les adhérents de l’OP et les autres livreurs de façon identique. Cette stratégie semble rompue. Dans l’immédiat, l’industriel se borne à considérer que l’intérêt de l’accord poussera la quasi-totalité des éleveurs à adhérer. On peut penser que les primes en séduiront plus d’un, mais quid des adhérents qui ont abandonné le pâturage ?
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En amont des États généraux, les éleveurs laitiers ont fait preuve d’initiative en créant la marque « Lait de pâturage », associant des acteurs économiques et des représentants de la société civile. La démarche, centrée sur le bien-être animal et l’environnement, doit permettre aux éleveurs de gagner quelques centimes sur le litre de lait...
« Il faut que chaque filière réfléchisse à l’élaboration de cahiers des charges qui répondent à la demande des consommateurs ».
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Les experts des États membres ont approuvé lundi le compromis trouvé cet été sur le nouveau règlement européen sur la bio... « Les nouvelles règles approuvées aujourd’hui mettent fin au système actuel de dérogations « à la carte ». Et la nouvelle réglementation s’imposera aux pays tiers exportant dans l’UE... L’accord approuvé le 20 novembre doit être soumis au vote du Parlement européen. Si le texte est adopté tel quel, il pourra être adopté formellement par le Conseil européen et entrer en vigueur le 1er janvier 2021.
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Green Valley Organics, pionnier des produits laitiers biologiques sans lactose, est devenue la première marque laitière aux États-Unis à obtenir la certification FODMAP Friendly Dairy.
FODMAP est un acronyme scientifique qui désigne les oligo-saccharides, disaccharides, monosaccharides et polyols fermentables, des glucides mal absorbés qui fermentent dans l'intestin, provoquant des symptômes de gaz, de ballonnement et d'inconfort du type IBS qui affecte environ 1 Américain sur 7...
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Trois exemples de laits qui cherchent à se faire remarquer du consommateur : « Coeur de Normandy » « C'est qui le patron ? » « Lait de pâturage » ...
Et ailleurs ?
En Allemagne, la Bavière propose du lait sans OGM avec une prime de 8 % pour les producteurs.
En Autriche, le lait de foin ou « Heumilch » est très développé, avec 75 % d'herbe et de foin dans l'alimentation. Un petit groupe de 50 éleveurs de l'Ouest travaille sur un équivalent en France.
Aux Pays-Bas, quinze laiteries dont FriedlandCampina valorisent avec une prime de 6,5 euros les mille litres un lait de pâturage moyen de 120 jours sous la marque Weidemelk.
Au Royaume-Uni, il existe un lait de la marque Enjoy Milk (825 millions de litres) avec 180 jours de pâturage imposés.
Aux Etats-Unis, un label « nourri à l'herbe » a été validé par la filière et le gouvernement fédéral américain en janvier dernier.
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A quelques jours du lancement des Etats généraux de l’alimentation, Carrefour exhorte ses producteurs à aller plus loin dans la création de valeur. Lors du forum des solutions de l’agroécologie organisé ce jeudi 29 juin à Paris, le distributeur a annoncé le lancement de deux nouvelles filières de production
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Les producteurs de lait d'appellation pour les camembert, livarot, pont-l'évêque et neufchâtel, ont, depuis le 1er mai, l'obligation d'avoir un minimum de vaches de race normande. Mais l'ensemble des 539 producteurs de lait de la filière AOP ne se mettront pas en conformité. « On s'attend à perdre une vingtaine de producteurs et vingt millions de litres de lait (sur un total de 230 millions de litres, NDLR) »
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Les industriels de la transformation et les grandes surfaces généralistes ont flairé l'aubaine. Ces acteurs de la dernière heure organisent dans l'ombre un travail de sape. Plutôt que de soutenir la production biologique en Europe, un nombre de plus en plus important d'entre eux se tournent vers les importations en provenance de pays tiers dont les cahiers des charges sont moins stricts que ceux appliqués ici... Pour autant, la bio ne se réduit pas à "0 pesticides dans mon assiette". Elle concerne des conditions de travail équitable, des prix corrects, une amélioration considérable du bien-être animale, une autonomie des fermes. L'agriculture biologique ce n'est pas l'agriculture industrielle sans pesticides... La question centrale est la suivant: laisserons-nous la grande distribution dicter sa loi dans l'agriculture biologique?
