Au regard de la forte dégradation des comptes des exploitations laitières, sortir de la crise par une augmentation des volumes ne semble pas un raisonnement économique pertinent. De même, la robotisation de la traite engendre plutôt une hausse des coûts de production qu’une baisse. Chiffres à l’appui, l’Institut de l’élevage rappelle qu’il faut « produire mieux avant de produire plus ».