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Le fond de roulement à quoi cela sert-il ? Quelle est son importance dans la viabilité de votre exploitation ? Voici une vidéo présentant l'avis d'un expert en la matière 
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Les producteurs laitiers australiens auront bientôt un nouveau lien direct vers le marché du lait infantile asiatique, grâce à une nouvelle usine de produits laitiers à côté de Brisbane. Le projet Toowoomba de 35 millions $est une joint-venture entre ‘Au Lait Australia’ et ‘Nature One Dairy’. L'installation fabriquera jusqu'à 30 millions de boîtes de préparation pour nourrissons chaque année, ainsi que du lait frais, du lait UHT et d'autres produits laitiers.
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Les retours d’expérience montrent des rentabilités variables et souvent inférieures au prévisionnel. L’injection semble plus prometteuse que la cogénération. L’intérêt de la méthanisation à la ferme n’est plus à démontrer, Les ministères avaient affiché un objectif ambitieux de 1 000 méthaniseurs à horizon 2020. Mais l’arrêté sur le tarif de l’électricité concernant les nouvelles unités de méthanisation n’est toujours pas paru à ce jour...
Cedric's insight:
SOMMAIRE DU DOSSIER
Les points de vigilance pour assurer la rentabilité Les avantages du petit collectif L'injection est prometteuse Petite unité et emploi des effluents d'élevage sont favorisés en cogénération La petite méthanisation à l’épreuve de la pratique Une unité à la ferme pour méthaniser le lisier Deux unités collectives autonomes en substrats Une unité avec injection à quatre élevages
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Une étude portant sur le top 20 des coopératives agricoles françaises prévoit un recul de leur chiffre d’affaires en 2016, après des baisses en 2014 et 2015. Pour les auteurs, la course à la taille critique a un coût qui va obliger les coopératives à faire évoluer leurs statuts juridiques pour intégrer les financeurs privés. Les auteurs estiment par ailleurs qu’elles doivent aller chercher la croissance à l’international, notamment par des implantations directes.
Cedric's insight:
Les coopératives cherchent désormais du soutien du côté de l’investissement privé. Cela va les amener à « faire évoluer leurs statuts juridiques pour intégrer ce mode de financement, tout en préservant les fondements de leur modèle ».
Jusqu’ici peu plébiscité par les groupes coopératifs français, en comparaison à d’autres géants du secteur en Europe, l’international séduit de plus en plus. C’est l’Asie, et en particulier la Chine, qui remporte les suffrages, notamment dans le secteur laitier. « Les stratégies d’implantation directe des groupes français tendent elles aussi à se développer, constate l’étude. Le modèle reposant uniquement sur des exportations depuis la France risque en effet d’atteindre ses limites à court terme, à cause des coûts liés à la logistique ou des mesures de protectionnisme. » Le groupe coopératif Agrial s’est, lui, ouvert les portes des marchés néerlandais, marocains et sénégalais avec le rachat de Van Oers United en 2015. L’internationalisation des groupes coopératifs français n’en est qu’à ses prémices.
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Si l’Euro de football ou le Brexit monopolisent l’actualité, la crise agricole n’est toujours pas résolue. Et pourtant, les immatriculations et donc les ventes de tracteurs agricoles neufs ont progressé de 26,4 % sur les cinq premiers mois de 2016 par rapport à la même période en 2015....
Via Agriculture Nouvelle
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Fortement touchés par la crise, les éleveurs ont été 10 000 à demander une aide à l'investissement auprès du gouvernement, dans le cadre du plan de soutien...
Cedric's insight:
« Début juin 2016, 10 000 dossiers d'aide à l'investissement dans les exploitations agricoles ont été engagés pour un total de 320 millions d'euros d'engagements et 11 millions ont déjà été versés aux agriculteurs ». A titre de comparaison, de 2009 à 2013, le niveau d'engagement annuel était de 100 millions d'euros.
Grâce à un effet de levier, « cet effort doit permettre de générer plus d'un milliard d'euros d'investissements par an »...
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Le groupe coopératif Even ne dévie pas son cap vers l’investissement, l’innovation et l’internationalisation. Tout en soutenant ses producteurs en proie à une crise « longue et violente, mais pas durable », exprime son directeur général, Christian Couilleau.