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Comme d’autres AOP franc-comtoises, le morbier (8 765 t vendues en 2016) cogite à la révision de son cahier des charges. Le travail lancé il y a un an a abouti à un certain nombre de propositions de modifications ou d’ajouts des règles de production tant en amont qu’en aval.
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Depuis le 1 er mai, la moitié du cheptel des fermes qui fournissent les producteurs de camemberts AOP doivent être de race normandes.
Dans le même temps, les autorités reprennent l’offensive pour régler la question de l’appellation « fabriqué en Normandie » vilipendée par les amateurs.
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Alors que l’AOP cantal fête les dix ans de la refonte de son cahier des charges, l’interprofession réfléchit à changer le nom de ses trois catégories de fromage : jeune, entre-deux et vieux. Une démarche qui pourrait aboutir d’ici à la fin de l’année.
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Le comté va préciser des points de son cahier des charges. Objectif : rester un produit inimitable qui valorise le lait à 500 € les 1 000 l. Il y a urgence alors que ses valeurs sont copiées et que certains producteurs prennent des largesses avec les règles.
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En annonçant un prix à 350 euros/1 000 litres sur l’année 2018, ainsi qu’une modification de son cahier des charges, le groupe Bel s’est d’emblée placé au-dessus des débats. Ses choix auront des répercussions, chez ses livreurs, voire au-delà.
Bel a annoncé, il y a un quinze jours, l’accord trouvé avec la principale OP : un lait payé à 350 € sur 2018, assorti d’une prime de 21 €/1 000 litres pour respecter de nouveaux critères “lait de pâturage” (15 €) et alimentation “sans OGM” (6 €). Une charte viendra compléter plus largement le futur cahier des charges sur les aspects d’environnement, de “bien-être animal” et de relocalisation de la production (par les fourrages).
Aujourd’hui, tout le lait Bel vient de l’Ouest de la France. 85 % de la collecte sont fournis par l’APBO, qui regroupe 80 % des exploitations qui livrent chez Bel. “80 à 90 % des élevages” devraient pouvoir répondre aux 150 jours de pâturage. Le “sans OGM” sera imposé partout.
Jusqu’ici, “Bel n’a jamais obligé un éleveur à intégrer une OP”. Mais l’accord signé avec l’APBO implique que le lait demandé par Bel répondra à un cahier des charges, et que le respect de ces critères, agréés par un organisme certificateur, sera de la responsabilité de l’OP. Ce qui signifie que pour pouvoir toucher la prime de 21 euros, tout éleveur devra adhérer à cette OP.
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Alors qu’en mars 2009 l’accord- cadre pour la valorisation des quatre fromages AOP d’Auvergne marquait le début d’une nouvelle ère, le bleu d’Auvergne restait en retrait avec une valorisation de seulement 5 €/1 000 litres, là où ses “collègues” partaient à 30 €/1 000 litres. L’absence de cahier des charges avait alors justifié ce niveau de prix… Après un long marathon administratif, le nouveau décret de l’appellation bleu d’Auvergne est enfin paru au Journal officiel européen le 13 novembre 2017, avec l’obligation, pour l’ensemble des opérateurs, de renouveler leur engagement dans l’AOP avant le 13 février 2018…
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Déçue par le compromis trouvé sur le règlement bio européen, la Fnab souhaite une labellisation nationale plus exigeante, complémentaire de l’eurofeuille.
