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Les industriels laitiers devraient continuer de privilégier les fabrications de fromages. Au niveau de la poudre de lait, c’est un bond des exportations qui est attendu cette année…
• La transformation fromagère devrait rester privilégiée par les industriels laitiers à court terme
• Davantage de fromages et de lactosérum
• Reprise des exportations de poudre de lait écrémé en 2023
• La consommation de beurre devrait rebondir
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Les laboratoires des gros industriels et des PME du secteur des crèmes et des desserts lactés tournent à plein régime. L'objectif : créer des produits innovants pour faire saliver les clients et les pousser à l'achat malgré l'inflation…
Le marché des desserts ultrafrais décline de 1,4 % sur un an en cumul annuel mobile en février 2023 à 5 Mrds€ (CA des desserts ultrafrais, à + 5,8 %,- 1,4 % en volume)…
Le principal coupable : les crèmes, à- 6,8 % en volume sur l'année 2022. « Le fond de rayon et la promotion y sont en recul. La forte hausse des prix au cours des quatre derniers mois de 2022 peut aussi expliquer cette chute », analyse Thibault Crepy, chargé de clientèle chez Iri. « Les consommateurs se sont tournés vers les MDD, surtout depuis septembre. Ils pratiquent également le “downtrading”, passant d'une marque chère à une marque moins chère »…
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• Les Laiteries H. Triballat minimisent les risques en multipliant les marchés
Pour les Laiteries H. Triballat, la diversification des pays dilue les risques, et ce, malgré les perturbations actuelles. Le pilotage de l’export se fait différemment, mais est toujours source de croissance.
• Une acquisition décisive pour Bel en Chine
Déterminé à devenir leader sur le marché chinois en pleine croissance, le groupe Bel a acquis en 2022 une participation majoritaire dans une société chinoise. Une étape décisive de son expansion en Asie.
• Paysan breton mise sur l’Asie
La marque Paysan breton exporte 25 % de ses volumes en Asie, notamment au Vietnam et en Corée du Sud. Le groupe Laïta continue d’investir sur cette zone pour renforcer ses positions…
• « L’Asean reste une zone majeure », selon Lactinov
L’Asean, le Moyen-Orient et l’Afrique sont des régions déficitaires en lait. Même si certains pays investissent dans la production, ils seront difficilement autosuffisants à court et moyen terme.
• Les États-Unis, une destination d’exportation à soigner
Les États-Unis restent une destination à privilégier pour les fromages et les beurres français. Immense, le marché y reste accessible, passé les formalités administratives. Huitième client de la France en valeur, les États-Unis sont notamment une destination à fort potentiel pour les fromages et le beurre français…
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Initialement, l'industrie laitière s'était fixée comme objectif de réduire la teneur en sucre ajouté de 8% entre 2012 et 2020. Elle a réussi à atteindre une réduction de 15 %. La Confédération belge de l'industrie laitière (CBL) ajoute que plus de la moitié de la gamme des produits laitiers ne contient aucun sucre ajouté…
En 2020, le but était largement atteint avec une réduction de 12 %, passant même à 15 % en 2021. L'année dernière, les transformateurs laitiers ont prouvé que, même sans engagement formel, de grandes mesures peuvent être prises, ce qui a abouti à une réduction totale des sucres ajoutés de 15 %...
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Apparemment, la crise agricole n’est pas la même pour tout le monde. Comme le montre notre infographie, depuis trois ans, les trois plus grandes familles laitières françaises, qui possèdent de nombreuses marques de premier plan (Président, Lactel, Kiri, Gervais, Coeur de Lyon...) ont vu leur fortune augmenter de 48% en moyenne. Des milliards d’euros prélevés sur la valeur ajoutée produite par la filière, tandis que la majorité des éleveurs fait face à des difficultés financières de plus en plus insupportables, à tel point que les petites exploitations ferment les unes après les autres.
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La filière laitière agrège la production de 400.000 producteurs autour de 82 industriels et contribue à employer 450.000 personnes. Cinq entreprises (Centrale Danone, Jaouda, Jibal, Les Domaines Agricoles (marque Chergui), Colinor) génèrent 75% du chiffre d’affaires total du secteur.
Or la consommation marocaine reste inférieure de 36% à la moyenne mondiale, malgré une croissance importante au cours des 40 dernières années. Cette tendance baissière est attribuée à plusieurs facteurs et représente un manque à gagner pour la filière.
L’élevage laitier au Maroc représente 1,2 million de têtes pour 2,45 milliards de litres produits/an. 90% des exploitations disposent de moins de 10 vaches laitières. Valeur aujourd’hui, 60% de la production est destinée au lait industrialisé contre 20% pour l’autoconsommation locale ou encore 20% pour le lait de colportage.
