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En 2015, Cooperatives Working Together (CWT) a versé une aide à l'exportation à ses coopératives membres. Son rôle : aider les membres de CWT à travers un programme d'aide à l'exportation à long terme, pour obtenir et conserver des parts de marché, élargir la demande de produits laitiers américains par le renforcement et le maintien de la valeur des produits laitiers qui influent directement sur leur prix du lait aux producteurs.
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Le plus grand exportateur de produits laitiers au monde a dit qu'il avait expédié plus de 300 000 tonnes de produits laitiers sur les marchés d'outre-mer, environ 10% de plus que son précédent mois record en Décembre 2014. Mais ce record sera difficile à battre, a déclaré le directeur général pour les ingrédients mondiaux de Fonterra, Kelvin Wickham. Fonterra prévoit une réduction d'année en année des volumes de lait, d'au moins 6% cette saison parce que les agriculteurs réagissent à la baisse des prix du lait et à cause des conditions sèches qui ont frappé certaines régions de la Nouvelle-Zélande. Après une hausse constante depuis 2008, avec des niveaux records en 2013, les prix mondiaux des produits laitiers ont fortement baissé en raison du ralentissement de la croissance économique en Chine et de la surproduction mondiale. La Chine est l'un des principaux marchés d'exportation de la Nouvelle-Zélande et le plus grand importateur mondial de lait entier en poudre. Les faibles prix des produits laitiers ont mis une pression considérable sur les agriculteurs de Nouvelle-Zélande. La banque centrale estime maintenant qu’environ 80% des producteurs laitiers aura un flux de trésorerie négatif sur la saison en cours, ce qui pose un risque pour l'économie. .
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Réouverture, mercredi, de l’unité de séchage de Mornaguia... et autres mesures prises par le ministère de l'agriculture en faveur de l'export...
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De nouvelles réductions des droits de douane sont entrées en vigueur vendredi dans le cadre des accords de libre-échange sino-australien et australo-coréen, donnant ainsi aux exportateurs australiens de nouvelles raisons de se réjouir de la nouvelle année.
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L'année dernière, l’interdiction des importations de produits laitiers mise en place, censée durer jusqu'à août 2015, a été étendue à août 2016. (Des rumeurs suggèrent que cela pourrait aller jusqu'à 2018.) Pourquoi s’en préoccuper ? Parce que l'interdiction de la Russie exerce une pression à la baisse sur les prix du lait dans le monde entier. Avant l'interdiction, la Russie était un grand importateur de produits laitiers y compris de fromage. Ils achetaient 25 000 Mt de fromage par mois selon l'analyste Nick Buyse de FCStone. « Le lait européen initialement concerné par les importations russes doit maintenant trouver une nouvelle destination», dit Buyse. « Donc l'UE sera beaucoup plus agressive dans l'exportation de poudres et fromages sur les marchés mondiaux, et rendra le marché très concurrentiel. » Voilà la mauvaise nouvelle pour les États-Unis : compétitifs sur le marché mondial de la poudre, nos prix du fromage sont beaucoup plus élevés que d'autres sur le marché mondial. En novembre, le prix du cheddar américain était 4,9% supérieur au prix du cheddar européen et 7,3% supérieur au prix du cheddar océanien.
