Lait de Normandie... et d'ailleurs
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A qui profite la filière du lait ?

A qui profite la filière du lait ? | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Analyse de la création et de la répartition de la valeur dans la filière bovin lait française...


Alors que les prix des produits laitiers achetés en magasins ont connu une inflation de 27% depuis fin 2021 – en comparaison de 20% pour le reste des produits alimentaires – le nombre d’exploitations et de vaches laitières ne cesse de diminuer, avec sur l’année écoulée une baisse inégalée depuis plus de 20 ans…


Comment expliquer qu’au moment où la filière laitière crée une valeur sans précédent, le métier d’éleveur soit en pleine désaffection ?

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IGF : Rentabilité de l'industrie agro-alimentaire, de l'agriculture et de la grande distribution

IGF : Rentabilité de l'industrie agro-alimentaire, de l'agriculture et de la grande distribution | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L'Inspection générale des finances (IGF) a réactualisé son rapport sur la rentabilité des trois acteurs qui constituent la chaîne de consommation. Résultat : la progression de la rentabilité de l'industrie agro-alimentaire est trois fois plus élevée que celle du commerce : +27% pour l’EBE de l’agriculture, +50% pour l’industrie agro-alimentaire, +9% pour le commerce…


L’EBE de l’agriculture se situe désormais 27% au-dessus de son niveau de 2019. En trois ans, note l’IGF, « les prix de vente du secteur agricole ont progressé de 27,5% contre 20,8% observé mi-2022 »…


Au second semestre 2022, la rentabilité de l’industrie agro-alimentaire a rebondi de 50%, effaçant ainsi les pertes par rapport à 2019. Leurs prix de vente ont progressé de 17,5% en trois ans, entre 2019 et 2022, soit cinq points de plus par rapport à mi-2022. Cet écart s’explique à hauteur de trois points par la hausse du prix des intrants et à hauteur de 2,1 points par la hausse de l’EBE. Pour autant, le secteur n’a pas augmenté sa marge en 2022 : la hausse des prix s’explique à 85% par celle des matières premières…


En comparaison, le secteur du commerce voit sa rentabilité progresser de 9% par rapport à 2019. Son taux de marge serait de 0,7 point au-dessus de son niveau de 2019. Bien évidemment, ces calculs ne prennent pas en compte les retombées des négociations commerciales qui se sont achevées le 1er mars, pas plus que la baisse des prix amorcée sur un certain nombre de matières premières…

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voir aussi Insee : Taux de marge EBE/VA des IAA vs Manufacture & Commerce
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Produits alimentaires : tout le monde joue le jeu pour absorber l’inflation

Produits alimentaires : tout le monde joue le jeu pour absorber l’inflation | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Un rapport de Bercy estime que les prix des produits alimentaires ne sont pas artificiellement gonflés. Aucune des trois parties qui composent un prix de vente, agriculteurs, industriels et distributeurs, n’a augmenté sa marge au passage. Au contraire, l’enquête montre qu’une partie de l’inflation a été absorbée par l’industrie agroalimentaire et la grande distribution.

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« L’agroalimentaire peut traverser la crise mais il y aura des morts ! » https://sco.lt/4hbW52

L’inflation bat un record en octobre pour les produits de grande consommation
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Inflation : Intermarché dénonce l’attitude des industriels laitiers

Inflation : Intermarché dénonce l’attitude des industriels laitiers | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le président du groupement Les Mousquetaires, se plaint des hausses déraisonnables de tarifs demandées par certains grands industriels, et du manque de transparence des industriels laitiers…


Didier Duhaupand se dit « fier de vendre le lait plus cher qu’ailleurs. (…) Il faut s’occuper du monde agricole, les producteurs de lait en font partie ». Il rappelle avoir commencé avec sa laiterie de Saint-Père. « On a dit aux autres industriels qu’on allait vendre le litre de lait à 95 centimes dans nos rayons. On s’attendait à des rencontres tripartites mais les industriels ne sont pas venus », a-t-il déploré, reprochant aux industriels laitiers de ne pas se montrer transparents sur le prix payé au producteur laitier…


« Il faut dire au consommateur et au monde agricole ce qu’il se passe. C’est facile d’aller déverser du lait, du fumier dans nos parkings, et le monde agricole a raison de se mobiliser mais les produits agricoles sont majoritairement transformés, et les transformateurs ne veulent pas faire preuve de transparence, ne veulent pas dire le prix qu’ils payent aux producteurs.»

