Les volumes d’aliments composés pour bovins accusent un net recul entre juillet 2015 et juillet 2016 : 24,1 % pour les vaches laitières et 20,1 % pour les autres bovins.
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Les volumes d’aliments composés pour bovins accusent un net recul entre juillet 2015 et juillet 2016 : 24,1 % pour les vaches laitières et 20,1 % pour les autres bovins. No comment yet.
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A part les céréales, tous les prix alimentaires sont en hausse, constate la FAO. Mais on est loin des niveaux de 2011. Même si les stocks européens continuent de peser sur les prix de la poudre de lait écrémé, la poudre de lait entier, le fromage et le beurre renchérissent, face à une collecte historiquement faible en Nouvelle-Zélande et à une diminution de la production européenne.
Cedric's insight:
+ 14% sur les prix des produits laitiers en un an...
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Associée au coût alimentaire, l’efficacité alimentaire est un critère pertinent pour piloter la ration. Elle traduit la capacité de la vache à transformer les aliments en lait.
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À l'intercuma du Lagast dans l'Aveyron, trente éleveurs fabriquent depuis sept ans l'aliment à la ferme avec un ensemble mobile. Ils font construire une nouvelle machine pour mieux répondre à leurs attentes...
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De la prairie en passant par l'herbe, les cultures de dérobées ou les sursemis de prairie et enfin le Ray-Grass d'Italie vous saurez tout pour faire face aux aléas climatiques et répondre à vos besoins en fourrage même cet hiver !
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Les fabricants d’aliment s’adaptent à la demande de plus en plus diversifiée du monde de l’élevage. Plus que jamais, l’innovation est au cœur du métier.
« Notre métier va changer », assure Stéphane Deleau, (Valorex), intervenant à l’assemblée générale de Nutrinoë sur le volet de la nutrition bovine. « La production laitière se concentre ; dans une dizaine d’années, les laiteries collecteront plus d’un million de litres, en moyenne, par exploitation. La productivité par vache va augmenter grâce à des fourrages de qualité qu’il faudra complémenter au plus juste ». Il mise sur la diversification de la filière végétale locale pour produire différentes graines qui permettront de répondre aux besoins de segmentation du lait (produits santé, nutrition…). « Nous devrons travailler sur la qualité des aliments composés pour répondre aux cahiers des charges des laiteries ».
Cedric's insight:
L’Allemagne reste le 1er fabricant d’aliments en Europe. Sa production baisse légèrement en 2015 en raison de la crise laitière. Elle est talonnée par l’Espagne, en progression de plus de 3 % grâce aux filières porc et volaille, très dynamiques.
La France (3e) diminue légèrement malgré un sursaut en aliments poulets. Deux pays progressent fortement en volumes d’aliments : la Pologne grâce à sa filière volaille et l’Irlande, tirée par sa production laitière. Les premières tendances de 2016 (à fin mai) en Bretagne sont à la baisse dans toutes les productions, surtout en aliments bovins (- 9 %)...
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Exportatrice nette de produits alimentaires il y a encore une quinzaine d’années, l'Afrique importe aujourd’hui annuellement pour 35 milliards de dollars, soit plus de 31 milliards d’euros au cours actuel. Et en volume, ses importations sont supérieures de 30% à ses exportations... Le continent possède aujourd'hui 75% de la superficie agricole non encore exploitée dans le monde, soit 750 millions d'hectares sur 1 milliard d'hectares. Les potentialités du secteur agro-industriel du continent, c'était le thème de la conférence annuelle... Via JJ Grodent
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Dans leur lettre de conjoncture diffusée le 15 juin 2016, Coop de France nutrition animale et le Snia (Syndicat national de l’alimentation animale) constatent une baisse de 9,3 % de la production d’aliments composés en avril, à 1,54 million de tonnes
Cedric's insight:
« Les aliments bovins restent la catégorie la plus touchée avec une chute de près de 13,8 %, principalement du fait de la forte baisse des aliments pour vaches laitières (-16,5 %), mais aussi par un transfert de volumes vers le mash (+5,6 %), précise la note.
Sans surprise dans ce contexte de crise, cette tendance est similaire sur les quatre premiers mois de 2016, avec un recul 5,5 % de la production d’aliments. Là encore, ce sont les ruminants qui creusent le trou : plus de 40 % de la baisse « résulte du recul de la demande en ruminants et plus particulièrement en vache laitière (-14,8 %).
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Pour nous, un toaster évoque simplement la perspective de tartines bien grillées le matin… Pour nos agriculteurs, c’est un outil qui porte la promesse de plus d’autonomie et de pratiques agricoles plus respectueuses de l’environnement et de la santé des consommateurs.
