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Bel promet 456 €/1 000 litres à ses producteurs en 2024 contre 471 en 2023. Ce prix du lait est assorti d’une clause de révision 2 fois dans l’année. Un accord responsable pour l’ensemble de la chaîne de valeur, mais aussi d’une agriculture durable…
Le cahier des charges Mon BB Lait® basé sur une alimentation non OGM de nos vaches, un accès aux pâturages de 150 jours minimum et une stratégie carbone, mis en œuvre pour l’ensemble des adhérents de l’APBO et ainsi pour 100% du lait servant à fabriqué le Kiri, le Babybel, le Boursin et le Cousteron…
Les exploitations qui choisiront de déployer volontairement le complément alimentaire Bovaer verront le prix majoré d’une prime optionnelle de +10 € sur la période d’utilisation, dès le second semestre 2024…
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La fromagerie Vaubernier et des producteurs de lait ont signé la charte du Bon lait mayennais, mercredi 31 mai 2023, deux ans après son lancement. Elle officialise la valeur du lait à 49 centimes le litre pour l’année 2023, « un prix moyen qui permet aux éleveurs de gagner correctement leur vie » selon l’un d’eux… C’est officiel. Deux ans après le lancement du Bon lait mayennais en 2021, la fromagerie Vaubernier, installée à Martigné-sur-Mayenne, a signé une charte avec deux organisations de producteurs. Le document officialise la valeur du litre de lait, collecté dans un rayon de 40 km autour de la fromagerie avant d’être conditionné dans l’Orne à La Chapelle-d’Andaine… Il y a « quinze jours », les trois parties se sont accordées sur 490 € les 1 000 litres, soit 49 centimes le litre de lait pour l’année 2023. Les signataires sont la fromagerie, qui collecte plus de 100 millions de litres de lait par an chez près de 200 éleveurs partenaires, l’organisation de producteurs Vaubernier, qui compte 130 membres, et la section Vaubernier de l’organisation de producteurs FMB (France Milk boards)…
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La chaîne de supermarchés britannique Tesco veut augmenter les prix aux producteurs de lait par litre de lait livré de 40,72 cents à 48,68 cents. C'est une augmentation de 20 %. Cela profite à 520 agriculteurs britanniques…
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Le prix fixe du lait pour 2022 sera de 42 c/L, puis ramené à 40 c/L pour 2023 et 2024. Le prix fixe du lait sera ajusté en fonction des composants réels. Le transformateur prévoit également de verser des primes saisonnières et de durabilité en plus du prix fixe du lait.
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En Normandie, c’est fait ! Dans les autres régions, les discussions étaient encore en cours au 16 mars.
Le site Danone du pays de Bray est plus exposé aux marchés export. La nouvelle formule de prix en tiendra compte.
L’OP Caplait et Danone ont trouvé un accord pour une nouvelle formule de prix du lait qui s’appliquera en 2023. Elle collera davantage à la réalité des exploitations, avec une référence au coût de production moyen de 30 élevages représentatifs de l’OP – au lieu du coût de production du quartile supérieur d’une référence de centre de gestion. De plus, la formule reflétera le mix produit de l’usine de Ferrières-en-Bray, plus orientée sur les marchés export et donc le beurre poudre.
« Nous avons aussi introduit des primes pour les exploitations qui auront réalisé leur diagnostic carbone et leur diagnostic bien-être animal », ajoute Laurent Schatz, responsable amont chez Danone…
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Le prix du lait bio de base pour l'année 2023 sera au minimum de 550 euros les 1000 litres pour les éleveurs engagés avec Les Prés Rient Bio, filiale de Danone en filière bio équitable… « Il aura mis du temps à naître, mais nous sommes satisfaits de cet accord car Les Prés Rient Bio se sont engagés sur une formule de prix intégrant à 100 % un indicateur de prix de revient, calculé sur la moyenne d’un échantillon de producteurs Danone de l’OP, avec une rémunération des exploitants à deux Smic. Le prix minimum garanti par le contrat est ce prix de revient, auquel s’ajoute 10% pour pallier les aléas climatiques et économiques. Au final, cela fera un prix de base moyen de 550 euros les mille litres minimum sur 2023. »… Cet accord concerne 53 exploitations normandes pour 18 millions de litres de lait. Les Prés Rient Bio (LPRB) souligne que ce « contrat équitable est inédit dans la filière laitière bio française » et qu'il assure la position de LPRB « en tête du classement du prix du lait bio ». Il permet en effet de couvrir l'intégralité du prix de revient moyen des fermes laitières…
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Alors que la Coopération laitière a réclamé l’ouverture d’un troisième tour de négociations commerciales, Intermarché a annoncé un premier accord en faveur de la filière.
