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Pendant plusieurs années, Michel Welter a porté la ferme des 1000 vaches. Aujourd’hui consultant, il nous donne sa vision de l’élevage à travers quatre idées fortes…
• Idée 1 : Le Pourquoi des grands troupeaux…
• Idée 2 : Le déclin européen…
• Idée 3 : La rémunération plombe l’attractivité…
• Idée 4 : S’adapter aux salariés…
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Trois ans après son ouverture, la ferme dite des Mille vaches va plutôt bien, selon son responsable. Les opposants, eux, espèrent une fermeture prochaine ou une faillite. 1 Le cheptel et la production 2 La vente du lait 3 L’environnement 4 L’avenir
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Derrière des changements de mode production et de notre agriculture, il y a des industries agro-alimentaires. Ces industries, contrôleront donc toute la chaîne, depuis le type de matières premières et de bêtes, jusqu’à la transformation des aliments et la livraison de plats préparés.
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Repenser l’aménagement du bâtiment, gérer le personnel, amasser les données d’élevage, gérer les imprévus et aussi les critiques extérieures… Autant de paramètres à prendre en compte lors d’un agrandissement de troupeau. La ferme des 1 000 vaches a lancé les hostilités, il est désormais temps de tirer profit de cette expérience ! Pour cela : quelques conseils de Michel Welter, gérant de la SCL Lait Pis Carde.
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Grande structure et bien-être animal sont-ils compatibles ? Dans le premier volet d'une série de trois reportages vidéo consacrés à la ferme des 1 000 vaches, Michel Welter nous parle du confort et du comportement de ses animaux qui « vivent à l’extérieur toute l’année, sous un grand parapluie pour éviter d’être mouillés ».
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Le rapporteur public du tribunal administratif d’Amiens s’est à nouveau prononcé, mardi, pour une annulation d’un arrêté préfectoral enjoignant l’exploitation de revenir à 500 têtes. Un nouvel épisode dans un long feuilleton judiciaire. Le lait de l’exploitation vendu à 343 euros les 1000 litres à une coopérative belge
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« Nous comprenons vos difficultés », écrit le collectif dans ce courrier consulté par l'AFP : « la pression sur les prix et la complexité administrative (...), la diminution du nombre des agriculteurs et le malaise moral », mais « nous vous demandons d'arrêter votre course folle : la course aux volumes et à la baisse des coûts de production, la surproduction qui génère les crises, l'élimination des "moins bons", le dumping environnemental et social, la détresse des animaux ».
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La plus grande ferme de France, à Drucat-le-Plessiel (Somme), a produit l’an dernier 8,5 millions de litres de lait et prévoit d’en livrer 9,5 millions en 2017. Ce lait « industriel », contesté par les associations environnementales et les défenseurs d’une agriculture paysanne, est transformé en Belgique.
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La ferme des mille vaches située dans la Somme sur 8 hectares, aux portes d’Abbeville, a fait couler beaucoup d’encre. Un groupe d’éleveurs de la Manche, membres de la section lait de la FDSEA, a fait le déplacement pour se faire sa propre opinion.
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Qualifiée de modèle intensif par les agriculteurs, la ferme laitière des "1000 vaches" inquiète les professionnels, aussi bien sur la question de l'emploi que de l'écologie. Pour Barbara Pompili, secrétaire d'État, le projet va énormément pénaliser les agriculteurs.
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Le Conseil d’État a rejeté le recours de la ministre de l’Environnement et d’associations de protection de l’environnement contre les ordonnances suspendant la mise en demeure et l’astreinte journalière infligées aux exploitants de la ferme dite "des mille vaches", a fait savoir l'institution dans un communiqué mercredi.
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La triste nouvelle de la disparition du fondateur du groupe Ramery, décédé vendredi des suites d’une longue maladie... Le fondateur du groupe qui sut racheter plus de soixante sociétés depuis sa création en 1972 était aussi bien respecté par la communauté patronale, ses pairs, qu’il était contesté pour sa manière de passer en force, parfois. Référence faite à sa dernière grande aventure, la création d’une ferme des mille vaches dans la Somme, près d’Abbeville, une hérésie de production industrielle de lait pour ses détracteurs, un dossier qui lui valut de devenir la bête noire des écologistes et de la Confédération paysanne. Un rêve d’agriculteur contrarié, il avait passé à 60 ans un BEP agricole pour passer du bulldozer aux vaches… Pour autant Michel Ramery laissera-t-il d’abord l’image d’un grand patron. Son groupe emploie aujourd’hui dans la région plus de 3 000 salariés pilotés depuis le siège social d’Erquinghem-Lys inauguré en 2009, peu de temps avant la prise de recul de cet enfant de l’après-guerre né le 25 mai 1949 et qui toute sa vie, voulu revivre les ambiances de la ferme où il put grandir. Michel Ramery avait l’habitude de dire qu’il travaillait quatorze heures par jour. Une âme de paysan, une vie d’entrepreneur. Le groupe de BTP perd en tout cas son fondateur, qui était devenu l’un des hommes les plus riches de France (il était la 361e fortune de France, selon le magazine Challenges).
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Controverse, manifestations, imbroglio judiciaire: trois années ont passé et la ferme “des 1.000 vaches” a creusé son sillon à Drucat (Somme), mais les opposants estiment avoir gagné la bataille idéologique à l’heure du bio et des circuits courts.