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La Chine devrait importer 350 000T de lait liquide en 2015, en hausse de près de 10% par rapport à l'année dernière et équivalent à ses importations de lait en poudre entier, selon l'USDA. Deux-tiers des importations chinoises de lait liquide proviennent de l'UE entre Janvier et Septembre selon AHDB. Les prix de détail chinois pour les marques importées de lait UHT sont presque 50% plus élevé que le prix moyen au Royaume-Uni. Selon AHDB, la confiance des consommateurs dans la sécurité des importations entraîne le développement des ventes de lait UHT d’où l’importance de bâtir une réputation de qualité et de sécurité. Les deux laiteries Glanbia et Lakeland ont confirmé la croissance soutenue des ventes de lait UHT en Chine et en Asie du Sud-Est dans son ensemble. « La Chine est un marché important pour le lait entier et non aromatisé » a déclaré Michael Hanley, le PDG de Lakeland. « Et cette demande va continuer decroître à un rythme soutenu. Nos produits ont une durée de vie comprise entre six et neuf mois. Nous exportons directement à partir de l'Irlande vers la Chine. »
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eA partir de maintenant, plus de 85% des produits de l'Australie exportés vers la Chine - pour une valeur d'environ 86 millions $ l'an dernier - entrera en franchise de droits. L'accord devrait permettre aux exportateurs d'économiser des centaines de millions de dollars en paiements tarifaires supplémentaires l'an prochain. L'industrie laitière prévoit d’ajouter 600 à 700 emplois supplémentaires dans le même laps de temps. La Chine est le plus grand partenaire commercial de l'Australie, avec l'achat de près d'un tiers de toutes ses exportations. ...
Cedric's insight:
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Un accord a été trouvé à la ministérielle de l'OMC à Nairobi. La Suisse disposerait de cinq ans pour démanteler ses subventions à l'exportation. La Suisse subventionne les exportations de produits agricoles transformés à base de lait et de céréales. Le Parlement fédéral vient de voter un montant de près de 95 millions de francs. En revanche, les Etats-Unis se sont attaqués aux subventions à l'exportation indiennes. Le délai pour l'Inde serait ramené à 2023, au lieu de 2028, comme pour les autres pays en développement.
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Prédire l'avenir est pas une science, mais à l'US Dairy Export Council Nos experts ont identifié six facteurs sous-jacents qui façonneront l'offre, la demande et la capacité de l'industrie laitière américaine de rivaliser sur le marché international dans l'année à venir. Les voici: 1. Un monde inondé par le lait Les flux de lait ralentissent, mais pas assez rapidement pour tenir compte de la baisse de la demande. Pour 2016, les grandes questions sur l'offre comprennent: Quel sera l'impact d'El Niño sur la production, en particulier en Océanie? Est-ce que les transformateurs européens payeront suffisamment leurs agriculteurs? La production de lait en Chine continue de grimper, malgré un recul de l'investissement dans le secteur, pour quel niveau d’importations? 2. Modification de la gamme de produits Cette année, les deux géants de l'exportation (la Nouvelle-Zélande et l’UE) ont modifié leur stratégie de gammes de produits à l’export, en raison des changements en Chine et Russie. Ils ont renforcé leur présence sur les marchés américains clés, y compris l'Asie du Sud, la Corée du Sud, le Japon, le Moyen-Orient et même au Mexique. En supposant qu’il n’y aura aucun changement à l'embargo russe ou aux habitudes d'achat de la Chine en 2016, où l'Union européenne et la Nouvelle-Zélande vont diriger leur production de lait ainsi que leurs investissements? 3. La croissance économique de la Chine La croissance du PIB de la Chine est toujours en expansion à un rythme supérieur à 6%, et 6 à 7% de croissance sur une économie de la taille de la Chine, ça fait du bruit. Malgré certains signes de danger dans le secteur bancaire, la fabrication et d'autres secteurs, les dépenses de consommation chinoise restent fortes. La Chine fait des efforts pour soutenir la croissance de la consommation, comme la suppression de sa politique de l'enfant… 4. Des lois et règlements en évolution rapide 5. Un labyrinthe croissant d'accords internationaux de libre-échange (ALE) L'Australie, la Nouvelle-Zélande et l'UE combinées négocient actuellement des ALE avec plus de 40 pays, y compris d'autres grands acheteurs américains. Non seulement l'accès au marché des produits laitiers est une priorité pour tous les trois, mais l'UE utilise des accords commerciaux pour transférer son régime d'indication géographique restrictive au plus grand nombre possible de pays… Bien-négocié, les ALE apportent des gains à l'exportation. Il y a tellement à gagner à négocier des ALE et beaucoup à perdre en se tenant debout sur le banc de touche alors que nos concurrents forgent leurs propres offres. 6. Le dollar américain en hausse Le dollar américain a gagné 11 à 15% par rapport aux monnaies de nos trois principaux concurrents (Australie, UE et Nouvelle-Zélande) au cours de 2015. Un coup de pouce imminent des taux d'intérêt américains pourrait entraîner la hausse du dollar dans les prochains mois. Pour les exportations de produits laitiers des États-Unis, ce n’est pas exactement de bonnes nouvelles. Mais un dollar fort pourrait entraîner une baisse de la consommation dans les pays importateurs.
