Le nouveau package C.A.R.E de la coopérative - représentant « coopérative », « bien-être animal », « énergie renouvelable » et « écosystème » - est censé établir une norme de pointe dans l'industrie et sera une exigence pour tous ses agriculteurs propriétaires produisant du lait pour les marques Cravendale, BOB et Big Milk d'Arla, qui arboreront désormais un nouveau logo sur l'emballage…
C.A.R.E exigera que tous les agriculteurs Arla qui font partie du programme respectent les 12 normes existantes, y compris la biodiversité et la restauration des écosystèmes naturels, ainsi qu'un engagement à réduire l'utilisation globale et à utiliser énergie renouvelable à la ferme. Il existe également une exigence supplémentaire pour le pâturage, lorsque les conditions météorologiques le permettent, à condition qu'il ne compromette pas la santé ou le bien-être des animaux…
Le lait des fermes Arla C.A.R.E sera désormais séparé dans ses laiteries de Stourton et d'Aylesbury, où les marques Arla Cravendale, Arla BOB et Arla Big Milk sont produites. Les nouvelles normes seront déployées dans tous les grands détaillants à partir d'octobre et seront soutenues par une importante campagne de marketing de 3 millions de livres sterling comprenant de la publicité télévisée, des activations numériques et des relations publiques…
Cette campagne mettra en lumière l'affirmation "Free to Graze" et présentera certains des agriculteurs et des vaches d'Arla dans la publicité, en chantant un remix du tube pop "Everybody's Free"…
Cedric's insight:
Arla C.A.R.E est introduit alors que la coopérative cherche à accélérer ses actions pour atteindre ses objectifs climatiques, ce qui nécessite une réduction de 30 % des émissions de portée 3 d'ici 2030 ainsi qu'une réduction de 63 % des émissions de portée 1 et 2…
Voir aussi Arla récompensera les agriculteurs pour leurs pratiques durables via le prix du lait
Le bien-être des animaux a été évalué dans près de 4 000 troupeaux laitiers grâce à l’outil Boviwell. Si la très grande majorité des élevages sont bien classés, les premiers résultats mettent en évidence plusieurs points noirs…
Abreuvement, mortalité, ébourgeonnage : Sur les premières évaluations, 73 % des troupeaux laitiers sont classés « excellent » ou « supérieur », 24 % sont « en progression » et 4 % sont « non-classés ». L’évaluation prend en compte divers indicateurs sur l’animal (prise en charge de la douleur lors de l’ébourgeonnage, parage, blessures, mortalité, relation homme-animal), sur l’environnement (aire d’exercice, points d’eau, ventilation et luminosité du bâtiment) et sur la « technique » (taux de cellules dans le lait)…
Avec son standard industriel "Swissmilk green", l'industrie laitière suisse veut étendre encore son rôle de pionnier en matière de bien-être animal. Les producteurs laitiers sont attirés par une prime de 3,1 ct/kg…
La Suisse est un pionnier international en matière de bien-être animal. Du lait durable presque partout : à peine deux ans après son introduction, près de 90 % des éleveurs laitiers suisses satisfont à la norme industrielle « Swissmilk Green » pour le lait produit de manière durable. 100% devrait être atteint d'ici fin 2023…
Cedric's insight:
voir aussi Arla Foods : Un nouveau système de tarification du lait « vert »
Un nouveau site internet sur le Bien-être animal : Des réalisations pratiques en place dans les élevages, et des données plus récentes issues de travaux de la recherche font l’objet de fiches B.A.-BA du BEA (Bien-être Animal) pour les espèces bovines…
Certains sujets sont en lien direct avec l’évaluation Boviwell et d’autres essentiels à la bonne compréhension de l’animal comme la perception sensorielle…
Cedric's insight:
Une bonne compréhension des perceptions et réactions de l’animal facilite le travail de l’éleveur notamment en manipulation et contention et améliore la sécurité au travail. Ces fiches donnent des clés qui peuvent permettre à chacun d’améliorer encore les méthodes d’élevage pour un meilleur bien-être mutuel animal et éleveur…
