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A plus de 20 milliards, le chiffre d'affaires du secteur en 2023 a crû de 8% sur un an. La restauration rapide tire particulièrement son épingle du jeu et continue sa fulgurante progression dans l'Hexagone…
La restauration de chaînes en France rassemble 423 acteurs et compte 16.027 points de vente, selon cette étude qui s'appuie sur une base de données couvrant l'ensemble de ces acteurs. « Naturellement, cette croissance est aussi liée à la hausse du ticket moyen, conséquence de la forte inflation enregistrée depuis deux ans. »…
La restauration rapide porte ce succès, avec une hausse de 30% de son chiffre d'affaires entre 2019 et 2023. Une performance liée à l'augmentation du nombre de points de vente, quand la restauration à table n'a progressé que de 4%. En 4 ans, cette dernière a d'ailleurs perdu 217 restaurants, soit une baisse de 6% de son parc…
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En France, la bonne tenue du prix du lait et une année fourragère plutôt favorable n’enrayent pas le recul de la collecte française. La consommation est affectée par la hausse spectaculaire des prix depuis deux ans. La déconsommation touche particulièrement les produits laitiers démarqués sous signe de qualité… A l’inverse, la baisse du prix du lait, amorcée depuis le début de l’année dans la plupart des bassins excédentaires, émousse la croissance la production laitière de l’UE-27 et des États-Unis. En Nouvelle-Zélande, la nouvelle campagne démarre sous de meilleurs hospices grâce à une météo plutôt favorable pour le moment…
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Un décrochage de la collecte, qu’on pressentait, s’est amorcé en France en mars. Face à un repli du cheptel laitier si édifiant, il devenait inévitable que la collecte décline. Dans le sillage des autres pays européens, le prix du lait français a fléchi en mars… Les exportations françaises de produits laitiers ne se portent pas mieux. En raison de moindres disponibilités laitières, les volumes exportés se sont de nouveau contractés au cours du premier trimestre 2023... Dans l’UE-27, la reprise de la production laitière semble tourner court. Face à une demande européenne affectée par la flambée des prix au détail, les exportations de produits laitiers retrouvent de la vigueur…
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En France, la reprise de la production laitière semble de courte durée. Le prix du lait remonte certes plus vite que le prix des charges, mais nettement moins vite qu’en Europe du Nord où la production est bien relancée… A l’inverse, la collecte de lait bio s’est redressée cet automne, grâce à une arrière-saison fourragère plutôt favorable, mais dans un contexte de poursuite de la déconsommation des produits laitiers bio, ce qui accentue la part de lait bio déclassé… Les prix du lait payé aux éleveurs chez les principaux pays exportateurs ont atteint des records au-delà des 600 €/1 000 l en 2022. Après un bref plafonnement cet hiver ils risquent de baisser en 2023 dans le sillage des cours des ingrédients laitiers. En France, ils pourraient encore s’apprécier cet hiver si les transformateurs arrivent à passer des hausses de tarifs substantielles aux distributeurs…
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Une baisse de grande ampleur et très rapide, la principale raison est un rééquilibrage entre l’offre et la demande…
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Porté par le Covid, le marché des produits laitiers ultra-frais (yaourts, fromages blancs...) a mal démarré l'année. Il subit l'inflation des coûts de production et une brusque chute des ventes. « Les entreprises sont en situation délicate », selon Syndifrais…
Très gros marché de 5 milliards d'euros en France, l'ultra-frais vit des jours difficiles. Yaourts, fromages blancs, desserts lactés et autres crèmes ont vu leurs ventes reculer de 3,7 % sur les quatre premiers mois de l'année, selon le panel IRI. La tranche 15-35 ans a réduit sa consommation de yaourts de 15 % en quinze ans…
Le Chicago Council on Global Affairs explore les défis et les opportunités des systèmes agricoles dans un monde avec un nombre de jeunes sans précédent dans "The Next Generation"… Historiquement, l'augmentation des populations de la « classe moyenne » a contribué à la croissance économique en tant que source majeure de la demande des consommateurs.
