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Début 2024, l'offre en vaches de réforme O est faible en Europe. D'autre part, le cheptel bovin européen est en baisse. Deux facteurs qui soutiennent les prix des vaches de réforme O…
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Le manque d’offre maintient difficilement les prix des réformes laitières françaises, les plus chères d’Europe…
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En décembre 2022, les abattages de bovins sont en repli pour le 12ème mois consécutif
Les abattages de vaches laitières sont en repli de 6,8 % en têtes sur un an. A 4,85 €/kg carcasse, le cours moyen de la vache de type « O » dépasse de 1,20 € le niveau de 2021… L’offre limitée en France et en Europe contribue à soutenir les cours à des niveaux élevés. Dans un contexte d’augmentation de la consommation, les importations augmentent sur un an tandis que les exportations reculent, continuant à creuser le déficit commercial…
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Après presque deux ans de hausse quasi ininterrompue, les prix des vaches mixtes et laitières et dans une certaine mesure allaitante donnent des signes d’essoufflement…
Semaine assez tendue sur le marché de la viande bovine. Car la consommation est toujours en net repli. Selon des données Kantar rapportées par la FCD, les achats des ménages de viande de bœuf reculaient de 12,3 % en cumul annuel mobile à fin août…
Les prix au consommateur de la viande bovine ont bondi de 12 % entre août 2021 et août 2022. L’offre française demeure néanmoins très réduite : en moyenne sur les semaines 41 à 44, les abattages de gros bovins se situaient 5,1 % sous leur niveau de l’an dernier, la baisse atteint même 7 % pour les vaches mixtes et laitières, selon les remontées auprès d’Interbev…
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Depuis 2021, la faiblesse de la production des grands pays exportateurs mondiaux fait face à la vigueur de la demande. Le point avec Caroline Monniot, agroéconomiste à l’Institut de l’élevage…
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Dans ce contexte, insister sur la finition de ces animaux peut devenir intéressant. Si la vache à réformer prend 70 kg de poids, les frais engagés sont couverts et rémunèrent le temps passé. Le gain potentiel reste très relatif. Il faut le réserver à des vaches jeunes, avec du potentiel de prise de poids et sans soucis sanitaires…
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Avec le nombre important de réformes allaitantes et laitières, l’Institut de l’Elevage-Idele prévoit une nouvelle augmentation de la production française de viande bovine en 2017 (+ 0,7 %/2016), soit une quatrième année de hausse après le point bas de 2013. Les volumes resteront toutefois inférieurs au niveau de 2012. La production européenne est également attendue en légère hausse, de l’ordre de 1 %. Si les importations de viandes étrangères ralentissent, les exportations pourraient quant à elles légèrement progresser. La consommation française par bilan baisserait alors de 0,8 %.
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L'année 2023, le prix de la vache laitière de réforme aura été marquée par le retour de la saisonnalité, après deux ans d'absence. Qu'en sera-t-il en 2024 ? Si l'Idele ne se prononce pas sur des niveaux de prix, l'institut prévoit que le volume des réformes laitières sera de nouveau significativement réduit, avec un ralentissement attendu de la décapitalisation…
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Les abattages de bovins continuent de se replier par rapport au niveau bas de 2022. Les abattages de vaches laitières, quasi stables sur un an (+ 0,4 % en têtes), sont en repli de 9,1% par rapport à la moyenne 2018-2022. À 4,85 €/kg carcasse, le cours moyen de la vache de type « O » dépasse de 0,80 €/kg son niveau de 2022… La cotation Interbev de la vache « O » est repassée, depuis la mi-mars, au-dessus de 5 €/kg carcasse. En semaine 12 (20 au 26 mars), elle s’est établie à 5,02 €/kg…
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À compter du 1er janvier 2023, la contractualisation voulue par la loi Egalim 2 devient obligatoire pour les vaches de réforme et les petits veaux laitiers…
Théoriquement, fini les ventes de gré à gré où l’on négocie les prix des petits veaux ou des réformes dans la cour de la ferme. Dès le 1er janvier 2023, toute vente de bovin sur le territoire français est soumise à la contractualisation obligatoire. Cela inclut tant les vaches que les veaux laitiers. Les sanctions encourues sont une amende administrative pouvant grimper jusqu’à 2 % de votre chiffre d’affaires. En pratique, il n’y a pas lieu de s’alarmer…
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Les abattages de vaches laitières sont inférieurs en têtes de 2,1 % sur un an. Les niveaux du prix du lait standard incitent les éleveurs à garder les vaches dans les exploitations, malgré les conséquences de la sécheresse sur les volumes de la production fourragère. Face à une demande soutenue et une offre limitée, le cours de la vache de type « O » dépasse de 1,59 €/ kg le niveau de l’an dernier.
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En avril 2022, le cours moyen de la vache O a dépassé de 44,3 % son niveau d’avril 2021, à 4,6 €/kg carcasse, celui de la vache R a atteint 5,02 €/kg carcasse (+ 23,1 % sur un an)…
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Jusque début avril, les éleveurs de vaches laitières ont préféré retenir des vaches pour profiter de la hausse du prix du lait et produire du lait avec des fourrages largement disponibles. Reste à voir si cette tendance se poursuivra…
A 4,56 €/kg de carcasse début avril, la cotation de la vache O en France affichait un prix très élevé, en hausse de 43% par rapport à la même période 2021 (+55%/2020), d'après l'Institut de l'élevage. La cotation de la vache P atteignait 4,45 €/kg début avril (+49% /2021 et +66% /2020)…
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La Commission européenne prévoit en 2016 une production de viande bovine en hausse de 3,3 %. Pourquoi ? À cause de l’afflux de vaches laitières et grâce à une demande tonique à l’exportation.
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