Prendre soin de ses bovins ? Tout à fait ! Mais comment assurer leur bien-être ? Cela nécessite en réalité de se placer du point de vue de l’animal ! En effet, les bovins ont des capacités cognitives qui leur sont propres et qui doivent être prises en compte lors de toute interaction avec eux ou pour aménager leur environnement…
Pour prendre en compte la cognition propre aux bovins, il s’agit de s’intéresser :
• à leur système sensoriel, on parle alors de monde perceptif,
• à leurs capacités d’apprentissage et de mémoire,
• à leur orientation spatiale et à leurs capacités de navigation,
• à leurs capacités de communication et de langage,
• à leurs capacités émotionnelles,
• à leur raisonnement et à la manière dont ils prennent des décisions…
Le groupe laitier finlandais Valio a lancé son programme de bonus de durabilité en 2018 avec l'ambition d'améliorer le bien-être animal. Cet objectif atteint, le groupe élargit désormais son ambition aux actions biodiversité et climat…
Depuis 2016 l’association L214 dévoile des vidéos insoutenables. Des vaches qui agonisent, des moutons qui souffrent dans leur sang, des porcs frappés…
Ces films pris en caméra cachée ont mis en lumière des pratiques inacceptables et nous ont mis face à nos contradictions : derrière nos steaks bien emballés au supermarché, à des prix défiant toute concurrence, se cache une vérité peu avouable. Comment en est-on arrivé là ?
Une relation de confiance entre l'animal et l’éleveur se construit dès le plus jeune âge…
Pour le bien-être à la fois des animaux et de l’éleveur, mieux vaut instaurer des relations positives. Une stratégie pour construire de telles relations se met en place dès la naissance, et même avant…
« Il est important d’avoir une bonne relation avec les animaux car celle-ci affecte la production, la santé et la reproduction », rappelle Céline Tallet, éthologue à Inrae…
La recherche a mesuré une variation de production laitière de 19 % entre un troupeau calme et un troupeau peureux. Autre résultat : une différence de prix de vente de 40 à 60 $ la carcasse entre des bovins calmes et des bovins réactifs….
Cedric's insight:
voir aussi Dominantes, meneuses ou soumises : où se situent vos vaches ?
Connaissez-vous les différents statuts de vos vaches ? Au sein du troupeau, il existe les dominantes, les meneuses et les soumises. Pauline Garcia nous donne quelques exemples pour les reconnaître et mieux interagir avec chacune d'entre elles…
L’olfaction pourrait influencer l’établissement et la qualité de la relation homme-animal, et ainsi impacter le bien-être des deux partis...
Les études doivent se poursuivre chez ces animaux afin de déterminer les odeurs émotionnelles humaines apaisantes afin d’améliorer la relation homme-animal et leur bien-être. On pourrait imaginer d’utiliser des odeurs humaines de joie pour apaiser les animaux lors d’évènements stressants avec des humains qu’ils ne connaissent pas, par exemple lors des transports ou au moment de l’abattage...
Cedric's insight:
voir aussi Comment prendre en compte la perception sensorielle des bovins dans la conduite de son troupeau ?
Dans la lignée du plan de filière France Terre de lait, le diagnostic Boviwell intègre la charte des bonnes pratiques d’élevage, ce qui le rend de facto obligatoire pour chaque exploitation livrant du lait. L’abreuvement et l’écornage des veaux feront partie des points à améliorer pour de nombreuses fermes...
Cedric's insight:
voir Boviwell, une appli pour mesurer le bien-être animal dans les élevages
Appliquée à l’élevage bovin, l’éthologie elle permet d’intégrer les spécificités de perception sensorielle des bovins pour mieux gérer son troupeau…
Une vision saccadée (La décomposition des mouvements, Le temps d’accommodation, La vision des couleurs), Une ouïe développée, L’odorat pour explorer et communiquer, Le toucher, Le goût…
Cedric's insight:
Le bovin, miroir des émotions et attitudes de l’éleveur Le comportement de l’animal est influencé par : (1) la génétique, (2) l’environnement, (3) l’éducation, (4) l’apprentissage et (5) ses expériences.