Alors que le marché de la classe moyenne dans les pays à revenu élevé ne devrait augmenter que de 0,5 à 1% par an, les marchés de la classe moyenne des pays à revenu faible et intermédiaire pourraient afficher des taux de croissance annuels de 6% ou plus.
D'ici 2020, l'Afrique comptera plus de 1,1 milliard de consommateurs, soit plus que les populations combinées de l'Amérique du Nord et de l'Europe. En 2010, 34% de la population africaine était de la classe moyenne, contre 27% en 2000. Les dépenses de consommation en Afrique ont augmenté à environ 680 milliards de dollars par an en 2008.
La région Asie-Pacifique devrait à elle seule atteindre plus de 85% de la croissance de la classe moyenne jusqu'en 2020…
Via Système de veille
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La Chambre d’agriculture de la Somme organisait, le 25 janvier, une journée de l’élevage laitier. En invité, Gérard You, de l’Institut de l’élevage.
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Après avoir grimpé de 16% en 2017, le prix moyen du lait payé aux producteurs en France pourrait ralentir sa progression cette année.
Selon le Cniel en effet, le prix du lait restera pris en tenailles entre deux tendances de marchés radicalement opposées : des stocks très importants de poudre de lait écrémé tirant les prix vers le bas, et un manque de beurre soutenant les cours.
A fin janvier, les 1000 litres de lait s'échangeaient à 362,7 euros, un prix stable depuis le début de l'année.
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"Étant donné les prix record des matières grasses laitières, le décalage structurel de la chaîne d'approvisionnement en produits laitiers, l'augmentation des approvisionnements mondiaux et l'augmentation de la concurrence à l'exportation, atteignons-nous un point de bascule dans l'équilibre du marché de l'UE?" se demande Eucolait.
Les prix du lait devraient rester fermes dans les prochains mois, mais il existe des doutes à moyen terme.
Le dernier rapport de l'Observatoire européen du marché du lait (MMO) souligne l'augmentation des risques d'approvisionnement et de prix pour le beurre et le lait écrémé en poudre (SMP).
Les importateurs asiatiques ont soutenu les marchés grâce à leur reprise récente, les achats de produits laitiers en Chine ayant augmenté de 27% l'année dernière et de 12% en Asie du Sud-Est. Dans l'ensemble, les importations mondiales de produits laitiers ont augmenté de 6% par rapport à l'année dernière.
La demande supplémentaire est cruciale car la production augmente dans toutes les grandes régions d'exportation, a souligné l'association européenne du commerce laitier Eucolait.
La baisse de production en France, aux Pays-Bas, au Danemark et en Allemagne a été plus que compensée par une hausse en Irlande, en Italie, au Portugal et au Royaume-Uni.
Bien que l'affaiblissement du dollar américain ait un effet négatif sur les exportations de l'UE, l'évaluation de la Commission est que «les prix du lait devraient rester fermes au cours des prochains mois malgré une baisse possible des prix du beurre (correction des niveaux records) et de la poudre.
L'intervention se termine et les processeurs se sont précipités pour bénéficier du schéma la semaine dernière, doublant presque les volumes de SMP vendus.
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Le marché des produits laitiers demeure très contrasté selon les produits considérés. Ainsi, en poudres de lait, l’heure est à la baisse en France comme sur le marché mondial. Alors que l’Europe était récemment plus compétitive que l’Océanie, les prix néo-zélandais ont chuté la semaine dernière, faute d’acheteurs, ce qui a rétréci l’écart tarifaire entre les deux hémisphères. De plus, les opérateurs sont nombreux à parier sur un recul de la collecte néo-zélandaise inférieur aux prévisions.
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Les enchères GDT terminent l'année avec un résultat négatif, mais dans l'ensemble, l'indice laitier de référence est dans une position beaucoup plus saine ces temps-ci que l'année dernière.