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Le premier ministre a donné instruction de ne plus délivrer d’agréments pour la création de nouvelles laiteries et semouleries, ni de ne plus approvisionner en produits subventionnés par l’État les laiteries et semouleries créées durant l’année 2017.
Cette décision est justifiée par la hausse spectaculaire de 50 à 60% de la facture d’importation de la poudre de lait et des produits liés à l’activité céréalière. Plus de 150 unités de production risquent de disparaître à cause de l’austérité financière de l’État……
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Bio, sans lactose, moins sucré, moins gras, végétal… La plupart des lancements, des industriels comme des distributeurs, se concentrent autour de cette thématique du « mieux-manger ».
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Les professionnels de l’industrie laitière russe estiment la production russe de lait brut à 17 millions de tonnes en 2016, loin des chiffres officiels diffusés par les autorités russes (31 millions de tonnes).
La production laitière a certes baissé mais la consommation également, dans des proportions importantes puisque la consommation de produits laitiers par habitant a été de 234 kg en 2016, à comparer avec 387 kg en 1991.
En réaction aux sanctions en provenance de l’Union Européenne en 2014, la Russie a institué un système d’embargo de produits alimentaires qui touche plus particulièrement le secteur laitier. C’est ainsi que la Russie importe 7,5 millions de tonnes de lait, soit le quart des niveaux nécessaires...
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#Rabobank Global #Dairy Top 20 2017: Recovering after two years of significant downturn.
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C’est ce qu’il ressort du bulletin de conjoncture mensuel de l’Agreste du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation. En mars 2017, la collecte de lait de vache baisse ainsi de 1,2 % par rapport au mois de mars 2016. Les prix du lait sont plus élevés que l’an passé, mais fléchissent par rapport au mois …
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Au premier trimestre 2017, les résultats des trois leaders privés cotés en Bourse (Bel, Savencia et Danone) progressent. Tous s’inquiètent des charges en hausse liées au coût de la matière première, le lait...
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Chez Sacré Willy, l’appétit vient en mangeant des desserts gourmands. Installé à Tallard depuis 2015, le fabricant de produits laitiers « haut de gamme » voit son activité progresser à plein pot : de 556 000 euros en 2014, son chiffre d’affaires est passé à 700 000 euros en 2015 puis à 1,3 million d’euros en 2016. Objectif de l’année : 2 millions d’euros.
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Alors que la collecte française de lait de vache a reculé de 1,8% au 1er trimestre (3% en mars), comment les industriels adaptent-ils leurs fabrications ? Les industriels ont privilégié les fabrications de beurre au premier trimestre :+2,9%, etcelles de crème conditionnée +5,3 %. A l’inverse, le fromage reculait, sauf les fromages à pâte molle, tirés par le dynamisme du camembert (+4,6 %) et du brie (+2,5 %)…
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• Le secteur agricole et agroalimentaire, 3e poste d’excédent commercial français
• Le secteur des produits laitiers est le 1er contributeur au CA de l’industrie agroalimentaire française avec 41,3 milliards d’euros (soit 21% du CA des IAA). • En 2021, les exportations françaises de produits laitiers en hausse
• Danone, Lactalis et Pernod-Ricard, les trois groupes agroalimentaires les plus importants en CA en 2020
La France est le 4e pays exportateur mondial de lait et produits laitiers avec 8,7% de part de marché. En 2021, les exportations françaises ont atteint 7,6 Md€, en hausse de 5% par rapport à 2020 et de 5,6% par rapport à 2019. Plus d’un tiers de cette augmentation est attribuable aux envois de fromages et plus de 20% aux matières grasses ainsi qu’à la poudre de lait écrémé. En revanche, les exportations ont été pénalisées par le lait liquide et les poudres infantiles, ces dernières continuant de subir la baisse des demandes chinoise et algérienne.
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Le directeur général d'Eurial Ultrafrais, filiale de la coopérative Agrial, confie ses inquiétudes alors que l'industrie européenne craint un arrêt total des livraisons de gaz russe dans les prochains mois : "On nous annonce la possibilité d'avoir des coupures de gaz à certaines périodes de l'hiver, et pour nous c'est très grave."…
Ici comme dans toutes les usines du genre, le gaz sert à pasteuriser immédiatement, par chauffage, le lait que les camions-citernes apportent. S'il est impossible de le pasteuriser par manque de gaz, "on ne pourra plus réceptionner le lait, cela veut dire qu'on arrête de le collecter, et c'est dramatique pour nos producteurs, car on va jeter le lait."…
La conséquence de coupures pourrait être une pénurie dans les supermarchés, livrés en flux tendu : "On fabrique des produits qui ont une durée de vie moyenne de 30 jours. Et on fabrique pour vendre le lendemain. Quand j'arrête une usine, j'arrête de produire, et j'arrête de vendre, donc je ne peux plus alimenter mes clients"…
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L'inflation dans tous les secteurs de l'industrie alimentaire a laissé aux entreprises un choix difficile : augmenter les prix ou rester stables et réduire le volume de nourriture offert, un processus appelé « shrinkflation »…
Déjà plusieurs entreprises vendant des produits à base de lait ont réduit leurs emballages pour empêcher les consommateurs de réorienter leurs achats vers des produits concurrents moins chers. Chobani, par exemple, a réduit la taille de ses yaourts. Si tous les fabricants de yaourt réduisaient la taille de leur emballage comme Chobani, il faudrait 16 % de lait en moins pour répondre à la demande. « Une fois qu'un emballage devient plus petit, il est peu probable qu'il revienne à une taille plus grande quand le marché se redressera, ce qui en fait une perte permanente ».