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Avec 7 % de la consommation mondiale de lait, le continent africain reste un petit marché, mais un marché porteur, notamment l'Afrique de l’Ouest....
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Des prix du lait plus élevés et la vigueur du dollar ont fait que les États-Unis sont moins compétitifs au Moyen-Orient et en Afrique du Nord. En Novembre 2015, les chiffres montrent le plus faible volume d’exportations de produits laitiers des États-Unis en cinq ans. Les exportations laitières des États-Unis ont chuté de 24% à 377.3m $ en Novembre 2015, contre le même mois en 2014. Bien que légèrement meilleures pour la poudre de lait écrémé (SMP) et le lactose, les exportations de fromage et de lactosérum ont baissé sensiblement, tandis que les ventes de beurre et poudre de lait entier (WMP) ont chuté pour atteindre des niveaux négligeables. Le pays a exporté seulement 1,125 t de beurre en Novembre, en baisse de 59%. Les exportations vers le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord ont chuté à 26 t par mois, contre 5 000 t en moyenne pour les deux années précédentes.
Cedric's insight:
Et aussi : US dairy exports back 24% on 2014 levels Sur https://www.agriland.ie/farming-news/us-dairy-exports-back-24-on-2014-levels/
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4 filiales régionales de l’Iran Dairy Industries Company (IDIC, entreprise laitière nationale) - Pegah Fars, Pegah Téhéran, Pegah Golpayegan et Pegah Ispahan – vont pouvoir commencer à exporter leurs produits laitiers en Russie à compter du 20 Janvier. Les produits qui seront exportés en Russie vont inclure des produits laitiers en poudre, différents types de fromages et certains articles stérilisés. « La Russie est un marché important et une grande opportunité pour les entreprises iraniennes, suite aux sanctions contre le pays », a déclaré Ali Roomi, Directeur Général d’IDIC. La Russie est à la recherche de nouvelles sources de produits laitiers après l'interdiction des importations en provenance d'Europe, des États-Unis, Canada et Australie. L’organe de surveillance agricole de la Russie, Rosselkhoznadzor, a dit que l’inspection qualité était réussie…
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Et aussi : Russia gives green light for Iranian dairy factories to export products La Russie importe environ 4 milliards $ de produits laitiers chaque année et 1,5 milliard $ comprend divers types de fromage. Kaveh Zargaran, membre de la chambre iranienne de commerce, des industries, des mines et de l'agriculture, a déclaré que l'Iran est capable de fournir tous ces produits. Selon Zargaran, le chiffre annuel des exportations laitières de l'Iran se situe à 670 millions $ et si l'Iran parvient à entrer sur le marché russe des produits laitiers, le chiffre va augmenter considérablement. L'Iran a exporté des produits d'une valeur de 151 millions $ à la Russie entre Mars et Octobre l'année dernière. La part des produits agricoles est d’environ 80 M $. En d'autres termes, les produits agricoles représentent plus de la moitié de la valeur des exportations de l'Iran vers la Russie.
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Il fallait agir et c’est ce qu’ont fait des représentants du secteur laitier dans les gouvernorats du Nord-Ouest, dimanche 3 janvier 2016 : ils sont allés chez notre voisin le plus proche, l’Algérie, précisément à la Wilaya d’El Taref, en Algérie.
Cedric's insight:
Et aussi : Algérie : Les distributeurs en grève, tension sur le lait sur http://www.infosoir.com/actualite/8060-les-distributeurs-en-greve-tension-sur-le-lait.html
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Abdelmonem Bakari, attaché de presse auprès du ministère de l‘Agriculture, a indiqué que le ministre de l’Agriculture, a donné les instructions pour faciliter et concrétiser les...
