Lait de Normandie... et d'ailleurs
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Lactocore Group exploite les peptides du lait pour lutter contre les inflammations

Lactocore Group exploite les peptides du lait pour lutter contre les inflammations | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Des données récentes indiquent que l’hydrolysat de protéines du lait est une source prometteuse de nouveaux peptides bioactifs. Ces peptides ont une application potentielle dans la correction des troubles métaboliques inflammatoires et associés à l’âge…


Plusieurs études ont rapporté des effets métaboliques bénéfiques des hydrolysats de protéines du lait, notamment un meilleur contrôle glycémique, une meilleure utilisation du glucose et un métabolisme lipidique optimisé. Pour résoudre cette énigme, Lactocore Group se concentre sur l’isolement et l’optimisation des composants les plus bénéfiques du lait, en particulier les peptides régulateurs…


L’un des principaux candidats médicaments du groupe Lactocore, un peptide nommé CHM-273S, diminue le poids et l’appétit et normalise le métabolisme du glucose. L’étude a également montré une réduction de l’inflammation systémique, du poids corporel et du pourcentage de graisse viscérale chez les rongeurs. Notamment, ces effets étaient comparables à ceux de la metformine, un autre candidat envisagé pour traiter les inflammations chez l’homme…

Cedric's insight:
Les scientifiques du Groupe Lactocore ont obtenu des résultats prometteurs indiquant que les peptides de leur lait ont le potentiel de prolonger la vie en bonne santé. Bien que ces résultats soient pour l’instant basés sur des études sur les poissons, ils offrent des implications intéressantes.
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Altermonts : un collectif pour mieux valoriser la production laitière

Altermonts : un collectif pour mieux valoriser la production laitière | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Dans les monts du Lyonnais (Loire), quatre fermes d’élevage bovin laitier ont créé une fromagerie collective bio, Altermonts. L’objectif : mieux valoriser leur lait et développer une filière résiliente et respectueuse de l’environnement…


Altermonts a été imaginé en 2015. Pendant quatre ans, l’idée de la fromagerie mûrit, nourrie par de nombreuses rencontres : les neuf agriculteurs du collectif sont, pour la plupart, engagés dans les réseaux d’agriculture paysanne, les associations locales... En novembre 2019, l’équipe lance un financement participatif, appuyé par une solide campagne de communication, qui leur permet de récolter 40 000 €. En 2020, le projet se concrétise…

Cedric's insight:
En 2023, Altermonts réunit quatre fermes, neuf paysannes et paysans, environ 180 vaches laitières, pour 250 hectares de surface. La fromagerie en elle-même emploie trois salariés à temps plein. Environ 370 000 L de lait, soit un tiers de la production laitière des fermes, sont transformés chaque année en fromage (meules, tomes et raclettes). Le reste de la production laitière continue d’être collecté par leur coopérative.
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Point de vue, suite : les défis de la filière laitière française

Point de vue, suite : les défis de la filière laitière française | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

L’analyse économique de la répartition du prix final d’un litre de lait est presque toujours biaisée. Les deux principales propositions du monde syndical agricole sont, non seulement anti-économiques, mais vont profondément à l’encontre des intérêts de la profession…


L’entrepreneuriat ne peut fonctionner correctement que si les prix sont vrais, et si les quantités ne sont pas manipulées par des quotas. Un quota n’est qu’une aide temporaire et maladroite qui ne bénéficie jamais au consommateur et qui ne profite aux producteurs que l’espace d’un instant…


Une partie de l’empressement à supprimer les quotas était de permettre aux exploitations laitières européennes les plus efficaces d’augmenter leur production et de participer à la demande mondiale croissante de produits laitiers…


Si le gouvernement voulait sérieusement sauver la filière laitière – ce dont nous pouvons douter au regard du contenu insensé de la loi Egalim – il faudrait immédiatement et massivement défiscaliser le secteur, comme, du reste, le reste de l’économie…


Si le consommateur n’est prêt à payer que 90 centimes le litre, il est parfaitement impossible de donner aux agriculteurs les 55 centimes dont ils ont besoin. Il faudrait donc drastiquement diminuer les coûts des facteurs de production des agriculteurs, des entreprises agro-alimentaires et des grandes surfaces d’au moins 10 à 15 centimes…


Il n’existe que deux recettes économiques éprouvées en la matière. La première est l’augmentation de l’intensité en capital, ce qui prend des décennies et réclame énormément de capital. La seconde est une baisse massive des impôts en tous genres payés par tous les acteurs de la filière…


Dans un tel contexte, l’exploitant est seul face aux forces de marché et face à l’État. Il a été trompé jusqu’en 2015 sur l’état réel de la demande de lait par l’existence des iniques quotas de l’Union européenne. Il existe cependant un espoir qui est de transformer le lait en un autre produit à forte valeur ajoutée…


