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Il était une fois, une ferme reconnue pour son savoir-faire et le prestige de ses produits laitiers. Cette ferme, c’est celle des Peupliers, située à Flipou. Au fil des années, cette dernière a su prospérer et se renouveler au fil du temps. Aujourd’hui dirigée par les frères Chedru, la réussite de l’entreprise repose, notamment, sur ses 200 vaches qui produisent le yaourt « So Good » dont tout le monde raffole. Engagée dans l’innovation et la préservation des savoir-faire, l’exploitation porte une vision tournée vers l’humain…
À la Ferme des Peupliers on gère l’intégralité de la chaîne de production, du champ à la cuillère. Un process complet réalisé par une équipe de 65 collaborateurs permanents qui exercent différents métiers : culture, élevage, transformation, logistique et fonctions supports comme l’administratif, le commercial ou la communication…
« Nous avons la chance en Lyons Andelle d’avoir un territoire dynamique et de valoriser au maximum l’économie circulaire et les circuits courts. Aujourd’hui sur l’intégralité de nos projets d’investissement, nous essayons de travailler avec des entreprises locales. »…
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Les revenus en élevage bovin lait et viande en Normandie
Une volatilité des revenus qui s’accroît avec le temps et des écarts de revenus marqués selon la diversité des productions. En moyenne, les systèmes laitiers spécialisés en AB ont un niveau de revenu par unité de travail proche des conventionnels.
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La Cour des comptes souhaite une « réduction importante du cheptel bovin » pour lutter contre la pollution. De quoi faire bondir Antoine Thibault, agriculteur à Cintray (Eure). Qu’il soit content ou mécontent, il le dit souvent sur Twitter. Non pas qu’il aime étaler sa vie sur le réseau social, mais l’agriculteur laitier a compris l’importance de communiquer sur un métier qui peine à attirer les jeunes dans les fermes…
Ce qui l’a fait notamment bondir, c’est ce triste constat : les 17 millions de vaches seraient responsables de plus de 11 % des émissions de gaz à effet de serre en France.« Si on voulait faire fuir les derniers candidats à la reprise de nos fermes, on n’aurait pas fait mieux. Les troupeaux perdent 3 à 4 % de vaches chaque année depuis 2016. Il suffit donc d’attendre 10 ans pour que l’on perde plus d’un tiers de nos vaches. »…
Idéal pour se mettre à dos une bonne partie des agriculteurs français, qui ont pourtant fait des efforts importants pour évoluer au cours des 20 dernières années notamment.« Avec quelques modifications simples, j’ai réussi à faire baisser l’empreinte carbone de mes vaches. J’ai par exemple augmenté la part de maïs dans leur alimentation pour qu’elles produisent plus de lait. Et j’ai aussi réduit l’âge de vêlage de mes vaches en passant de 32 à 27 mois. J’ai donc moins de bêtes qui ne sont pas productives. »…
« Il faut dire aussi quand ça va bien. En 2022, par exemple, on a tous bien gagné notre vie. Comme quoi, tout n’est pas tout noir. »
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Depuis plus de 26 ans, Sikko Cazemier a fait du bio son moteur. Dans sa ferme, toutes ses productions sont écologiques. Rencontre avec un passionné de son métier et de ses valeurs…
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Selon une étude de l’association « Bio en Normandie », les fermes laitières bios ont amélioré leur rentabilité, entre 2018 et 2020, malgré les aléas climatiques…
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Associée à un lycée agricole, l'exploitation parvient à rémunérer 9 salariés. Pour rémunérer toutes les heures travaillées, elle a adapté son système afin de présenter les niveaux de charges les plus bas possibles grâce au pâturage, et valorise autant que possible le lait issu de la ferme via la transformation fromagère en AOP cœur de Neufchâtel.
Convertie au bio depuis 2017, la Ferme de Merval cherche également à restreindre son impact environnemental en atteignant la neutralité carbone…
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Depuis une dizaine d’années maintenant, les élevages laitiers français sont soumis à des fluctuations importantes sur les prix des produits comme des intrants. Les aléas sanitaires et climatiques s’ajoutent souvent aux aléas de marché, et les éleveurs doivent y faire face. Retrouvez 3 témoignages d’éleveurs laitiers normands qui illustrent 3 voies de résilience différentes.
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Agriskippy La Ferme Les Vaches. 93 likes. Media
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Antoine Thibault, éleveur normand plus connu sur twitter et youtube sous le pseudo « Agriskippy », a décidé, dans sa dernière vidéo, de jouer la transparence sur les subventions de la Pac, sujet souvent tabou faisant l’objet de nombreuses idées reçues de la part du grand public.
