Celui qui définit le cahier des charges construit le story telling et maîtrise le partage de la valeur ajoutée.
La plupart du temps, c’est l’industriel transformateur qui détermine le cahier des charges du produit. C’est lui aussi qui raconte l’histoire pour promouvoir son produit et emporter le consentement à payer du consommateur. Et c’est donc lui qui empoche l’essentiel de la valeur ajoutée…
Parfois, c’est la distribution qui prend cette place, notamment via les MDD (30 à 46% des ventes en GMS). De plus en plus souvent, ce peut être aussi la RHD (30% des dépenses alimentaires). Presque jamais l’agriculteur, sauf en vente directe et circuit court local ou via les labels...
Il faut savoir convaincre le consommateur avec un story telling et un cahier des charges qui lui parlent. Et c’est encore mieux lorsqu’il participe à la construction du cahier des charges et qu’il est à l’origine du narratif. C’est ainsi le cas de l’initiative du « Juste prix » lancée par CQLP…