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Cette aide est attribuée aux parcelles implantées en légumineuses fourragères (luzerne, trèfle, pois, lupin, féverole...), pures ou en mélange (à condition que les légumineuses soient majoritaires au semis).
L'enveloppe de 95 M€ dédiée à cette aide permet d'attribuer jusqu'à 200 euros par hectare aidé.
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Depuis la fin du quota matière grasse, améliorer la recette laitière en recherchant davantage de TB peut se révéler une piste intéressante économiquement.
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En Loire-Atlantique, la famille Bakker affine son système de polyculture-élevage pour produire du lait à moindre coût et des céréales en semis direct. Elle n’achète pas de tourteau pour nourrir ses 150 vaches laitières et mise sur l’enrubannage de méteil de protéagineux et de fourrages riches en protéines.
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Si des Chinois investissent en Bretagne, comme Synutra, fabricant de poudre de lait à Carhaix, des industriels bretons savent aussi partir à la conquête des énormes potentialités du marché agroalimentaire chinois. « Si on ne va pas à la Chine, c'est la Chine qui viendra |
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Face au robot d'alimentation qui réduit l'astreinte sans réellement la supprimer, la mélangeuse automotrice en individuel fait valoir son débit de chantier.
Cedric's insight:
Suite aux premières enquêtes réalisées en Basse-Normandie par les chambres d'agriculture auprès d'éleveurs équipés de robots depuis deux ou trois ans, un conseiller machinisme de la Manche, confirme :
« sur l'échantillon analysé, le temps moyen quotidien accordé à l'alimentation varie de trois quarts d'heure à une heure. Pour éviter les échauffements, le désilage en cube est généralement réalisé tous les deux jours. La surveillance, l'entretien de la cuisine et le paramétrage de l'installation prennent aussi quelques minutes quotidiennes ». Face à ce constat, le conseiller estime que l'alternative de l'automotrice en individuel peut s'avérer tout aussi efficace pour limiter le besoin de main-d'oeuvre. « Avec une machine de 12 m3, on compte environ 70 vaches laitières au tour, sachant qu'avec une bonne organisation, on atteint 15 à 20 minutes par tour. »
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Dans la cadre de l'activité du Comité National des Coproduits, 8 nouvelles synthèses techniques ont été réalisées en collaboration avec l'Association Française de Zootechnie.
Les données sont issues de la littérature scientifique internationale et sont compilées à partir des travaux de Feedipedia, une encyclopédie en ligne des aliments pour animaux (www.feedipedia.org). Les nouvelles synthèses portent sur les coproduits suivants : - Corn gluten feed NEW - Drêches de brasserie NEW - Drêches de maïs de distillerie NEW - Marc de tomate, pelures et graines NEW - Tourteau de coprah NEW - Tourteau de coton NEW - Tourteau de palmiste NEW - Tourteau de tournesol NEW
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La majorité des éleveurs semble avoir opté pour des stratégies alimentaires plus économes (augmentation du pâturage, ajuster les achats de concentrés,…). 45 % d’entre eux sont prêts à faire baisser le niveau de production de leurs vaches pour dépenser moins. 14 % sont parvenus à baisser le coût de leur ration tout en maintenant la production individuelle. Tandis que 8 % ont fait le choix d’augmenter la production par vache par l’alimentation.
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L’autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) recommande ce 10 août 2016, de réduire la concentration maximale en cuivre dans l’alimentation des porcelets, des bovins et des vaches laitières. Et d’augmenter celle dans les aliments destinés aux chèvres. L’enjeu est de réduire la quantité de cuivre libérée dans l’environnement, ce qui, selon les experts, pourrait jouer un rôle dans la lutte contre la résistance aux antibiotiques.
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Certains évènements comme les transitions et déséquilibres alimentaires, les cétoses, ou les œdèmes mammaires peuvent fragiliser les défenses immunitaires des vaches, modifier la structure des bouses et du comportement et au final provoquer des mammites. De même, certains micronutriments comme les vitamines E et A, le ß-carotène, le cuivre, le sélénium, le zinc ou le fer sont impliqués dans le bon fonctionnement du système immunitaire.
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idele
Nous voici déjà début juillet et le printemps cette année a été particulièrement capricieux avec, dans bon nombre de régions, des pluies anormalement abondantes qui ont rendu délicates la mise en œuvre du pâturage et la récolte des ensilages d’herbe. Pour les éleveurs laitiers, ces difficultés surviennent dans un contexte laitier déprimé avec des prix bas depuis plus d’un an. Face à cette situation de crise il est important de bien discerner les priorités en matière de conduite alimentaire du troupeau pour essayer de dégager le meilleur revenu possible de la production de lait.