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La 1ère coopérative laitière irlandaise innove une nouvelle fois en termes de gestion de la volatilité. Après avoir lancé les contrats à prix fixés et indexés sur l’évolution des prix des charges, Glanbia s’emploie désormais à améliorer le financement des exploitations. Elle propose à ses éleveurs un dispositif de financement novateur. Dénommé MilkFlex Fund, ce fonds sera doté de 100 M€.
Cedric's insight:
Des prêts de 25 000 € à 300 000 € seront proposés sur une durée de 8 à 9 ans. Les remboursements seront modulés en fonction du contexte économique.
En cas de chute du prix du lait sous les 280 €/1000 l trois mois de suite, les éleveurs pourront réduire les remboursements. Ils seront suspendus pour six mois en cas de prix inférieur à 260 € pendant trois mois consécutifs ou quand un problème sanitaire conduit à une baisse de la production de l’exploitation. Les remboursements seront augmentés lorsque le prix dépassera 340 € pendant trois mois consécutifs. Le taux d’intérêt sera à 3,75 % au-dessus du taux Euribor (taux d’intérêt de l’euro) avec un plancher à 0. Il n’y aura aucun remboursement de novembre à février, lors du creux de production laitière. Ce dispositif entre en application en ce moment (mai 2016). Il sera financé par le fonds d’investissement stratégique irlandais, la Rabobank, la banque Finance Ireland et Glanbia.
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L'Enquête nationale de Teagasc montre qu'en 2015 les investissements dans les exploitations agricoles à travers l'Irlande ont augmenté de 12% par rapport à 2014, avec un investissement plus élevé dans les fermes laitières, à une moyenne de € 20.082 par ferme. Les producteurs laitiers investissent plus de 20.000 €, mais il est intéressant de noter que seulement la moitié ont des dettes liées à l'agriculture. La moyenne des emprunts par exploitation en 2015 a baissé de 6%, à € 20.529 (de nombreuses fermes ont choisi de financer de nouveaux investissements de fonds de roulement en 2015 plutôt que d'augmenter les emprunts). , les auteurs de l'étude notent. L'enquête note que le revenu agricole continue d'être "fortement tributaire" des paiements directs. En 2015, le paiement direct total moyen était de € 17.000, contre € 18.859 en 2014, ce qui représentait 64% du revenu en moyenne.
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Les travaux de terrassement de l'usine de Méautis ont débuté en novembre, le début de la construction de l’usine en avril.
Cedric's insight:
L’objectif officiel reste un démarrage de la production pour avril 2017. Ce sera donc du lait infantile en briquettes pour le compte du groupe chinois Synutra au rythme de 700 millions de briquettes par an. Le contrat a été signé pour 10 ans, sans exclusivité pour Synutra
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Laïta à Créhen. Une tour de 47 mètres sort de terre : Elle permettra de produire 30.000 tonnes de poudre de lait infantile.
La coopérative laitière Laïta investit 60 millions d’euros sur son site créhennais pour produire de la poudre de lait infantile à destination du marché asiatique. Une nouvelle tour de séchage, haute de 47 mètres, est en train de sortir de terre. Elle permettra de valoriser 100 millions de litres de lait supplémentaires. Son démarrage est prévu en janvier 2017, mais le recrutement de 90 personnes a déjà commencé.
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Des investissements pour un montant d’environ 1,3 milliard EUR sont à prévoir dans les 5 prochaines années. D’après les analystes, ces investissements devraient principalement servir à créer des infrastructures agricoles pour la collecte et le stockage du lait. Les principaux moteurs de cette croissance sont les produits à valeur ajoutée tels que le lait aromatisé, les yaourts et le fromage. Ce segment suit une croissance de plus de 20% par an, contre 18% pour les produits laitiers classiques. Les entreprises indiennes ou étrangères devront s’approvisionner avec du lait de qualité, défi majeur pour le pays.
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Mlekpol a investi 93 M EUR dans la construction d’une tour de séchage localisée dans un de ses sites à Mragowo au nord-est de la Pologne. Le site avec la capacité de transformation de 2 millions de litres par jour, servira à la production de lactosérum, lactosérum en poudre et protéines de lait. L’investissement dont l’achèvement est prévu pour l’année 2018 permettra le recrutement de 100 nouveau salariés. Mlekpol est la plus grande coopérative laitière en Pologne. Dans ses 11 sites, elle transforme 1,5 milliards de lait ce qui constitue 14% de la collecte total du pays. Mlekpol emploie 2 300 salariés et collabore avec 14 000 éleveurs.