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voir aussi Prix du lait : l’OP Saint-Père exaspérée par Les Mousquetaires

Les entreprises de l’agroalimentaire dans la tourmente de la crise https://www.lsa-conso.fr/les-entreprises-de-l-agroalimentaire-dans-la-tourmente-de-la-crise,420651
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Prix du lait : Le nouveau sujet de discorde entre agriculteurs, industriels et supermarchés

Prix du lait : Le nouveau sujet de discorde entre agriculteurs, industriels et supermarchés | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La guerre en Ukraine conjuguée à l'inflation des coûts de production et à la canicule de cet été, qui s'est traduite par une sécheresse historique, désespère un peu plus encore les éleveurs…


De leur côté, les agro-industriels reprochent aux distributeurs de ne pas prendre en compte la flambée des coûts de production et de transformation (emballage, transport, énergie nécessaires...)….


Leclerc a relevé en substance que le prix de vente du lait en grandes surfaces n'avait pas nécessairement de lien avec la rémunération des producteurs. Leur revenu dépendrait davantage du prix auquel les industriels leur achètent le lait pour le conditionner...

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Voir aussi Quel est le juste prix ?

En moyenne, la brique de lait est vendue 89 centimes. Sur ce prix, qui touche quoi ? L'agriculteur touche 45 centimes, l'industriel qui met le lait en bouteille reçoit 20 centimes, le distributeur touche 16 centimes et les restes sont des taxes…


Inflation alimentaire : où se situe la France par rapport aux pays de l’OCDE ?

L’inflation des prix alimentaires était à 14,5% en moyenne dans les pays de l’OCDE en juillet dernier sur un an et à 12,8% dans l’Union Européenne. La France est en bas du tableau à 7,2%...

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Suisse - Prix du lait : marges grasses pour Coop et Migros, vaches maigres pour les paysans

Suisse - Prix du lait : marges grasses pour Coop et Migros, vaches maigres pour les paysans | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Une enquête apporte des éléments précis sur les marges réalisées par les grands distributeurs sur certains produits laitiers. De quoi relancer très sérieusement le débat à propos de la concurrence et de l’opacité de ce marché…


Les marges brutes de Migros et Coop sont élevées, très élevées même, en fonction du produit et de la référence : 66% pour une tomme vaudoise, 92% pour un yogourt !


Les paysans vendent leur lait à perte, les prix payés étant inférieurs à leurs coûts de production. Et, il faut le savoir, le lait leur est rétribué en fonction de son utilisation par les transformateurs, et non de sa qualité. Résultat : les producteurs doivent multiplier les activités à côté de l’élevage de vaches laitières pour toucher des paiements directs et d’autres sources de revenus.

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Inquiétudes à propos des Etats généraux de l’alimentation

Inquiétudes à propos des Etats généraux de l’alimentation | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Quand nous mangeons pour 100€, le paysan perçoit 6,20€...

Un des axes prioritaires pourrait être le revenu paysan pour lequel on tenterait de trouver un consensus entre les syndicats agricoles, les industriels de l’agroalimentaire et les enseignes de la grande distribution. Depuis la mise en place de la Loi de modernisation économique (LME) les distributeurs disposent de gros moyens de pression pour piller leurs fournisseurs et la loi Sapin 2 n’a corrigé qu’à la marge cette situation déséquilibrée et injuste.

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Négociations commerciales
: Où est la vérité ?

Chaque année, le feuilleton des négociations commerciales entre laiteries et distributeurs anime le mois de février.

L’enjeu est capital pour le prix du lait à la production en 2017.

La hausse permettra-t-elle de revenir au tarif de 2014, comme le veut la FNPL ?

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Négociations commerciales : Les distributeurs demandent 2 à 8 % de baisse de tarifs

Négociations commerciales : Les distributeurs demandent 2 à 8 % de baisse de tarifs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Jean-Philippe Girard, le président de l’Association des industries alimentaires (Ania), a affirmé le 13 février 2017, que les distributeurs demandent des baisses de tarifs comprises entre 2 % et 8 % dans le cadre des négociations annuelles.

« c’est inquiétant. On voit le lait qui a progressé de 30 %, les oranges de 50 % et en face des acheteurs qui disent : “Écoutez, nous, ce n’est pas notre problème, on veut le même prix que l’an passé” »

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JA - Prix du lait : Distributeurs et industriels, « cessez de vous renvoyer la balle »

JA - Prix du lait : Distributeurs et industriels, « cessez de vous renvoyer la balle » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les éleveurs ont fait des efforts :

JA rappelle que les éleveurs français et européens ont fait des efforts pour réduire la production et alléger le marché.

Il demande aux industriels de faire preuve de transparence « pour que les relations commerciales se déroulent dans de bonnes conditions ».