Les enseignes de franchise et les réseaux indépendants pèsent plusieurs milliards dans l’économie du commerce en France. Tous développent leurs marques avec le souci constant du client et de la qualité de services proposés. Tour d’horizon des poids lourds du secteur.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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Première AOP fromagère française avec une production annuelle de plus de 60 000 tonnes, la filière Comté devra faire face à des défis majeurs dans les prochaines années.
Le succès commercial du célèbre fromage à pâte pressée cuite du Jura ne se dément pas. Toutefois, celui-ci est de plus en plus concurrencé par d’autres fromages mettant en avant la qualité et le terroir, sans toutefois suivre un processus aussi rigoureux que celui du Comté.
Son cahier des charges strict lui a permis de miser sur la valeur ajoutée plus que les volumes, mais pourrait-il devenir un frein au développement de la filière ?
L’inter-profession Comté entame un cycle de réflexion et d’études de 18 mois pour répondre à cette question.
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Le nouveau cahier des charges de l’AOP Bleu d’Auvergne prévoit une réduction de la zone d’appellation. L’AOP Bleu d’Auvergne a un cruel handicap : son nom ! « Dans l’esprit des consommateurs, c’est un bleu comme les autres » déplore Nicolas Cussac, président du syndicat Interprofessionnel Régional du Bleu d’Auvergne. Impossible de changer le nom mais tirer le fromage vers le haut en améliorant encore davantage ses qualités intrinsèques et en communiquant sur celles-ci, est à la portée des producteurs.
Le nouveau cahier des charges recentre les savoir-faire de chacun des acteurs et tout particulièrement des producteurs de lait. La réduction de la zone d’appellation en est la mesure phare. 50% de communes en moins « Le nouveau cahier des charges est en complète ...
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« Tout ça pour ça »… C’est avec un brin de lassitude que la Fnab a accueilli l’accord informel conclu hier, le 28 juin 2017, entre les négociateurs du Parlement et du Conseil européens, autour de la proposition de révision du règlement bio communautaire. « Au bout du compte, on arrive à un statu quo légèrement dégradé », analyse la fédération, sous réserve des termes définitifs de l’accord qui doit encore être formellement conclu entre les institutions européennes.
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Confrontation. La question du recadrage de l’affouragement en vert voit se confronter deux visions de ce que doit être l’AOP.
Deux visions de l’AOP : d’un côté, les tenants d’un comté « très terroir » (position défendue notamment par la Confédération), de l’autre, un comté qui le serait un petit peu moins (FNSEA).
C’est sur la question de l’affouragement en vert que s’est cristallisé ce débat…
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Le Conseil européen agricole pourrait rendre les normes moins contraignantes pour les producteurs. En France, ce recul risque d'inquiéter les consommateurs alors que le marché du bio est en pleine croissance
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Avant-gardiste, Grégoire Joubert l’est certainement ! En 2005, avec un groupe d’éleveurs, il crée le label « Délices de Touraine », pour les consommateurs c’est une garantie relative aux méthodes de production du lait. « C’est un lait régional tracé, soucieux du bien-être de l’animal, les vaches sont nées et élevées localement » explique Annick Lartigue, directrice de la Laiterie de Verneuil, coopérative Touraine-Berry. Le label « Délices de Touraine » a un cahier des charges bien précis. « Les éleveurs qui respectent ce cahier des charges reçoivent une prime » explique Philippe Bruneau, président de la Coopérative Touraine Berry, également à la tête d’un élevage de 80 vaches laitières.
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Le cahier des charges européen donne la priorité à la prévention. Mais il est peu contraignant en traitements allopathiques. En élevage bovin laitier bio, le cahier des charges actuel, qui a été mis en place au 1er janvier 2009, autorise 3 traitements alors que le précédent n'en autorisait que 2...
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Les producteurs de fromages de Normandie labellisés AOP (Appellation d'Origine Protégée) sont exigeants sur la qualité, au point d'imposer une proportion minimale de vaches normandes dans les troupeaux. Ils l'ont fait valoir dans un communiqué publié jeudi 27 avril 2017.
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