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Économie : La ferme normande va mieux
Tendance. La chambre d’agriculture Normandie dresse un premier bilan encourageant de l’année 2017, même si elle n’est pas terminée. Tour d’horizon… Dans le secteur laitier, le prix payé au producteur est remonté (+ 12 % en Normandie) après un point bas atteint en septembre dernier. En 2017, il devrait donc avoir récupéré plus de la moitié de la baisse cumulée subie depuis 2014 (- 20 %). Dans un marché « convalescent », le lait reprend donc des couleurs. Quant au beurre, il affiche des prix qui flambent pour atteindre 6 500 euros la tonne en raison d’une pénurie sur les marchés européens. Cette flambée des prix peut s’expliquer par le retour des acheteurs. Une transformation s’est réalisée dans le commerce international du lait après plusieurs mois de chute des prix. Les plus grands pays producteurs ont su stabiliser leurs productions, ce qui a permis d’assainir le marché. Par conséquent, la demande a commencé à gagner en ampleur. Sur http://www.paris-normandie.fr/actualites/economie/la-ferme-normande-va-mieux-DE11045116
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in Panorama de l'agriculture et de l'agroalimentaire - Edition 2017 La Normandie possède un troupeau de près de 580 000 vaches laitières, soit 16 % du troupeau laitier français. La Manche est d'ailleurs le 1er département français par la taille de son troupeau de vaches laitières, devant l'Ille et Vilaine. Le troupeau normand moyen s’élève à 66 vaches laitières (contre 59 en France métropolitaine). Autrefois majoritaire, la race normande est maintenant devancée par la Prim’holstein dans le troupeau laitier normand. En 2015, le lait bovin représente 33 % du produit agricole régional (services exclus, hors aides), soit près de 1,3 milliard d’euros pour la Normandie. En Normandie, près de 40 % des exploitations agricoles détiennent un troupeau de vaches laitières (22 % en France métropolitaine).
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En fait je crois que c'est autant les vaches qui "aiment" leur #eleveur que moi qui "aime" mes vaches �� #bienetreanimal
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Antoine Thibault éléveur à Cintray dans l’Eure en a ras le bol des vidéos sur la maltraitance des animaux dans les fermes. Il a posté une vidéo sur Youtube pour contrecarrer les vidéos chocs qui tournent sur la toile. Rencontre avec cet agriculteur connecté.
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Impact conjoncture 2023 sur 5 systèmes laitiers normands
Les prix du lait et de la viande compensent la baisse des prix des cultures sauf en systèmes polyculteurs. D’autant que la plupart des charges ont tendance à revenir à niveau proche de celui de 2021 après une flambée en 2022. La conjoncture est favorable aux systèmes mixtes lait-viande, elle l’est dans une moindre mesure pour les spécialisés lait, mais elle ne l’est plus pour les systèmes polyculteurs…
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Résumé : si l’élevage bovin a un avenir, c’est bien en Normandie
6 100 élevages – 607 000 litres – 88 VL (28% NO)
+ de 100 VL = 33% des troupeaux, 53 % des vaches
17% robots de traite, 83% des camemberts français
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Le Syndicat d'eau potable et d'assainissement de Bray Sud a proposé la mise en place d'un dispositif de PSE (Paiement pour services environnementaux) visant à récompenser les services environnementaux des agriculteurs…
Concrètement, l’objectif est de valoriser les zones d’herbages présentes sur les aires d’alimentations de captages. Ces terrains représentent 440 hectares, soit 80% de la SAU. Ceux qui ont des hectares de plaine à disposition seront rémunérés s’ils n’y touchent pas. Il faudra respecter certaines conditions, comme de pas asperger la zone de produits phytosanitaires ou faire attention au plafond d’azote de la zone. S’ils respectent ce petit cahier des charges, ce sera bon…
La rémunération devrait tourner autour de 130 euros par hectare et par an…
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Une dynamique d’installation toujours présente : 80 % des installations de traite en 2021-2022 seraient en robots en Normandie…
Avec 39 000 € de revenu disponible par UTAF en moyenne équipé ou non en robot, les résultats sont historiquement hauts (proches de 2,5 SMIC nets), du fait de l’embellie de la conjoncture agricole et malgré la hausse des charges. Les exploitations laitières équipées de robot(s) progressent encore plus avec des structures toujours plus importantes, intensives et productives…