« Les industriels doivent indiquer lors des négociations avec leurs distributeurs, les prix payés à la production, dans l’esprit de la loi Sapin 2 », assure JA, faisant ainsi écho à la demande formulée par Système U hier. « Si le 28 février prochain nous constatons des prix de vente identiques à 2016, nous saurons, nous, prendre nos responsabilités. »

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Lait : les industriels dénoncent l'exception française

Lait : les industriels dénoncent l'exception française | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les sociétés françaises se heurtent au refus de hausses tarifaires des distributeurs. Dans les autres pays européens, les prix aux industriels ont été revalorisés.

« Partout en Europe, les distributeurs ont accepté de payer leurs fournisseurs de produits laitiers plus cher depuis la fin de l'année. Sauf en France », souligne Gérard Calbrix, l'économiste de l'Association de la transformation laitière française (Atla).

En Allemagne, le plus gros concurrent de l'Hexagone dans le secteur laitier, les enseignes ont consenti dès octobre une hausse de 30 % sur le prix du beurre aux industriels pour prendre en compte la très vigoureuse reprise du marché mondial. Hausse historique outre-Rhin (la dernière de cette importance remonte à 2007 !) répercutée sur le consommateur.

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Du côté des distributeurs, on reconnaît que les produits laitiers sont un point de friction. Pour les grandes enseignes, la question est d'abord celle de la transparence. Elles reprochent aux industriels laitiers de ne pas appliquer la loi Sapin 2, qui leur fait obligation d'indiquer sur les contrats les prix payés à la production...
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FNIL Lait : « Les négociations avec la grande distribution se passent mal »

FNIL Lait : « Les négociations avec la grande distribution se passent mal » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dans leur « plaidoyer », les transformateurs laitiers privés se placent comme défenseurs des producteurs. Ils demandent une augmentation des tarifs au vu de la conjoncture.

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« En France, ce déséquilibre global du marché laitier s’est traduit en 2016 par une baisse moyenne de 1,5 % des prix de vente des produits laitiers aux consommateurs, selon l’indice Insee PVC lait, fromages et œufs », indique la Fnil.
C’est un recul plus faible que celui dont a bénéficié la distribution car « les prix de vente sortie usine des produits laitiers vendus à la grande distribution en France ont chuté en moyenne de 3,1 % (indice Insee) », d’après le communiqué.
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Négociations commerciales : L’industrie agroalimentaire coincée entre le marteau et l’enclume

Négociations commerciales : L’industrie agroalimentaire coincée entre le marteau et l’enclume | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L’Ania, Association nationale des industries alimentaires, tire la sonnette d’alarme ce 31 janvier 2017.

Pourquoi ?

À cause des pressions que subissent ses adhérents pris « en tenaille » entre « la montée significative des prix des matières premières agricoles et la poursuite de la guerre des prix de la grande distribution ».

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FNH : Les éleveurs sont les grands perdants de la hausse des prix du lait

FNH : Les éleveurs sont les grands perdants de la hausse des prix du lait | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

La Fondation pour la nature et l'homme s’est penchée sur la répartition de la valeur dans le secteur laitier conventionnel. Les prix des produits laitiers ont augmenté de 50% en 20 ans et ce n'est pas au profit des agriculteurs…


Selon ce rapport la bouteille de lait demi-écrémé d’un litre ne coûtait que 55 centimes d’euros hors taxes il y a 20 ans, et à l’époque près de la moitié de ce prix retombait dans la poche de l’éleveur, soit 25 centimes. Aujourd’hui elle coûte bien plus cher : 83 centimes d’euros mais elle ne rapporte plus à l’éleveur que 24 centimes…


En clair son prix a augmenté de plus de 50% mais les agriculteurs n’en ont pas vu la couleur. Et il n’en va absolument pas de même pour les distributeurs et l’industrie agroalimentaire qui sur la même période enregistrent respectivement des hausses de + 188% et + 64% de leurs marges. Les fromages plaquettes de beurre et autres produits laitiers ont subi à peu près le même sort selon la FNH…

Cedric's insight:
Voir aussi FNH : Éleveurs et consommateurs, grands perdants de la hausse des prix des produits laitiers
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L’agroalimentaire se serre la ceinture

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L’inflation des produits alimentaires ne s’explique pas, ces derniers temps, par un accroissement des marges de la transformation ou de la distribution.