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Le Conseil d’État a été saisi le 16 novembre sur le dossier de la ferme « des 1 000 vaches ».
La SCEA est accusée de ne pas avoir respecté le seuil des 500 animaux fixé préalablement par arrêté.
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Certains lecteurs de Web-agri répondent "non" sans appel. Comment voulez-vous que des vaches qui ne sortent jamais et ne pâturent pas soient heureuses ? D'autres rétorquent qu'il vaut mieux être dans un bâtiment que dans la boue, sous la pluie... Au-delà des conditions de pâturage, vos commentaires posent la question du modèle d'élevage que la France, et notamment les consommateurs, souhaitent pour l'avenir. Le respect du bien-être animal est essentiel, mais celui de l'éleveur l'est tout autant, comme la préservation de son revenu et de la compétitivité de la filière laitière française vis-à-vis des autres pays.
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À grande échelle, on a tendance à croire que la santé et même l’alimentation des animaux d’élevage sont négligées.
Pour la suite de cette série spéciale sur la compatibilité entre le bien-être animal et l'élevage intensif, la ferme des 1 000 vaches nous montre son système de conduite en lots permettant d'assurer une bonne alimentation et de préserver la santé du troupeau.
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Dernier épisode d'une lutte entre éleveurs et opposants à l'agriculture "productiviste" autour d'une exploitation de la Somme, la justice administrative a donné jeudi son feu vert à l'augmentation du cheptel de la ferme dite des 1.000 vaches, jusqu'ici limité par l’État à 500.
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Le rapporteur public de la cour administrative d’Amiens a donné raison mardi à l’exploitant de la ferme des « 1 000 vaches » en se prononçant en faveur d’une annulation des arrêtés préfectoraux le mettant en demeure de revenir à 500 vaches, alors qu’il en a 862.
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Michel Welter, est le directeur de la controversée ferme des 1000 vaches, une exploitation bovine installée à Drucat-le-Plessiel (Somme). Dans une interview accordée à Ouest France, il revient sur la polémique déclenchée par l'ouverture de son exploitation et défend les méthodes utilisées dans sa « petite ferme ».
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L’affaire" de la ferme des 1000 vaches est très symptomatique du manque de discernement de nos concitoyens et de certains agriculteurs en ce qui concerne notre avenir agricole.
En résumé :
- Le high-tech c’est bien et parfois mieux (s’il peut réellement aider l’agriculteur dans sa vie quotidienne : gain de temps, automatisation, compilation de données, réaction en temps réel, etc.) mais ne ça sert à rien sans le low-tech ;
- Le low-tech performant est souvent synonyme d’individus high-tech (innovants, curieux, pro-actifs, marginaux, etc.) qui peuvent utiliser indifféremment du low-tech (poste à souder, connaissance du sol, intuition) que du high-tech (drone, robots, réseaux sociaux) ;
- Ça n’empêche pas de trouver des " low-tech " très sympathiques mais en dehors du coup et des " high tech " désagréables également à côté de la plaque (l’inverse est tout aussi vrai).
En conclusion :
- Le problème du low-tech c’est qu’il est complexe à diffuser et à mettre en oeuvre puisqu’il est basé sur l’expérience, la connaissance, l’intelligence et le partage ;
- Le hightech est coûteux mais relativement simple à mettre en œuvre (il suffit de lire le mode d’emploi puisque les chercheurs et ingénieurs qui ont créé le procédé ont réfléchi à votre place - parfois brillamment d’ailleurs).
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Les opposants à l'élevage à grande échelle, qui font aujourd'hui leur troisième "Fête anti-mille vaches" à Drucat (80), reprochent à l'exploitation de tirer les prix vers le bas et de tuer les agriculteurs. Son gérant pense au contraire qu'il crée de l'emploi et représente l'avenir de l'agriculture.
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Trois syndicats d'agriculteurs ont déversé sur la route à la frontière franco-belge le chargement de lait d'un camion revenant de la ferme dite des « 1 000 vaches », pour protester contre son modèle d'agriculture intensive.
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Une cinquantaine d’éleveurs français (Confédération paysanne) et belges (MIG/FMB, FUGEA et MAP) bloquent en ce moment l’entrée de la coopérative Milcobel à Langemark, en Belgique, qui collecte quotidiennement, entre autres, plusieurs dizaines de milliers de litres de lait de l’usine des 1000 vaches. Communiqué Confédération …
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L'association Novissen, qui lutte depuis quatre ans contre la ferme dite des 1.000 vaches en Picardie, a rendu jeudi un avis défavorable au projet d'extension de l'exploitation à la fin de l'enquête publique. Mi-octobre, la préfecture de la Somme s'est retrouvée sous les feux croisés des protestations des défenseurs et détracteurs de la ferme dite des "1.000 vaches" pour avoir lancé une nouvelle enquête publique sur ce dossier. L'exploitant a en effet demandé de porter son troupeau à 880 vaches laitières. Fin août, la préfecture avait confirmé les sanctions administratives contre la ferme située à Drucat, près d'Abbeville. Ces mesures résultaient d'un dépassement très important du plafond de têtes de bétail par exploitation, fixé par arrêté préfectoral à 500. Des inspecteurs avaient constaté en juillet que cet élevage était constitué de 763 vaches.
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