Avec leurs structures plus importantes, les exploitations équipées de robot(s) ont une meilleure productivité, mais les résultats sont équivalents. Investir dans un robot engendre une hausse de charges oscillant de 10 € à 50 € par 1 000 litres, notamment un coût alimentaire plus élevé (+ 8 €), un surcoût de frais de mécanisation lié aux frais de fonctionnement du robot mais des coûts de main d’œuvre moindres (liés à une meilleure productivité)…
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Les comptabilités des 1 467 élevages normands spécialisés en lait de vache suivis par Cerfrance, clôturées entre avril 2021 et mars 2022, ont parlé. La production moyenne poursuit sa progression (+ 2 % à 631 264 l), de même que l’effectif (+ 1 % à 95 vaches) et le nombre d’actifs (2,2 UTH, dont 20 % de salariés). La productivité du travail est stable (294 000 l par UTH), de même que le rendement (6 904 l/ha SFP)…
Sur l’année civile 2022, les charges des éleveurs vont augmenter fortement : entre + 40 et + 60 €/1000 l selon les scénarios. Dans le même temps, le prix de base du lait devrait augmenter du même ordre de grandeur, et se rapprocher des 400 €/1000 l. La meilleure valorisation de la viande, liée à un manque de marchandise, devrait alors améliorer les revenus des éleveurs laitiers…
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La Bretagne a perdu 5 % de livreurs de lait en 2021, et la flambée des prix des céréales n’augure rien de bon pour 2022… « Entre 2020 et 2021, le recul du nombre de livreurs de lait de vache s’est accentué », constate l’Institut de l’élevage (Idele) dans sa dernière lettre de conjoncture. La France en a perdu 4,2% entre janvier 2021 et janvier 2022, après un repli de 3,6% l’année précédente… « Trois régions affichent des pertes particulièrement importantes : la Bretagne, qui a perdu 460 livreurs en une seule année (-5%), l’Occitanie (-110 livreurs, soit -5,5%) et la Nouvelle-Aquitaine (-150 livreurs, -7%). La Normandie, le Centre-Val de Loire et la Bourgogne-Franche Comté s’en sortent relativement mieux, avec une perte d’environ -3% de livreurs en un an. »… Productivité laitière et agrandissement « La collecte s’étant maintenue en Normandie et Bretagne en 2021, ce sont logiquement ces deux régions qui enregistrent les plus fortes hausses de volumes par livreur (supérieures à +4%). Cette croissance des volumes peut s’expliquer par une croissance plus forte de la productivité laitière, mais aussi par le plus net agrandissement des cheptels dans ces régions. »
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Longtemps reléguées au second plan derrière leurs maris, les agricultrices s'affichent aujourd'hui sur le devant de la scène, devenant "actrices" incontournables du monde agricole.
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Mieux vivre son métier d’éleveur laitier : Améliorez vos conditions de travail en élevage laitier. Jeudi 7 décembre, 3 exploitations vous donnent rendez-vous... Avec l’appui des conseillers bâtiment, traite, travail des Chambres d’agriculture, de la MSA et des concessionnaires, venez échanger pour trouver des solutions adaptées à votre élevage, votre travail et votre organisation !
- Présentation de la ferme et de son organisation
- Bâtiment : Organisation du bâtiment, circulation et contention
- Traite : Plus de confort en salle de traite
- Des petits équipements pour simplifier certaines tâches
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En 2008, 70 de ses vaches étaient mortes d'une intoxication au plomb. Un agriculteur du Calvados va enfin être indemnisé : la cour d'appel de Caen vient de le décider.
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Dans cette région agricole de Normandie, plusieurs cultivateurs et éleveurs ont recours à d'autres techniques que l'utilisation du pesticide le plus vendu au monde. Franceinfo est allé à leur rencontre.
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Le GDS de la Manche a lancé une réflexion sur une éventuelle contractualisation entre le vétérinaire et l’éleveur. Peu de détails sont donnés sur les modalités de cette contractualisation, dont l’objectif est de lutter contre l’instauration de déserts médicaux. Pour le GDS, il s’agit de souligner qu’en situation de crise économique, les éleveurs font de moins en moins appel au service des vétérinaires, faisant ainsi émerger des risques pour la santé des cheptels.
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Chiffres clefs 2016 (et évolution par rapport à 2015) : - Baisse du revenu de la Ferme Normandie de 267 millions d’euros.
- Baisse de 38 % du revenu par actif non salarié professionnel.
- Ventes de produits agricoles : 3,5 milliards d’€ (- 340 millions).
- Achats de Consommations intermédiaires : 2,37 milliards d’€ (- 67 millions).
- Revenu net d’entreprise de la ferme Normande : 410 millions d’euros (- 267 millions).
- Aides directes (couplées et découplées) : 532 millions d’€ (- 25 millions).
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