La contraction de l’EBE de l’industrie agroalimentaire contribuerait, à elle seule, à réduire la hausse des prix finaux à la consommation des biens alimentaires de 1,3%. L’EBE de la grande distribution connaît une légère baisse ou une stagnation. »…


Les cours des matières premières agricoles devraient rester à des niveaux élevés en 2023. La flambée actuelle des coûts de l’énergie va très probablement perdurer et pourrait s’amplifier en 2023, conduisant l’industrie agroalimentaire à augmenter ses demandes tarifaires…


Les contraintes sur l’offre liées à l’approvisionnement, à la pénurie de main d’œuvre et au financement pourraient limiter les volumes de production de produits alimentaires, créant ainsi un ajustement supplémentaire à la hausse des prix de vente à la grande distribution. »

Cedric's insight:
voir aussi Produits alimentaires : tout le monde joue le jeu pour absorber l’inflation

Inflation : Leclerc craint un «tsunami» sur les prix en 2023 https://sco.lt/9I7JFA
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La grande distribution et l’agroalimentaire se livrent à une intense bataille des prix

La grande distribution et l’agroalimentaire se livrent à une intense bataille des prix | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Face à l’inflation des coûts, l’industrie agroalimentaire et la grande distribution sont engagées dans un bras de fer. Les enseignes commerciales appliqueraient des « pénalités logistiques » indues…

« Les pénalités logistiques ? Une spécificité française dont on se passerait bien… » Les pénalités logistiques, prévues pour sanctionner des retards de fournisseurs dans la livraison de biens alimentaires, seraient utilisées par certains distributeurs « pour se refaire une santé financière »…

Depuis la guerre en Ukraine, les coûts de production des industriels ont flambé : +29 % pour les matières premières agricoles, +26 % pour les emballages, +57 % pour l’énergie, selon l’Ania. Mais « les hausses accordées (8 % selon la FCD) sont en deçà des demandes. Le gouvernement évoque une « démarche d’étouffement des industriels par la grande distribution ». Seule la moitié des entreprises seraient parvenues à obtenir des hausses, à environ 6%, au lieu des 8 à 9% qu’elles espéraient. Si la loi Alimentation (Egalim 2) oblige les distributeurs à répercuter le coût des matières premières agricoles, elle ne « sanctuarise » pas le coût énergétique des industriels…
Cedric's insight:
voir aussi Pénalités logistiques : le rappel à l’ordre des distributeurs par le gouvernement

Energie : Toute la filière alimentaire, de la production à la distribution, appelle au secours
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Auchan demande à ses fournisseurs de «participer» à l’inflation de ses coûts logistiques

Auchan demande à ses fournisseurs de «participer» à l’inflation de ses coûts logistiques | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Selon un courrier que nous nous sommes procurés, Auchan France voudrait partager avec ses fournisseurs sa hausse des coûts logistiques…

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D’abord les éleveurs demandent un effort de la filière, ensuite ce sont les industriels. Et maintenant la grande distribution ?!

voir aussi Prix du lait : Le nouveau sujet de discorde entre agriculteurs, industriels et supermarchés

Assurer la collecte et la transformation laitières sera difficile, selon la Fnil
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Prix du lait : ou comment l'industrie et le commerce font (un peu) tampon...

Prix du lait : ou comment l'industrie et le commerce font (un peu) tampon... | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le lait : Produit symbolique, consommation régulière, tout est réuni pour que le prix du lait soit un marqueur. A surveiller comme le lait sur le feu ! C’est probablement la raison de l’écart actuel entre l’évolution du prix à la ferme et du prix en rayon…


Que le prix payé aux producteurs soit insuffisant est entendable, que les commerçants et les laiteries en profitent est… faux. C’est même l’inverse…



Cedric's insight:
De janvier à juin en effet, le prix moyen du lait payé au producteur est en hausse de 13 %. En rayon, sur la même période stricto sensu, la hausse atteint 7 %. En élargissant aux prix pratiqués au 12 août, la hausse n’atteint toujours pas 10 %. Ce qui revient à démontrer que le maillon intermédiaire de la filière fait plutôt tampon que l’inverse…
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« Votre alimentation a un prix, Notre métier à un prix ! »

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La Fnsea s’est projetée au contact des parisiens pour les sensibiliser sur la valeur des produits alimentaires et le revenu des agriculteurs.

Depuis trop longtemps le producteur est la variable d’ajustement des distributeurs.

Quand un litre de lait français est vendu 0.88 € en moyenne, le producteur perçoit moins de 0.30 centimes …

Pourtant, la juste rémunération du producteur ne serait pas si néfaste au porte-monnaie du consommateur. Pour un litre de lait, il en couterait 2 cts (!!) de plus au consommateur…

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Lait de consommation : Les transformateurs demandent de « meilleurs prix »

Lait de consommation : Les transformateurs demandent de « meilleurs prix » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Après la grande distribution la semaine passée, au tour des transformateurs d’afficher leur soutien aux éleveurs. Dans un communiqué, le Syndilait s’engage à « répercuter aux producteurs les hausses tarifaires que les distributeurs voudront bien passer au 1er juillet 2017 ».

