L’activité bio de la laiterie pourrait passer de trois à huit millions de litres de lait à l’horizon 2020.
L'entreprise Lorco à Pont-Scorff (groupe Clal Saint-Yvi) compte 120 salariés et collecte le lait des 300 producteurs adhérents du Finistère sud et de l'ouest du Morbihan.
Lorco traite 120 millions de litres de lait par an, dont trois millions en bio. 75 millions de litres de lait sont conditionnés en briques ou en bouteilles, le reste est transformé en fromages à pâtes molles et en crème fraîche.
La part du secteur bio est en progression constante et pourrait atteindre sept à huit millions de litres par an d'ici trois ans.
Gilles Falch’un, PDG du groupe laitier Sill, vient de signer un premier contrat pour les débouchés de sa future usine de poudre de lait. Un groupe chinois en importera 20 % de la production annuelle. Yinquiao Paris. C’est la marque sous laquelle le groupe chinois Yinquiao Dairy importera de la poudre de lait produite dans la future usine de la Sill, groupe laitier dont le siège social se trouve à Plouvien (Finistère).
L’ensemble du fromage à raclette de la société Entremont est fabriqué à Loudéac (Côtes-d'Armor). Chaque année, 150 millions de litres de lait transformés en fromage sur le site. Huit semaines, et pas une de moins. C’est le délai d’affinage imposé par la charte nationale pour qu’un fromage à raclette puisse s’appeler comme tel. C’est à quoi s’affaire depuis 1969 l’entreprise Entremont installée à Loudéac, dans la zone de Calouët. La filiale de la coopérative Sodiaal, est spécialisée dans la fabrication et l’affinage du fromage à raclette...
A l’occasion de l’extension de sa gamme Bleu-Blanc-Cœur aux laits écrémé et entier bretons, la marque régionale Agrilait revoit donc le design de ses briques de lait pour les rendre plus informatives et ludiques.
La coopérative laitière bretonne Laïta a inauguré vendredi une nouvelle unité de production de lait infantile à Créhen dans les Côtes-d’Armor, après trois ans de travaux et 80 millions d’euros d’investissement. Sa capacité de production est de 30 000 tonnes de poudre par an...
Laïta réalise 1,2 milliard d’euros de chiffre d’affaires annuels dont 69 % en France, 21 % dans l’Union européenne et 10 % dans les pays tiers. Elle collecte 1,5 milliard de litres de lait par an et emploie 2 750 salariés sur 7 sites industriels.
Côtes d’Armor : Laïta inaugure sa nouvelle unité de lait infantile et de poudre premium - Laïta, 8e entreprise coopérative laitière d’Europe, filiale du Groupe Even, inaugure, le 1er décembre son unité high-tech de production de lait infantile et de poudre de lait premium à Créhen.
Cette nouvelle usine, qui allie performances techniques et environnementales, regroupe une tour de séchage d’une capacité de production de 30 000 tonnes de poudre et un atelier de boîtage, à destination principalement du grand export. Pour rester parmi les leaders mondiaux, Even investit « massivement ». La filiale Laïta, qui transforme aussi le lait de Triskalia et Terrena, bénéficie d’un investissement annuel de 6% du chiffre d’affaires, contre 2% il y a quelques années...
Paysan Breton est né en 1969 de la volonté d’éleveurs laitiers finistériens, regroupés en coopérative, de trouver des débouchés durables à leur lait à travers une marque commune offrant des produits de qualité. Leur savoir-faire et l’attention qu’ils portent à leur métier sont le gage de confiance des produits Paysan Breton.
4 vidéos youtube : La marque coopérative Paysan Breton, Être éleveur Paysan Breton, Le bien être animal chez Paysan Breton, Le lien entre l'éleveur Paysan Breton et ses vaches
La coopérative Le Gouessant va décliner sa marque bretonne Terres de Breizh dans les produits laitiers ainsi que les viandes et volailles. L'un de ses deux développements sera lancé en 2018...