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Kwality Ltd, la plus grande entreprise laitière privée de l'Inde, a déclaré mercredi que le fonds d'investissement américain KKR a accepté d'investir jusqu'à Rs.520 crore (environ US$ 78 millions) dans l'entreprise. Kwality a enregistré des ventes nettes consolidées de Rs.6,416 crore (environ US$ 964 millions) dans l'exercice terminé le 31 Mars. Basée à Delhi, l’entreprise gagne plus de 70% de son chiffre d'affaires en vendant des produits laitiers à des entreprises telles que Hindustan Unilever Ltd, ITC Ltd et Britannia Industries Ltd. La société utilisera l'argent pour renforcer sa propre marque et se développer dans le commerce de détail plus rentable.
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Et aussi : Dominée par des coopératives telles que Amul et Mother Dairy, l'industrie laitière en Inde a récemment attiré des majors mondiales comme Lactalis qui a acquis Anik Industries et Tirumala, 2è plus grande laiterie de l'Inde du Sud.
Sur http://economictimes.indiatimes.com/industry/banking/finance/kkr-commits-to-invest-rs-520-crore-in-dairy-company-kwality-ltd/articleshow/53183228.cms
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Le plus grand groupe coopératif laitier de l’île a lancé début juin un programme de financement sous forme de prêts très avantageux pour aider ses 4 800 adhérents à faire face à la crise laitière.
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Contrat indexé sur les coûts de production :
Le programme Milk Flex est un levier complémentaire au contrat lancé par Glanbia en 2011 pour partager le risque entre les producteurs, leur coopérative et ses clients. Le volume contractualisé ne peut dépasser 30 % des livraisons de l’élevage. Ce contrat d’une durée de trois ans vise à garantir une marge aux producteurs au-dessus de leur coût de production. Et chaque année un nouveau contrat leur est proposé. En 2016, 60 % des adhérents en ont souscrit un, soit le double par rapport à 2011. Entre janvier et avril 2016, le prix du lait contractualisé a été supérieur : plus de 300 euros/1 000 l contre 237 euros/1 000 l. L’intérêt de ce type de contrat a d’ailleurs fait des émules. D’autres coopératives irlandaises ont emboîté le pas et proposent désormais un contrat à marge garantie à leurs adhérents.
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Les producteurs laitiers ont besoin de renforcer leurs structures commerciales, de développer des systèmes de production flexibles qui peuvent facilement réduire les coûts lorsque les prix baissent, selon un nouveau rapport de Rabobank. Les agriculteurs devront prendre des décisions difficiles, prudentes et réfléchies dans le prochain cycle à la hausse, plutôt que d'augmenter les investissements et les dépenses. Le secteur laitier doit prévoir la volatilité future inévitable. « Les producteurs laitiers néo-zélandais doivent avoir le meilleur coût parmi leurs pairs mondiaux afin d'être en avance sur la courbe des prix dans les bons et les mauvais moments ».
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L'industrie laitière de la Nouvelle-Zélande a un plus grand besoin de renforcer la résilience par rapport aux autres pays producteurs de lait, en raison de son exposition importante aux marchés mondiaux et la volatilité des prix qui en résulte, selon le rapport.
« Avec une capacité minimale de vente sur les marchés locaux plus stables et souvent plus élevés par rapport aux autres pays exportateurs, l'industrie néo-zélandaise est en grande partie à la merci des influences du marché mondial et donc soumise à une plus grande exposition à la volatilité. » «Parce que la majorité des produits laitiers produite en Nouvelle-Zélande est exportée, les chocs positifs et négatifs qui affectent l'industrie laitière mondiale se font sentir plus vivement ici ».
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Le groupe grec Olympus, qui possède une usine laitière en Roumanie, prévoit d'investir 15-20 millions d'euros au cours des deux prochaines années dans cette usine. Olympus a déjà investi plus de 70 millions d'euros depuis son entrée dans le marché local en 1999.
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Dairy Milk Brasov, la filiale locale du groupe Olympus, a affiché un chiffre d'affaires de 76 millions d'euros l'an dernier, en hausse de 11% par rapport à 2014. La société prévoit une augmentation de 10% du chiffre d'affaires cette année. Environ 60% de la production de l'usine est exportée alors que 40% sont vendus sur le marché local.