Les périodes clés pour établir le contact sont les premiers mois du veau, au moment de la mise bas, les jours suivant la naissance et le sevrage…
Faisant le lien entre la santé des plantes, des animaux et de l’homme, la démarche Bleu Blanc Cœur prouve sa validité à travers une série de données scientifiques…
• Comment le sol influe sur la qualité nutritionnelle des plantes ?
• Comment la santé du sol influence la santé des animaux ?
• Quel lien entre la santé des animaux et la santé humaine ?
Cedric's insight:
voir aussi Avec 7 000 agriculteurs engagés, le label Bleu-Blanc-Cœur confirme son succès
Au cours des deux dernières années, des programmes pour plus de bien-être animal ont été mis en place par le commerce de détail alimentaire. Jusqu'à présent, cependant, seuls quelques producteurs de lait ont participé aux programmes actuels. Les surcoûts associés sont nettement plus élevés qu'on ne le supposait auparavant…
Selon une étude réalisée par le Bureau de sociologie agricole et d'agriculture (BAL) pour le compte du MEG Milch Board, l'adaptation des conditions de production à des normes d'élevage plus respectueuses des animaux et répondant aux exigences des labels actuels de bien-être animal pour le lait coûte entre 10,63 (Région Est), 11,97 (Nord) et 16,33 cents par kilogramme de lait (sud)…
Sur les 3 000 premiers audits Boviwell réalisés, le bilan est plus que positif : 73 % des troupeaux sont classés "excellents" ou "supérieurs", 24 % sont en progression (avec certains points à améliorer comme le plus souvent l'abreuvement et la prise en charge de la douleur au cours de l'ébourgeonnage)…
Boviwell n’est pas un critère de paiement du lait. L'évaluation est pour l'instant intégrée à la démarche « La route du lait » qui assure un supplément de + 3 €/1 000 l aux éleveurs…
Cedric's insight:
voir aussi Thierry Bertot a testé l'audit Boviwell de bien-être animal
L'audit Boviwell a permis à Thierry Bertot d'identifier quelques points d'amélioration pour le bien-être de son troupeau. Intégrée à la charte des bonnes pratiques, cette évaluation est plutôt un « outil de communication à partager au grand public », explique l'éleveur…
Alors que la grande distribution tarde à prendre en compte dans ses tarifs les hausses des couts de production, Lactalis a décidé de soutenir ses producteurs avec un prix du lait payé en juin-juillet en hausse de 25,7 % par rapport à la même période en 2021…
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Si le groupe comprend la nécessité de revaloriser les prix à la production, il déplore en revanche que la distribution ne passe pas des hausses suffisantes pour couvrir les 18 % d’inflation qu’il subit…
voir aussi Lactalis renforce ses exigences sur le bien-être animal…
Lactalis souhaite que les veaux soient élevés en groupe dès l'âge de 4 semaines…
Le THI pour les vaches laitières, indice de ressenti de la température*humidité, est prévu d'atteindre pour la première fois des niveaux mortels en France samedi 18 juin 2022 dans le sud-ouest…
Lactalis poursuit le déploiement de sa stratégie RSE et s’engage sur 3 axes prioritaires : le climat, les emballages et le bien-être animal. Le Groupe a initié en 2020 la formalisation de sa démarche RSE…
Pour le climat, Lactalis s’est engagé dans l’initiative Science Based Targets (SBTi), et lance une démarche de neutralité carbone à horizon 2050. Deux étapes intermédiaires lui permettront de réduire ses émissions directes de gaz à effet de serre (dites de « scope 1 et 2 ») d’au moins 25% en 2025, et 50% pour le centenaire du Groupe en 2033.