Kolkhoze ou marques ? Les AOC, AOP et IGP jouent le même rôle qu’une marque de luxe en restreignant la production potentielle. Le fromage n’est évidemment qu’un exemple parmi d’autres dérivés possibles, et de très nombreux agriculteurs font déjà d’énormes efforts pour essayer d’écouler leurs produits à travers des coopératives. Le « secret » n’est pas dans l’industrialisation, mais dans la différenciation des produits : personne ne peut faire du Beaufort en dehors de la zone…


Ce ne serait pas une solution instantanée – il a fallu des décennies pour que Beaufort établisse sa suprématie économique – mais elle aurait le mérite de ne pas distordre le marché une fois de plus en créant de faux droits, tout en flouant le consommateur et le contribuable…

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voir aussi Point de vue - Le prix du lait : mythes et réalités d’un défi économique

La vérité troublante : la consolidation de l'industrie laitière américaine et son impact - 20 ans d'examen
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[Témoignage] L'engraissement de croisés a remplacé la vente de reproducteurs

[Témoignage] L'engraissement de croisés a remplacé la vente de reproducteurs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Déçu par la valorisation des veaux laitiers, Matthieu Gourlin, éleveur dans l'Aisne, s'est lancé dans le croisement viande, puis dans l'engraissement de bœufs croisés pour valoriser la viande issue du lait sur son exploitation…

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Créer sa marque à plusieurs pour mieux valoriser son lait

Nouvelle-Aquitaine : Direction la Ferme du Futaie pour découvrir leur fabrication de produits laitiers en alliance avec la marque "Invitation à la Ferme"…

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Alimentation animale : une base de données pour suivre les flux de matières premières

Alimentation animale : une base de données pour suivre les flux de matières premières | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Le site ORIFLAAM va permettre de mieux connaître les quantités et la nature des matières premières liées à l’alimentation des animaux d’élevage. Il pourra être utilisé par le monde agricole, les organismes de recherche ou encore les pouvoirs publics…

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en savoir + sur Oriflaam - Observatoire des Ressources Incorporées dans les Flux de l'Alimentation AniMale : Que mangent les animaux d'élevage ?

voir aussi GIS Avenir élevage : flux de biomasses
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Production de glace : un débouché alléchant pour les éleveurs

Production de glace : un débouché alléchant pour les éleveurs | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Pour le moment, les industriels (Unilever, Nestlé General Mills et Mars) se partagent le gros du marché. Les glaces artisanales à la ferme ne représentent encore que 15% de la production française de glace laitière…


« C’est assez accessible et plus facile que de faire du fromage. La seule complexité, c’est la recette », avec des prix de départ avoisinant les 50 000 € pour un démarrage « clé en main ». Un investissement vite rentabilisé. « Avec 10€ le litre de glace, il y a possibilité de faire un chiffre d’affaires de 100 000€ dès la première année »…


« Aujourd’hui les gens sont prêts à mettre 5€ dans une glace, mais refusent de dépenser 1€ dans une brique de lait. » Seule ombre au tableau, la demande reste très météo dépendante…

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voir aussi [Témoignage] Une diversification réussie pour l’Étable glacée à Souzy
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Ingrédients laitiers : Développer le cracking du lait pour gagner en valeur ajoutée

Ingrédients laitiers : Développer le cracking du lait pour gagner en valeur ajoutée | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

«Les ingrédients laitiers ne sont plus la cerise sur le gâteau mais bien le gâteau lui-même », annonçait sans détour, Christophe Lafougère, consultant chez Girafood…

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voir aussi [Diaporama] Marchés des ingrédients laitiers : nouvelle source de valeur pour la filière laitière
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[Diaporama] Travaux de valorisation des mâles laitiers à Mauron

[Diaporama] Travaux de valorisation des mâles laitiers à Mauron | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it
Produire des carcasses de 300 kg à 17 mois en maximisant la valorisation de l’herbe, c’est possible !

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L’export de veaux laitiers nourrissons français a triplé en six ans

L’export de veaux laitiers nourrissons français a triplé en six ans | Lait de Normandie... et d'ailleurs | Scoop.it

Actuellement, la valorisation des veaux laitiers reste une problématique dans un grand nombre d’élevages à la fois en France, en Europe et dans le monde. Si Interbev et le Cniel ont commencé un travail pour rendre la filière veau plus durable, il n’y a, à ce jour, pas de méthode miracle…


Développer les bouvillons ?


L’Institut de l’élevage l’affirme : « Il n’y a pas d’équation parfaite. Si toutes les valorisations trouvent des débouchés, sur le marché local ou à l’export, il reste difficile de dégager de cette étude une équation parfaite ».


Toutefois, l’utilisation d’herbe dans les rations est plébiscitée pour la production de bœufs et de bouvillons. À la fois pour des raisons d’image et aussi de coût de production. Toujours d’après l’Institut, le développement du bouvillon laitier serait une piste à creuser pour mieux valoriser les veaux laitiers…

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voir aussi S'inspirer de nos voisins pour mieux valoriser les veaux laitiers

Dossier Idele : Valorisation des veaux laitiers : comparaison dans 10 pays

L’Institut de l’Elevage, en étroite collaboration avec Interbev lance le projet « Le Veau durable »
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