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Grande distribution : Système U plaide pour une loi qui garantisse des "prix dignes"

Grande distribution : Système U plaide pour une loi qui garantisse des "prix dignes" | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

REPLAY - INVITÉ RTL - Serge Papin en appelle aux pouvoirs publics, et demande la remise en cause de la "loi du plus fort".

Serge Papin plaide pour "une loi plus protectrice. Il faudrait qu'il y ait des prix minimums au moment de la signature des accords pour les matières premières agricoles, comme le lait, la viande bovine, le porc...

Cedric's insight:
Et aussi : Les négociations, l'impossible "équation" entre grande distribution et fournisseur
http://www.rtl.fr/actu/conso/les-negociations-commercialesl-impossible-equation-entre-grande-distribution-et-fournisseur-7787442673
Tous les ans, le dernier jour de février sonne la fin des négociations entre la grande distribution et ses fournisseurs.
Mardi 28 février, à minuit, il ne sera plus possible de négocier. Chaque année, c'est la course entre les grandes enseignes et les industriels afin de déterminer les prix. Une course qui vire même au véritable bras de fer entre les quatre grandes centrales d'achats : Auchan-System U, Intermarché-Casino, Carrefour-Cora, et Leclerc. Face à eux : 10.000 fournisseurs priés de rogner au maximum leurs marges.
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Dernière ligne droite pour les négociations entre industriels laitiers et grande distribution

Dernière ligne droite pour les négociations entre industriels laitiers et grande distribution | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Avant la fin du mois, les deux parties doivent trouver un compromis. Les distributeurs discutent avec les sociétés agroalimentaires pour revoir les prix auxquels ils achètent leurs produits. Les éleveurs, inquiets, suivent ces négociations avec intérêt.

Cedric's insight:
C'est devenu une tradition en plein hiver. Ces tractations se transforment en bras de fer. Mais c'est vrai que cette année les enjeux sont encore plus lourds, plus cruciaux car ça fait maintenant 2 ans que les éleveurs de vaches laitières traversent une grave crise. Il y a de plus en plus d'exploitations au bord du gouffre. Avec une conséquence dramatique : beaucoup d'agriculteurs, qui n'y arrivent plus, se suicident. Les enjeux, en fait, ils sont assez simples.
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Prix : Les ministres surveillent les négociations commerciales

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Souhaitant s’assurer du bon déroulement des négociations en cours, Michel Sapin et Stéphane Le Foll ont réuni le comité de suivi des relations commerciales ce matin, le 9 février 2017.

Le monde agricole, l’industrie agroalimentaire, et la distribution avaient rendez-vous ce matin avec Michel Sapin et Stéphane, pour faire le point sur le déroulement des négociations commerciales annuelles qui s’achèveront le 28 février.

Cedric's insight:
Ces hausses, très attendues et importantes pour les producteurs concernés, doivent être pleinement prises en compte dans les négociations en cours afin d’assurer un juste équilibre entre les intérêts des producteurs, des industriels et des consommateurs », précisent les deux ministères dans leur communiqué de presse.
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Lait : les négociations commerciales mal engagées

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Les négociations commerciales 2017 en cours entre industriels laitiers et distributeurs, qui doivent aboutir avant fin février, semblent mal engagées entre les deux parties qui se renvoient la balle.

Cedric's insight:
De son côté, le distributeur Système U demande dans un communiqué "à ses fournisseurs/industriels de faire figurer dès maintenant dans leurs conditions générales de vente (CGV) le prix de référence du lait payé aux producteurs", comme le demande la loi Sapin 2. "La gravité de la situation et le risque à terme de voir une grande part des exploitations cesser leur activité, nécessitent aujourd'hui un engagement et des actions fortes de la part des acteurs de la filière", assure le distributeur en expliquant que "pour des raisons de calendrier d'application et de non-rétroactivité de la loi, les industriels n'ont pas mis en oeuvre cette disposition" pour les tarifs qui s'appliqueront cette année.
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Prix du lait : Les éleveurs ne sont pas « les fantassins des industriels »

Prix du lait : Les éleveurs ne sont pas « les fantassins des industriels » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Les FDSEA de l’Ouest demandent aux laiteries de penser « prix » avant de penser « volume ». Et elles annoncent que dans les actions à venir, elles cibleront les marques et distributeurs qui ne joueront pas le jeu des négociations commerciales.

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