100% de ses emballages éco-conçus d’ici 2025
Côté emballages, Lactalis s’engage pour une économie plus circulaire. 100% de ses emballages seront ainsi éco-conçus d’ici 2025, et recyclables par leur conception. Pour aider le consommateur à prendre sa part dans ce défi, 100% des emballages porteront une consigne de gestion des déchets. Lactalis développera également son soutien à l’émergence de filières de tri et de recyclage là où elles n’existent pas encore.
Concernant la question du bien-être animal, Lactalis développera une démarche de progrès continu pour accompagner les éleveurs partenaires en matière de bien-être animal. D’ici 2023, l’ensemble de ses techniciens laitiers sera formé aux meilleures pratiques, afin de conseiller les éleveurs, et d’ici 2025, 100% des volumes directs de lait collecté feront l’objet d’une évaluation du bien-être animal à la ferme. Par ailleurs, certaines pratiques, comme l’écornage en routine, seront progressivement éliminées.
Cedric's insight:
Le Groupe poursuit par ailleurs l’enrichissement de sa démarche RSE sur d’autres thèmes essentiels comme les enjeux sociaux, la préservation de la biodiversité et des forêts, ou la lutte contre le gaspillage alimentaire. Une dynamique qui doit permettre au Groupe Lactalis de confirmer son ambition d’une croissance rentable et responsable mais aussi sa volonté d’apporter sa contribution active à l’accélération de la transition des systèmes alimentaires en s’appuyant sur sa dimension mondiale…
Voir aussi Quelles sont les marques perçues comme les plus responsables ?
Le bien-être des animaux est intimement lié à leur perception du monde et aux capacités sensorielles propres à leur espèce. Il est donc important de se placer du point de vue de l'animal pour mieux le comprendre et développer une relation positive avec lui…
Pauline Garcia, éleveuse et comportementaliste animalier, nous révèle tous les secrets du monde sensoriel des bovins : comment voient-ils ? Pourquoi réagissent-ils ainsi, et dans quel contexte ? Pauline Garcia répond à toutes vos questions !
#leRDVBEA
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voir aussi Une relation de qualité entre l’animal et l’homme, ça se construit !
Le lait est composé d’une multitude de molécules pouvant refléter l’état de bien-être de la vache et prédire précocement l’émergence d’une pathologie…
Les scientifiques du CRA-W cherchent dans le lait des biomarqueurs reflétant l’état de bien-être et de santé de chaque vache. Pour ce faire, ils exploitent la technique de spectrométrie infra-rouge (IR) déjà utilisée lors des contrôles du lait de tank…
Les biomarqueurs d’intérêt pourraient prédire des traits liés au bien-être, notamment l’absence de faim, de stress, et de maladie. En particulier, les travaux ayant débuté dès 2013, la recherche de BHB (bêta-hydroxybutyrate) donne aujourd’hui une bonne indication précoce d’acétonémie. La NAGase est une protéine présente dans le lait qui augmente quand la vache a une mammite. Le citrate est un indicateur de déséquilibre métabolique. Un bioindicateur prometteur du stress chronique est le cortisol…
Enfin, les chercheurs espèrent trouver un parallélisme entre boiterie ou problèmes aux pattes naissants et profil particulier du lait…
Cedric's insight:
pour en savoir + Projet HappyMoo :
Développement d’un outil d’évaluation du bien-être des vaches laitières se basant sur le spectre MIR du lait. Ce projet est financé par l'INTERREG NWE, la région wallonne et le CRA-W…
Après le guide « Bien-être animal » à destination des éleveurs, nous vous partageons aujourd’hui le nouveau guide à destination des vétérinaires élaboré par Danone en partenariat avec Phylum, la SNGTV, la Chaire bien-être animal, l’Idele et l’association CIWF…
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Sommaire :
• p. 7 : La définition du bien-être animal
• p. 8 : Le vétérinaire, un acteur clé du BEA