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Le rapport World Dairy Map 2023 de Rabobank souligne que le Brexit a été l’un des principaux événements mondiaux ayant eu un impact sur la forme et la taille des flux commerciaux de produits laitiers entre 2017 et 2022…
Tout changement subtil dans le volume des flux commerciaux sur les principaux marchés, tels que les exportations de l'UE vers le Royaume-Uni, le volume des échanges de la Nouvelle-Zélande vers la Chine et le flux de lait de la Biélorussie vers la Russie, « peut avoir un profond impact sur les fondamentaux du marché laitier mondial »…
Le dernier rapport de Rabobank montre également que l'UE détient la plus grande part de marché à l'export – 27,7 % – mais note que l'industrie laitière américaine souhaite accroître sa part de marché à l'export. Des changements subtils pourraient potentiellement remodeler l’arène commerciale mondiale…
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Un tour d’horizon d’un secteur confronté à de nombreuses mutations depuis ces vingt dernières années…
Le repli du commerce mondial des produits laitiers souligne sa forte sensibilité au prix, autant du côté de la production que de la consommation. La libéralisation croissante des marchés laitiers, qui a atteint une nouvelle ampleur au cours des années 2000, a rendu de nombreux marchés domestiques plus perméables à la volatilité des prix internationaux. Cette instabilité des marchés fragilise les systèmes de production…
Au cours des vingt dernières années, le commerce mondial des produits laitiers s’est développé en réponse à cette évolution quantitative et qualitative de la consommation. Deux phénomènes majeurs caractérisent cette évolution :
• Une croissance des échanges d’ingrédients à plus haute valeur ajoutée, dont les échanges ont plus que doublé sur les vingt dernières années, ou les poudres de lactosérum
• Une croissance des échanges de poudres de lait (grasses, écrémées ou réengraissées), qui ont elles aussi plus que doublé depuis le milieu des années 2000
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La production de fromage est attendue dynamique en Europe, malgré le manque de lait, tirée par la demande notamment en mozzarella…
La production mondiale de fromage devrait continuer d’augmenter en 2023, estime l’USDA. La demande est croissante pour ce produit, à cause de l’occidentalisation des habitudes alimentaires et de son utilisation dans la restauration rapide…
L’Union européenne, premier bassin de production avec 10,6 millions de tonnes, devrait voir ses volumes progresser faiblement (+0,5 %) car si la collecte laitière manque de tonus, les fabrications de fromages sont privilégiées. Les exportations sont attendues stables, la baisse de la demande chinoise étant compensée par le regain britannique…
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La reprise de la production laitière, en France mais aussi dans les pays d’Europe du Nord, se confirme. Dans le même temps, les cours de la poudre maigre ont subi un fort correctif cet automne dans l’UE dans le sillage du marché mondial. Face à une demande internationale toujours faible, l’offre semble plus importante notamment dans l’UE-27… Dans le même temps, la production laitière en Nouvelle-Zélande, comme en Australie, reste dégradée en plein pic laitier saisonnier. Pourtant, ces éléments ne suffisent pas à redresser les cours sur les marchés. Les exportateurs océaniens disposent de stocks conséquents accumulés au 1er semestre…
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Une collecte qui s’éloigne de son record de 2020, plus de fromages et moins de beurre, voici les grandes tendances de la filière laitière en 2022 vues par l’USDA…
Entre 2016 et 2022, l’Union européenne a perdu 1,4 million de vaches laitières. Les gains de productivité ne permettent pas de compenser ce recul et la production diminue depuis son record de 2020. En 2022, les analystes américains de l’USDA estiment qu’elle atteindra 144,6 millions de tonnes, 434 000 t de moins qu’en 2021. Elle devrait de nouveau reculer en 2023…
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Début 2022, la production se tasse chez les trois principaux exportateurs de lait et de produits laitiers. Avec le retour des confinements en Chine, le Covid continue de faire planer l’incertitude sur la demande dans le premier pays importateur…
• Demande chinoise en mutation
• Production européenne stable
• Fort déclin de la collecte néo-zélandaise
• Coup d’arrêt à la croissance de la collecte aux États-Unis
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Alors qu’ils décrochaient depuis l’automne, les cours des commodités laitières se stabilisent voire se raffermissent début 2018. La demande internationale est bien orientée et l’offre de l’hémisphère sud est toujours limitée. Mais l’équilibre demeure fragile en raison de l’importance des stocks de poudre maigre et du potentiel de croissance de la production européenne.