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La Caisse de dépôt et placement du Québec et Agropur Coopérative ont annoncé ce mercredi la mise sur pied d'une plateforme de co-investissement destinée aux entreprises oeuvrant dans l'industrie laitière.
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Pour vendre ses camemberts et ses coulommiers, la Fromagerie Gillot, entreprise de 164 salariés basée dans l'Orne, mise sur l'export pour continuer de grandir. Après la Belgique, l'Ukraine ou encore l'Australie, la PME tente de s'implanter au Canada, où elle vient d'essuyer un « échec », avec son camembert à cuire au barbecue. « Les consommateurs ont compris goût barbecue, déplore Charlotte Fléchard. Pour notre deuxième essai, on va partir sur un maxi camembert. Ils aiment les grands formats. » Et de préciser : « Il sera pasteurisé, car les normes ne nous permettent pas d'exporter du lait cru. »...
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Augmentation de 27% de la production de lait de l'Inde, passant de 121 millions de tonnes en 2011-12 à 155 millions de tonnes en 2015-16.
En 2014-2015, pour la première fois, la valeur du lait produit en Inde (74 milliards de dollars) représentait 20% de la production agricole totale et dépassait la valeur totale des céréales alimentaires (72,6 milliards de dollars)…
Cependant, ce boom coexiste avec une crise pour les petits producteurs laitiers. Le secteur laitier est de plus en plus dominé par les grandes entreprises laitières tandis que les petits agriculteurs et les producteurs sont endettés et abandonnent les activités laitières…
Et aussi : La crise menace les petits producteurs laitiers malgré une production laitière record
Sur https://industryoutlook.cmie.com/kommon/bin/sr.php?kall=wshreport&nvdt=20171104101510730&nvpc=055000000000&nvtype=TIDINGS&icode=0100000000000000&ver=pf
Les petits producteurs laitiers sont confrontés à une crise, même si la production laitière de l'Inde a augmenté de 27%. Pour maintenir les prix bas et conserver leurs marges, les transformateurs de produits laitiers réduisent les prix d'achat et les volumes de lait des petits agriculteurs et des producteurs, ce qui les pousse à s'endetter et à se retirer des activités de production.
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L'industrie laitière israélienne se targue d'être à la pointe, ce qui signifie que l'industrie elle-même évolue toujours.
Pour ceux qui sont à l'intérieur et à l'extérieur d'Israël, il peut être très important de suivre les tendances....
Et aussi : Tnuva, la plus grande entreprise alimentaire d'Israël, voit sa part du marché des produits laitiers tomber en dessous de 50%
Sur https://www.haaretz.com/israel-news/business/1.816278
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La demande laitière explose en Afrique. Les États veulent développer la production locale et les éleveurs familiaux veulent participer à cet élan.
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Après les mouvements de colère des producteurs de lait , la distribution française a quasi-unanimement promis − notamment Leclerc, Intermarché et Système U − de contribuer à améliorer le prix qui leur est payé, notamment via les produits sous MDD.
« Quelle hypocrisie ! » a réagi la Fnil , estimant que le redressement du marché laitier n'a pas été répercuté dans les prix moyens sortie usine, en baisse pour le lait, les fromages ou les yaourts, à l'exception du beurre.
Et de rappeler que « les négociations entre industriels et distributeurs portent sur les produits laitiers transformés et non sur le lait matière première ».
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Une étude de l’Association des producteurs algériens de boissons (APAB) a dévoilé que la capacité industrielle de fabrication des produits laitiers des opérateurs publics et privés est sous exploitée puisque seulement 20% des laiteries travaillent à pleine utilisation.
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«Les industriels laitiers n’arrivent pas encore à subvenir aux besoins des Malgaches. Il vaut mieux rester sur le marché local».
Il y a de la place pour tout le monde. La quantité de lait produite est loin de satisfaire les besoins malgaches. Le marché est encore très vaste pour les industries de transformation des produits laitiers.
Tout n’est pas rose pour la filière lait et les industriels. «À part le problème de quantité, la qualité pose aussi d’énormes soucis.»
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