• p.10 : La relation à l’animal malade : les principes d’approches
• p. 13 : L’observation du troupeau lors de toute visite pour alerter sur les signes précurseurs de problèmes de BEA
• p. 14 : La visite BEA
• p. 16 : Le bilan sanitaire, une opportunité pour intégrer pleinement le BEA
• p. 16 : Accompagner le changement vers des pratiques de BEA vertueuses
• p. 19 : Les bonnes pratiques de BEA du vétérinaire praticien
• p. 20 : Focus n°1 – Principe et prise en charge de la douleur
• p. 30 : Focus n°2 – Transportabilité des bovins, transport d’urgence et abattage d’urgence à la ferme
• p. 36 : Focus n°3 – Bonnes pratiques sur la fin de vie
• p. 40 : Focus n°4 – Appréhender la question de la longévité des vaches laitières avec les éleveurs
Le groupe agroalimentaire Savencia fromage et dairy a élaboré une charte pour le bien-être animal afin d’améliorer les conditions de vie dans ses élevages partenaires. Cette charte comprend des objectifs chiffrés en matière d’alimentation, logement, accès à l’extérieur et santé. Explications…
Cedric's insight:
Pour cette démarche, le groupe s’est appuyé sur l’expertise de l’ONG welfariste CIWF. Afin de se donner les moyens d’atteindre les objectifs fixés dans la charte, le groupe espère avoir audité 100 % de ses élevages partenaires d’ici à 2025…
Voir aussi Savencia va déployer une charte sur le bien-être animal
Immersion illustrée dans le quotidien d’un vétérinaire « heureux », en Seine-Maritime. Thibaut Hintzy est engagé dans la démarche happy, qui s’investit dans le bien-être des éleveurs de bovins et de leurs animaux…
Thibaut Hintzy est un vétérinaire « heureux ». Il exerce depuis 1999 à Gonneville-la-Mallet (76) où il a en charge le pôle rural. Il s’est formé avec d’autres vétérinaires et a créé le groupe « happy vet », réseau de vétérinaires intéressés par le travail en amont des pathologies…
A la recherche du bonheur… pour les vétérinaires, pour les animaux et bien sûr pour les éleveurs. Un travail d’équipe pour le bien-être de tous…
Cedric's insight:
Voir aussi Happy farmer, happy cow, happy vet
« Être happy vet c’est un engagement, on essaye de respecter une charte de bien-être animal, prodiguer des conseils de prévention et de bon élevage, que les animaux soient élevés le mieux possible dans l’univers contraignant que peut être un élevage et d’y apporter des solutions avec les éleveurs.» …
Dans cette démarche happy, le rôle du vétérinaire n’est pas seulement de soigner l’animal malade, mais de prévenir les maladies, en utilisant le moins de médicaments possibles…
Cinq ans après le lancement sur le marché du lait de protection animale, environ 140 exploitations laitières produisent leur lait – environ 125 millions de kg par an – selon cette norme.
Le programme "Pour plus de bien-être animal" de l'Association allemande pour le bien-être animal est un modèle de réussite. La demande a augmenté en raison de l'introduction prochaine d’un étiquetage spécifique, déclare la laiterie.
« En tant qu'entreprise dynamique, nous avons été les premiers à nous aventurer sur le marché en 2017 avec le lait "For More Animal Welfare". La coopération constructive et fructueuse avec l'Association allemande de protection des animaux s'est intensifiée au fil des années. Et bien sûr, avec l'introduction de l'étiquetage d'élevage par nombre de nos clients, la demande a considérablement augmenté », résume Wolfgang Hoff, directeur général de la laiterie Gropper.
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Le label "Pour plus de bien-être animal" garantit plus d'espace, plus de lumière du jour, plus d'exercice et plus d'activité pour les vaches. Le respect des critères peut être vérifié sur l'ensemble de la chaîne de production - de la ferme laitière à la production et à la livraison.
Voir aussi Boviwell, une appli pour mesurer le bien-être animal dans les élevages
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