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Le manque d’offre maintient difficilement les prix des réformes laitières françaises, les plus chères d’Europe…
Cedric's insight:
voir aussi La baisse du cheptel bovin s’accélère en France https://sco.lt/6XSnyq 
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La flambée des prix des concentrés, des engrais ainsi que de l’énergie pourraitentraîner une hausse des charges allant, pour une exploitation moyenne, jusqu’à 61 euros pour 1 000 litres, calcule l’Idele... Via IDELE Institut de l'Elevage
Cedric's insight:
Voir aussi Impact de la hausse des matières premières sur les coûts de production Vers une hausse des coûts de production de 15 à 61 €/1 000 l https://sco.lt/6dyVtY Conjoncture : Des coûts de production en forte hausse
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Les trois associés du Gaec de l’automne, à Allonnes (Maine-et-Loire), ont choisi de changer de race pour augmenter leur revenu, grâce à des taux plus élevés. Miser sur la qualité du lait plutôt que la quantité leur a permis de gagner près de 100 euros de plus par tonne.
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Le marché des vaches s’affiche à deux vitesses. D’un côté les laitières, plombées par les importations, de l’autre les allaitantes, qui résistent mieux… Les prix des vaches laitières O ont certes repris 3 centimes en semaine 20, mais c’est après avoir baissé de 19 centimes depuis début avril. Même tendance au léger rebond pour la vache lait P, dont le prix est repassé sous son niveau de l’an dernier début mai… En cause, la pression des importations, notamment polonaises. La cotation française est encore largement au-dessus des autres références européennes ce qui conduit à un flux d’importation, en grande partie destinées à la restauration hors foyer et pour la transformation mais qui commence à se voir en grande surface sous des étiquettes de luttes contre l’inflation…
Cedric's insight:
Les prix vaches allaitantes résistent mieux, en jeunes bovins, baisse saisonnière modérée…
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L’embargo russe sur plusieurs produits européens, en vigueur depuis 2014, a fait flamber le prix du lait dans le troisième marché du groupe français. Danone ne se contente plus de produire des yaourts , il investit dans les vaches. En Russie, du moins. Le géant de l'agroalimentaire a acheté une ferme de 60 hectares en Sibérie et y a envoyé 5.000 bovins, selon une information de Bloomberg. L'objectif du groupe français ? Produire directement du lait sur place pour limiter l'impact de l'inflation sur ses produits...
Cedric's insight:
et aussi : L’embargo alimentaire a-t-il profité à la Russie ?
sur https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/cercle-173171-lembargo-alimentaire-a-t-il-profite-a-la-russie-2110012.php
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