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Autre facture d’importation en baisse : la poudre de lait qui a chuté de plus de 45% sur les 11 premiers mois de l’année 2015 par rapport à la même période de 2014. Cette baisse est beaucoup plus due à l’effondrement du prix de la poudre du lait sur le marché international car, en volume, les quantités importées ont baissé de seulement 5%. Ainsi, l’Algérie a importé pour un milliard de dollars de lait en poudre, crèmes de lait et matières grasses laitières utilisées comme intrants dans la filière laitière. Durant la même période de 2014, l’Algérie a importé pour 1,8 milliard de dollars. Autrement dit, presque le double. La qualité n’a pas beaucoup changé. En 2014, il y a eu 370.602 tonnes importées et en 2015 351.728 tonnes. Pour mieux expliquer cette baisse, il est nécessaire de rappeler les cours mondiaux des poudres de lait qui ont reculé de 43,5% sur les 10 premiers mois de 2015 par rapport à la même période de 2014...
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Se dirige t-on vers une lutte entre normands et bretons pour l'exportation de lait en Chine ?
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L'élimination des subventions pour les exportations agricoles est un moment décisif pour le commerce mondial qui aidera à stimuler les prix laitiers, dit Fonterra. La conférence ministérielle de l’OMC tenue au Kenya à Nairobi permettra d'éliminer les subventions aux exportations agricoles. John Wilson, le président de Fonterra, a déclaré que cette percée historique est une bonne nouvelle pour les producteurs laitiers. « Pendant des années, l'utilisation - ou même la menace - des subventions à l'exportation a entraîné les prix mondiaux des produits laitiers en dessous de leur véritable niveau, réduisant les revenus des éleveurs laitiers », a déclaré M. Wilson. Une enquête de l'Institut Worldwatch l'année dernière a montré que les 21 premiers pays producteurs de denrées alimentaires ont versé un montant estimé à 486 000 000 000 $ (722 G $) en subventions agricoles en 2012. La Chine a versé 165 milliards $ (245 milliards $) en 2012 ; l'Union européenne, plus de 100 milliards $ US (149 milliards $) et les Etats-Unis 30 milliards de $ ( 45 milliards de $).
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Selon un rapport de l'OCDE sur la période 2008-10, la Nouvelle-Zélande avait le niveau le plus bas de soutien aux revenus agricoles, à seulement 1% du revenu agricole, suivie par l'Australie (3%) et le Chili (4%). Les États-Unis (9%), Israël et le Mexique (12%), le Canada (16%) étaient également en dessous de la moyenne de l'OCDE. Le soutien aux agriculteurs a été relativement élevé en Corée (47%), l'Islande (48%), le Japon (49%), la Suisse (56%) et la Norvège (60%).
ou http://thevillagessuntimes.com/2015/12/20/wto-backs-agricultural-reforms-split-on-doha/
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Cette rubrique met à disposition des professionnels intéressés les principales informations réglementaires relatives à l’exportation vers certains pays tiers. Les textes réglementaires sont en version française, anglaise et/ou langue nationale et concernent l'hygiène et la sécurité alimentaire et l'inspection vétérinaire. Ces documents servent de base à la constitution du dossier d’agrément pour l’exportation de certains produits agro-alimentaires vers différents pays tiers. Ils permettent aux opérateurs comme aux services de contrôles de pouvoir s’y référer pour vérifier la conformité de l’établissement et ses productions aux conditions requises pour l’exportation vers le pays tiers ciblé.
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Chine : Règles de mise en œuvre de Loi de Sécurité alimentaire
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Des statistiques récentes montrent que l’exportation danoise de produits alimentaires biologiques a connu une augmentation de 12% en 2014. Les marchés étrangers se montrent de plus en plus gourmands de produits biologiques danois et l’exportation a ainsi doublé depuis 2010. Les produits laitiers et les œufs sont les catégories de produits biologiques qui connaissent le plus fort succès avec 51% de la totalité de l’exportation de produits alimentaires bio en 2014...
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