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Fonterra a déclaré qu'elle s'attend à une baisse de 3% de la production par rapport à la saison dernière, en raison des conditions climatiques extrêmes.
Certains analystes doutent que cela se concrétise, mais les prix devraient néanmoins s'améliorer et s'appuyer sur la dernière adjudication, qui a vu les principaux prix de la poudre de lait entier augmenter de 5,1% pour atteindre 3010 $ US la tonne.
L'économiste rural de l’ASB Nathan Penny a ajusté ses prévisions de production pour cette année à un gain de 1%, en baisse par rapport à sa prévision précédente d'un gain de 3%, mais toujours plus optimiste que les prévisions de Fonterra d'une baisse de 3%.
En décembre, les ventes de lait en Nouvelle-Zélande de Fonterra ont chuté de 6% par rapport à décembre de l'année précédente.
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"On a atteint la saturation du marché". Les ventes de lait biologique ont ralenti, car les consommateurs qui ont récemment stimulé la demande se tournent vers des alternatives plus récentes, laissant les vendeurs de produits laitiers et les producteurs aux prises avec une offre excédentaire.
L'offre de lait biologique a gonflé au moment même où la demande commençait à stagner. De nombreux acheteurs sont passés à des substituts tels que le «lait» aux amandes, qui ne contiennent pas de produits laitiers.
La lune de miel a pris fin en 2017. Les ventes de lait biologique ont chuté en volume et en dollars pour la première fois depuis 2013, selon les données de Nielsen. Les ventes de lait biologique ont culminé à plus de 1,42 milliard de dollars en 2016, pour tomber à 1,37 milliard de dollars en 2017, selon les chiffres de ventes de Nielsen. Aujourd’hui, les entreprises qui investissent dans la production de lait biologique réduisent leur capacité ou cherchent à en faire du fromage ou d'autres produits.
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La reprise de la production mondiale se poursuivra et les exportations continueront à croître pour répondre à la croissance, même modérée, de la consommation. Telle est l’analyse trimestrielle de la banque néerlandaise Rabobank.
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Le marché des ingrédients de protéines de lactosérum devrait enregistrer un TCAC de 9,4% pendant la période de prévision alors que les recettes du marché devraient atteindre la barre des 8,93 milliards de dollars d'ici 2021. Il est bien placé pour enregistrer une forte croissance durant la période de prévision 2016-2022, du fait des évolutions sociétales.
Il est actuellement dominé par la demande émanant de l'Europe, qui a pris près d'un tiers de la part de marché. En ce qui concerne le type de produit, le concentré de protéines de lactosérum détient 40% de la part totale en raison de la demande croissante du secteur des aliments et boissons. D'autre part, on s'attend à ce que l'isolat de protéine de petit-lait enregistre une forte croissance de 17,2% CAGR pendant la période de prévision.
Cet index composite traduit l’évolution des prix de l’ensemble des produits laitiers vendus aux enchères sur la plateforme GlobalDairyTrade (construite par Fonterra, mais désormais utilisée par un grand nombre grandes coopératives dans le monde). C’est un indicateur du prix mondial des commodités laitières et il atteint son plus haut niveau depuis le rebond enregistré début 2015.
Via IDELE Institut de l'Elevage
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