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Avec une augmentation de ses parts de marché dans la filière yaourt et glace, Kri-Kri est maintenant le troisième opérateur grec pour ces produits. Pour accompagner son développement, la firme de Serres, s’appuie essentiellement sur un renforcement des marchés locaux et sur ces collaborations internationales. D’ici à 2017, elle prévoit d’investir de nouveaux 3 M EUR qui viennent s’ajouter aux 30 M EUR déjà réalisés depuis 3 ans. Ce nouvel investissement sera consacré à l’augmentation de la capacité de production de yaourt grâce aux dernières technologies employées dans le secteur.
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Kri-Kri est présente dans plus de 20 pays
Ses principaux marchés à l’export sont l’Allemagne, les Pays-Bas, la Belgique, l’Italie et le R.Uni. Les estimations du CA export de l’entreprise pour 2016 devraient atteindre plus de 20% du CA total.
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Trois études : - La transformation laitière et ses évolutions depuis 2008 (FranceAgriMer) - Investissement et productivité du travail en élevage laitier (Idele) - La dynamique des AOP laitières
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Le groupe Charoen Pokphand, conglomérat thaïlandais, va investir 1 milliard USD (880 millions EUR ) en collaboration avec notamment l’entité chinoise Banner Infant Dairy Products, afin de développer le plus grand complexe laitier de la région de Ryazan, au Sud-est de Moscou.
La capacité de production du site devrait atteindre 400 000 tonnes de produits finis par an et proposer du lait UHT et pasteurisé ainsi que du fromage et des produits à base de lait fermenté.
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Danone a annoncé mardi prévoir une accélération de sa marge en 2016, préférant y allouer une partie de ses investissements plutôt que soutenir à tout prix sa croissance dans plusieurs pays émergents, notamment en Chine.
Le groupe agroalimentaire vise désormais une amélioration de sa marge opérationnelle courante comprise entre 50 et 60 points de base en données comparables, alors qu'il visait jusqu'ici une "progression solide". L'an dernier, le groupe avait affiché une hausse de 17 points de base de sa marge.
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Le plus grand groupe agro-industriel de Thaïlande Charoen Pokphand (CP) et le Chinois Banner Dairy investissent 1 milliard $ à Riazan en Russie. L'installation a l'intention de produire 400 mille tonnes de produits laitiers par an. Elle comprendra 80.000 vaches laitières et 40.000-60.000 hectares de céréales, ainsi que d'une usine d'alimentation. Le projet devrait être opérationnel dans les 3-5 ans et serait le plus grand producteur de lait cru en Russie avec une capacité de 300,000-350,000 tonnes par an. Fondé en 1921, CP Group est l'un des plus grands conglomérats du monde avec des investissements dans plus de 20 pays. La société Charoen Pokphand Foods est l'un des plus grands producteurs d'aliments pour animaux avec des entreprises au Cambodge, en Chine, en Inde, en Indonésie, la Malaisie, la Birmanie, la Turquie, Singapour, Vietnam, Taiwan et des États-Unis.
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Les sanctions alimentaires ne font pas du bien à ce secteur en Europe. Or, les Italiens, notamment les producteurs de fromage, cherchent tellement à retrouver le marché russe qu’ils sont prêts à emporter leurs chaînes de production en Russie.
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30 projets russo-italiens conjoints sur la production de fromage seront lancés prochainement en Russie.
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Face à la crise, le premier groupe coopératif breton soutient ses adhérents. Et prépare l'avenir : investissements, innovations et brevets internationaux.
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Deux coopératives laitières, Arla et Dairy Farmers of America (DFA), envisagent d'ouvrir une nouvelle usine de fromage aux États-Unis, dans la partie occidentale de l'Etat de New York. Elle se concentrera sur la production de fromage cheddar, qui représente un tiers du fromage consommé aux Etats-Unis. La coopérative danoise va investir 20% du capital requis pour la joint-venture (USD $ 11,6 millions). Arla sera également propriétaire de 20% de l'activité, DFA possédera 70% et les 10% restants appartenant aux huit agriculteurs qui fournissent le lait. Arla et DFA veulent commencer la production à l'automne 2017, après la construction du site. L'année dernière, Arla Foods USA avait un chiffre d'affaires de 123 M € (139.99 USD $), en hausse de 14% par rapport à 2014. Avec 14.000 membres et 9.000 fermes à travers l'Amérique, DFA est l'un des plus divers fabricants de produits laitiers, des composants alimentaires et les ingrédients du pays. Les ventes nettes de DFA en 2015 ont atteint 13,8 milliards $, soit une baisse de 17,9 milliards $ par rapport à l'année précédente - une baisse entraînée par les prix du lait plus faibles.
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