Le bilan fourrager : un outil pour anticiper
Alimentation des vaches laitières : bien maitriser les fondamentaux
Le bon usage des concentrés de production en complément de rations équilibrées à base d'herbe Via IDELE Institut de l'Elevage
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Cette consommation est notamment marquée par une augmentation de la demande de fromages et de matières grasses d’origine animale. Les 320 millions d'habitants aux États-Unis consomment ainsi en moyenne 270 kg équivalent lait par an, soit une hausse de 2 % de la consommation par habitant. Cette dynamique interne soutient le prix du lait dans le pays autour de 377 US $, soit un niveau moins bas que celui de ses concurrents. Mais la production n’a pas attendu cette hausse de consommation pour augmenter de façon régulière pour atteindre + 20 % en dix ans. Elle s’appuie notamment sur une hausse de 1,4 % de la productivité des vaches dont le rendement est désormais de 10 160 kg/vache.
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La production des États-Unis moins compétitive :
La production dans l’ouest du pays fait face à une quatrième année consécutive de sécheresse. La Californie, premier État producteur de lait, est particulièrement touchée. Les experts constatent également un déplacement structurel de la production laitière vers le Nord-Est et le Mid-West. La marge sur coût alimentaire a ainsi reculé aux États-Unis pour atteindre 183 US $ soit une baisse de 38 % par rapport à l’année dernière (à relativiser car elle était haute en 2014, supérieure à 300 US $). Le prix du lait est monté très haut en 2014 et n'a chuté que très tardivement en 2014 puis en 2015. Associés à la force du dollar, les États-Unis ont perdu en compétitivité. Le pays se recentre sur son marché intérieur mais aussi sur les marchés américains du nord au sud, qui représente désormais 44 % de ses exportations contre 38 % l’année dernière.
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Alors que le prix du lait est une composante importante de la rentabilité, ce n’est pas le seul facteur de ce qui reste dans le carnet de chèques à la fin du mois. L'analyse des cinq principaux États laitiers américains au cours de la dernière décennie montre que les prix des aliments et du lait par vache sont des éléments clés dans l'équation de la rentabilité.
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Les Espagnols et même les Polonais rêveraient du coût alimentaire des élevages bretons. Alors pourquoi le lait de chez nous n’est pas toujours concurrentiel ? Nourrir une vache en Espagne coûte 2 fois plus cher qu’en Bretagne. « 4,77 € par jour en Catalogne », … La Bretagne qui part gagnante sur le poste alimentaire perd son avance dans « les charges de mécanisation qui sont beaucoup plus élevées que dans les autres pays »
Cedric's insight:
"En Espagne, la main-d’œuvre salariée de base payée 800-1 000 €/mois donne un avantage compétitif aux éleveurs, mais ces derniers doivent composer avec un prix du foncier à plus de 24 000 €/ha en Catalogne. « Aux États-Unis, l’alimentation et la main-d’œuvre représentent l’essentiel du coût de production », fait remarquer Aurora Villaroël, vétérinaire spécialiste de l’élevage laitier. Et d’indiquer : « Car chez nous, toute la main-d’œuvre est réellement payée, y compris l’enfant qui donne le biberon aux veaux. C’est pourquoi, je dis souvent qu’il ne faut pas seulement comparer le prix du lait entre pays, mais bien intégrer l’ensemble des coûts de production."
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Les différents essais et simulations menés sur l'introduction des légumineuses dans les systèmes fourragers concluent à une incidence neutre à positive...
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Arla va indemniser les agriculteurs qui se convertiront à l'alimentation sans OGM. La compensation pourrait être de 1c / kg de lait. Cette décision a été prise par le conseil d'administration d’Arla, suite aux développements récents en Allemagne, où les détaillants sont de plus en plus exigeants sur la provenance des produits laitiers et sont prêts à payer une prime de prix si les vaches ont été nourries sans aliments OGM. Arla estime que la tendance est susceptible de se propager à d'autres marchés et veut saisir cette occasion immédiatement pour ajouter de la valeur au lait de ses agriculteurs. Arla est bien préparé pour répondre à la demande croissante des détaillants transeuropéens pour l'alimentation sans OGM. Arla possède la plus grande usine de lait biologique dans le monde, dont l'alimentation est sans OGM. « Nos agriculteurs suédois ont toujours utilisé l'alimentation sans OGM. Cela signifie que près de 20% du pool de lait Arla répond déjà à cette demande du marché. » La demande immédiate d'Arla est jusqu'à 1 milliard de kg de lait supplémentaire au cours des 12 prochains mois et il devrait être en mesure de payer un 1c / kg de lait supplémentaire. Les aliments génétiquement modifiés actuellement utilisées sont le plus souvent limités au soja qui dans les exploitations couvre entre 0-10% du volume total de la charge.
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FranceTVInfo - En plateau, le docteur Jean-Daniel Flaysakier revient sur l'importance de consommer des produits laitiers de façon quotidienne.
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