À compter du 12 septembre, la Laiterie Saint-Père d’Agromousquetaires versera « le prix du lait demandé par les éleveurs pour le mois de septembre, soit 463 € les 1 000 litres prix de base et 513 € les 1 000 litres en moyenne, toutes primes comprises ».
Les enseignes Intermarché et Netto s’engagent par ailleurs « à tendre vers un "prix public conseillé" plancher à 0,95 €/l»…
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427€/1000 litres en conventionnel et 503€/1000 litres en bio pour avril
Un nouvel accord a été conclu entre les deux parties le vendredi 8 avril 2022 : le prix « MonBBLait® » sera revalorisé en 2022 pour 100% de la collecte, et continue à assurer ainsi un lait durable et de qualité…
L'APBO et le Groupe BEL ont signé depuis 5 ans un partenariat matérialisé par un contrat-cadre. Celui-ci prévoit la possibilité de renégociation en fonction d'indicateurs définis. Dans ce contexte économique complexe, les 2 parties sont ainsi revenues à la table des négociations dès l'application de cette clause, début avril 2022 :
- Pour le prix « MonBBLait® », augmentation du prix de référence fixé à l'automne 2021 de + 50 € / 1000 L sur les mois de mars, avril, mai 2022 et de + 45 € / 1000 L de juin à septembre 2022. Pour le 4ème trimestre et afin de donner de la visibilité aux éleveurs, l'augmentation sera de minimum + 35 € / 1000 L, renégociable en septembre 2022 en fonction du contexte économique. Ainsi, pour un lait « MonBBLait® » Bel & l'APBO projettent un prix de référence 38/32 moyen annuel minimum de 413,25€/1000 L, incluant un prix de base, une prime alimentation sans OGM (<0.9%) de 15€/1000L et une prime Vaches aux Pâturages de 6€/1000L. Par ailleurs, le prix final payé aux éleveurs comprend en plus une prime liée au taux de matière grasse et matière protéique du lait livré.
- Pour le lait « MonBBLait® » Bio : augmentation du prix de base fixé à l'automne 2021 de + 25 € / 1000 L sur les mois de mars, avril, mai 2022 et de + 22,5 € / 1000 L de juin à septembre. De même pour le 4ème trimestre, augmentation de minimum 17,5 € / 1000 L, renégociable en septembre 2022 en fonction du contexte économique. Le prix de référence du lait « MonBBLait® » Bio revalorisé varie ainsi entre 503 et 495,5 euros / 1000L en fonction de la période.
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Une soixantaine de producteurs de lait, principalement du sud-Manche et d'Ille-et-Vilaine, se sont réunis devant le tribunal judiciaire de Coutances ce jeudi 24 mars, pour soutenir l'action en justice de leur association Sunlait contre un grand groupe agroalimentaire français, Savencia…
Ces producteurs veulent être mieux rémunérés, conformément à ce qui est acté dans leur contrat. L'action est en justice est portée par Sunlait, association qui réunit six organisations de producteurs de lait en France, soit près d'un millier d'agriculteurs qui vendent tous leur lait à Savencia… Sunlait et Savencia avait établi un contrat en 2018 avec une formule pour calculer le prix du lait payé aux agriculteurs. Mais depuis deux ans, le transformateur ne respecte plus ce contrat, qu'il a dénoncé, estimant "qu'il y avait un trop grand écart avec son environnement économique c'est-à-dire ses concurrents" et "il décide désormais de manière unilatérale du prix qu'il nous paye", expliquent les responsables de Sunlait…
Les éleveurs estiment avoir perdu au total, sur deux ans, 42 millions d'euros
C'est plutôt rare que des éleveurs aillent jusqu'en justice pour se faire entendre de leur client, en l'occurrence, un transformateur. "C'est une manière de se faire respecter car toutes les voies de recours amiables ont été épuisées. Donc soit on laisse tomber et on laisse le rapport de force se déliter, soit on utilise les procédures judiciaires qui sont à disposition de tout citoyen" explique Fabrice Guérin, éleveur laitier installé à Louvigné-du-Désert, à la frontière entre la Manche et l'Ille-et-Vilaine…
« On est là pour faire respecter ces contrats-là et les industriels, même s'ils ont une envergure européenne et un chiffre d'affaires important, ils doivent aussi respecter leurs engagements », affirme Denis Berranger, producteur de lait en Ille-et-Vilaine à Noyal-sous-Bazouges et vice-président de l'association Sunlait
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