Lait de Normandie... et d'ailleurs
209.3K views | +11 today
Follow
Lait de Normandie... et d'ailleurs
Your new post is loading...
Your new post is loading...

Des Tags pour vos recherches

Current selected tags: 'volatilité', 'marché à terme'. Clear
Scooped by Cedric
Scoop.it!

EEX : Nouveau record sur les contrats à terme sur les produits laitiers

EEX : Nouveau record sur les contrats à terme sur les produits laitiers | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it


En octobre 2017, le volume négocié sur les contrats à terme sur les produits laitiers EEX a atteint un nouveau record. Au total, un volume de 14 140 tonnes (soit 2 828 contrats) a été échangé, soit plus de 4 fois le volume d’octobre 2016 (3 490 tonnes, soit 698 contrats).

Le volume mensuel total comprenait 6 030 tonnes de contrats à terme sur le beurre, 7 285 tonnes de contrats à terme sur la poudre de lait écrémé et 825 tonnes de contrats à terme sur la poudre de lactosérum.

Depuis le lancement des produits agricoles en mai 2015, les volumes de transactions, en particulier dans le segment des produits laitiers, n'ont cessé de croître.

Avec le lancement prévu d'un Liquid Milk Future en 2018, EEX serait la première bourse européenne à proposer un produit laitier liquide à commercialiser et compléterait ainsi son offre en produits laitiers avec un outil supplémentaire de couverture directe des prix.


Et aussi : Les contrats à terme pourraient-ils résoudre le problème de la volatilité des prix du lait ?

Sur http://www.agriland.ie/farming-news/world-dairy-summit-could-futures-contracts-solve-the-problem-of-milk-price-volatility/

Les dirigeants de l'industrie laitière ont débattu cette semaine au World Dairy Summit des avantages et des inconvénients de l'utilisation de contrats à terme. Les opinions sont mitigées sur la question de savoir si les contrats à terme étaient la réponse à la volatilité. Certains affirment qu'il donne davantage d'avertissements sur les changements de prix à venir, tandis que d'autres mettent en garde contre l’enfermement dans un contrat à long terme.


No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Produits laitiers : « Il existe des outils pour couvrir les risques de fluctuation de prix  »

Produits laitiers : « Il existe des outils pour couvrir les risques de fluctuation de prix  » | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Face à la volatilité des prix, les acteurs de la filière laitière cherchent à sécuriser leurs recettes. Les marchés à terme mais aussi les marchés des « futures  » peuvent les aider à gagner en visibilité, y compris pour les éleveurs.

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Gestion des risques : Quand l'Irlande s'intéresse aux marchés à termes

Gestion des risques : Quand l'Irlande s'intéresse aux marchés à termes | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Ireland is ideally placed to develop Europe’s first dairy sector futures and options index.

Speaking at the IFA-hosted ‘Making Risk Management Work for Farmers’ seminar in Co Laois, representatives of Ornua, ICOS, Department of Agriculture and financial brokerage FCStone agreed that an index would be vital platform upon which to build an Irish commodity price hedging industry. Seminar attendees heard how US farmers manage price volatility by taking fixed prices for 20% or more of their annual milk output. Either individually or via their co-ops, the US farmers take “Class II milk future quotes”, fixed prices for future milk output set by the Chicago Mercantile Exchange.

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Le marché à terme pourrait freiner le choc des prix des produits laitiers

Le marché à terme pourrait freiner le choc des prix des produits laitiers | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Un système de "contrats à terme" sur les produits laitiers pourrait être salutaire pour l'industrie laitière britannique, car il aiderait à gérer la volatilité qui est devenue la norme pour le secteur. Les avantages potentiels des contrats à terme sur les produits laitiers pourraient valoir la peine d'être explorés alors que l'industrie se rétablit du dernier ralentissement du marché.

Les contrats « futures » sont des accords normalisés et juridiquement contraignants pour acheter ou vendre un produit spécifique à l'avenir. L'acheteur et le vendeur s'entendent sur un prix aujourd'hui pour qu'un produit soit livré ou réglé en espèces à une date ultérieure, le contrat précisant la quantité et la qualité de la marchandise ainsi que l'heure et le lieu de livraison et de paiement.

Appliqué aux marchés laitiers, les « futures » permettraient aux producteurs et aux fabricants de limiter leurs risques de prix, car ces marchés attirent ceux qui acceptent de prendre des risques, en contrepartie de bénéfices potentiels.

« Nous voulons des outils novateurs qui contribuent à équilibrer le risque de prix entre agriculteurs, processeurs et utilisateurs finaux, et les contrats à terme sur les produits laitiers pourraient être une réponse ».

«Les contrats à terme offrent également une plus grande transparence quant aux attentes du marché à moyen terme». Cela permet à la chaîne d'approvisionnement de planifier à l'avance, de gérer la production et, en fin de compte, d'atténuer les risques.

No comment yet.
Scooped by Cedric
Scoop.it!

Quand les spéculateurs lorgnent sur nos assiettes

Quand les spéculateurs lorgnent sur nos assiettes | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Une initiative de FranceAgrimer et de Philippe Chalmin visait à convaincre les journalistes que la formation des prix agricoles ne pouvait que résulter de la loi de l’offre et de la demande dans le cadre de la mondialisation des échanges de produits alimentaires qui ne représentent pourtant qu’un peu plus de 10% de la consommation mondiale.

Cedric's insight:
Aux yeux des spéculateurs, les céréales, les produits laitiers et les viandes ne sont que des « commodités » comme le disent dans les salles de marchés ceux qui achètent sur le marché à terme...
D’où ce commentaire désabusé de Philippe Chalmin : « ça fait trois ans qu’on n’a pas eu une bonne catastrophe climatique à se mettre sous la dent, sauf sur le marché du sucre ».
Voilà ce qui aurait manqué pour le blé, le riz et le maïs, empêchant les spéculateurs de s’en donner à cœur joie. Car, toujours selon Philippe Chalmin, il faut désormais s’habituer à vivre sans les outils de régulation dont étaitdotée naguère la Politique agricole commune en Europe.
Selon lui nous assistons même au «retour à une situation d’avant 1936 avec l’instabilité des prix à gérer au long des filières».

No comment yet.