Laitik plaît aux consommateurs et poursuit sa croissance à vitesse grand V en Bretagne. « Laitik est devenu une marque référence.» Hervé Le Roy, président de la Sica Lait’Sprit D’Ethique et producteur, ne regrette pas son choix. « On fait ce que personne n’a fait et on démontre que des paysans libres et indépendants peuvent réussir.»
80 % des ventes de Laitik s’effectuent en grandes surfaces. Toutes les plus grandes enseignes ont joué le jeu, Intermarché, Leclerc, Carrefour, Super U, quelques Casino aussi. Les raisons de ce succès ? La production locale bien sûr, qui est, de plus en plus, un critère décisif aux yeux des consommateurs. Laitik est produit par 54 exploitants en Bretagne.
Le prix est un autre élément déterminant. Laitik a les arguments pour convaincre : 69 centimes le litre. Ces paysans ont « monté une usine de A à Z, c’est incroyable quand même ». L’usine basée à Trémorel emploie 14 salariés. Elle va recevoir 25 millions de litres de lait à l’année ; soit environ 65 000 litres par jour. Ce qui laisse augurer de belles perspectives d’avenir. Pourquoi pas une nouvelle ligne de fabrication… de produits transformés ?
À l'invitation de la CGT, une cinquantaine de salariés de l'usine Synutra se sont réunis, ce vendredi soir, à la Maison des syndicats de Carhaix. Dénonçant leurs conditions de travail, ils ont demandé plus de respect de la part de leur hiérarchie.
Depuis quatre ans, un réseau breton de 19 fermes et 90 parcelles agricoles en zones humides a été passé à la loupe des agronomes, des botanistes et des entomologistes.
Ce travail a été mené par les Chambres d’agriculture de Bretagne avec l’appui de partenaires tels que le Conservatoire Botanique National de Brest (CBNB), le Groupe Régional d’étude des invertébrés Armoricains (GRETIA) et l’INRA.
Ce projet collectif a permis de croiser des compétences diversifiées. Il s’est concrétisé par la sortie d’un guide sur le rôle et la place de la gestion agricole des zones humides sur les enjeux de production, de qualité de l’eau et de biodiversité.
Au sein de l’usine carhaisienne de lait infantile en poudre, beaucoup de salariés dénoncent un climat social tendu. De nombreux départs sont enregistrés depuis les débuts de l’entreprise en 2015. Les témoignages recueillis sont édifiants : nombre de toilettes insuffisants, climat de délation, turn over...
Cedric's insight:
Et aussi : Synutra. Des méthodes qui posent question Sur http://www.letelegramme.fr/economie/synutra-des-methodes-qui-posent-question-19-10-2017-11707450.php Synutra, l'énorme usine de lait infantile qui a ouvert ses portes l'an dernier à Carhaix, fait l'objet de vives critiques quant à ses méthodes managériales. Valse des intérimaires alors que l'usine manque de bras, démissions de cadres, annonces d'emploi diffusées en Espagne... L'ambiance est pesante.
Portes ouvertes des stations expérimentales de Mauron et Trévarez pour deux journées techniques consacrées à la conduite de la génisse laitière. Des rendez-vous pour faire le plein d’informations...
2 rencontres « Moins de tracas, plus de résultats » pour apporter des réponses aux éleveurs : jeudi 19 octobre à la station de Mauron (56) ou jeudi 9 novembre à la station de Trévarez à Saint-Gouazec (29). De 13 h 30 à 17 h 30. Renseignements : 02 23 48 26 83.
Après une année 2016 exceptionnelle pour le développement de la bio en Bretagne, l’engouement pour l’agriculture biologique se poursuit dans la région.
L’entreprise chinoise Synutra, géant dans le domaine du lait infantile en poudre, a inauguré une première usine à Carhaix en 2016. Une nouvelle demande de permis de construire est déposée. L’usine de lait infantile en poudre Synutra, basée à Carhaix (Finistère), a déposé une demande de permis de construire à la mairie de la commune, le 18 décembre. Le projet de deuxième usine, envisagé par le PDG chinois Liang Zhang depuis 2016, prend forme.
Les coopératives D'aucy et Triskalia se rapprochent pour devenir « la première coopérative agricole de Bretagne ». Ensemble, elles réunissent 3,1 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2017. Parmi leurs marques: D'Aucy, Cocotine, Paysan Breton, Mamie Nova et Régilait.
Triskalia est également actionnaire de la coopérative laitière Laïta, avec deux autres coopératives non concernées par l'alliance du jour, Even et Terrena.
Au total, plus de 9000 salariés et près de 25.000 agriculteurs sont concernés par ce nouveau groupe, qui vise 5 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2025, contre plus de 3 milliards potentiellement à l'heure actuelle (1,9 milliard pour Triskalia, 1,2 pour D'aucy).
À l'échelle régionale, ce mariage à 50/50 donne naissance à un géant, fort d'un réseau de distribution de plus de 200 magasins, qui pourrait bien faire trembler les coopératives Terrena (15.000 salariés, 29.000 adhérents, 5 milliards de chiffre d'affaires) ou Agrial (20.000 salariés, 14.000 adhérents, 5,2 milliards).
En septembre 2016, l’ouverture par le groupe Synutra d’une grande usine de poudre de lait dans le Finistère avait suscité enthousiasme. Depuis, les difficultés s’accumulent.
Plusieurs projets concernant la filière laitière sont en cours dans le cadre du programme Agretic, financé par la région Bretagne. Un programme qui vise à développer l'usage du numérique :
- Milk-tracking : améliorer la traçabilité des échantillons de lait
- Milk-Up : simplifier la coopération éleveur-vétérinaire
- Milk-Data : créer un modèle de prédiction
- La réalité augmentée au service du machinisme agricole
- Peek : un boîtier connecté pour surveiller la stabulation FACU
Face à la pénurie de beurre affichée par la grande distribution à l'issue d'un bras de fer avec les industriels, les petits producteurs laitiers de la région pourraient bien tirer leur épingle du jeu.
Sur les 10 dernières années, les revenus des éleveurs bretons sont volatils et à la baisse. Pourtant les quantités produites par travailleur n’ont cessé d’augmenter...
Laïta inaugure sa nouvelle usine de lait infantile et de poudre premium à Créhen.
L’outil regroupe une tour de séchage d’une capacité de production de 30 000 tonnes de poudre et un atelier de boîtage. « Il va permettre à l’entreprise coopérative de contribuer durablement à la valorisation du lait de 3 250 exploitations et au développement des territoires du Grand Ouest, en allant capter de nouvelles opportunités de marché en France et à l’international »...
Initié en 2015 cet investissement s’inscrit dans un schéma global de 80 M€. Il offre à la filiale du groupe Even spécialisée dans la collecte, la transformation et la commercialisation de produits laitiers (2 750 salariés, 1,2 Md€ de CA en 2016) « un outil supplémentaire, créateur de valeur, pour faire face à la volatilité des marchés ». Laïta valorise chaque année 1,5 milliard de litres de lait.
L’usine chinoise Synatra de Carhaix a suscité beaucoup d’espoir pour l’emploi en centre-Bretagne. Mais la réalité est loin d’être rose pour de nombreux salariés. Les tensions et les pressions managériales sont lourdes, démissions et licenciements s'enchaînent....
L’inspection du travail est venue à Synutra le 18 octobre dernier. L’entreprise, qui n’a pas répondu à nos sollicitations, semble connaitre des difficultés de recrutement localement. Des offres d’emplois sont parues sur des sites de recrutement espagnols.
Triskalia est un acteur incontournable du paysage agricole et agroalimentaire en Bretagne. Depuis plus de 100 ans, la coopérative œuvre pour le dynamisme du tissu rural et économique de la région. Elle transforme le lait produit par les éleveurs à la fois fournisseurs et propriétaires de leur coopérative et le commercialise sous la marque Paysan Breton.
Le groupement Biolait créé il y a 23 ans par six producteurs de l’Ouest collecte et revend aujourd’hui 30 % du lait bio français. Il vient d’investir dans une base logistique au cœur du département.
L’objectif du plan d’éradication de la BVD en Bretagne, géré par le GDS de la région, est de passer de 80 à 100 % d’élevages indemnes d’ici cinq ans. Cela passe par l’élimination des IPI et un suivi plus régulier des élevages.
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